Ce manuel enseigne la théorie de la traduction et comment faire une bonne traduction en d'autres langues (OL). Certains des principes de traduction de ce manuel s'appliquent aussi à la traduction en langue Gateway (GL). Pour obtenir des instructions spécifiques sur la façon de traduire l'ensemble des outils de traduction pour les GL, veuillez toutefois consulter le Manuel de langues Gateway. Il sera très utile d'étudier plusieurs de ces modules avant de commencer tout type de projet de traduction. D'autres modules, tels que ceux sur la grammaire, ne seront nécessaires que pour l'apprentissage "juste à temps".
Quelques points saillants du Manuel de traduction :
Remarque : Les termes suivants sont utilisés dans ce manuel. Le traducteur devra les comprendre afin d’utiliser le Manuel de traduction effectivement.
Terme - Un mot ou une phrase qui fait référence à une chose, une idée ou une action. Par exemple, le terme en français pour ingérer du liquide dans sa bouche est "boire". Le terme pour une cérémonie qui marque une transition importante dans la vie de quelqu'un est un "rite de passage". La différence entre un terme et un mot est qu'un terme peut contenir plusieurs mots.
Texte – Un texte est quelque chose qu’un locuteur ou un auteur communique à un auditeur ou à un lecteur au moyen de la langue. Le locuteur ou l’auteur a un certain sens à l’esprit, et il ou elle choisit une forme de la langue pour exprimer ce sens.
Contexte – Les mots, expressions, phrases et paragraphes entourant le mot, la phrase ou la phrase en question. Le contexte est le texte qui entoure la partie du texte que vous examinez. La signification de certains mots et expressions peut changer lorsqu'ils se trouvent dans des contextes différents.
Forme – La structure de la langue telle qu'elle apparaît sur une page ou telle qu'elle est parlée. La forme fait référence à la manière dont la langue est organisée, y compris les mots, l'ordre des mots, la grammaire, les expressions idiomatiques et toute autre caractéristique de la structure du texte.
Grammaire – La façon dont les phrases sont assemblées dans une langue. Cela a à voir avec l'ordre des différentes parties, par exemple si le verbe passe en premier, en dernier ou au milieu.
Nom – Une sorte de mot qui fait référence à une personne, un lieu ou une chose. Un nom propre est le nom d'une personne ou d'un lieu. Un nom abstrait est une chose que nous ne pouvons ni voir ni toucher, comme "la paix" ou "l'unité". Il fait référence à une idée ou à un état d'être. Certaines langues n'utilisent pas de noms abstraits.
Verbe – Une sorte de mot qui fait référence à une action, comme "marcher" ou "arriver".
Modificateur – Une sorte de mot qui dit quelque chose sur un autre mot. Les adjectifs et les adverbes sont des modificateurs.
Adjectif – Une sorte de mot qui dit quelque chose sur un nom. Par exemple, le mot "grand", dit quelque chose sur le nom "homme" dans la phrase "Je vois un grand homme".
Adverbe – Une sorte de mot qui dit quelque chose sur un verbe. Le mot "fort" dit quelque chose à propos du verbe "parlait" dans la phrase suivante, l'homme parlait fort à la foule.
Idiome – Une expression utilisant plusieurs mots qui signifient quelque chose de différent si les mots sont compris avec la signification qu'ils ont lorsqu'ils sont utilisés séparément. Les idiomes ne peuvent pas être traduits littéralement, c'est-à-dire sur la base de la signification des mots séparés. L’idiome français "Mettre son grain de sel" signifie "donner à quelqu'un une opinion non sollicitée et inutile". Ça n'a rien à voir avec les mots grain et sel.
Sens – L'idée ou le concept sous-jacent que le texte entend communiquer au lecteur ou à l'auditeur. Un locuteur ou un écrivain peut communiquer le même sens en utilisant des formes différentes de la langue, et des personnes différentes peuvent comprendre des autres sens en entendant ou en lisant la même forme de langue. De cette façon, vous pouvez voir que la forme et le sens ne sont pas la même chose.
Traduction – Processus consistant à exprimer sous forme d'une langue cible le même sens qu'un écrivain ou un locuteur a exprimé sous la forme d'une langue source.
Langue source – La langue à partir de laquelle une traduction est effectuée.
Texte d'origine - Le texte à partir duquel la traduction est faite.
Langue cible – La langue dans laquelle une traduction est effectuée.
Texte cible - Le texte rédigé par le traducteur au fur et à mesure qu'il traduit la signification du texte source.
Langue Originale – La langue dans laquelle un texte biblique a été initialement écrit. La langue originale du Nouveau Testament est le grec. La langue originale de la plupart de l'Ancien Testament est l'hébreu. Cependant, la langue originale de certaines parties de Daniel et d'Ezra est l'araméen. La langue d'origine est toujours la langue la plus précise à partir de laquelle on peut traduire un passage.
Langue de communication plus large – Une langue qui est parlée sur un vaste territoire et par de nombreuses personnes. Pour la plupart des gens, ce n'est pas leur langue maternelle, mais c'est la langue qu'ils utilisent pour parler à des personnes en dehors de leur communauté linguistique. Certaines personnes appellent cela une langue commerciale. La plupart des bibles seront traduites en utilisant une langue de communication plus large comme langue source.
Traduction littérale – Une traduction qui se concentre sur la reproduction de la forme du texte source en texte cible, même si la signification change en conséquence.
Traduction basée sur le sens (ou Traduction dynamique) – Une traduction qui se concentre sur la reproduction de la signification du texte source en texte cible, même si la forme change en conséquence.
Passage – A section of the Bible text that is being talked about. This can be as small as one verse, but it is usually several verses that together have one topic or tell one story.
Langue Gateway – Une langue Gateway (GL) est une langue de communication plus large que nous avons identifiée comme étant l'une des langues dans lesquelles nous traduirons tous nos outils de traduction. L'ensemble des langues Gateway est le plus petit nombre de langues par lesquelles le contenu peut être délivré en toutes les autres langues du monde grâce à la traduction par des locuteurs bilingues.
Autre langue – Les autres langues (OL) sont toutes les langues du monde qui ne sont pas des langues Gateway. La stratégie de unfoldingWord est de traduire nos outils de traduction de la Bible dans les langues Gateway afin que les gens puissent utiliser ces outils pour traduire la Bible dans les autres langues.
Bible de l’utilisateur final – Il s'agit d'une bible que les gens ont traduite pour qu'elle s'exprime de manière naturelle dans la langue cible. Elle est destinée à être utilisée dans les églises et les maisons. Par contre, l'ULT et l'UST sont des bibles qui sont des outils de traduction. Leur langage n’est naturel dans aucune langue car l'ULT est une traduction littérale et l'UST évite d'utiliser des idiomes et des figures de style qu'une traduction naturelle utiliserait. En utilisant ces outils de traduction, un traducteur peut produire une bible pour l'utilisateur final.
Participant – Un participant est l'un des acteurs d'une phrase. Il peut s'agir d'une personne effectuant l'action, ou d'une personne qui reçoit l'action, ou d'une personne mentionnée comme participant d'une manière ou d'une autre. Un participant pourrait même être un objet déclaré comme participant à l'action de la phrase. Par exemple, dans la phrase suivante, les participants sont en gras : Jean et Marie ont envoyé une lettre à André. Parfois, les participants ne sont pas déclarés, mais ils font toujours partie de l'action. Dans ces cas, le participant est impliqué. Par exemple, dans la phrase suivante, seuls deux participants ont déclaré : André a reçu une lettre. Les expéditeurs, Jean et Marie, sont impliqués. Dans certaines langues, les participants implicites doivent être déclarés.
La traduction est un processus effectué entre deux langues différentes. Le processus exige qu'une personne (le traducteur) comprenne le sens de ce qu'un écrivain ou un orateur entendait communiquer en langue source à un public destinataire. Ensuite, ce traducteur doit exprimer ce même sens à un public différent en une autre langue cible.
C'est ainsi que la traduction est censée fonctionner la plupart du temps, mais parfois certaines traductions ont d'autres objectifs, tels que la reproduction de la forme d'une langue source, comme nous le verrons ci-dessous.
Il existe essentiellement deux types de traductions : littérale et dynamique (ou basée sur le sens).
Le UnfoldingWord Literal Text (ULT) est conçu pour être une traduction littérale, afin que le traducteur OL puisse voir les formes des langues bibliques originales. Le UnfoldingWord Simplified Text (UST) est conçu pour être une traduction dynamique, afin que le traducteur OL puisse comprendre la signification de ces formes dans la Bible. Pendant la traduction de ces ressources, veuillez traduire l'ULT d'une manière littérale et traduire l'UST de manière dynamique. Pour plus d'informations sur ces ressources, consultez le Manuel de langue Gateway.
La traduction est un processus effectué entre deux langues différentes. Le processus exige qu'une personne (le traducteur) comprenne le sens de ce qu'un écrivain ou un orateur entendait communiquer en langue source à un public destinataire. Ensuite, ce traducteur doit exprimer ce même sens à un public différent en une autre langue cible.
En général, les traducteurs ont des raisons différentes de faire leur travail. Leurs raisons dépendent du type de document qu’ils traduisent et des besoins de la personne qui leur a demandé de le traduire. Dans le cas de la traduction de la Bible, les traducteurs font habituellement leur travail parce qu’ils veulent que les idées de la Bible affectent les lecteurs de la langue cible de la même manière que les lecteurs et les auditeurs originaux des textes bibliques ont été affectés. Parce que les idées de Dieu dans la Bible nous conduisent à la vie éternelle avec lui à travers Jésus-Christ, les traducteurs veulent aussi que les lecteurs des langues cibles connaissent ses idées.
Il y a différentes façons de représenter des idées dans un texte source : nous pouvons les mettre dans une liste ; nous pouvons les résumer en utilisant beaucoup moins d’espace sur la page écrite ; nous pouvons les simplifier (comme nous le faisons souvent dans les livres de contes de la Bible pour des enfants et dans d’autres types d’aide biblique) ; ou nous pouvons même les mettre dans des diagrammes ou des graphiques. Pourtant, les traducteurs de la Bible essaient généralement de présenter les idées bibliques aussi complètement que possible. Cela signifie qu’ils essaient de produire dans leur traduction les mêmes types de documents que les documents originaux (une prophétie pour une prophétie, une lettre pour une lettre, un livre d’histoire pour un livre d’histoire, etc.) En outre, ils essaient de recréer les mêmes tensions dans la traduction qui existent dans les textes sources.
Des exemples de tension surviennent lorsqu'un lecteur se demande ce qui va se passer ensuite aux participants dans une histoire, ou quand un lecteur suit l'argument, l'encouragement et les avertissements d'un auteur d'épître ou d'une conversation rapportée dans le texte. Un lecteur peut ressentir de la tension lors de la lecture d'un psaume parce que les psalmistes expriment souvent une grande variété d'émotions (à la fois positives et négatives) lorsqu'ils chantent des louanges à Dieu. En lisant un livre prophétique de l'Ancien Testament, le lecteur peut sentir la tension monter quand le prophète condamne les gens pour leur péché ou les avertit de se tourner vers Dieu. On peut aussi ressentir de la tension en lisant les promesses de Dieu pour l’avenir, comme on considère quand Dieu a accompli ces promesses ou quand il les accomplira. Les bons traducteurs étudient le type de tension dans les documents sources, et ils essaient de recréer ces tensions dans la langue cible.
Une autre façon de parler de recréer les tensions dans le texte source est de dire que la traduction devrait avoir le même effet sur le public cible que le texte source a eu sur le public original. Par exemple, si le texte source est une réprimande pour le public d'origine, le public cible devrait également ressentir la traduction comme une réprimande. Un traducteur devra réfléchir à la manière dont la langue cible exprime les réprimandes et autres types de communication afin que la traduction ait le bon type d'effet sur le public cible.
Un traducteur est comme un chasseur. Il doit pointer son arme sur un animal s’il veut le frapper. Il doit connaître le genre d’animal qu’il chasse parce qu’un chasseur n’utilise pas toujours le même type d’arme pour chaque animal. Par exemple, un chasseur utilise un type de lance très différent lorsqu’il chasse du poisson que lorsqu’il chasse un très gros animal comme un tigre ou un éléphant.
C'est la même chose lorsque nous parlons à d'autres personnes. Nous ne parlons pas aux jeunes enfants avec exactement les mêmes mots que nous dirions à un adulte. Nous ne parlons pas non plus à nos amis exactement de la même manière que nous parlerions au président ou au dirigeant de notre pays.
Dans tous ces cas, nous décidons d’utiliser des mots et des expressions différents. Par exemple, si je partage l’Évangile avec un jeune enfant, je ne devrais pas lui dire : « Repente-toi, et le Seigneur te donnera sa grâce. » Au lieu de cela, je devrais dire quelque chose comme : « Sois désolé pour les mauvaises choses que tu as faites, et dis à Jésus que tu es désolé. Ensuite, il t’accueillera, parce qu’il t’aime. »
Dans chaque langue, il y a des mots que seuls les adultes utilisent, des mots que les enfants n'ont pas encore appris. Bien sûr, les enfants finiront par apprendre à utiliser beaucoup de ces mots. Mais si vous dites trop de ces mots aux enfants en même temps, ils auront beaucoup de mal à vous comprendre.
En outre, les langues sont comme des arbres qui poussent de nouvelles feuilles et perdent les anciennes: de nouveaux mots se forment toujours dans les langues, et certains mots sont constamment abandonnés, hors d'usage. Ces mots meurent et tombent comme des feuilles ; ce sont des mots que les personnes âgées connaissent mais que les plus jeunes n'apprennent jamais à utiliser. Après le départ de la génération précédente, ces vieux mots ne seront plus utilisés dans la langue. Même s'ils sont écrits (dans un dictionnaire, par exemple) comme ils devraient l'être, les jeunes ne les utiliseront probablement plus.
Pour ces raisons, les traducteurs de la Bible doivent décider vers quelles personnes ils dirigeront leur traduction. Il y a des choix à considérer.
Les traducteurs peuvent orienter leur traduction vers les jeunes mères et leurs enfants qui parlent la langue cible, car ces personnes représentent l'avenir de leur langue. Si les traducteurs travaillent de cette manière, ils éviteront d'utiliser de vieux mots que les plus jeunes n'apprennent pas. Au lieu de cela, ils utiliseront autant que possible des mots ordinaires et quotidiens. En outre, ces traducteurs suivront ces directives :
Lorsque les traducteurs suivent ces directives, nous appelons le résultat une version linguistique commune. Si vous travaillez à fournir un peuple avec sa première Bible dans sa langue, alors nous vous recommandons de suivre ces directives. Les versions courantes en anglais comprennent Today’s English Version et The Common English Bible. Mais n’oubliez pas que votre langue cible voudra probablement exprimer de nombreuses idées de façons très différentes de ce que vous trouverez dans ces versions anglaises.
Les traducteurs peuvent orienter leur traduction vers les chrétiens qui veulent étudier la Bible plus profondément. Les traducteurs peuvent désirer le faire si la langue cible a déjà une bonne Bible qui parle bien aux incroyants et aux nouveaux croyants. Ils peuvent décider de prendre une ou plusieurs des étapes suivantes :
Nous ne recommandons pas une traduction pour l'étude biblique à moins que la langue cible dispose déjà de la traduction d’une bible qui communique de manière claire et naturelle.
###Les qualités d’une bonne traduction
Une bonne traduction a quatre qualités principales. Elle doit être :
Nous pouvons considérer chacune de ces qualités comme l’un des pieds d'un tabouret à quatre pieds. Chacun est nécessaire. S'il en manque un, le tabouret ne restera pas debout. De même, chacune de ces qualités doit être présente dans une traduction pour qu’elle soit fidèle à la Parole de Dieu et utile à l’Église.
Utilisez toutes les structures linguistiques nécessaires pour atteindre le plus haut niveau de compréhension. Il s'agit notamment de la simplification des concepts, la réorganisation de la forme d'un texte et l'utilisation d'autant ou aussi peu de termes que nécessaire pour communiquer le sens original aussi précisément que possible. Pour apprendre à faire des traductions claires, voir Créer des traductions claires
Utilisez des formes linguistiques efficaces et reflétant la façon dont votre langue est utilisée en contextes correspondants. Pour apprendre à faire des traductions naturelles, voir Créer des traductions naturelles.
Traduisez avec précision, sans nuire, modifier ou ajouter au sens du texte original tel qu'il aurait été compris par le public d'origine. Traduisez en n'oubliant pas le sens du texte et communiquez avec précision les informations implicites, les concepts inconnus et les figures de style. Pour apprendre à faire des traductions précises, voir Créer des traductions précises.
Si une traduction est claire, naturelle et exacte, mais l'église ne l'approuve pas ou ne l'accepte pas, alors elle n'atteindra pas le but d'édifier l'église. Il est important que l'église soit impliquée dans la traduction, la vérification et la distribution de la traduction. Pour apprendre à faire des traductions approuvées par l'Église, voir Créer des traductions approuvées par l’Église.
En plus d’être claires, naturelles, précises, et approuvées par l’église, les grandes traductions devraient également être :
Une traduction claire utilisera toutes les structures linguistiques nécessaires qui aideront les lecteurs à la lire et à la comprendre facilement. Celles-ci comprennent la mise du texte dans une forme ou un arrangement différent et l'utilisation d'autant ou d'aussi peu de termes que nécessaire pour communiquer le sens original aussi clairement que possible.
Ces directives s’appliquent aux traductions en d’autres langues (OL) mais pas aux traductions en langue Gateway. Lors de la traduction de l'ULT dans une langue Gateway, vous ne devez pas apporter ces modifications. Il n’est pas nécessaire non plus d’apporter ces changements lors de la traduction de l'UST dans une langue Gateway, car ils ont déjà été effectués. Voici quelques idées pour créer une traduction claire à partir d'un texte source :
Vous aurez besoin de vérifier les pronoms dans le texte source et de clarifier à qui ou à quoi chaque pronom se réfère. Les pronoms sont des mots qui remplacent un nom ou un syntagme nominal. Ils font référence à quelque chose qui a déjà été mentionné.
Vérifiez toujours soigneusement à qui ou à quoi se réfère chaque pronom. Si ce n'est pas clair, il pourrait être nécessaire de remplacer le pronom par le nom d'une personne ou d'une chose.
Ensuite, vous devez comprendre qui fait l'action. Une traduction claire identifiera les participants. Les participants à un événement sont les personnes ou les choses qui prennent part à cet événement. Le sujet qui fait l'action et l'objet sur lequel l'action est faite sont les principaux participants. Quand on répète l'expression d'un événement sous forme de verbe, il est souvent nécessaire d'indiquer qui ou quels sont les participants à cet événement. Habituellement, cela ressortira du contexte.
Une idée d'événement est une action exprimée le plus clairement par un verbe. De nombreuses idées d'événement peuvent apparaître sous forme de noms dans une langue Gateway. Une traduction claire pourrait avoir besoin d'exprimer ces idées d'événement sous forme de verbes. Par exemple, on peut rendre plus clairement l'idée d'événement "la colère de Dieu est apparue" par "Dieu était en colère". Au lieu de dire "Jésus est mon Sauveur", vous pouvez traduire l'idée d'événement par "Jésus est celui qui me sauve".
Durant la préparation d’une traduction, il est utile d'identifier les idées d'événement dans le passage, en particulier celles qui sont exprimées par une forme autre qu'un verbe. Voyez si vous pouvez exprimer le sens différemment en utilisant un verbe pour exprimer l'idée d'événement. Si votre langue utilise aussi des noms pour exprimer des idées d'événement et si l'événement ou l'action semble plus naturel en tant que nom, alors utilisez la forme nominale. Voir Noms abstraits.
Vous aurez peut-être besoin de changer chaque idée d’événement en une clause active pour être sûr qu’elle est comprise.
Une traduction claire peut nécessiter le changement des verbes passifs à la forme active. Voir L'actif ou le passif.
En voix active, le sujet de la phrase est la personne qui fait l'action. En voix passive, le sujet de la phrase est l’objet direct (personne ou chose) de l’action faite. Par exemple : "Jean frappe Guillaume" est une phrase active, mais "Guillaume a été frappé par Jean" est une phrase passive.
De nombreuses langues n’ont pas de voix passive ; seule la voix active existe. Dans ce cas, il faudrait transformer une phrase de la voix passive en voix active. Mais certaines langues préfèrent utiliser la voix passive. Les traducteurs doivent utiliser les formes les plus naturelles de la langue cible.
Pour faire une traduction claire, vous devrez aussi examiner chaque phrase contenant la préposition "de" et identifier le sens de la relation entre les noms reliés par "de". Ces phrases ne sont pas aussi fréquentes dans beaucoup de langues qu'elles le sont dans les langues originales de la Bible. Étudiez le sens de chaque phrase et réexprimez la phrase contenant "de" de manière à clarifier la relation entre les mots.
Ce sont des génitifs tels que "la grâce de Dieu", "l'espérance de la vie éternelle", etc. Si possible, clarifiez la relation entre les mots dans ces expressions. Donc, au lieu de "la grâce de Dieu", on pourrait dire "la grâce qui vient de Dieu" ou "la grâce que Dieu donne". On pourrait traduire la phrase "l'espérance de la vie éternelle" par "l'expectation que Dieu nous donnera la vie éternelle".
Après avoir vérifié ces éléments et rendu votre traduction aussi claire que possible, vous devrez la lire à d'autres personnes qui parlent votre langue pour voir si elles la comprennent bien. S'il y a des parties qu'ils ne comprennent pas, c'est peut-être parce que cette partie n'est pas claire. Ensemble, vous pouvez penser à une manière plus claire de rendre ce texte. Continuez à vérifier la traduction avec de nombreuses personnes jusqu'à ce que tout soit clair.
Rappelez-vous : La traduction consiste à redire en langue cible le sens du message original, le plus exactement possible et d’une manière claire et naturelle.
Posez-vous ces questions pour vous aider à créer une traduction qui communique clairement :
Traduire la Bible pour qu’elle soit naturelle signifie que la traduction semble avoir été rédigée par un membre du groupe cible, et non par un étranger. Voici quelques idées pour faire une traduction naturelle.
Pour qu’une traduction semble naturelle, il est parfois nécessaire de créer des phrases plus courtes et plus simples à partir de phrases plus longues et complexes. La langue grecque a souvent de longues phrases qui sont grammaticalement compliquées. Certaines traductions de la Bible suivent de près la structure grecque et gardent ces longues phrases dans leur traduction, même lorsque cela ne semble pas naturel ou clair dans la langue cible.
Lors de la préparation d'une traduction, il est souvent utile de récrire un passage, en décomposant ses longues phrases en phrases plus courtes. Ces phrases courtes vous aideront à voir leur signification plus clairement et à améliorer la traduction. Dans de nombreuses langues, c'est aussi un bon style d'éviter les phrases compliquées. Ainsi, pour mieux exprimer le sens dans la langue cible, il est souvent nécessaire de diviser les longues phrases originales en plusieurs phrases plus courtes. Étant donné que de nombreuses langues utilisent des phrases avec seulement un ou deux groupes de clauses, l'utilisation de phrases plus courtes rendra la traduction plus naturelle. L'amélioration de la clarté permettra une meilleure compréhension. Assurez-vous d'utiliser les mots de connexion qui conviennent entre les nouvelles clauses et les phrases plus courtes.
Pour créer des phrases plus courtes à partir de phrases plus longues et plus complexes, identifiez les mots de la phrase qui se rapportent directement les uns aux autres, c'est-à-dire qui appartiennent ensemble pour former une clause. Généralement, chaque verbe ou mot d'action a des mots qui le précèdent ou le suivent, pointant vers lui. Un groupe de mots comme celui décrit ci-dessus peut être autonome et peut être rédigé sous la forme d'une clause indépendante ou d'une simple phrase. Gardez chacun de ces groupes de mots ensemble et, de cette façon, divisez la phrase en idées ou parties distinctes. Lisez les nouvelles phrases pour vous assurer qu'elles ont toujours du sens. S'il y a un problème, vous aurez peut-être besoin de diviser la longue phrase d'une manière différente. Lorsque vous comprenez le message des nouvelles phrases, traduisez-les dans la langue cible. Rédigez des phrases de longueur naturelle et connectez-les de manière naturelle. Ensuite, testez votre traduction en la lisant à un membre de la communauté linguistique pour voir si elle semble naturelle.
Lisez le passage ou le chapitre de la Bible et demandez-vous : « De quel genre de message s'agit-il ? » Ensuite, traduisez ce passage ou ce chapitre comme votre langue communiquerait ce genre de message.
Par exemple, si le passage est un poème, comme dans les Psaumes, traduisez-le dans un style que votre peuple reconnaîtra comme un poème. Ou si le passage est une exhortation sur la bonne façon de vivre, comme dans les lettres du Nouveau Testament, traduisez-le dans un style que les gens de votre langue utilisent pour s'exhorter les uns les autres. Mais si le passage est une histoire sur ce que quelqu'un a fait, traduisez-la dans le style d'une histoire qui s'est vraiment produite. La Bible a beaucoup de ces histoires, et dans le cadre de ces histoires, les gens se disent des choses dans leur propre style. Par exemple, les gens font des menaces, donnent des avertissements et se félicitent ou se réprimandent. Pour rendre votre traduction naturelle, vous devez traduire chacune de ces histoires de la manière dont les personnes dans votre langue se font des menaces, se font des avertissements, se félicitent ou se reprochent, etc.
Pour savoir comment écrire dans ces différents styles, vous devrez peut-être écouter ce que les gens disent autour de vous et écrire ce que les gens disent et font, afin de vous familiariser avec le style et les mots que les gens utilisent dans les différents aspects de leurs vies.
Une bonne traduction utilisera le même vocabulaire et les mêmes expressions que les personnes du groupe cible utilisent normalement. Il devrait être facile pour eux de la lire ou de l'écouter. Il ne devrait pas y avoir de phrases gênantes ou étranges. On devrait lire une bonne traduction aussi facilement qu'une lettre d'un ami proche.
Cette section ne concerne pas les traductions de l'ULT et de l'UST en langue Gateway. L'ULT et l'UST sont des bibles avec des caractéristiques qui les empêchent d'être naturelles dans une langue cible. Ce sont des outils de traduction de bibles, pas des bibles destinées aux utilisateurs finaux. Pour plus d'informations à ce sujet, reportez-vous aux sections "Traduction de l'ULT" et " Traduction de l'UST" dans le Manuel des langues Gateway
Créer une traduction exacte de la Bible signifie que la traduction communique le même message que la source. Voici quelques étapes à suivre :
Tout d'abord, lisez chaque passage plusieurs fois pour en découvrir le sens. Utilisez les deux versions de la Bible disponibles dans translationStudio : le UnfoldingWord® Simplified Text et le UnfoldingWord® Literal Text. Lisez aussi les définitions des mots de traduction unfoldingWord® et les notes de traduction de unfoldingWord®.
Lisez d'abord le texte littéral de UnfoldingWord®(ULT) :
Et quelle que soit la ville dans laquelle vous entrez, et ils vous reçoivent, mangez ce qui est devant vous, et guérissez les malades qui s'y trouvent, et dites-leur : « Le royaume de Dieu s'est approché de vous. » (Luc 10:8-9 ULT)
Regardez le texte simplifié de unfoldingWord® (UST) dans les aides à la traduction :
Chaque fois que vous entrez dans une ville et que les gens vous y accueillent, mangez la nourriture qu'ils vous fournissent. Guérissez les gens qui sont malades. Dites-leur : « Dieu régnera bientôt partout en tant que roi. » (Luc 10:8-9 UST)
Remarquez-vous les différences ? Il y a quelques différences dans les mots que chaque version de la Bible utilise.
Avez-vous découvert que le sens est le même ? Dans les deux versions, Jésus donne des instructions spécifiques, et ce sont les mêmes instructions. Les deux versions sont des traductions exactes.
Ensuite, après avoir découvert le sens du passage, vous devrez identifier l’idée principale.
Posez-vous la question : « Pourquoi l’auteur écrit-il ceci et que pense-t-il de ce qu’il a écrit ? »
Regardez de nouveau au passage de Luc 10. Pourquoi pensez-vous que l'auteur l'a écrit ? Selon vous, quels sont les sentiments de l'auteur à propos de ce qu'il a écrit ? Qu'est-ce que vous pensez ? Après avoir lu le passage plusieurs fois, répondez aux questions suivantes :
Finalement, une partie de la traduction exacte du texte source consiste à penser au public d'origine et au message de l'écrivain.
Pensez-vous que l'auteur avait des choses spécifiques à faire savoir au lecteur ? N'oubliez pas ce que nous pensions être les principales idées de l’auteur ? Les principales idées étaient :
C'est le message adressé au public d'origine. Laissez le même message entrer clairement dans votre esprit en langue cible.
Examinez le passage et réfléchissez à la façon dont vous le raconteriez dans votre propre langue. Sauvegardez cette traduction initiale en l'écrivant. Utilisez un alphabet qui convient à votre langue.
Rappelez-vous : La traduction consiste à redire, le plus exactement possible, la signification du message original d’une manière claire et naturelle dans la langue cible.
Une bonne traduction doit être claire (voir Créer des traductions claires), naturelle (voir Créer des traductions naturelles), et exacte (voir Create des traductions précises). Ces trois qualités influencent directement les mots et les phrases utilisés dans la traduction. Si une traduction manque une de ces trois qualités, simplement changer ou réorganiser les mots qui ont été utilisés peut souvent résoudre le problème. La quatrième qualité, l'approbation de l’Église, a moins à voir avec les mots utilisés qu'avec le processus employé.
Le but de la traduction du contenu biblique est non seulement de produire une traduction de haute qualité, mais d'en produire une qui est utilisée et aimée par l’église. Les traductions de haute qualité doivent être claires, naturelles et précises. Mais pour être utilisées et aimées par l’église, elles doivent être approuvées par l’église.
Créer une traduction approuvée par l'église dépend entièrement du processus de traduction, de vérification et de distribution. Si les réseaux d'églises sont très impliqués dans ces processus, la probabilité est grande qu'ils approuveront la traduction.
Avant de commencer un projet de traduction, autant de réseaux d'églises que possible doivent être contactés et invités à s'impliquer dans le processus de traduction. Ils devraient même être encouragés à envoyer quelques collaborateurs comme participants à l'équipe de traduction. Les réseaux d'églises devraient être consultés et leurs contributions aux objectifs et au processus de la traduction devraient être sollicitées.
Il n'est pas nécessaire que l'église dirige activement la traduction et coordonne tous les efforts, mais il est nécessaire que les réseaux d'églises approuvent celui qui dirige la traduction, de préférence avant de commencer.
Le besoin d'approbation d'une traduction par l'église est clairement reflété par les niveaux de vérification. En fait, les niveaux de vérification sont en grande partie une mesure du degré d'approbation de la traduction par l'église.
À chaque niveau, les personnes qui dirigent la traduction doivent encourager la participation et la contribution des réseaux d'églises. En utilisant ce processus, nous espérons encourager autant de réseaux d'églises que possible à s'approprier de la traduction. Avec cette approbation, rien ne devrait empêcher la traduction d'être utilisée pour fortifier et encourager les églises.
Pour faire une traduction qui est fidèle à la Bible, évitez tout parti pris politique, confessionnel, idéologique, social, culturel ou théologique. Utilisez des termes clés fidèles au vocabulaire des langues bibliques originales. Utilisez des termes communs équivalents aux mots bibliques qui décrivent la relation entre Dieu le Père et Dieu le Fils. Ceux-ci peuvent être clarifiés, au besoin, dans des notes de bas de page ou d'autres ressources supplémentaires.
En tant que traducteur de la Bible, votre objectif est de communiquer le message voulu par l'auteur original de la Bible. Pour tout passage de la Bible, vous devez communiquer ce qu'il dit, tout ce qu'il dit et seulement ce qu'il dit. N'ajoutez aucun sens au message déjà présent dans la Bible. Vous devez aussi résister à la tentation de mettre vos propres interprétations ou messages dans votre traduction de la Bible. (Le message d’un passage de la Bible comprend l’information implicite. Voir Connaissances présumées et information implicite.)
Vous devez aussi utiliser des termes clés fidèles au vocabulaire des langues bibliques originales. Lisez les définitions des mots de traduction unfoldingWord® pour vous assurer que vous comprenez le sens de ces mots. Traduisez de manière que ces termes clés aient les mêmes significations, et ne les traduisez pas de différentes manières juste pour faire plaisir à votre pasteur, à vos chefs de village ou pour vous satisfaire.
Toujours traduire fidèlement peut être difficile pour plusieurs raisons :
Vous pourriez vouloir traduire un passage de la Bible d'une manière qui s'accorde avec votre culture plutôt qu'en fonction de ce qu'il signifiait lorsqu'il a été écrit.
Vous pourriez ne pas aimer quelque chose que la Bible dit, et vous pourriez être tenté de le changer.
*Exemple : Vous pourriez ne pas aimer ce que Jésus dit dans Jean 6 :53 : « En vérité, en vérité, je vous le dis, à moins que vous ne mangiez la chair du Fils de l'homme et ne buviez son sang, vous n'aurez pas la vie en vous-mêmes. » Cela peut vous sembler dégoûtant, mais vous devez le traduire fidèlement afin que votre peuple puisse le lire et contempler ce que Jésus voulait dire par cela.
Vous pourriez avoir peur de ce que les autres dans votre village penseront ou feront s’ils lisent une traduction fidèle de ce que la Bible dit.
Vous savez peut-être quelque chose de plus sur le passage biblique que vous traduisez, et vous voudrez peut-être l'ajouter à votre traduction.
Afin d'éviter ces préjugés ou ces parti pris, en particulier ceux dont vous n'êtes peut-être pas conscient, vous devez étudier les notes de traduction unfoldingWord® (voir http://ufw.io/tn/), les mots de traduction unfoldingWord® (voir http:// ufw.io/tw/), le unfoldingWord® Simplified Text (voir http://ufw.io/ust/) ainsi que toute autre aide à la traduction dont vous disposez. De cette façon, vous saurez quel est le sens du passage biblique et vous serez moins susceptible de le traduire de manière préjugée et infidèle.
(Vous pouvez également regarder la vidéo à l’adresse http://ufw.io/guidelines_faithful.)
Dans l’Ancien Testament :
YHWH, il est Dieu ; il n'y a pas d'autre Dieu! (1 Rois 8:60b ULT)
Dans le Nouveau Testament :
C'est la vie éternelle : qu'ils te connaissent, le seul vrai Dieu. (Jean 17:3a ULT)
(Voir aussi : Deutéronome 4:35, Éphésiens 4:5-6, 1 Timothée 2:5, Jacques 2:19)
Dieu créa les cieux… l'Esprit de Dieu se mouvait… “Faisons l'homme à notre image.”(tiré de Genèse 1:1b,2b, 26b ULT)
Dieu nous a parlé par le fils… par lequel, il a aussi fait l'univers. Il est la splendeur de la gloire de Dieu et la représentation exacte de son être… Mais au fils il dit, “Ton trône, Ô Dieu, demeure à tout jamais… Dès le commencement, Seigneur, tu as mis les fondations de la terre. Les cieux sont l'ouvrage de tes mains.” (Hebrews 1:2-3a, 8a,10 (ULT) citation de Psaumes 102:25)
Jésus s'approcha d'eux et leur parla, disant, … “Baptisez-les au nom du Père, du Fils, et du Saint-Esprit.” (Matthieu 28:18a,19b ULT)
Dieu a envoyé son Fils, né d'une femme… Dieu a envoyé dans nos cœurs l'Esprit de son Fils, qui crie, “Abba, Père.” (Galates 4:4b, 6b ULT)
Voir aussi : Jean 14:16-17, 1 Pierre 1:2
Chaque personne de Dieu est pleinement Dieu et est appelée "Dieu" dans la Bible.
Néanmoins pour nous il n’y a qu’un seul Dieu, le Père (1 Corinthians 8:6a ULT)
Thomas répondit et lui dit : Mon Seigneur, et mon Dieu! Jésus lui dit, “Parce que tu m'as vu, tu as cru. Heureux ceux qui n'ont pas vu, et qui ont cru"! (Jean 20:28-29 ULT)
Mais Pierre dit, “Ananias, pourquoi Satan a-t-il rempli ton cœur pour mentir au Saint-Esprit et pour retenir du prix de la terre ? Tu n'as pas menti aux hommes, mais à Dieu.” (Acts 5:3, 4b ULT)
Chaque personne est également distincte des deux autres personnes. Les trois personnes peuvent apparaître séparément en même temps. Dans les versets ci-dessous, Dieu le Fils est baptisé tandis que Dieu l'Esprit descend et que Dieu le Père parle du ciel.
Après avoir été baptisé, Jésus sortit de l'eau… Il vit l'Esprit de Dieu descendre… et une voix [celle du Père] vint des cieux disant, “Celui-ci est mon Fils bien-aimé…” (Matthieu 3:16-17 ULT)
En tant que chrétiens, nous devons toujours nous rappeler que, puisque nous sommes humains et n'avons pas l'esprit de Dieu, nous ne pouvons pas pleinement comprendre comment les trois personnes de la Sainte Trinité sont pleinement Dieu, et pourtant Dieu n'est qu'un seul être. La Sainte Trinité est un mystère divin que nous confessons par la foi, basée sur le témoignage de la Parole inspirée de Dieu.
Door43 soutient les traductions bibliques qui présentent clairement ces concepts quand ils se réfèrent à Dieu.
Dieu s’appelle lui-même par les noms "Père" et "Fils" dans la Bible.
La Bible nous montre que Dieu appelle Jésus son Fils :
Après avoir été baptisé, Jésus sortit immédiatement de l'eau… et une voix [celle du Père] vint des cieux disant, « Celui-ci est mon Fils bien-aimé… » (Matthieu 3:16-17 ULT)
La Bible nous montre que Jésus appelle Dieu son Père :
Jésus… dit, « Je te loue, Ô Père, Seigneur du ciel et de la terre… personne ne connaît le Fils excepté le Père, et personne ne connaît le Père excepté le Fils. » (Matthieu 11:25a, 27b ULT) (Voir aussi : Jean 6:26-57)
Les chrétiens ont découvert que "Père" et "Fils" sont des idées qui décrivent essentiellement la relation éternelle entre la Première et la Deuxième Personne de La Trinité. En effet, la Bible se réfère à eux de diverses manières, mais il n’y a pas d'autre terme qui reflète l'amour éternel et l'intimité entre ces personnes, ni la relation interdépendante éternelle entre elles.
Jésus a fait référence à Dieu dans les termes suivants :
« Baptisez-les au nom du Père, du Fils, et du Saint-Esprit. » (Matthieu 28:19b ULT)
La relation intime et affectueuse entre le Père et le Fils est éternelle, tout comme ils sont éternels. Le Père aime le Fils. (Voir Jean 3:35-36; 5:19-20 ULT)
J'aime le Père, et exactement comme le Père me l'a commandé, ainsi j’agis. (Jean 14:31 ULT)
Personne ne connaît qui est le Fils, excepté le Père, et qui est le Père, excepté le Fils. (Luc 10:22b ULT)
Les termes "Père" et "Fils" communiquent aussi que le Père et le Fils sont de la même essence ; ils sont tous deux éternellement Dieu.
Jésus dit, « Père, … glorifie ton Fils, afin que ton Fils te glorifie… Je t’ai glorifié sur la terre… Maintenant, Père, glorifie-moi… de la gloire que j’avais auprès de toi avant que le monde fût. » (Jean 17:1, 4a, 5 ULT)
Mais dans ces derniers temps, il [Dieu le Père] nous a parlé par le Fils qu'il a fait héritier de toutes choses. Par lui, il a aussi fait le monde. Il est la splendeur de la gloire de Dieu et l'image absolument exacte de son être. Il tient toutes choses ensemble par la puissance de sa parole. (Hébreux 1:2-3a ULT)
Jésus lui dit, « J'ai passé si longtemps avec vous et tu ne me connais pas encore, Philippe ? Celui qui m’a vu a vu le Père. Comment peux-tu dire : Montre-nous le Père ? » (Jean 14:9 ULT)
Les pères et les fils humains ne sont pas parfaits, mais la Bible utilise quand même ces termes pour le Père et le Fils, qui sont parfaits.
Tout comme aujourd'hui, les relations humaines entre un père et un fils à l'époque biblique n'ont jamais été aussi affectueuses ou parfaites que la relation entre Jésus et son Père. Mais cela ne signifie pas que le traducteur doit éviter les concepts de père et de fils. Les Écritures utilisent ces termes pour désigner Dieu, le Père et le Fils parfaits, ainsi que les pères et les fils humains pécheurs. En vous référant à Dieu en tant que Père et Fils, choisissez des mots dans votre langue qui sont généralement utilisés pour désigner un "père" et un "fils" humains. De cette façon, vous communiquerez que Dieu le Père et Dieu le Fils sont de la même essence divine (ils sont tous les deux Dieu), tout comme un père et un fils humains sont de la même essence humaine (ils sont tous deux humains et partagent les mêmes caractéristiques humaines).
(1) Réfléchissez à toutes les possibilités disponibles dans votre langue pour traduire les mots "fils" et "père". Déterminez lesquels représentent le mieux les "Fils" et "Père" divins.
(2) Si votre langue a plus d'un mot pour "fils", utilisez le mot qui a le sens le plus proche de "fils unique" (ou "premier fils" si nécessaire).
(3) Si votre langue a plus d'un mot pour "père", utilisez le mot qui a le sens le plus proche de "père biologique" plutôt que "père adoptif".
(Voir les pages sur Dieu le Père et le Fils de Dieu à unfoldingWord® Translation Words pour aider à traduire “Père” et “Fils”.)
Une traduction de la Bible faisant autorité est celle qui est basée sur les textes bibliques en langues originales qui représentent la plus haute autorité par rapport au sens du contenu biblique. Chaque fois que des traductions de la Bible ne sont pas d'accord sur le sens d'un passage biblique, ce passage en langue originale sera l'autorité finale pour en décider du sens. Parfois, les gens sont très loyaux aux traductions de la Bible qu'ils ont l'habitude de lire, et ils peuvent se disputer avec d'autres personnes fidèles à une traduction différente de la Bible. Mais ces traductions de la Bible n'ont pas la plus haute autorité, car ce ne sont que des traductions de l'original. Toutes les traductions ont une autorité secondaire par rapport aux langues originales. C'est pourquoi nous devons toujours nous référer aux langues bibliques originales pour décider comment traduire la Bible.
Étant donné que certaines équipes de traduction n'ont pas de membre capable de lire les langues originales de la Bible, il n'est pas toujours possible de se référer aux langues bibliques lors de la traduction de la Bible. Au lieu de cela, l'équipe de traduction doit s'appuyer sur des traductions qu'elle est capable de lire et qui ont été précédemment basées sur les langues bibliques. La plupart des traductions en langues Gateway, y compris l'ULT, ont été traduites à partir des langues bibliques, mais certaines sont des traductions de traductions. Il est facile d'introduire des erreurs lorsqu'une traduction est éloignée de deux ou trois étapes du texte original.
Pour résoudre ce problème, l’équipe de traduction peut faire trois choses :
Parfois, les traductions de la Bible diffèrent parce que certains passages de la Bible sont ambigus ou pas clairs même dans les langues bibliques originales. Dans ces cas, l'équipe de traduction doit faire des décisions en fonction de ce que les spécialistes de la Bible disent dans unfoldingWord® Translation Notes, unfoldingWord® Translation Words, l'UST et d'autres aides à la traduction.
(Voir la vidéo « Traduire les Écritures – Culture » à http://ufw.io/trans\_culture.)
Une traduction historique communique avec précision les événements et les faits historiques. Elle fournit des informations supplémentaires si nécessaire pour communiquer avec précision le message voulu aux personnes qui ne partagent pas le contexte et la culture des destinataires du message original.
Pour bien communiquer avec précision historique, vous devez vous rappeler deux choses :
En tant que traducteurs, nous devons traduire les détails historiques avec précision, mais aussi fournir des explications lorsque nous pensons que nos lecteurs en auront besoin pour comprendre de quoi parle la traduction.
Des explications peuvent être insérées dans le texte, à condition qu'elles soient brèves et ne détournent pas l’attention du lecteur de l'essentiel du texte.
Comparons 1 Corinthiens 10:1 de l'ULT et de l'UST.
“Car je ne veux pas que vous ignoriez, frères, que nos pères ont tous étés sous la nuée et que tous ont passé à travers la mer.” (ULT)
“Je veux que vous vous souveniez, frères et sœurs, que nos ancêtres juifs suivaient Dieu, qui les a conduits hors d'Égypte au moyen d'un nuage pendant la journée, et qu'ils ont traversé la mer des roseaux sur la terre ferme.” (UST)
Remarquez que l'UST rend plusieurs points explicites : les "pères étaient tous sous le nuage" rappelle le temps où Dieu a conduit les ancêtres juifs sous la forme d'un nuage. L'affirmation selon laquelle "nos pères ont traversé la mer" concerne également le "passage à travers la mer des roseaux sur la terre ferme". Le traducteur de l'UST a décidé de décrire explicitement les événements historiques. C'est une façon de traduire les événements historiques qui est plus utile pour ceux qui ont peu de connaissances de l'histoire de l'Ancien Testament.
Introduisez ou faites référence aux informations implicites prévues par l'auteur original qui seront nécessaires pour que votre communauté comprenne ce qui est écrit.
Maintenez l’exactitude historique du message. Évitez de faire référence à des éléments et des événements qui n’étaient pas présents à l’époque de la Bible. Ne donnez pas l’impression que votre traduction est un événement moderne.
Souvenez-vous de :
Une traduction égale communique tout sens expressif de la langue source de la même manière dans la langue cible. Notez particulièrement les formes dans le texte source qui communiquent certains types d'émotions et choisissez des formes dans la langue cible qui communiquent les mêmes émotions. Des exemples de certaines de ces formes suivent.
Description – Un idiome (expression idiomatique) est un groupe de mots dont le sens n'est pas dérivé des mots qui le composent mais dont l'ensemble porte un sens très précis. C'est l'ensemble des mots ou de la phrase qui est le porteur du sens. Il vous faut donc déterminer le sens des idiomes, proverbes et figures de style et les traduire en expressions qui ont le même sens dans votre langue. Normalement, les expressions idiomatiques ne peuvent pas être traduites littéralement dans une autre langue. Le sens de l’idiome doit être exprimé d’une manière naturelle dans l’autre langue.
Par exemple, ces trois traductions ont toutes le même sens. Voir Actes 18:6 :
Ce sont toutes des accusations de culpabilité. Certaines d'elles utilisent des idiomes avec le mot "sang" ou "perdu", tandis que le troisième est plus direct en utilisant le mot "punit". Pour que votre traduction soit égale, elle doit également exprimer une accusation de manière émotionnelle et peut utiliser un idiome, aussi longtemps que la forme de l'accusation et l'idiome conviennent à la langue et à la culture cibles.
Description – Une figure de style est une façon particulière de parler afin d'attirer l'attention sur ce qui est dit ou d'exprimer une émotion à son propos. L'ensemble des mots d'une figure de style lui donne son sens qui est différent du sens normal des mots individuels qui la composent.
En voici des exemples :
Chaque langue utilise ses propres figures de style. Soyez sûrs que vous pouvez :
C'est le sens réel de toute la figure de style qui doit être traduit dans votre langue, pas le sens des mots individuels. Une fois que vous avez compris le vrai sens, vous pouvez choisir une expression dans la langue cible qui communique ce même sens et cette même émotion.
(Pour plus d'information, consultez les Figures de Style.)
Description – Les questions rhétoriques sont un autre moyen d'attirer l'attention du lecteur. Elles sont un type de question qui n'attend pas de réponse ou ne demande pas d'informations. Elles expriment généralement une sorte d'émotion et peuvent être considérées comme un reproche, un avertissement, une expression de surprise ou quelque chose d'autre.
Par exemple, considérez Matthieu 3:7 : « Fils de vipères ! Qui vous a avertis de fuir la colère qui vient ? » (ULT)
Ici, on ne s’attend pas à une réponse. Le Lórateur ne demande pas d’information ; il réprimande ses auditeurs. Il ne sert à rien d’avertir ces gens de la colère de Dieu parce qu’ils refusent le seul moyen d’y échapper : se repentir de leurs péchés.
Vous devrez peut-être reformuler cette question rhétorique comme une déclaration dans votre traduction si votre langue n'utilise pas de questions rhétoriques de cette façon. Mais n'oubliez pas de garder le même but et le même sens, et de communiquer la même émotion que la question rhétorique originale avait. Si votre langage communique le but, le sens et l'émotion d'une question rhétorique avec un autre type de figure de style, alors utilisez cette figure de style.
(voir Questions rhétoriques)
Description – Les langues utilisent les exclamations pour communiquer des émotions. Parfois, les mots d’exclamation n’ont pas d’autre sens que l’expression de l’émotion, comme les mots "hélas" ou "ouh là là" en français.
Par exemple, considérez 1 Samuel 4:8a : Malheur à nous ! Qui nous délivrera de la force de ces dieux puissants ? (ULT)
Le mot hébreu traduit par « malheur » exprime une vive émotion au sujet de quelque chose de mauvais qui s’est produit. Si possible, essayez de trouver une exclamation dans votre langue qui communique cette même émotion.
Description – L'un des buts de la poésie est d'exprimer une émotion à propos de quelque chose. La poésie exprime l'émotion par des moyens qui peuvent différer d'une langue à l'autre. Ces moyens peuvent inclure tout ce qui a été discuté jusqu'à présent, comme les figures de style et les exclamations. La poésie peut aussi utiliser la grammaire d’une façon qui diffère du discours ordinaire, des jeux de mots ou des mots avec des sons qui se répètent ou certains rythmes pour exprimer des émotions.
Par exemple, considérez Psaumes 36:6 : Ta fidélité à l’alliance, Yahvé, atteint les cieux, Ta fidélité atteint les nuées. (ULT)
Ce verset de poésie répète une idée semblable en deux versets, ce qui est du bon style poétique hébreu. De plus, il n'y a pas de verbe dans l'original hébreu, ce qui représente une utilisation de la grammaire différente de celle que le langage ordinaire utiliserait. La poésie dans votre langue peut avoir différentes caractéristiques qui la marquent comme de la poésie. Lorsque vous traduisez de la poésie, essayez d'utiliser les formes de votre langue qui communiquent au lecteur qu'il s'agit de poésie et qui communiquent les mêmes émotions que le poème source essaie de communiquer.
Rappelez-vous : Communiquez les sentiments et les attitudes du texte original. Traduisez-les sous des formes qui communiquent de la même façon dans votre langue. Réfléchissez à la meilleure façon d’exprimer ce sens de façon précise, claire, égale et naturelle dans la langue cible.
Les traductions collaboratives de la Bible sont celles qui ont été traduites par un groupe de locuteurs de la même langue. Pour vous assurer que votre traduction est de la plus haute qualité, travaillez avec d'autres croyants qui parlent votre langue pour traduire, vérifier et distribuer le contenu.
Voici quelques façons d’inclure des collaborateurs pour aider à améliorer la qualité de la traduction.
Apportez les corrections à la traduction avant de la distribuer à un public plus large.
N'oubliez pas : Si possible, travaillez avec d'autres croyants qui parlent votre langue pour la traduire, la vérifier et en distribuer le contenu. Assurez-vous que la traduction est de la plus haute qualité et que le plus grand nombre de personnes pourront la lire et la comprendre.
(Vous pouvez aussi regarder la vidéo sur http://ufw.io/guidelines\_collab.)
Les traductions de la Bible devraient continuer sans interruptions. Partagez ce travail avec des autres traducteurs et locuteurs pour voir s'ils comprennent bien et facilement le sens du message. Améliorez votre traduction à partir de leurs contributions, car la révision d'une traduction pour en améliorer la compréhension et la précision est toujours une bonne idée. Chaque fois que quelqu'un a une bonne idée pour améliorer la traduction, vous devez la modifier pour intégrer ce changement. Lorsque vous utilisez translationStudio ou d'autres éditeurs de texte électronique, vous pouvez maintenir ce processus constant de révision et d'amélioration.
N'oubliez pas : encouragez les gens à réviser la traduction et donnez-vous des idées pour l'améliorer. Parlez de ces idées à d'autres personnes. Lorsque plusieurs personnes conviennent que ce sont de bonnes idées, apportez ces modifications dans la traduction. De cette façon, la traduction ira de mieux en mieux.
(Vous pouvez aussi regarder la vidéo sur http://ufw.io/guidelines\_ongoing.)
Il y a deux tâches à faire en traduction :
Les instructions pour la traduction divisent parfois ces deux tâches en étapes plus petites. Le diagramme ci-dessous montre comment ces deux éléments s'intègrent dans le processus de la traduction.
Il y a beaucoup de choses différentes que nous pouvons faire pour nous aider à découvrir le sens du texte, c'est-à-dire pour nous assurer que nous comprenons ce que le texte essaie de dire. Voici quelques suggestions :
Lisez tout le passage et comprenez son point principal avant de commencer à le traduire. S'il s'agit d'un passage narratif, comme l'histoire d'un des miracles de Jésus, imaginez la situation à l'époque. Imaginez que vous y étiez. Imaginez ce que les gens ressentaient.
Lorsque vous traduisez la Bible, utilisez toujours au moins deux versions de la Bible comme texte source. Comparer deux versions vous aidera à réfléchir au sens, de sorte que vous ne vous contenterez pas de suivre littéralement les mots d'une version. Les deux versions doivent être :
Utilisez la ressource unfoldingWord® Translation Words pour en savoir plus sur les termes que vous ne connaissez pas. Les mots ont parfois plusieurs sens. Assurez-vous d'avoir bien compris le sens du mot dans le passage.
Utilisez aussi les notes de traduction unfoldingWord® qui sont avec l'ULT. Celles-ci sont disponibles dans le programme translationStudio et le site Web Door43. Elles expliqueront des choses sur les passages qui pourraient ne pas être clairs. Si possible, utilisez aussi d'autres ouvrages de référence, tels que d'autres versions de la Bible, un dictionnaire biblique ou des commentaires bibliques.
Une liste d'étapes ordonnées est présentée ci-dessous. Le but de ces étapes est d'aider le traducteur à produire une traduction naturelle, compréhensible et précise. L'une des erreurs les plus courantes commises par les traducteurs est de ne pas utiliser les formes naturelles de la langue cible pour développer un texte cohérent. En suivant ces étapes, le traducteur produira une traduction plus naturelle et plus compréhensible.
Credits: Used by permission, © 2013, SIL International, Sharing Our Native Culture, p. 59.
Deux des principaux termes utilisés dans la traduction d’un texte sont "forme" et "signification". Ces termes sont utilisés d’une manière particulière dans la traduction de la Bible. Ils ont les définitions suivantes :
Prenons un exemple de la vie normale. Supposons qu'un ami vous envoie la note ci-dessous :
Pourquoi pensez-vous que l'ami a envoyé cette note ? Juste pour vous parler de sa semaine ? Probablement pas. Sa véritable intention était plus susceptible de vous dire : « Je voudrais que vous me prêtiez de l'argent ».
C'est le sens principal de la note que l'expéditeur a voulu vous communiquer. Ce n'est pas un rapport mais un appel. Cependant, il serait impoli dans certaines cultures de demander de l'argent directement, même à un ami. Par conséquent, il a ajusté la forme de la note pour élargir son contenu et vous aider à comprendre son besoin. Il a écrit d'une manière culturellement acceptable qui présentait son besoin d'argent mais ne vous obligeait pas à répondre. Il a expliqué pourquoi il n'avait pas d'argent (sa mère malade), que son besoin n'était que temporaire (jusqu'à ce qu'il soit payé) et que sa situation était désespérée (pas de nourriture). Dans d'autres cultures, une forme d'appel plus directe pourrait être plus appropriée pour communiquer ce sens.
Dans cet exemple, la forme est le texte intégral de la note. Le sens est "J’aimerais que vous me prêtiez de l’argent !"
Nous utilisons ces termes de la même manière. La forme fera référence à l'intégralité du texte des versets que nous traduisons. Le sens se référera à l'idée ou aux idées que le texte essaie de communiquer. La meilleure forme pour communiquer un certain sens sera différente selon les langues et les cultures.
Le sens d'un texte est son élément le plus crucial. C'est l'idée ou le message que le texte porte. Cependant, la forme du texte peut être également importante. Dans certains cas, comme dans la poésie, la forme devient plus qu'un simple conteneur pour le sens, et affectera également la façon dont le sens est compris et reçu. Parfois, la forme d'un texte fait partie de son sens. Le naturel d'un texte dépend aussi largement de sa forme. Ainsi, la forme elle-même peut aussi contribuer au sens.
Par exemple, considérez les différences de forme entre deux traductions du Psaumes 9:1-2.
De la version anglaise New Life :
Je rendrai grâce au Seigneur de tout mon cœur. Je raconterai toutes les grandes choses que vous avez faites. Je serai heureux et plein de joie à cause de toi. Je chanterai ton nom, ô Très-Haut.
De la version Louis Second 1910 :
Je louerai l’Éternel de tout mon cœur ;
Je raconterai toutes tes merveilles.
Je ferai de toi le sujet de ma joie et de mon allégresse ;
Je chanterai ton nom, Dieu Très-Haut.
La première version met le texte sous une forme qui n'est pas différente de celle qu'elle utilise pour raconter des histoires. Chaque ligne du Psaume est énoncée comme une phrase distincte.
Dans la deuxième version, le texte est aligné comme les lignes de poésie le sont normalement dans la culture cible, avec chaque ligne du poème sur une ligne distincte de la page. Les deux premières lignes sont également jointes par un point-virgule, avec la deuxième ligne en retrait indiquant que les deux lignes sont liées. Elles disent des choses très semblables. Les troisième et quatrième lignes suivent la même disposition.
Un lecteur de la deuxième version saura que ce Psaume est un poème ou un chant en raison de sa forme, tandis que le lecteur de la première version pourrait ne pas comprendre cette idée, car elle n'a pas été communiquée par la forme du texte. Le lecteur de la première version pourrait être confus, car le Psaume semble être un chant, mais n'est pas présenté comme tel. Les mots expriment une émotion joyeuse. En tant que traducteur, vous devez utiliser la forme qui exprime une chanson joyeuse dans votre langue.
Regardez aussi la forme de 2 Samuel 18:33b dans la Nouvelle Version Internationale.
« Oh mon fils Absalom ! Mon fils, mon fils Absalom ! Si seulement j’étais mort à ta place, oh Absalom, mon fils, mon fils ! »
On pourrait dire que le sens de cette partie du verset est : "J'aurais aimé être mort à la place de mon fils Absalom". C’est un résumé du sens des mots. Mais la forme communique bien plus que cela. La répétition de "mon fils" tant de fois, la répétition du nom "Absalom", l'expression "Oh", la forme de vœu "Si seulement" communiquent toutes une émotion forte de profonde angoisse de la part d'un père qui a perdu un fils. En tant que traducteur, vous devez traduire non seulement le sens des mots, mais aussi le sens de la forme. Pour 2 Samuel 18:33b, il est important d'utiliser une forme qui communique la même émotion que celle contenue dans la langue originale.
On pourrait dire que le sens de cette partie du verset est : Ainsi, lorsque vous traduisez, vous devez examiner la forme du texte biblique et vous demander pourquoi il a cette forme et pas une autre. Quelle attitude ou émotion est communiquée ? Réfléchissez à ces questions qui pourraient vous aider à comprendre le sens de la forme.
Lorsque vous comprenez le sens de la forme, vous pouvez choisir une forme qui a le même sens dans la langue et la culture cible.
Parce qu'une forme identique peut avoir des significations distinctes dans différentes cultures, nous pouvons dire que la culture détermine la signification des formes. En traduction, le sens de la forme doit rester le même, donc la forme du texte doit parfois changer pour s'adapter à la culture de la langue cible. La forme d'un texte comprend sa langue, son arrangement, toutes les répétitions ou toutes les expressions qui imitent les sons (comme dans Oh). Vous devez examiner toutes ces choses, décider ce qu'elles signifient, puis décider quelle forme exprimera ce sens de la meilleure façon pour la langue et la culture cibles.
Une bonne traduction exige que le sens soit le même dans la langue cible et dans la langue source.
Il existe de nombreux niveaux de signification différents dans tout texte, y compris dans la Bible. Ces niveaux comprennent :
Nous pensons généralement que le sens d'un texte est dans les mots. Mais le contexte de chaque mot contrôle sa signification. C'est-à-dire que les niveaux de signification, y compris les syntagmes, les phrases et les paragraphes, contrôlent le sens des mots. Par exemple, un seul mot comme « donner » peut avoir les significations possibles suivantes, selon les niveaux de sens du contexte (les niveaux supérieurs) :
Le traducteur doit déterminer ce que signifie chaque mot dans chaque contexte, puis reproduire ce même sens dans le texte traduit. Cela signifie que les mots ne peuvent pas être traduits individuellement, mais seulement avec le sens qu'ils ont lorsqu'ils sont combinés avec les autres mots dans les phrases, les paragraphes et les chapitres dont ils font partie. C'est pourquoi le traducteur doit lire tout le paragraphe, le chapitre ou le livre qu'il traduit avant de commencer à le traduire. En lisant les niveaux plus grands, il comprendra comment le sens des mots des niveaux inférieurs s'intègre dans l'ensemble. Donc, il traduira chaque mot d’une façon que son sens soit en agrément avec le sens des niveaux supérieurs.
Les traductions littérales essaient de reproduire autant que possible la forme du texte source.
Les traductions littérales sont aussi appelées :
Une traduction littérale se concentre sur la reproduction de la forme du texte source dans le texte en langue cible, même si le sens du texte change ou est difficile à comprendre en conséquence. Une version extrême d'une traduction littérale ne serait pas du tout une traduction mais plutôt une copie. Une telle traduction aurait les mêmes caractères et les mêmes mots que la langue source. L'étape suivante la plus proche serait de remplacer chaque mot de la langue source par un mot équivalent de la langue cible. À cause des différences de grammaire entre les langues, le public de la langue cible ne comprendrait probablement pas ce genre de traduction. Certains traducteurs de la Bible croient à tort qu'ils devraient conserver l'ordre des mots du texte source dans le texte cible et ne substituer que les mots de la langue cible aux mots de la langue source. Ils croient que cela montre du respect pour le texte source en tant que Parole de Dieu. Mais en fait, ce genre de traduction empêche les gens de comprendre la Parole de Dieu. Dieu veut que les gens comprennent sa Parole. Il faut donc traduire la Bible pour que les gens puissent la comprendre pour montrer le plus grand respect pour la Bible et pour Dieu.
Les traductions littérales contiennent généralement les problèmes suivants :
La traduction littérale ne doit être utilisée que pour traduire les documents (tels que l'ULT) en langues Gateway qui seront utilisés par les traducteurs d'autres langues. Le but de l'ULT est de montrer au traducteur la forme contenue dans l'original. Même ainsi, l'ULT n'est pas strictement littéral. Il s'agit d'une traduction littérale modifiée qui utilise la grammaire de la langue cible afin que les lecteurs puissent la comprendre (voir la leçon Modified Literal Translation). Pour les endroits où l'ULT utilise des expressions originales de la Bible qui peuvent être difficiles à comprendre, nous avons fourni les "Notes de traduction" pour les expliquer.
Une substitution mot à mot est la forme de traduction la plus littérale. Ce n'est pas le meilleur choix pour faire de bonnes traductions. Pour chaque mot dans la langue source, une traduction mot à mot substitue simplement un mot équivalent en langue cible.
La substitution mot à mot engendre des traductions difficiles à lire. Elles sont souvent déroutantes et résultent en un sens erroné ou même pas de sens du tout. Vous devriez éviter de faire ce genre de traduction. Voici quelques exemples :
Voici un exemple tiré de Luc 3:16 ULT :
Jean répondit en leur disant à tous : « Je vous baptise bien d'eau, mais plus puissant que moi vient un, dont je ne suis pas digne de dénouer la lanière de ses sandales. Il vous baptisera du Saint-Esprit et par le feu. »
Bien que peu naturelle, cette traduction est claire et facile à comprendre. Mais supposons que les traducteurs aient utilisé la méthode du mot à mot. Comment serait la traduction ?
Ci-dessous, traduit en français, sont les mots dans le même ordre que dans l'original en grec.
répondit disant à tous leur Jean je vraiment avec eau baptise vous il vient mais qui plus puissant que moi de qui pas je suis digne de dénouer la lanière des sandales de lui il vous baptisera avec esprit saint et feu
Cette traduction est gauche et n’a pas de sens en français.
Regardez de nouveau la version ULT ci-dessus. Les traducteurs de l'ULT n'ont pas conservé l'ordre originel des mots grecs. Ils ont déplacé les mots dans la phrase pour qu'ils correspondent aux règles de la grammaire française. Ils ont également modifié une partie du libellé. Par exemple, l'ULT français dit : « Jean a répondu en leur disant à tous » plutôt que « John a répondu à tous en disant ». Ils ont utilisé des mots différents dans un ordre différent pour rendre le texte plus naturel afin qu'il puisse communiquer avec succès le sens originel.
La traduction doit communiquer le même sens que le texte grec. Dans cet exemple, l'ULT est une traduction bien meilleure en français que la version mot à mot.
Il faut aussi considérer que la substitution mot à mot ne tient généralement pas compte du fait que la plupart des mots dans toutes les langues ont une gamme de significations. Dans un passage donné, l'écrivain n'a généralement qu'une seule de ces significations à l'esprit. Cependant, dans un passage différent, il a peut-être eu un sens différent à l'esprit pour le même mot. Mais dans les traductions mot à mot, un seul sens est généralement choisi et utilisé tout au long de la traduction.
Par exemple, le mot grec "aggelos" peut désigner un messager humain ou un ange.
C'est celui au sujet de qui il est écrit : « Voici, j'envoie mon messager devant ta face, qui préparera ton chemin devant toi. » (Luc 7:27)
Ici, le mot "aggelos" désigne un messager humain. Jésus parlait de Jean-Baptiste.
Les anges s'étaient éloignés d'eux vers le ciel… (Luc 2:15)
Ici, le mot "aggelos" désigne les anges du ciel.
Un processus de traduction mot à mot pourrait utiliser le même mot dans les deux versets, même s'il est utilisé pour désigner deux types d'êtres différents. Ce serait difficile à comprendre pour le lecteur.
Enfin, les figures de style ne sont pas traduites correctement dans une traduction mot à mot. En tant qu'expression globale, une figure de style a un sens différent des mots individuels qui la composent. Lorsqu'ils sont traduits mot à mot, le sens de la figure de style est perdu. Même si nous les traduisons de manière qu’ils suivent l'ordre normal des mots de la langue cible, les lecteurs ne comprendront pas leur sens. Voir les pages Figures de Style pour apprendre à les traduire correctement.
Les traductions littérales conservent la forme du texte source dans le texte cible. Comme vous l'avez vu dans le module d'enseignement "L'importance de la forme", certains traducteurs pourraient vouloir faire cela parce que la forme d'un texte affecte le sens du texte. Cependant, vous devez vous rappeler que les personnes de différentes cultures comprennent la signification des formes de manières très différentes. Par conséquent, il n'est pas possible de protéger le sens du changement de compréhension en conservant les formes originales. La seule façon de protéger le sens est de transformer la forme originale en une nouvelle forme qui communique le même sens dans la nouvelle culture que la forme avait dans la culture du texte source.
Si vous gardez l'ordre des mots du texte source dans votre traduction, il sera très difficile pour les personnes qui parlent votre langue de comprendre le texte traduit. Parfois, il sera impossible de le comprendre. Vous devez donc utiliser l'ordre naturel des mots de la langue cible afin que les gens puissent comprendre le sens du texte.
Chaque langue a ses propres idiomes et autres expressions, tels que les mots qui représentent des sons ou des émotions. Afin d'exprimer leur sens, vous devez choisir un idiome, une expression ou un syntagme qui a le même sens dans la langue cible au lieu de simplement traduire chaque mot. Si vous traduisez simplement chaque mot individuellement, l'idiome, l'expression ou le syntagme aura probablement un mauvais sens.
La Bible contient de nombreux termes pour des choses qui n'existent plus, tels que les poids anciens (stadia, coudée), l'argent (denier, statère) et les mesures (hin, épha). Les animaux dans les Écritures pourraient ne pas exister dans certaines parties du monde (le renard, le chameau). D'autres mots peuvent être inconnus dans certaines cultures (la neige, la circoncision). Il n'est pas possible de simplement substituer des mots équivalents à ces termes dans ces situations. Le traducteur doit trouver un autre moyen de communiquer le sens original.
Les Écritures elles-mêmes montrent qu'elles étaient destinées à être comprises. La Bible est écrite en trois langues parce que la langue utilisée par le peuple de Dieu était différente dans des époques diverses. Lorsque les Juifs sont revenus de l'Éxil et ne se souvenaient plus de l'hébreu, les prêtres ont traduit les écrits de l'Ancien Testament en araméen afin qu'ils puissent les comprendre (Ne 8:8). Plus tard, lorsque le Nouveau Testament a été écrit, il a été écrit dans le grec koinè commun, qui était la langue que la plupart des gens parlaient à cette époque. Le Nouveau Testament n'a pas été écrit en hébreu, en araméen ou même en grec classique, parce qu'il aurait été plus difficile à comprendre par les gens ordinaires.
Les raisons ci-dessus et d'autres démontrent que Dieu veut que les gens comprennent sa parole. Nous savons donc qu'il veut que nous traduisions le sens de la Bible et que cela ne doit pas être une reproduction de la forme. Le sens des Écritures est plus important que la forme.
Nous avons examiné de près les traductions littérales. Maintenant, nous allons examiner des traductions qui reposent sur le sens. Ces traductions sont aussi appelées :
Équivalence fonctionnelle (pensée pour pensée)
Idiomatique
Équivalence dynamique
La principale caractéristique des traductions fondées sur le sens est qu'elles donnent la priorité à la traduction du sens plutôt qu'à la reproduction de la forme du texte source. C'est-à-dire qu'elles modifient la forme du texte pour en rendre le sens clair. Les genres de changements les plus courants apportés par les traductions basées sur le sens sont :
A quoi ressemble une traduction basée sur le sens ? Nous verrons comment différentes versions traduisent le même verset.
Dans Luc 3:8, Jean-Baptiste réprimande les gens contents d'eux-mêmes qui sont venus se faire baptiser.
Le texte grec de la première moitié du verset est montré ci-dessous.
Ποιήσατε οὖν καρποὺς ἀξίους τῆς μετανοίας
La traduction en français, faite dans le même ordre que chaque mot grec et comprenant quelques mots français alternatifs à choisir, se trouve ci-dessous.
Faire/créer/produire donc des fruits dignes/appropriés du repentir
Une traduction littérale suivrait généralement les mots et l'ordre du texte grec aussi étroitement que possible, comme ce qui suit.
Donc, produisez des fruits dignes du repentir (Luc 3:8a ULT)
Notez que cette traduction littérale modifiée conserve les mots "fruits" et "repentance". L'ordre des mots est très semblable au texte grec. C'est parce que l'ULT est conçu pour montrer aux traducteurs ce qu'il y a dans le texte original. Mais ce n'est peut-être pas la façon naturelle ou claire de communiquer ce sens dans votre langue.
Les traductions basées sur le sens, d’autre part, sont plus susceptibles de changer les mots et l'ordre si les traducteurs pensent que cela aidera à clarifier le sens. Considérez les trois traductions ci-dessous qui sont basées sur le sens
Traduction du texte de la Living Bible :
Prouvez que vous vous êtes détournés du péché en faisant des actions dignes.
Traduction du texte de la New Living Translation :
Prouvez par votre façon de vivre que vous vous êtes repentis de vos péchés et que vous vous êtes tournés vers Dieu.
Traduction de l'unfoldingWord® Simplified Text :
Faites les choses qui montrent que vous avez vraiment rejeté votre façon de vivre pécheresse précédente !
Notez que dans ces traductions nous avons changé l'ordre des mots pour qu'il soit plus naturel en français. De plus, le mot "fruits" n'apparaît plus. En fait, la traduction de la Living Bible n'utilise presque aucun des mots de la traduction ULT. Au lieu de "fruits", les traductions basées sur le sens font référence à des "actes" ou à "votre façon de vivre". Dans ce verset, on utilise le mot "fruits" dans une métaphore, qui signifie "ce qu'une personne fait". (Voir Métaphore.)
Ainsi, dans ces versions, les traducteurs ont rendu le sens en contexte, plutôt que simplement par les mots. Des expressions plus compréhensibles telles que « détourné du péché » ou « détourné de votre comportement pécheur » ont été utilisées plutôt que le mot difficile « repentance ». Les traducteurs ont aussi expliqué ce mot par des expressions comme : "vous vous êtes repentis de vos péchés" et "vous vous êtes tournés vers Dieu". Le sens dans chacune des traductions est le même, mais la forme est très différente. Dans les traductions basées sur le sens, le sens est beaucoup plus clair.
Les personnes qui ont écrit la Bible ont reçu des messages de Dieu qu'il voulait que les gens comprennent. Ces écrivains originaux ont communiqué ces messages dans la langue que leur peuple parlait afin qu'ils puissent les comprendre. Dieu veut que les gens comprennent ces mêmes messages, même aujourd'hui. Mais les gens d'aujourd'hui ne parlent pas les langues dans lesquelles la Bible a été écrite il y a longtemps. Dieu nous a donc confié la tâche de traduire la Bible dans les langues que les gens parlent aujourd'hui.
Le langage particulier que les gens utilisent pour communiquer les messages de Dieu n'est pas important. Les mots spécifiques qui sont utilisés ne sont pas importants. Ce qui est important, c'est le sens que ces mots communiquent. Le sens est le message, pas les mots ou la langue. Ce qu'il faut donc traduire, ce ne sont pas les mots ou les formes des phrases des langues sources, mais le sens.
Regardez les paires de phrases ci-dessous.
Il a plu toute la nuit. / La pluie est tombée toute la nuit.
John a été très surpris quand il a appris la nouvelle. / La nouvelle a beaucoup étonné John quand il l'a entendue.
C'était une journée chaude. / La journée était chaude.
La maison de Pierre / La maison qui appartient à Pierre.
Vous pouvez voir que le sens de chaque paire de phrases est le même, même si elles utilisent des mots différents. C'est toujours le cas dans une bonne traduction. Nous utiliserons des mots différents du texte source, mais nous garderons le même sens. Nous utiliserons des mots que notre peuple comprend et les utiliserons d'une façon naturelle pour notre langue. Communiquer le même sens que le texte source de manière claire et naturelle est le but de la traduction.
Credits: Example sentences from Barnwell, pp. 19-20, (c) SIL International 1986, used by permission.
La traduction de la Bible est une tâche très vaste et difficile dont l'accomplissement peut prendre beaucoup de gens. Dans cette section on discutera les compétences qui seront nécessaires aux membres de l'équipe de traduction de la Bible et les responsabilités que ces personnes auront. Certaines personnes auront beaucoup de compétences et de responsabilités, et d'autres en auront peu. Mais il est important que chaque équipe de traduction de la Bible comprenne suffisamment de personnes pour s'assurer que toutes les compétences nécessaires sont représentées dans l'équipe.
Avant de commencer un projet de traduction, autant de réseaux d'églises que possible doivent être contactés et encouragés à prendre part à la traduction et même à engager des membres à faire partie de l'équipe de traduction. Il faut les consulter et inviter leur contribution à la formulation du projet de traduction, de ses objectifs et son processus.
Dans la plupart des projets réussis, il y a un dirigeant ou une équipe de dirigeants qui ont le désir de servir et d'équiper l'église. Ces leaders parlent la langue et sont une force catalytique et motivante qui unit les églises, inaugure le projet et le fait avancer. Ces dirigeants fournissent l'impulsion qui forme le comité de traduction, aident à superviser dès le début les efforts plus larges de traduction et son intégration dans la formation et la croissance de l'église de la région linguistique.
Une bonne étape de départ pour les dirigeants des églises et des réseaux d'églises est de former un comité pour guider le travail, choisir les traducteurs et résoudre les problèmes qui se posent. Une autre fonction de ce comité sera d'encourager les églises à prier pour le travail et à le soutenir financièrement.
Ce comité pourrait aussi choisir les pasteurs et les autres dirigeants qui vérifieront l'exactitude et la validation de la traduction.
Le moment venu, les membres du comité peuvent prendre des décisions sur le format et la distribution de la traduction. Ils peuvent aussi encourager les églises à utiliser les Écritures traduites.
Ce comité devrait aussi planifier la maintenance de la traduction une fois complète et distribuée. Le comité pourrait nommer quelqu'un pour examiner les commentaires et les suggestions d'amélioration qui viendront des églises qui utilisent la traduction. Door43 permet aux gens d'accéder à la traduction et de laisser ce genre de commentaires.
Ce sont les personnes qui vont rédiger les ébauches de traduction. Ils seront nommés par le Comité de traduction. Ils doivent être des personnes dont la langue maternelle est la langue cible, qui lisent très bien la langue source (la langue Gateway) et qui sont respectées dans la communauté pour leur caractère chrétien. Pour plus de détails sur le ci-dessus, voyez Qualifications des traducteurs.
En plus de la rédaction des premières ébauches, ces personnes formeront le noyau de l’équipe de traducteurs qui vérifieront mutuellement leurs travaux. Ils vérifieront la traduction avec la communauté linguistique et effectueront les vérifications des Mots de Traduction et des Notes de Traduction. Après chaque session de révision ou de vérification, ces traducteurs seront responsables d’apporter les modifications nécessaires à la traduction afin qu’elle communique de la meilleure façon possible. Ils vont donc réviser la traduction de nombreuses fois.
Si les traducteurs eux-mêmes ne tapent pas le brouillon de traduction sur un ordinateur ou une tablette, un autre membre de l'équipe doit le faire. Cette personne doit taper au clavier sans faire beaucoup d'erreurs et doit aussi savoir utiliser les signes de ponctuation de manière correcte et cohérente. Elle devra aussi saisir les révisions et les corrections apportées à la traduction après chaque cycle de vérification.
Pour être sûr que la traduction est claire et naturelle dans la langue cible, des personnes doivent tester la traduction avec des membres de la communauté linguistique. Ce sera généralement des traducteurs, mais il peut s'agir d'autres personnes. Ces testeurs vont lire la traduction aux gens, puis leur poseront des questions pour voir comment ils la comprennent. Pour une description de cette tâche, voir autres méthodes.
Les personnes sélectionnées pour vérifier l'exactitude de la traduction doivent être des personnes qui connaissent déjà bien la Bible dans la langue source. Elles doivent être capables de bien lire dans la langue source. Ces vérificateurs compareront le texte de la traduction au texte de la Bible source, pour s'assurer que la traduction communique tout ce qui se trouve dans la Bible source. Nous parlons donc de personnes qui s'intéressent à la traduction et qui ont le temps de faire un bon travail de vérification. Il est préférable que l'équipe de vérificateurs de l'exactitude des traductions se compose de membres des différents groupes religieux qui parlent la langue cible et qui utiliseront la traduction.
Ceux qui effectuent le Contrôle de Validation doivent être des dirigeants de réseaux d'églises ou des personnes très respectées dans la région linguistique. Il est important que ces personnes donnent leur assentiment à la traduction afin qu'elle soit acceptée et utilisée dans les églises. Étant donné que ces personnes sont généralement très occupées, elles pourraient nommer d'autres personnes en qui elles ont confiance pour vérifier la traduction à leur place. En outre, il pourrait être préférable d'envoyer des livres ou des chapitres sélectionnés à différentes personnes et de ne pas charger seulement une ou deux personnes de valider la traduction dans sa totalité.
Ces personnes doivent avoir de l’expérience (ou des aptitudes) en matière de technologie et d’ordinateurs pour tout ce qui concerne la gestion des fichiers, ainsi que la formation et l’utilisation des logiciels et du matériel.
Ces personnes doivent avoir des compétences en organisation, planification et gestion du temps concernant le personnel de l'équipe, le progrès et le volume du travail.
Ces personnes ont des compétences dans l’enseignement, la direction et l’entraînement dans des ateliers. On devrait aussi avoir des aptitudes pour l’évaluation et l’amélioration continuelle de la méthodologie de l’équipe et pour l’application des principes de traduction.
Les compétences combinées qui sont nécessaires dans une équipe de traduction de la Bible centrée sur l'Église peuvent être assemblées en une équipe qui a de nombreux rôles différents. La meilleure composition d'une équipe ne peut pas être prescrite à l'avance, car ses exigences pourraient changer avec le temps. Mais l'équipe doit tenir compte de toutes les compétences essentielles. Nous accomplissons cela de la façon suivante :
Nous travaillons avec les dirigeants des réseaux d'églises pour nous assurer qu'ils comprennent les compétences et les fonctions nécessaires à leur équipe de traduction, comme elles sont décrites dans l'unfoldingWord® Translation Academy.
Nous les aidons à identifier une composition initiale d'équipe en fonction des compétences et de la réalité contextuelle de leur équipe (par exemple, la taille de l'équipe, la capacité théologique, l'expérience en traduction, la compétence linguistique, la répartition géographique des membres de l'équipe, les relations dynamiques, etc.). Leur équipe peut être petite, avec la plupart des compétences offertes par la même personne. Ou l'équipe peut être grande (dans certains cas, jusqu'à 25 traducteurs à plein temps et des centaines de bénévoles), avec de nombreuses personnes fournissant les mêmes compétences d'une manière qui se chevauchent et sont intentionnellement redondantes. Indépendamment de la structure et de la taille de l'équipe nécessaire, les rôles combinés de toute équipe doivent fournir la combinaison de compétences nécessaires pour atteindre l'excellence dans la traduction de la Bible.
L'équipe commence à travailler sur un premier projet de traduction (nous recommandons Open Bible Stories) et observe l'efficacité de la configuration de leur équipe. Au besoin, des ajustements structurels sont apportés et de la formation est fournie à l'équipe pour en augmenter les compétences et l'efficacité.
Les dirigeants des réseaux d'églises qui seront engagés dans la traduction devraient considérer les questions suivantes lors du choix des personnes qui deviendraient des membres de l'équipe de traduction. Ces questions aideront les dirigeants de l'église et de la communauté à savoir si les personnes qu'ils choisissent pourront réussir à traduire la Bible ou les Open Bible Stories ouverte.
Il est important que la personne parle très bien la langue cible. Est-ce que le candidat parle très bien la langue cible ?
La personne a-t-elle une très bonne compréhension de la langue source ?
La personne est-elle respectée dans la communauté en tant que disciple du Christ ? La personne doit être humble, disposée à écouter les suggestions ou les corrections des autres concernant son travail de traduction et doit toujours être disposée à apprendre des autres.
Après que les traducteurs ont travaillé pendant un certain temps, le comité de traduction devra s'assurer qu'ils travaillent bien ensemble. Ils pourraient demander si les traducteurs ont été disposés à travailler avec d'autres personnes pour tester et vérifier leur traduction ? Leur travail répond-il aux attentes de leurs collègues traducteurs et des responsables d'églises locales ?
Before beginning a translation of the Bible, the translation committee needs to discuss and agree on the style that they want the translation to have. The following topics should be included in the discussion.
Forme – La traduction doit-elle suivre la forme de la langue source afin que les personnes habituées à entendre et à lire la Bible dans la langue source s'y sentent plus à l'aise, ou la traduction doit-elle suivre la forme de la langue cible qui sera plus facile à comprendre ? Dans la plupart des cas, nous pensons qu'il est préférable que la traduction suive la forme de la langue cible parce que les gens peuvent la comprendre mieux. Cela signifie qu'il sera plus difficile de comparer la traduction avec la Bible en langue source car elle mettra les choses dans un ordre différent et utilisera différents types d'expressions qui seront plus claires et naturelles en langue cible. But when a Bible is clear and natural, many people will want to read it and hear it, not just the people who have been part of the church for many years.
Format – S'il s'agit d'une traduction écrite à lire dans un livre ou à utiliser dans une église, les gens peuvent préférer un style plus formel. Mais, si la traduction va être enregistrée et écoutée, les gens pourraient préférer un style qui ressemble plus aux gens parlant de manière informelle.
Emprunter – Les traducteurs, devraient-ils emprunter des mots de la langue source ou devraient-ils trouver des moyens d'exprimer ces mots en utilisant la langue cible ? Les personnes qui ont fait partie de l'église depuis longtemps pourraient être habituées à entendre beaucoup de concepts bibliques exprimés par des mots en langue source. Si ces mots sont généralement compris en dehors de l’église, alors on pourrait bien les utiliser dans la traduction. Mais si les gens en dehors de l'église ne comprennent pas ces mots, il serait préférable d'exprimer leur sens en utilisant les mots de la langue cible.
Mots anciens – L'équipe de traduction doit-elle utiliser des mots que seulement les personnes âgées connaîtront, ou doit-elle utiliser des mots que tout le monde connaît ? Parfois, les jeunes n'utilisent pas ou ne connaissent pas un bon mot plus ancien de la langue cible. Le comité de traduction peut choisir une des options à exercer : Utiliser ce mot et l'enseigner aux jeunes ; utiliser un mot emprunté à la langue source ; exprimer le même concept en utilisant une phrase ou une description en utilisant des mots de la langue cible que tout le monde connaît.
Variété ou niveau d'utilisation – Si la langue cible a plusieurs niveaux d'utilisation, lequel est-ce que l'équipe de traduction devrait choisir ? Autrement dit, si les personnes de statut social élevé utilisent une forme de la langue cible et les personnes de statut social inférieur utilisent une forme différente, laquelle doit-on utiliser pour la traduction ? Ou encore, si la langue cible a des mots différents pour « vous » ou si elle utilise des mots différents pour s'adresser à un fonctionnaire du gouvernement par opposition à un membre de la famille proche, quels mots les traducteurs devraient-ils utiliser pour s'adresser à Dieu ? Réfléchir au sujet du public ou de l'audience pourrait aussi aider à résoudre ces questions.
Audience – Le comité de traduction doit déterminer qui est le public visé par cette traduction. S'agit-il principalement de personnes instruites ? Le comité pourrait décider d'un style qui utilise de longues phrases et beaucoup de mots empruntés. Le public est-il principalement composé de jeunes, de personnes âgées, d'hommes ou de femmes ? Ou est-ce pour tout le monde ? Dans ce cas, il faudrait utiliser un langage simple pour que tout le monde puisse le comprendre. Pour en savoir plus sur ce sujet, voir aussi Objectifs.
Notes de bas de page – Le traducteur doit-il mettre des explications sur les choses difficiles dans des notes de bas de page ? Si oui, est-ce que l'utilisation des notes de bas de page doit être limitée aux choses particulièrement difficiles ? Les gens comprendront-ils ce que sont les notes de bas de page et comment elles fonctionnent ? Au lieu de notes de bas de page, serait-il préférable de mettre de courtes explications dans le texte de la traduction de la Bible ? Peut-être que la traduction ne devrait pas inclure d'explications supplémentaires ? Pour aider à prendre cette décision, examinez dans quelle mesure votre peuple comprend la culture biblique et des choses telles que les bergers, la pêche avec des filets, les bateaux à voile, les rois, la guerre ancienne avec des chars, etc., et combien de cela aurait besoin d'être expliqué.
Images – Les images seront-elles utilisées dans la traduction de la Bible ? Si oui, dans quelle mesure ? Les images peuvent être très utiles pour montrer des choses inconnues dans la culture cible, comme certains animaux, outils ou vêtements. L'utilisation d'images pour ce genre de choses peut réduire le besoin d'explications dans les notes de bas de page.
Rubriques – Les traducteurs devraient-ils utiliser des titres de section qui résument de quoi parle chaque section ? Si oui, quel style de titres faut-il utiliser ? Ceux-ci peuvent être très utiles pour trouver différents sujets. Voir Titres de sections pour des exemples.
À un certain point, l'équipe de traduction devra déterminer ce qu'elle doit traduire en premier ou, si elle a déjà fait une traduction, ce qu'elle doit traduire ensuite. Plusieurs facteurs doivent être pris en compte :
Les réponses à ces questions sont toutes importantes. Mais rappelez-vous ceci :
La traduction est une compétence qui se développe avec l’expérience.
Parce que la traduction est une compétence qui se développe, il est prudent de commencer à traduire un contenu moins compliqué que les Écritures. De cette façon, les traducteurs peuvent acquérir de la compétence durant la traduction de documents moins difficiles.
Wycliffe Bible Translators a évalué la difficulté de la traduction des livres de la Bible. Dans leur indice de difficulté de traduction, les livres les plus compliqués à traduire reçoivent une cote de difficulté 5. Les livres les plus faciles à traduire reçoivent une cote de difficulté 1.
En général, les livres qui contiennent des termes et des idées plus abstraits, poétiques et théologiquement complexes sont plus difficiles à traduire alors que les livres qui sont plus narratifs et présentent des informations de manière simple sont plus faciles à traduire.
unfoldingWord a développé une collection de 50 histoires bibliques appelée Open Bible Stories. Ces histoires n'ont pas été évaluées selon le système d'évaluation ci-dessus, elles devraient appartenir au niveau de difficulté 1. Nous vous recommandons de commencer par la traduction des Open Bible Stories pour les raisons suivantes :
- La création d'une équipe de traduction et de vérification
- le processus de traduction et de vérification
- l'utilisation des outils de traduction Door43
- la résolution de conflits de traduction
- l'obtention de la participation de l'église et de la communauté
- la publication et la distribution de contenu.
Vous pouvez progresser à travers les histoires dans l'ordre de votre choix, mais nous avons constaté que l'histoire numéro 31 est une bonne première histoire à traduire car elle est courte et facile à comprendre.
En fin de compte, l'église doit décider ce qu'elle veut traduire et dans quel ordre. Mais nous vous recommandons fortement de commencer votre projet de traduction avec Open Bible Stories, pour trois raisons :
Parce que la traduction est une compétence qui s’améliore avec la pratique
Parce que les équipes de traduction et de vérification peuvent apprendre beaucoup sur la traduction de la Bible en traduisant Open Bible Stories.
En raison de l'immense valeur que la traduction d'Open Bible Stories apporte à l'église locale.
Après avoir traduit Open Bible Stories, l'Église devra décider s'il serait plus avantageux de commencer où tout a commencé (Genèse, Exode) ou par Jésus (les Évangiles dans le Nouveau Testament). Dans les deux cas, nous vous recommandons de commencer la traduction de la Bible avec des livres de niveau de difficulté 2 et 3 (tels que la Genèse, Ruth ou Marc). Finalement, une fois que l'équipe de traduction a acquis de l’expérience, elle peut alors commencer à traduire les livres de niveau de difficulté 4 et 5 (tels que Jean, Hébreux ou Psaumes). Si l'équipe de traduction suit ce plan, elle fera de meilleures traductions avec beaucoup moins d'erreurs.
Lors du choix d'un texte source, un certain nombre de facteurs doivent être pris en considération :
Il est important que les dirigeants des églises d'un groupe linguistique soient d'accord que le texte source est bon. Les Open Bible Stories sont disponibles dans de nombreuses langues sources sur http://ufw.io/stories/. Il y a aussi des traductions de la Bible qui seront utilisées comme sources de traduction en anglais, et bientôt, dans d'autres langues.
Quand on fait le choix d'un texte source à partir duquel on va faire une traduction, il y a deux raisons pour lesquelles il est important de considérer les questions de droit d'auteur et de licence. Premièrement, si vous traduisez à partir d'une œuvre protégée sans obtenir une autorisation préalable, vous enfreignez la loi car la traduction est un droit réservé au propriétaire du contenu. Dans certains endroits, la violation du droit d'auteur est une infraction pénale et peut être poursuivie par le gouvernement sans le consentement du titulaire du droit d'auteur. Deuxièmement, lorsqu'une traduction est effectuée à partir d'une œuvre protégée par le droit d'auteur, la traduction est la propriété intellectuelle du titulaire du droit d'auteur du texte source. Ils conservent tous les droits de la traduction comme ils le font avec le texte source. Pour ces raisons et d'autres, unfoldingWord ne distribuera que des traductions qui ne violent pas la loi sur le droit d'auteur.
Le contenu créé par unfoldingWord® est rendu public sous Creative Commons Attribution-ShareAlike 4.0 License (CC BY-SA) (voir http://creativecommons.org/licenses/by-sa/4.0/). Nous pensons que cette licence est la plus grande aide pour l'église car elle est suffisamment permissive pour permettre la traduction et d'autres dérivés d'être faits à partir de celles-ci, mais pas si permissive que ces dérivés puissent être bloqués par des licences restrictives. Pour une discussion complète de cette question, lisez 'The Christian Commons' (voir https://www.unfoldingword.org/tcc/) ou 'Letting Go' (voir https://www.unfoldingword.org/letting-go).
Les textes sources peuvent être utilisés s'ils sont dans le domaine public ou s'ils sont disponibles sous l'une des licences suivantes, qui permettent la publication d'œuvres traduites sous une licence Creative Commons Attribution-ShareAlike :
Pour tous les autres travaux en question, veuillez contacter [email protected] .
Note:
Surtout dans un projet ouvert comme unfoldingWord, il est important de garder une trace des versions publiées car les traductions (et les textes sources) peuvent changer fréquemment. La capabilité d'identifier uniquement chaque version nous permet d'être sûrs que le texte est celui dont on parle. Les numéros de version sont aussi importants parce que toutes les traductions devraient être basées sur le dernier texte source. Si le texte source change, la traduction doit éventuellement être mise à jour pour correspondre à la dernière version.
Avant de commencer un projet de traduction, veuillez vous assurer d’avoir la dernière version du texte source.
Les numéros de version ne sont donnés que lorsqu'une œuvre est publiée, pas lorsqu'elle est éditée. L'historique des révisions de unfoldingWord est conservé dans Door43, mais c'est différent d'une œuvre qui reçoit un numéro de version.
Chaque texte source se voit attribuer un nombre entier pour chaque publication (version 1, 2, 3, etc.). La première traduction intermédiaire (GL par exemple) basée sur ce texte source prendra le numéro de version du texte source et ajoutera ".1" (ainsi, une traduction à partir de l'OBS en anglais version 4, deviendra l'OBS version 4.1) . Toute autre traduction basée sur la traduction intermédiaire ajouterait un autre ".1" au numéro de version à partir duquel elle a été créée (par exemple OBS 4.1.1). Une nouvelle version de l'OBS 4.1.1 verra son numéro de version changer à OBS 4.1.2
Veuillez consulter http://ufw.io/versioning pour plus de détails.
Les dernières versions publiées des ressources du catalogue Door43 peuvent être consultées en ligne à l'adresse https://door43.org/en/?user=Door43-Catalog. Le contenu source en anglais d'unfoldingWord® est aussi disponible dans divers formats sur http://www.unfoldingword.org/content/.
Note: translationCore, translationStudio et l'application unfoldingWord® n'ont pas toujours les dernières versions car la mise à jour du contenu ne se fait pas automatiquement (vous pouvez utiliser la fonction de mise à jour du contenu source dans chacune de ces applications pour obtenir les dernières versions).
Lorsqu’une langue est écrite pour la première fois, le traducteur doit décider comment indiquer certaines caractéristiques de toutes les langues écrites.
Les questions ci-dessous permettront à l'ensemble de la communauté de comprendre les décisions préliminaires prises par le traducteur pour écrire la langue locale dans les domaines de la ponctuation, de l'orthographe et de l'écriture des noms dans la Bible. L'équipe de traduction et la communauté doivent se mettre d'accord sur la manière de procéder.
Si votre langue n'a pas encore été écrite, vous devrez créer un alphabet pour pouvoir l'écrire. On doit considérer beaucoup de choses durant la création d'un alphabet. En créer un bon pourrait être une tâche très difficile. Si cela vous semble trop difficile, vous pouvez faire une traduction audio au lieu d'une traduction écrite.
Le but d’un bon alphabet est d’utiliser une lettre pour représenter chaque son différent de votre langue.
Si une langue voisine a déjà un alphabet, et si cette langue a des sons semblables à ceux de votre langue, il pourrait être judicieux d'emprunter simplement son alphabet. Sinon, la meilleure chose à faire est d’emprunter l’alphabet de la langue nationale ou langue Gateway que vous avez apprise à l’école. Mais il est probable que votre langue aura des sons que la langue nationale n'a pas. Il sera donc difficile d'utiliser cet alphabet pour représenter tous les sons de votre langue. Dans ce cas, il est bon de penser à chaque son dans votre langue. Écrivez l’alphabet de la langue nationale sur un morceau de papier de haut en bas. Ensuite, écrivez un mot de votre langue qui commence par le son ou qui contient le son de cette lettre à côté de cette lettre. Soulignez la lettre ou la partie du mot qui fait ce son dans chacun des mots.
Il peut y avoir des lettres dans l’alphabet national que votre langue n’utilise pas. C'est bien. Maintenant, pensez aux sons de ces mots que vous avez eu du mal à écrire, ou aux sons pour lesquels vous n'avez pas pu trouver de lettre. Si le son est semblable à un son pour lequel vous avez trouvé une lettre, vous pouvez peut-être modifier cette lettre pour représenter l'autre son. Par exemple, si vous avez un son représenté par « s » et un son semblable pour lequel il n'y avait pas de lettre, vous pouvez ajouter une marque à la lettre "s" pour représenter le son semblable, tel qu’un "^" ou "~" au-dessus du "s". Si vous trouvez qu'il existe un groupe de sons qui semblent tous avoir le même genre de différence avec les sons de la langue nationale, alors il est bon de modifier ce groupe de lettres de la même manière.
Une fois que vous avez terminé cet exercice et que vous ne trouvez plus de sons dans votre langue, essayez d'écrire une histoire ou quelque chose qui s'est passé récemment. Pendant que vous écrivez, vous allez probablement découvrir des sons auxquels vous n'aviez pas pensé plus tôt. Continuez à modifier les lettres pour pouvoir écrire ces sons. Ajoutez ces sons à la liste que vous avez faite auparavant.
Apportez votre liste de sons à d'autres locuteurs de votre langue qui lisent aussi la langue nationale et voyez ce qu'ils en pensent. Peut-être qu'ils peuvent suggérer une façon de modifier des lettres qui est plus simple ou plus facile à lire. Montrez aussi à ces personnes l'histoire que vous avez écrite et apprenez-leur à la lire en vous référant à votre liste de mots et de sons de lettres. S'ils peuvent apprendre à la lire facilement, alors votre alphabet est bon. Si c'est difficile, alors il pourrait y avoir des parties de l'alphabet qui ont encore besoin de travail pour le rendre plus simple, ou il pourrait y avoir des sons différents qui sont représentés par la même lettre ou des sons pour lesquels vous devez encore trouver des lettres.
Il est bon de continuer à travailler sur cet alphabet avec d'autres locuteurs de votre langue qui sont de bons lecteurs dans la langue nationale. Vous pouvez discuter les différents sons et décider ensemble la meilleure façon de les représenter.
Si la langue nationale utilise un système d'écriture différent de l'alphabet romain, réfléchissez aux différentes marques que vous pourriez utiliser pour modifier les symboles afin qu'ils puissent représenter les sons de votre langue. Il est préférable de marquer les symboles de manière à pouvoir être reproduits sur un ordinateur. Vous pouvez expérimenter avec les systèmes d'écriture dans un logiciel de traitement de texte. Si vous avez besoin d'aide pour créer un clavier, envoyez une demande par e-mail à [email protected]. Lorsque vous utilisez des symboles qui peuvent être tapés sur un clavier d'ordinateur, votre traduction peut être stockée, copiée et distribuée électroniquement. Ensuite, les gens peuvent l'obtenir gratuitement et la lire sur des tablettes ou des téléphones portables.
Ce sont des définitions de mots que nous utilisons pour parler de la façon dont les gens font les sons qui forment des mots, ainsi que des définitions de mots qui font référence à des parties de mots.
Ce sont les sons que les gens font lorsque le flux d'air venant de leurs poumons est interrompue ou limitée par la position de la langue, des dents ou des lèvres. La majorité des lettres de l'alphabet sont des consonnes dont la plupart n'ont qu'un seul son.
Ces sons sont faits par la bouche quand l'air sort de la bouche sans être bloqué par les dents, la langue, ou les lèvres. (En français, les voyelles sont a, e, i, o, u et y.)
Partie d’un mot qui n’a qu’une seule voyelle, avec ou sans consonne environnante. Certains mots n’ont qu’une seule syllabe.
Quelque chose qui est ajouté à un mot et qui en change le sens. Cela pourrait être au début (préfixe), ou à la fin (suffixe), ou dans le corps d’un mot (infixe).
La partie la plus basique d'un mot. La racine est ce qui reste lorsque tous les affixes sont supprimés.
Le plus petit élément d'un mot ou d'une partie d'un mot qui peut être détaché par segmentation et qui a un sens. Par exemple, "syllabe" n’a qu’un segment qui a du sens, donc un seul morphème, tandis que "syllabes" a deux segments qui ont du sens, donc deux morphèmes (syllabe et s). (Le "s" final est un morphème qui signifie pluriel.)
Chaque langue a des sons qui se combinent pour former des syllabes. L’affixe d'un mot ou la racine d'un mot peut avoir une seule syllabe ou plusieurs syllabes. Les sons se combinent pour former des syllabes qui se rejoignent pour former des morphèmes. Les morphèmes travaillent ensemble pour créer des mots qui ont un sens. Il est important de comprendre la façon dont les syllabes sont formées dans votre langue et comment ces syllabes s'influencent les unes les autres afin de pouvoir écrire des règles d'orthographe et pour que les gens puissent apprendre plus facilement à lire votre langue.
Les sons de voyelles sont la partie de base des syllabes. Le français n’a que six voyelles graphiques, "A, E, I, O U, et Y". Mais le Français compte 16 voyelles phonétiques qui sont écrites avec des altérations des lettres ou en utilisant de nouveaux symboles. Les sons des voyelles françaises individuelles peuvent être trouvés dans des mots tels que, dit, dé, dès, patte, pâte, dort, dos, doux, du, deux, sœur, ce, brun, brin, blanc, blond.
Position dans la bouche | Devant | Milieu | Arrièrre |
---|---|---|---|
ARRONDI | (pas arrondi) | (pas arrondi) | (arrondi) |
Langue haute | I “beat” | U “boot” | |
Langue Mid-Haute | I “bit” | U “book” | |
Langue au milieu | E “bait” | U “but” | O “boat” |
Laungue Mid-basse | E “bet” | O “bought” | |
Langue basse | A “bat” | A “body” |
(Chacune de ces voyelles a son propre symbole dans l’alphabet phonétique international.)
Les sons de voyelle forment le milieu de chaque syllabe, et les sons de consonne viennent avant et après les voyelles.
L'articulation est la description de la façon dont l’air passe par la bouche ou le nez pour produire les sons que nous pouvons reconnaître comme parole.
Les points d'articulation sont les endroits le long de la gorge ou de la bouche où l’air est resserré ou son débit est arrêté. Les points communs d'articulation comprennent les lèvres, les dents, la crête dentaire (alvéolaire), le palais (toit dur de la bouche), le voile du palais (toit mou de la bouche), la luette et les cordes vocales (ou glotte).
Les articulateurs sont les parties mobiles de la bouche, en particulier celles qui ralentissent le flux d'air. Les parties de la langue qui peuvent le faire comprennent la racine de la langue, l’arrière, la lame et la pointe. Les lèvres peuvent également ralentir le flux d'air à travers la bouche sans l'utilisation de la langue. Les sons émis avec les lèvres incluent des consonnes telles que "b" et "v".
Le mode d'articulation décrit comment le flux d'air est ralenti. Il peut s'arrêter complètement (comme avec "p" ou "b", qui sont appelés consonnes d'arrêt ou arrêts). Il peut avoir une friction importante (comme "f" ou "v", appelées fricatives), ou n'être que légèrement restreint ( comme "w" ou "y", appelées semi-voyelles, car elles sont presque aussi libres que les voyelles.)
Voisement indique si les cordes vocales vibrent ou non lorsque l'air les traverse. La plupart des voyelles, telles que "a, e, i, o, u" sont des sons voisés. Les consonnes peuvent être voisées (+v), comme " b, d, g, v" ou sans voix (-v) comme "p, t, k, f ". Celles-ci sont faites au même point d'articulation et avec les mêmes articulateurs que les consonnes sonores mentionnées en premier. La seule différence entre "b, d, g, v" et "p, t, k f" est le voisement (+v et -v).
| Points d'Articulation | Lèvres | Dents | Crête | Palais | Voile du palais | Luette | Glotte | | -------- | -------- | -------- | -------- | -------- | -------- | -------- | -------- | | VOISEMENT | -v / +v | -v / +v | -v / +v | -v / +v | -v / +v | -v / +v | -v / +v | | ARTICULATEUR (manière) | | | | | | | | | Lèvres (arrêt) | “p” / “b” | | | | | | | | Lèvre (fricative) | | “f” / “v” | | | | | | | Pointe de la langue (arrêt) | | | “t” / “d” | | | | | | Pointe de la langue (liquide) | | | – / “l” | – / “r” | | | | | Lame de la langue (fricative) | | | “s” / “z” | “sh” / “zh” | | | | | Retour de la langue (arrêt) | | | | | “k” / “g” | | | | Racine de la langue (semi-voyelle) | – / “w” | | | – / “y” | | “h” / – | | | Nez (continuant) | – / “m” | | – / “n” | | “ng” | | |
Nommer les sons peut être fait en rappelant leurs caractéristiques. Le son de « b » est appelé occlusif bilabial voisé (ce qui signifie « deux lèvres »). Le son de « f » est connu sous le nom de fricative labio-dental sourd (ce qui signifie « lèvres-dents »). Le son de « n » est appelé nasal alvéolaire (ce qui signifie « crête ») voisé.
Symboliser les sons peut être fait de deux façons. Soit vous pouvez utiliser le symbole pour ce son trouvé dans l’alphabet phonétique international, ou vous pouvez utiliser des symboles bien connus d’un alphabet connu par le lecteur.
Tableau des consonnes – un tableau des symboles des consonnes est proposé ici sans mentionner les articulateurs. Lorsque vous explorez les sons de votre langue, écoutez la voix et sentez la position de votre langue et de vos lèvres lorsque vous prononcez le son, vous pouvez remplir les tableaux de cet article avec des symboles pour représenter ces sons.
| Points d'Articulation | Lèvres | Dents | Crête | Palais | Voile du palais | Luette | Glotte | | -------- | -------- | -------- | -------- | -------- | -------- | -------- | -------- | | VOISEMENT | -v / +v | -v / +v | -v / +v | -v / +v | -v / +v | -v / +v | -v / +v | | ARTICULATEUR | | | | | | | | | Arrêt | “p” / “b” | | “t” / “d” | | “k” / “g” | | | | Fricatif | | “f” / “v” | “s” / “z” | “sh” / “zg” | | | | | Liquide | | | – / “l” | – / “r” | | | | | (Demi-voyelle) | – / “w” | | | – / “y” | | “h” / – | | | Nasals | – / “m” | | – / “n” | | “ng” | | |
Bien qu'une grande partie de la traduction soit liée à la langue, aux mots et aux phrases, il est également vrai qu'un aspect majeur de la traduction est de nature technique. De la création d'alphabets à la saisie, à la composition, au formatage, à la publication et à la distribution, il y a de nombreux aspects techniques à la traduction. Afin de rendre tout cela possible, certains standards ont été adoptés.
Nous faisons référence au "langage de balisage", qui est un système de marquage de la mise en forme d'un texte qui ne s'affichera pas lors de sa publication, comme mettre des astérisques ou des symboles de soulignement autour des mots qui sont ensuite interprétés par le système de traitement de texte comme une mise en forme.
Depuis de nombreuses années, la forme standard pour la traduction de la Bible a été USFM (qui signifie Unified Standard Format Markers). Nous avons aussi adopté ce standard.
USFM est un type de langage de balisage qui indique à un logiciel comment formater un texte. Par exemple, chapitre un est marqué comme ceci "\c 1". Les marqueurs de versets pourraient être "\v 1", "\v 2", "\v 3", etc. Les paragraphes seront marqués "\p". Il existe beaucoup d'autres marqueurs comme ceux-ci qui ont une signification spécifique. Ainsi, un passage comme Jean 1:1-2 en USFM ressemblera à ceci :
\c 1
\p
\v 1 Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu.
\v 2 Celui-ci, la Parole, était au commencement avec Dieu.
Quand un logiciel capable d'interpréter l'USFM voit cela, il est capable de formater tous les marqueurs de chapitre de la même manière (par exemple, avec un plus grand nombre) et tous les numéros de versets de la même manière (par exemple, avec un petit numéro en indice supérieur).
Les textes de traductions de la Bible doivent être en USFM pour que nous puissions les utiliser!
Pour en savoir plus sur la notation USFM, veuillez lire : http://paratext.org/about/usfm
La plupart des gens ne savent pas écrire en USFM. C'est l'une des raisons pour lesquelles nous avons créé translationStudio (http://ufw.io/ts/). Lorsque vous effectuez une traduction dans translationStudio, ce que vous voyez ressemble beaucoup à un document d'un traitement de texte normal sans aucun langage de balisage. C'est parce que translationStudio formate la traduction de la Bible en USFM en dessous de ce que vous voyez. De cette façon, lorsque vous téléchargez votre traduction depuis translationStudio, ce qui est téléchargé est déjà formaté en USFM et peut être immédiatement publié dans une variété de formats.
Nous recommandons fortement que vous fassiez vos traductions seulement en notation USFM. Mais une traduction est parfois effectuée sans utiliser le balisage USFM. Ce type de traduction peut toujours être utilisé, mais d'abord les marqueurs USFM doivent être ajoutés. Une façon de le faire est de copier et de coller le texte dans translationStudio, puis de placer les marqueurs de versets aux bons endroits. Lorsque cela sera fait, la traduction pourra être exportée en USFM. C'est une tâche très ardue, donc vous devriez faire votre travail de traduction de la Bible depuis le début dans translationStudio ou dans un autre programme qui utilise USFM.
Markdown est un langage de balisage très courant qui est utilisé dans de nombreux endroits sur Internet. L'utilisation de Markdown permet l'emploi très facile du même texte dans une variété de formats (tels que page Web, application mobile, PDF, etc.).
Markdown prend en charge les caractères en gras et en italiques, écrits comme ci-dessous :
Markdown prend en charge **gras** et *italiques*.
Markdown prend aussi en charge les titres et les rubriques de la façon suivante :
# Titre 1
## Titre 2
### Titre 3
Markdown prend également en charge les liens. Les liens s'affichent comme ceci : http://www.unfoldingword.org/ et sont écrits comme ci-dessous :
http://www.unfoldingword.org
La formulation personnalisée des liens est également prise en charge, comme celle-ci :
[uW Website](http://www.unfoldingword.org)
Remarquez que HTML est également valide Markdown. Pour une liste complète de la syntaxe Markdown, veuillez visiter http://ufw.io/md.
La façon la plus simple d’obtenir du contenu balisé avec USFM ou Markdown est en utilisant un éditeur qui est spécifiquement conçu pour le faire. Si un traitement de texte ou un éditeur de texte est utilisé, ces marquages doivent être entrés manuellement.
Remarque : Mettre du texte en gras, en italique ou souligné dans un traitement de texte ne le rend pas gras, italique ou souligné dans un langage de balisage. Ce type de formatage doit être effectué en écrivant les symboles désignés.
Lorsque vous réfléchissez au logiciel à utiliser, veuillez garder à l'esprit que la traduction n'est pas qu'une question de mots ; il y a beaucoup d'aspects techniques qui doivent être pris en considération. Quel que soit le logiciel utilisé, n'oubliez pas que les traductions de la Bible doivent être saisies en USFM, et tout le reste doit être saisi en Markdown.
Suivez ces étapes pour commencer :
Lorsque vous avez terminé le passage ou le chapitre, il est prêt pour la vérification orale par un partenaire. Pour traduire le passage ou le chapitre suivant, recommencez à l'étape 5.
Pour assister les traducteurs à faire la meilleure traduction possible, unfoldingWord a fourni les ressources suivantes : unfoldingWord® Translation Notes, unfoldingWord® Translation Words, et unfoldingWord® Translation Questions.
unfoldingWord® Translation Notes sont des notes culturelles, linguistiques et exégétiques qui aident à décrire et à expliquer le contexte biblique que le traducteur doit connaître pour traduire avec précision. Les unfoldingWord® Translation Notes proposent aussi des différentes manières d'exprimer le même sens. Voir http://ufw.io/tn/.
Les unfoldingWord® Translation Words sont des termes clés trouvés dans Open Bible Stories et dans la Bible qu'il est très important que les traducteurs traduisent correctement. Un petit article a été écrit sur chacun de ces termes clés et des références croisées à d'autres endroits où ce terme est utilisé, soit dans Open Bible Stories, soit dans la Bible, sont fournies. Il s'agit de montrer au traducteur d'autres façons d'utiliser unfoldingWord® Translation Words et de s'assurer que chacun d'eux a été traduit correctement aussi à ces endroits. Voir http://ufw.io/tw/.
Les unfoldingWord® Translation Questions sont des questions de compréhension qui peuvent être utilisées pour vérifier vous-même votre traduction. Si vous pouvez répondre correctement aux questions de traduction de Word® en utilisant uniquement la traduction de la langue cible, il s'agit probablement d'une traduction précise. Les questions de traduction unfoldingWord® fournissent aussi un bon outil à utiliser avec la communauté de la langue cible pour vérifier la traduction. Voir http://ufw.io/tq/.
Une fois que vous avez consulté les notes de traduction unfoldingWord®, les mots de traduction unfoldingWord® et les questions de traduction unfoldingWord®, vous êtes prêts à faire la meilleure traduction.
Soyez certain de consulter les notes de traduction unfoldingWord® et les mots de traduction unfoldingWord® lorsque vous traduisez !
Description – La langue originale est la langue dans laquelle un texte biblique a été écrit pour la première fois. La langue originale du Nouveau Testament est le grec. La langue originale de la plupart de l'Ancien Testament est l'hébreu. Mais l'araméen est la langue originale de certaines parties des livres de Daniel et Ezra. La langue la plus précise à partir de laquelle on peut traduire un passage est toujours la langue d'origine.
Une langue source est une langue à partir de laquelle une traduction est faite. Si un traducteur traduit la Bible à partir des langues originales, alors les langues originales et les langues source de sa traduction sont les mêmes. Mais seulement les personnes qui ont passé de nombreuses années à étudier les langues d'origine les comprennent suffisamment bien pour les utiliser comme langue source. Pour cette raison, la plupart des traducteurs utilisent des bibles qui ont été traduites dans une langue Gateway comme textes de langue source.
Si vous traduisez à partir d'une langue de communication plus large, c'est une bonne idée de demander à quelqu'un qui a étudié les langues d'origine de comparer le sens de la traduction en langue cible avec le sens de la langue d'origine pour s'assurer que le sens est le même. Une autre façon de s'assurer que le sens de la traduction en langue cible est exact est de vérifier la traduction avec l’aide d'outils de traduction qui ont été écrits par des personnes qui connaissent les langues d'origine. Ceux-ci pourraient comprendre des commentaires et des dictionnaires bibliques, ainsi que les unfoldingWord® Translation Notes, unfoldingWord® Translation Words définitions, et unfoldingWord® Translation Questions avec leurs réponses.
Si le traducteur ne comprend pas la langue d'origine, il devra utiliser une langue de communication plus large comme langue source. L’exactitude du sens de la langue source dépend du soin avec lequel le texte a été traduit à partir de l'original. Mais c'est quand même une traduction, donc c'est à un pas de l'original et ce n'est pas tout à fait le même. Dans certains cas, le texte source pourrait avoir été traduit à partir d'une autre source, plutôt que de l'original, mettant la traduction à deux pas de l'original.
Considérez l'exemple ci-dessous. Un traducteur utilise un Nouveau Testament en swahili comme source pour une nouvelle traduction en langue cible. La version particulière de la Bible en swahili qu'il utilise a été traduite de l'anglais - pas directement du grec (la langue originale du NT). Il est donc possible qu'une partie du sens ait changé dans la chaîne de traduction de la langue originale vers la langue cible.
La seule façon de s'assurer que la traduction est aussi précise que possible est de comparer la nouvelle traduction avec les langues d'origine. Si cela n'est pas possible, utilisez l'ULT comme texte source, ainsi que d'autres traductions de la Bible qui ont été traduites à partir des langues originales.
La Bible a été écrite il y a plusieurs centaines d'années par les prophètes et les apôtres de Dieu comme Dieu leur a ordonné de l'écrire. Le peuple d'Israël parlait l’hébreu, donc la plupart des livres de l'Ancien Testament ont été écrits en hébreu. En tant qu'étrangers en Assyrie et à Babylone, ils ont appris à parler l'araméen, de sorte que quelques-unes des dernières parties de l'Ancien Testament ont été écrites en araméen.
Environ 300 ans avant la naissance du Christ, le grec est devenu la langue de communication plus large en Europe et au Moyen-Orient. Beaucoup de gens parlaient le grec comme deuxième langue. En ce temps-là, l'Ancien Testament a été aussi traduit en grec. Au temps de la naissance du Christ, beaucoup de gens dans ces régions du monde parlaient encore le grec comme deuxième langue, et les livres du Nouveau Testament étaient tous écrits en grec.
À l'époque, il n'y avait pas d'imprimantes. Les auteurs écrivaient tous les livres à la main. C’étaient des manuscrits autographes. Les scribes qui copiaient ces manuscrits le faisaient aussi à la main. C'étaient aussi des manuscrits qui étaient extrêmement importants, c'est pourquoi les scribes recevaient une formation spéciale et prenaient grand soin de les copier avec précision.
Pendant des centaines d'années, les scribes (ainsi que d'autres personnes) ont fait des milliers de copies des livres de la Bible. Les manuscrits autographes écrits à l'origine ont tous été perdus ou se sont effondrés. Nous ne les avons donc pas. Mais nous avons beaucoup de copies qui ont été écrites à la main il y a longtemps. Certaines de ces copies ont survécu pendant des centaines, voire des milliers d'années.
La Bible est composée de 66 "livres". Bien qu'ils soient appelés "livres", ils varient considérablement en longueur ; les plus courts ne font qu'une page ou deux. La Bible a deux parties principales. La première partie, écrite en premier, s'appelle l'Ancien Testament. La deuxième partie, écrite plus tard, s'appelle le Nouveau Testament. L'Ancien Testament a 39 livres et le Nouveau Testament a 27 livres. (Certains des livres du Nouveau Testament sont des lettres.)
Chaque livre est divisé en chapitres. La plupart des livres ont plus d’un chapitre, mais Abdias, Philémon, 2 Jean, 3 Jean et Jude ont chacun un seul chapitre. Tous les chapitres sont divisés en versets.
Quand nous voulons faire référence à un verset, nous écrivons d’abord le nom du livre, puis le chapitre, puis le verset. Par exemple, Jean 3:16 signifie le livre de Jean, chapitre 3, verset 16.
Quand nous nous référons à deux versets ou plus qui sont côte à côte, nous mettons une ligne entre eux. Jean 3:16-18 signifie le livre de Jean, chapitre 3, versets 16, 17 et 18.
Quand nous nous référons à des versets qui ne sont pas côte à côte, nous utilisons des virgules pour les séparer. Jean 3:2, 6, 9 signifie le livre de Jean, chapitre 3, versets 2, 6 et 9.
Après les numéros de chapitre et de verset, nous mettons l’abréviation représentant la traduction de la Bible que nous avons utilisée. Dans l’exemple ci-dessous, ULT signifie unfoldingWord® Literal Text.
Dans l'unfoldingWord® Translation Academy, nous utilisons un système pour indiquer d'où viennent des portions d'Écritures. Si le verset entier ou l'ensemble de versets n'est pas affiché, nous l'indiquons avec la lettre "a" ou "b" après le numéro du verset. La lettre "a" indique que le début du verset est affiché mais que la fin du verset ne l'est pas. La lettre "b" indique que le début du verset n'est pas affiché et que la citation de l'Écriture commence quelque part après le début du verset. La citation peut inclure ou omettre tout le reste du verset.
Le texte ci-dessous vient du livre des Juges, chapitre 6, verset 28, mais il ne contient que la première partie du verset. Dans l'unfoldingWord® Translation Academy, nous ne montrons que la partie du verset dont nous voulons parler.
Lorsque les gens de la ville se sont levés de bon matin et ont regardés, l’autel du Baal était démoli. (Juges 6:28a ULT)
Quand les livres de la Bible ont été écrits pour la première fois, il n'y avait pas d’interruptions pour les chapitres et les versets. Celles-ci ont été ajoutées plus tard. Ensuite on a décidé de numéroter les chapitres et les versets pour rendre plus facile de trouver des parties particulières de la Bible. Étant donné que plus d'une personne a fait cela, il y a des différents systèmes de numérotation dans des traductions diverses. Si le système de numérotation dans le GLT est différent du système de numérotation de la bible que vous utilisez, vous devrez probablement utiliser le système de cette bible.
Les personnes qui parlent votre langue pourraient aussi utiliser une bible écrite dans une autre langue. Si cette bible et votre traduction utilisent des numéros de chapitre et de verset différents, il sera difficile pour les gens de savoir de quel verset quelqu’un parle quand ils se réfèrent à un numéro de chapitre et de verset.
14 Mais j'espère vous voir bientôt, et nous parlerons bouche-à-bouche. 15 La paix soit avec vous. Les amis vous saluent. Saluez les amis par leur nom. (3 Jean 1:14-15 ULT)
Puisque la troisième épître de Jean a un seul chapitre, certaines versions ne marquent pas le numéro du chapitre. Dans le ULT et le UST il est marqué comme chapitre I. Aussi, certaines versions ne divisent pas les versets 14 et 15 en deux versets. Alors ils marquent le contenu des deux versets comme verset 14.
Psaume de David, quand il fuyait Absalom, son fils.
1 Yahvé, que mes ennemis sont nombreux ! (Psaumes 3:1a ULT)
Certains des psaumes ont une explication au début. Dans certaines versions, l'explication n'a pas de numéro de verset, comme dans l'ULT et l'UST. Dans d'autres versions, l'explication est le verset 1, et le texte du psaume commence par le verset numéro 2.
Et Darius le Mède reçut le royaume à l'âge de 62 ans environ. (Daniel 5:31b ULT)
Dans certaines versions, c'est le dernier verset de Daniel, chapitre 5. Dans d'autres versions, c'est le premier verset du chapitre 6 de Daniel.
Si les personnes qui parlent votre langue ont une autre Bible qu'elles utilisent, numérotez les chapitres et les versets de la traduction comme leur Bible le fait. Lisez les instructions sur la façon de marquer les versets dans translationStudio.
Si les personnes qui parlent votre langue ont une autre Bible qu'elles utilisent, numérotez les chapitres et les versets de la traduction comme leur Bible le fait.
L’exemple ci-dessous est de 3 Jean 1. Certaines Bibles marquent ce texte comme versets 14 et 15, et d’autres le marquent tous comme verset 14. Vous pouvez marquer les numéros de versets comme le fait votre Bible.
14 Mais j'espère vous voir bientôt, et nous nous parlerons face-à-face. 15 La paix soit avec vous. Les amis vous saluent. Saluez les amis par leur nom. (3 Jean 1:14-15 ULT)
14 Mais j'espère vous voir bientôt, et nous nous parlerons bouche-à-bouche. La paix soit avec vous. Les amis vous saluent. Saluez les amis par leur nom. (3 Jean 1:14)
Ensuite, voilà un exemple tiré du Psaume 3. Certaines bibles ne marquent pas l’explication au début du psaume comme un verset, et d’autres le marquent comme le verset 1. Vous pouvez marquer les numéros de verset comme le fait la Bible en votre langue.
Psaume de David, quand il fuyait Absalom, son fils. 1 Yahvé, que mes ennemis sont nombreux ! Beaucoup se sont soulevés contre moi. 2 Beaucoup disent à mon sujet : « Il n'y a aucune aide pour lui de la part de Dieu ». Selah
1 Psaume de David, quand il fuyait Absalom, son fils.
2 Yahvé, que mes ennemis sont nombreux ! Beaucoup se sont détournés et m’ont attaqué.
3 Beaucoup disent à mon sujet : « Il n'y a aucune aide pour lui de la part de Dieu ». Sélah
Dans le texte littéral en langue Gateway (GLT) et le texte amplifié en langue Gateway (GST) nous utilisons des points elliptiques, des longs tirets, des parenthèses et des indentations pour montrer comment l’information contenue dans le texte est liée à ce qui l’entoure.
Les points de suspension ou ellipse (…) sont utilisés pour montrer que quelqu’un n’a pas terminé une phrase qu’il a commencée ou que l’auteur n’a pas cité tout ce que quelqu’un a dit.
Dans Matthieu 9:3-6, l'ellipse montre que Jésus n’a pas terminé sa phrase aux scribes quand il a tourné son attention vers l’homme paralysé et lui a parlé.
3. Là-dessus, quelques Scribes disaient en eux-mêmes : « Cet homme blasphème ». 4 Mais Jésus connaissant leurs pensées, leur dit : « Pourquoi avez-vous de mauvaises pensées dans vos cœurs ? 5 Car lequel est le plus facile de dire : Tes péchés te sont pardonnés ; ou de dire : Lève-toi, et marche ? 6 Mais, afin que vous sachiez que le Fils de l'homme a l'autorité sur la terre de pardonner les péchés… » « Lève-toi », dit-il au paralytique, « prends ta natte, et va-t’en dans ta maison. » (ULT)
Dans Marc 11:31-33, les points de suspension montrent que soit les chefs religieux n'ont pas fini leur phrase, soit Marc n'a pas fini d'écrire ce qu'ils ont dit.
31 Ils raisonnaient entre eux, disant : « Que devrions-nous dire ? Si nous disons : Du ciel, il dira : Pourquoi donc ne l'avez-vous pas cru ? 32 Mais si nous répondons : Des hommes**…** » Ils craignaient le peuple, car tous tenaient réellement Jean pour un prophète. 33 Alors ils répondirent à Jésus : « Nous ne le savons pas ». Et Jésus leur dit : « Moi non plus, je ne vous dirai pas par quelle autorité je fais ces choses. » (ULT)
Les tirets longs (—) introduisent des informations qui sont immédiatement pertinentes par rapport à ce qui les précède. Par exemple :
40 Alors, de deux hommes qui seront dans un champ, l'un sera pris et l'autre sera laissé derrière. 41 De deux femmes qui seront en train de moudre au moulin, l'une sera prise et l'autre sera laissée. 42 Soyez donc sur vos gardes, car vous ne savez pas à quel jour votre Seigneur viendra. (Matthieu 24:40-42 ULT)
Les parenthèses "( )" indiquent que certaines informations sont soit une explication, soit des informations contextuelles que l'auteur a mises à cet endroit pour aider le lecteur à comprendre le contenu qui l'entoure.
Dans Jean 6:6, Jean a interrompu l'histoire qu'il écrivait pour expliquer que Jésus savait déjà ce qu'il allait faire. C'est mis entre parenthèses.
5 Jésus ayant levé les yeux, et voyant une grande foule de peuple qui venait à lui, dit à Philippe : D'où achèterons-nous des pains, afin que ces gens-ci aient à manger ? 6 (Jésus dit cela pour éprouver Philippe, car lui-même savait ce qu’il allait faire.) 7 Philippe lui répondit : « Deux cents deniers de pain ne leur suffiraient pas, afin que chacun en ait un peu. » (Jean 6:5-7 ULT)
Les parenthèses ci-dessous ne comprennent pas les paroles de Jésus, mais ce que Matthieu disait au lecteur, pour l'alerter au fait que Jésus utilisait des mots auxquels ils auraient besoin de penser et qu'ils devraient interpréter.
15 Donc, quand vous verrez l'abomination qui cause la désolation, et dont le prophète Daniel a parlé, planté dans le lieu saint (que celui qui le lit y fasse attention), 16 alors, que ceux qui seront dans la Judée s'enfuient aux montagnes ; 17 que celui qui sera sur le toit de la maison ne descende pas pour emporter quoi que ce soit de sa maison ; 18 et que celui qui est aux champs ne retourne pas pour emporter ses habits. (Matthieu 24:15-18 ULT)
Une indentation est un retrait par rapport à la position normale du début de la première ligne d’un paragraphe. Cela signifie que la ligne de texte commence plus à droite que les lignes de texte au-dessus et en dessous.
On utilise des indentations pour la poésie et dans certaines listes pour montrer que les lignes indentées font partie de la ligne non indentée au-dessus d'elles. Par exemple :
5 Voici les noms des chefs qui combattront avec vous :
Pour Ruben : Elitsour, fils de Shedéour ;
6 pour Siméon : Sheloumiel, fils de Tsourishaddaï ;
7 pour Juda : Nahshôn, fils d’Amminadab ;
En tant que traducteur, vous pouvez mieux utiliser le GLT et le GST si vous vous souvenez des différences entre le GLT et le GST, et si vous apprenez comment la langue cible peut traiter de la meilleure façon les problèmes que ces différences représentent.
Le GLT essaie de présenter les idées dans le même ordre qu'elles apparaissent dans le texte source.
Le GST essaie de présenter les idées dans un ordre qui est plus naturel en français, ou qui suit l'ordre de la logique ou l'ordre chronologique.
Lorsque vous traduisez, vous devez mettre les idées dans un ordre qui est naturel dans la langue cible. (Voir Ordre des événements.)
1 Paul, serviteur de Jésus-Christ, appelé à être apôtre, mis à part pour annoncer l'Évangile de Dieu,… 7 Cette lettre est adressée à tous ceux qui sont à Rome, les bien-aimés de Dieu. (Romains 1:1,7a GLT)
1 Moi, Paul, qui sers Jésus, le Messie, j’écris cette lettre à tous les croyants de la ville de Rome. (Romains 1:1a GST)
Le GLT montre le style de Paul quand il commence ses lettres. Il n’identifie pas qui sont ses lecteurs jusqu'au verset 7. Mais, le GST suit un style qui est beaucoup plus naturel en français et dans de nombreuses langues aujourd'hui.
Le GLT présente souvent des idées qui impliquent ou supposent d'autres idées qui ne sont pas énoncées. Il est important que le lecteur comprenne cette information implicite.
Le GST rend souvent ces sous-entendus explicites. Le GST fait cela pour vous rappeler que vous devriez peut-être faire la même chose dans votre traduction si vous pensez que votre public aura besoin de cette information pour comprendre le texte.
Lorsque vous traduisez, vous devez décider lesquelles de ces idées implicites seraient comprises par votre public sans être explicitement énoncées. Si votre public comprend ces idées sans les inclure dans le texte, vous n'avez pas besoin de rendre ces idées explicites. N'oubliez pas non plus qu'il est possible d'offenser votre public si vous présentez inutilement des idées implicites qu'il comprendrait de toute façon. (voir Connaissance présumée et information implicite..)
Alors Jésus dit à Simon : Ne crains pas ; désormais tu seras pêcheur d’hommes. (Luc 5:10b GLT)
Mais Jésus dit à Simon : « N'aie pas peur ! Jusqu'à présent vous avez ramassé des poissons, mais désormais vous rassemblerez des hommes pour devenir mes disciples. » (Luke 5:10b GST)
Ici, le GST rappelle au lecteur que le métier de Simon était la pêche. Cela montre clairement la similitude que Jésus faisait entre le travail précédent de Simon et son travail futur. En plus, le GST clarifie pourquoi Jésus a voulu que Simon « attrape des hommes » (GLT), c'est-à-dire qu'il les amène « à devenir des disciples de Jésus » (GST).
Et il vit Jésus, tomba sur son visage, et le pria, disant : «Seigneur, si tu le veux, tu peux me rendre pur » (Luc 5:12b GLT).
Lorsqu'il vit Jésus, il se prosterna devant lui et le supplia : « Seigneur, s'il te plaît, guéris-moi, car tu peux me guérir si tu le veux bien ! (Luc 5:12b GST)
Ici, le GST indique clairement que l'homme qui avait la lèpre n'est pas tombé au sol par accident. Au lieu de cela, il s'est délibérément incliné jusqu'au sol. En outre, le GST indique clairement qu'il demande à Jésus de le guérir. Dans le GLT, il implique seulement cette demande.
Définition – Une action symbolique est quelque chose que quelqu’un fait pour exprimer une certaine idée.
Souvent le GLT présente simplement l’action symbolique sans expliquer ce qu’elle signifie. Mais le GST présente aussi le sens exprimé par l’action symbolique.
Lorsque vous traduisez, vous devez décider si votre public comprendra correctement une action symbolique. Si vous pensez que votre public ne la comprendra pas, vous devez faire comme le GST. (Voir Actes symboliques)
Alors le souverain sacrificateur déchira ses vêtements. (Marc 14:63a GLT)
Quand Jésus a dit cela, le grand prêtre a déchiré son vêtement de dessus en signe de protestation. (Marc 14:63a GST)
Ici, le GST explique que ce n'est pas par accident que le grand prêtre a déchiré son vêtement. Il est clair que ce n'était probablement que son vêtement de dessus qu'il a déchiré, et qu'il l'a fait parce qu'il voulait montrer qu'il était triste ou en colère ou tous les deux.
Parce que le grand prêtre a réellement déchiré son vêtement, le GST doit, bien sûr, dire qu'il l'a fait. Cependant, si une action symbolique n'a jamais pris place, vous n'avez pas à déclarer cette action. Voici un exemple :
Offre-la donc à ton gouverneur! Te recevra-t-il bien, te fera-t-il bon accueil ? (Malachie 1:8b GLT)
Vous n'oseriez pas offrir de tels cadeaux à votre propre gouverneur ! Vous savez qu'il ne les prendrait pas. Vous savez qu'il serait mécontent de vous et ne vous accueillerait pas ! (Malachie 1:8 GSTb)
Ici l'action symbolique "faire bon accueil à quelqu'un", ainsi représentée dans le GLT, n'est présentée que dans son sens dans le GST : « il serait mécontent de vous et ne vous accueillerait pas ». Il peut être présenté de cette manière parce que Malachie ne fait pas référence à un événement réel qui a eu lieu. Il fait seulement référence à l'idée représentée par cet événement.
L'hébreu et le grec bibliques utilisent souvent des formes verbales passives, alors que de nombreux autres langages n'ont pas cette capabilité. Le GLT essaie d'utiliser des formes verbales passives lorsque les langues d'origine les utilisent. Mais, le GST n'utilise généralement pas ces formes verbales passives et en conséquence restructure de nombreuses phrases.
Lorsque vous traduisez, vous devez décider si la langue cible peut présenter des événements ou des états à l'aide d'une expression passive, comme dans les exemples ci-dessous. Si vous ne pouvez pas utiliser une forme verbale passive dans un contexte particulier, vous pouvez trouver dans le GST une manière possible de restructurer la phrase. (Voir Voix active ou passive.)
Car la stupéfaction l'avait saisi, et tous ceux qui étaient avec lui, à cause de la pêche de poissons qu'ils avaient faite; (Luc 5:9 GLT)
Il a dit cela parce qu'il s’étonnait énormément du nombre énorme de poissons qu'ils avaient pêché. Tous les hommes qui étaient avec lui étaient également stupéfiés. (Luc 5:9 GST)
Ici, le GST utilise un verbe dans la voix active, "il s’étonnait énormément", au lieu du verbe du GLT dans la voix passive, "la stupéfaction l'avait saisi".
De grandes foules de gens se rassemblaient pour l’entendre et pour être guéris de leurs maladies. (Luc 5:15b GLT)
Le résultat a été que de grandes foules sont venues à Jésus pour l'entendre enseigner et pour qu'il les guérisse de leurs maladies. (Luc 5:15b GST)
Ici, le GST évite la forme verbale passive du GLT "être guéris". Il le fait en restructurant la phrase et en disant qui est le guérisseur : "pour qu'il [Jésus] les guérisse".
Définition – Le GLT essaye de représenter le plus fidèlement possible les figures de style que l’on trouve dans les textes bibliques.
Et le GST présente souvent le sens de ces idées autrement.
Lorsque vous traduisez, vous devrez décider si les lecteurs de la langue cible comprendront une figure de style avec peu d'effort, avec un certain effort ou pas du tout. S'ils doivent faire un gros effort pour la comprendre, ou s'ils ne la comprennent pas du tout, vous devrez présenter le sens essentiel de la figure de style en utilisant d'autres mots.
Car en tout vous avez été rendus riche en lui, en toute parole et en toute connaissance. (1 Corinthiens 1:5 GLT)
Par exemple, le Messie vous a donné tant de choses. Il vous a aidé avec tout ce que vous dites et tout ce que vous savez. (1 Corinthiens 1:5 GST)
Paul utilise une métaphore de la richesse matérielle, exprimée par le mot "riche". Même s'il explique immédiatement ce qu'il veut dire – "en toute parole et en toute connaissance" – certains lecteurs pourraient ne pas le comprendre. Le GST présente l'idée d'une manière différente, sans utiliser la métaphore de la richesse matérielle. (Voir Métaphores.)
Voici, je vous envoie comme des brebis au milieu des loups ; (Matthieu 10:16a GLT)
Prenez note : Quand je vous enverrai dehors, vous serez sans défense comme des brebis, parmi des gens qui sont aussi dangereux que des loups. (Matthieu 10:16a GST)
Jésus utilise une comparaison qui montre ses apôtres allant aux autres personnes comme des brebis sortant parmi les loups. Certains lecteurs pourraient ne pas comprendre comment les apôtres seraient comme des moutons tandis que les autres seraient comme des loups. Le GST explique que les apôtres seraient sans défense et que leurs ennemis seraient dangereux. (Voir Comparisons.)
Vous êtes séparés de Christ; vous qui cherchez la justification dans la loi, vous êtes déchus de la grâce. (Galates 5:4 GLT)
Si vous vous attendez à ce que Dieu vous déclare bon à ses yeux parce que vous essayez de garder la loi, vous vous êtes séparé du Messie ; Dieu n'agira plus avec bonté envers vous.>
(Galates 5:4 GST)
Paul utilise l'ironie lorsqu'il se réfère à eux comme étant justifiés par la loi. Il leur avait déjà enseigné que personne ne peut être justifié par la loi. Le GLT met le mot justifié entre guillemets pour montrer que Paul ne croyait vraiment pas qu'ils étaient justifiés par la loi. L'UST traduit la même idée en précisant que c'était ce que croyaient les autres. (Voir Irony.)
Le GLT utilise souvent des noms abstraits, des adjectifs et d'autres parties du discours parce qu’il essaie de ressembler étroitement aux textes bibliques. Le GST ne désire pas utiliser de telles expressions abstraites car de nombreux langages ne les utilisent pas.
Lorsque vous traduisez, vous devrez décider comment la langue cible préfère présenter ces idées. (Voir Les noms abstraits.)
Car en tout vous avez été rendus riche en lui, en toute parole et en toute connaissance. (1 Corinthiens 1:5 GLT)
Par exemple, le Messie vous a donné tant de choses. Il vous a aidé avec tout ce que vous dites et tout ce que vous savez. (1 Corinthiens 1:5 GST)
Ici, les expressions « toute parole » et « toute connaissance » dans le GLT sont des expressions abstraites. Un problème avec celles-ci est que les lecteurs pourraient ne pas savoir qui est censé parler et ce qu'ils doivent dire, ou qui fait le savoir et ce qu'ils savent. Le GST répond à ces questions.
En résumé, l'ULT vous aidera à traduire car il vous aide à comprendre dans une large mesure quelle est la forme des textes bibliques originaux. Le GST peut vous aider à traduire parce qu'il vous aide à clarifier le sens du texte GLT. Il peut aussi vous donner les différentes manières de rendre les idées du texte biblique claires dans votre contexte de traduction et de culture.
Il existe deux types de liens dans les Notes de traduction : des liens avec la page d'un sujet de l'Académie de traduction en Gateway langue et des liens avec des mots ou des phrases répétés dans le même livre.
Les sujets de l'Académie de traduction en Gateway langue sont destinés à permettre à n'importe qui, n'importe où, d'apprendre les principes fondamentaux de la traduction de la Bible dans sa propre langue. Ils sont destinés à être très flexibles pour un apprentissage juste à temps dans des formats vidéo mobiles en ligne ou hors ligne.
Chaque Note de traduction suit une phrase du GLT et fournira de l'aide immédiate sur la façon de traduire cette phrase. Parfois, il y aura une déclaration entre parenthèses à la fin de la traduction suggérée qui peut ressembler à ceci : (Voir : Métaphore). Le ou les mots en bleu ou en vert sont des liens vers un sujet de l'Académie de traduction en Gateway langue. Dans la note de traduction, vous pouvez cliquer sur le lien pour en savoir plus.
Il y a plusieurs raisons de lire l’information des sujets de l'Académie de traduction en Gateway langue
Parfois, une phrase est utilisée plusieurs fois dans un livre de la Bible. Dans ce cas, il y aura un lien dans les notes de traduction (le chapitre et les numéros de verset en bleu ou vert sur lesquels vous pouvez cliquer) qui vous ramènera à l'endroit où vous avez déjà traduit cette phrase. Il y a plusieurs raisons pour lesquelles vous voudrez aller à l'endroit où le mot ou la phrase a été traduit auparavant :
Si une traduction que vous avez déjà utilisée pour la même phrase ne satisfait pas un nouveau contexte, vous devrez alors penser à une nouvelle façon de la traduire. Prenez en note et discuter la avec d'autres membres de l'équipe de traduction.
Ces liens vous ramèneront uniquement aux notes du même livre de la bible dans lequel vous travaillez, pas aux notes d'autres livres. (Les liens dans les exemples ci-dessous ne sont pas fonctionnels).
Les notes de traduction sont de brèves explications de mots ou d'expressions du GLT. Ces notes sont conçues pour aider un traducteur à savoir ce que signifie le texte et pour donner des idées sur la façon d'exprimer ce sens dans la langue cible. Dans nos logiciels, le verset actuel du GLT est visible et la partie du verset que la note adresse est surlignée en jaune. Puisque nous ne pouvons pas reproduire le surlignage dans ce texte du TA, nous représenterons le surlignage en italique. Toute partie du verset cité dans la note est en gras. Ci-dessous se trouve un verset du GLT, suivi d'une note typique.
Car pour moi, je sers déjà de libation, et le moment de mon départ approche. (2 Timothée 4:6)
Paul fait référence à sa mort comme à un départ. C'est une manière délicate de faire référence à quelque chose de désagréable. Traduction alternative : "bientôt je vais mourir et je quitterai ce monde" (Voir : https://read.bibletranslationtools.org/u/WA-Catalog/en_tm/translate.html#figs-euphemism)
La plupart des notes sont écrites sous forme de phrases. Après une brève explication, la plupart des notes proposent également une ou plusieurs traductions alternatives. Ce sont des suggestions pour aider le traducteur à exprimer le même sens que celui du mot ou de la phrase surligné dans le GLT, au cas où l'expression dans le GLT n'est pas claire. Après la traduction alternative, la plupart des notes offrent un lien avec l'article de l’académie de traduction qui explique le problème de traduction plus en détail.
Il existe de nombreux types de notes de traduction. Chaque type de note donne l'explication d'une manière différente. La connaissance des types de note aidera le traducteur à prendre des décisions sur la meilleure façon de traduire le texte de la Bible dans sa langue.
Notes avec des définitions – Parfois, vous ne saurez pas ce que signifie un mot dans le GLT. Les notes peuvent fournir une définition ou une description du mot ou de l'expression pour vous aider à comprendre ce que cela signifie.
Notes qui expliquent – Des explications simples sur des mots ou des phrases qui sont destinées à vous aider à comprendre le mot ou la phrase.
Notes qui suggèrent d’autres façons de traduire – Étant donné qu’il y a beaucoup de types différents de ces notes, elles sont expliquées en détail ci-dessous.
Il y a plusieurs types de traductions suggérées.
Notes avec synonymes et phrases équivalentes – Certaines notes de traduction fournissent une suggestion de traduction (Traduction alternative) qui peut remplacer un mot ou une phrase de l'ULT. Ces synonymes et expressions équivalentes peuvent s'intégrer dans la phrase sans en changer le sens et peuvent vous aider à réfléchir à d'autres façons de dire la même chose au cas où le mot ou la phrase du GLT ne semble pas avoir d'équivalent naturel dans votre langue.
Notes avec des traductions alternatives – Une traduction alternative (AT) est une modification proposée de la forme ou du contenu du GLT parce que la langue cible aurait besoin d'une forme différente. La traduction alternative doit être utilisée lorsque la forme ou le contenu du GLT donnera un sens erroné, ou ne sera pas claire ou non naturelle.
Notes qui clarifie la traduction du GLT – Parfois, une note suggérera une traduction alternative du GST, et parfois elle citera le texte du GST comme traduction alternative. Dans ce cas, le texte du GST sera suivi de "(GST)".
Notes qui présentent d’autres sens – Les autres sens font référence à des situations où les érudits de la Bible ont des compréhensions différentes de ce que signifie un mot ou une phrase. Lorsque cela se présente, la note mettra la signification la plus probable en premier.
Notes ayant une signification probable ou possible – Parfois, les spécialistes de la Bible ne savent pas avec certitude ou ne sont pas d'accord sur ce que signifie une expression ou une phrase particulière de la Bible. Certaines raisons comprennent : il y a des différences mineures dans les anciens textes de la Bible, ou un mot peut avoir plus d'un sens ou usage, ou il peut ne pas être clair à quoi un mot (comme un pronom) fait référence. Dans ce cas, la note donnera le sens le plus probable ou plusieurs sens possibles avec le sens le plus probable en premier.
Notes qui identifient les figures de style – Lorsqu'il y a une figure de style dans le texte GLT, les notes fourniront une explication sur la façon de traduire cette figure de style. Parfois, une traduction alternative est fournie. Il y aura aussi un lien vers des informations supplémentaires et des stratégies de traduction pour ce type de figure de style.
Notes qui identifient les citations indirectes et directes – Il y a deux sortes de citations : la citation directe et la citation indirecte. Quand il traduit une citation, le traducteur doit décider s'il va la traduire en citation directe ou en citation indirecte. Ces notes alertent le traducteur du choix à faire.
Notes pour les phrases longues – Parfois, il y a des notes pour une phrase complète et des notes séparées pour des parties de cette phrase. Dans ce cas, la plus grande phrase est expliquée en premier, et ses parties ensuite. De cette façon, les notes peuvent donner des suggestions de traduction ou des explications pour l’ensemble ainsi que pour chaque partie de la phrase.
Parfois, en haut de la liste des notes, il y a des notes qui commencent par « Déclaration de liaison » ou « Informations générales ».
Une déclaration de liaison indique comment un fragment de texte est lié aux fragments qui l'ont précédé. Voici quelques types d'informations qui peuvent être révélés dans des déclarations de liaison :
Une note d'information générale expose des problèmes dans un fragment de texte qui couvre plus d'une phrase. Voici quelques types d'informations qui apparaissent dans une note d'information générale :
Les deux types de notes vous aideront à mieux comprendre le passage et à être conscient des problèmes que vous pourriez avoir besoin de résoudre dans la traduction.
1 Il arriva que lorsque Jésus eut fini d'instruire ses douze disciples, il partît de là pour enseigner et prêcher dans leurs villes. 2 Alors, lorsque Jean apprit dans la prison les actes du Christ, il envoya un message par ses disciples 3 et lui dit : « Es-tu celui qui doit venir, ou devons-nous en chercher un autre ? » (Matthew 11:1-3 GLT)
1 Il arriva que lorsque Jésus eut fini d'instruire ses douze disciples, il partît de là pour enseigner et prêcher dans leurs villes. 2 Alors, lorsque Jean apprit dans la prison les actes du Christ, il envoya un message par ses disciples 3 et lui dit : « Es-tu celui qui vient, ou y a-t-il une autre personne que nous devons chercher ? » (Matthew 11:1-3 ULT)
Informations générales : C’est le début d’une nouvelle partie de l’histoire où l’auteur raconte comment Jésus a répondu aux disciples de Jean-Baptiste. (Voir : Introduction of New Event)
Cette note vous avertit que vous êtes au début d'une nouvelle partie d'une histoire et vous donne un lien vers une page qui en dit plus sur les nouveaux événements et les problèmes concernant leur traduction.
17 Car il était de notre nombre, et il avait eu sa part à ce ministère. 18 Mais, en effet, cet homme acheta un champ avec les gains de sa méchanceté, et il tomba la tête la première, et son ventre s'ouvrit, et toutes ses parties intérieures se déversèrent. 19 La chose a été si connue de tous les habitants de Jérusalem que ce champ a été appelé dans leur langue Hakeldama, c’est-à-dire, champ du sang. (Actes 1:17-19 GLT)
Déclaration de liaison : Pierre continue le discours aux croyants qu’il a commencé dans Actes 1:16.
Cette note vous dit que c’est encore Pierre qui parle dans le verset 17 donc vous pouvez marquer cela correctement dans votre langue.
20 Alors Isaïe parle très hardiment hardi quand il dit : « J'ai été trouvé par ceux qui ne me cherchaient pas. Je me suis manifesté à ceux qui ne m'ont pas demandé. » 21 Mais à Israël il dit : « Tout le jour j'ai tendu mes mains à un peuple désobéissant et entêté. » (Romains 10:20-21 ULT)
Informations générales : Ici, les mots « je », « moi » et « mon » se réfèrent à Dieu.
Cette note vous permet de savoir à qui se réfèrent les pronoms. Vous devrez peut-être ajouter quelque chose pour que les lecteurs sachent qu'Isaïe ne parle pas pour lui-même, mais cite ce que Dieu a dit.
26 Alors, un ange de l'Éternel parla à Philippe, en disant : « Lève-toi et va vers le sud, sur la route qui descend de Jérusalem à Gaza ». (C'est dans un désert.) 27 Alors il se leva et partit. Or, il y avait un homme d'Éthiopie, un eunuque de grande autorité sous Candace, reine des Éthiopiens. Il était en charge de tout son trésor. Il était venu à Jérusalem pour adorer. 28 Il revenait, assis sur son char, et lisait le prophète Isaïe. (Actes 8:26-28 ULT)
Informations générales : C'est le début de la partie de l'histoire de Philippe et l'homme d'Éthiopie. Le verset 27 donne des informations générales sur l'homme d'Éthiopie. (Voir : Informations générales)
Cette note vous avertit du début d'une nouvelle partie d'une histoire et de certaines informations contextuelles afin que vous puissiez être conscients de ces choses et utiliser les manières de raconter ces choses dans votre langue. La note comprend un lien vers la page sur les informations générales afin que vous puissiez en savoir plus sur la façon de traduire ce type d'informations.
Parfois, vous ne saurez pas ce que signifie un mot dans le GLT. Les notes pourraient fournir une définition ou une description du mot qui vous aidera à le comprendre.
C’est comme des enfants assis sur le marché, qui s’interpellent et disent : « Nous avons joué de la flûte pour vous. » (Matthieu 11:16b-17a GLT)
le marché, un grand espace en plein air où les gens viennent vendre leurs marchandises flûte instrument de musique à vent formé d'un tube long et creux percé de plusieurs trous qui se joue en soufflant de l'air à une extrémité
Voyez, ceux qui portent des vêtements coûteux et qui vivent dans le luxe se trouvent dans les palais des rois. (Luc 7:25b GLT)
les palais des rois, les grandes maisons très chères dans lesquelles vivent les rois
Voir Traduction des mots ou expressions inconnus pour plus d’informations sur la traduction de mots ou de phrases qui ne sont pas connus dans votre langue.
Lorsque vous ne savez pas ce que signifie un mot ou une phrase dans le GLT, et il est aussi utilisé dans l'UST, vous pouvez trouver une explication dans les notes de traduction. Ces explications sont destinées à vous aider à comprendre le sens afin que vous puissiez traduire correctement le texte de la Bible. Ne traduisez pas les explications dans votre Bible, elles sont uniquement destinées à vous aider.
Les pêcheurs s’en étaient sortis et lavaient leurs filets. (Luc 5:2b GLT)
**lavaient leurs filets,**ils nettoyaient leurs filets de pêche afin de les utiliser à nouveau pour attraper du poisson.
Si vous ne saviez pas que les pêcheurs utilisent des filets pour attraper du poisson, vous pourriez vous demander pourquoi les pêcheurs nettoyaient leurs filets. Cette explication peut vous aider à choisir de bons mots pour "lavaient" et "filets".
Et ils signalaient à leurs partenaires dans l’autre bateau (Luc 5:7a GLT)
signalaient, ils étaient trop loin du rivage pour appeler, alors ils ont fait des gestes, probablement en agitant les bras.
Cette note peut vous aider à comprendre quel genre de signal les gens ont fait. C'était une action que les gens pourraient voir de loin. Cela vous aidera à choisir un bon mot ou une bonne phrase pour "signalaient".
Il sera rempli du Saint-Esprit, même du sein de sa mère. (Luc 1:15b GLT)
même du sein de sa mère, Le mot "même" indique ici qu'il s'agit d'une nouvelle particulièrement surprenante. Les gens avaient été remplis du Saint-Esprit auparavant, mais personne n'avait jamais entendu parler d'un bébé à naître qui est rempli du Saint-Esprit.
Cette note peut vous aider à comprendre ce que signifie le mot "même" dans cette phrase afin que vous puissiez trouver un moyen de montrer à quel point c'était surprenant.
Lorsqu'un mot ou une phrase du GLT ne semble pas avoir d'équivalent naturel dans votre langue, ce genre de note de traduction (synonymes et phrases équivalentes) peut vous aider à trouver d'autres façons de dire la même chose en fournissant une suggestion de traduction (Traduction alternative). Ces traductions alternatives peuvent être insérées dans la phrase du GLT sans en changer le sens.
Préparez le chemin du Seigneur, (Luc 3:4b GLT)
le chemin – “la voie” or “la route”
Dans cet exemple, les mots "la voie" ou "la route" peuvent remplacer le mot "le chemin" trouvé dans le GLT. Vous pouvez décider s'il est naturel de dire "chemin", "voie" ou "route" dans votre langue.
De même, les diacres doivent dignes, sans duplicité. (1 Timothée 3:8a GLT)
De même, les diacres, "De la même façon, les diacres", "Les diacres, comme les dirigeants"
Dans cet exemple, les mots "De la même manière, les diacres" ou "Les diacres, comme les dirigeants" peuvent remplacer les mots "De même, les diacres" dans le GLT. Vous, en tant que traducteur, pouvez décider ce qui est naturel pour votre langue.
Une traduction alternative est un moyen de changer la forme du GLT lorsque la forme ou le contenu du GLT donnerait un sens erroné, ou serait imprécis ou pas naturel.
Par exemple, la traduction alternative suggérée pourrait énoncer clairement des informations implicites, changer la voix passive en voix active ou reformuler les questions rhétoriques en déclarations. Ces Notes expliquent souvent pourquoi il y a une traduction alternative et elles ont un lien vers une page qui explique le sujet.
Voici quelques exemples de traductions alternatives :
Clarifier l’information implicite
C'est la loi des Mèdes et des Perses, qu'aucun décret ou loi que le roi a rendu ne peut être modifié. (Daniel 6:15b GLT)
aucun décret… ne peut être modifié Une phrase supplémentaire peut être ajoutée ici pour faciliter la compréhension. Traduction alternative : "aucun décret… ne peut être modifié. Donc ils doivent jeter Daniel dans la fosse aux lions." (Voir : Explicite)
La phrase supplémentaire montre que l’orateur voulait que le roi se rappelle de sa déclaration que les décrets et les lois du roi ne peuvent pas être changés. Dans la traduction, vous (le traducteur) devrez peut-être énoncer clairement certaines choses que le locuteur ou l’auteur original a laissées non déclarées ou implicites.
De la voix passive à la voix active
À celui qui blasphème contre le Saint-Esprit, il ne sera pas pardonné. (Luc 12:10b GLT)
il ne sera pas pardonné Cela peut être exprimé par un verbe actif. Autre traduction : "Dieu ne lui pardonnera pas". On peut aussi l'exprimer de manière positive en utilisant un verbe qui signifie le contraire de "pardonner". Traduction alternative : "Dieu le considérera coupable pour toujours" (Voir: Active Passive)
Cette note fournit un exemple de la façon de traduire une phrase passive si la langue des traducteurs n’utilise pas de phrases passives.
Question de rhétorique
Saul, Saul, pourquoi me persécutes-tu ? (Actes 9:4b ULT)
pourquoi me persécutes-tu ? – Cette question rhétorique communique une réprimande à Saul. Dans certaines langues, une déclaration serait plus naturelle (traduction alternative) : "Vous me persécutez !" ou une commande pourrait être plus naturelle (AT) : "Arrêtez de me persécuter !" (Voir: Questions de rhétorique)
Ici, la traduction suggérée fournit une autre façon de traduire la question rhétorique si votre langue n'utilise pas cette forme de question rhétorique pour réprimander quelqu'un.
Parfois, une note suggère une traduction du GST. Dans ce cas, le texte du GST sera suivi de "(GST)".
Celui qui est assis dans les cieux se moquera d'eux. (Psaumes 2:4a GLT)
Mais celui qui s'assied sur son trône dans les cieux se moque d'eux. (Psaumes 2:4a GST)
La note pour ce verset dit :
est assis dans les cieux, ici, est assis signifie régner. On peut déclarer clairement sur quoi il est assis. Traduction alternative : "il règne dans les cieux" ou "il est assis sur son trône dans les cieux". (GST) (Voir Métonymie)
Deux traductions sont suggérées pour l'expression "est assis dans les cieux". La première exprime clairement ce que l'expression "est assis dans les cieux" signifie. La seconde présente l'idée de gouverner en affirmant clairement qu'il est assis sur son « trône ». Cette suggestion vient du GST.
Et il a vu Jésus, il est tombé sur sa face, et l'a prié. (Luc 5:12b GLT)
Quand il vit Jésus, il se prosterna à terre. (Luc 5:12b GST)
La note pour ce verset dit :
il se prosterna à terre, "il s’agenouilla et toucha le sol avec son visage" ou "il se prosterna jusqu’au sol" (GST)
Ici, les mots du GST sont fournis comme une traduction alternative.
Les sens alternatifs font référence à des situations où les érudits de la Bible ont des compréhensions différentes de la signification d'un mot ou d'une expression.
La note aura le texte tiré du GLT suivi d'une explication commençant par la phrase "Les significations possibles sont". Les significations sont numérotées, et la première est celle que les érudits de la Bible considèrent comme la plus susceptible d'être correcte. Si un sens est donné de manière à pouvoir être utilisé comme traduction, il sera entouré de guillemets.
Vous, (le traducteur) devez décider lequel de ces sens alternatifs devrait être traduit. Vous pouvez choisir le premier sens, ou ils peuvent choisir l'un des autres sens qui vient d’une version de la Bible que les membres de leur communauté utilisent et respectent.
Mais prenez un petit nombre de cheveux et attachez-les dans les plis de votre robe. (Ezekiel 5:3 ULT)
les plis de votre robe, les significations possibles sont : (1) “le tissu sur vos bras” (vos manches) (GST) ou (2) “la fin du tissu sur votre robe”, “votre ourlet” ou (3) le pli dans le vêtement où il est mis dans la ceinture.
Cette note a le texte du GLT suivi de trois significations possibles. L'expression traduite par "les plis de votre robe" fait référence aux parties amples de la robe. La plupart des érudits pensent que cela se réfère aux manches, mais cela pourrait aussi se référer à la partie ample en bas ou encore aux plis au milieu, autour de la ceinture.
Mais quand Simon Pierre le vit, il tomba aux genoux de Jésus. (Luc 5:8a GLT)
tomba aux genoux de Jésus, significations possibles sont (1) “s’est agenouillé devant Jésus” ou (2) “se prosterna aux pieds de Jésus” ou (3) “s’allongea sur le sol aux pieds de Jésus”. Pierre n’est pas tombé accidentellement. Il l’a fait en signe d’humilité et de respect pour Jésus.
Cette note explique ce que "tomba aux genoux de Jésus" pourrait signifier. Le premier sens est probablement correct, mais les autres sens sont également possibles. Si votre langage n'a pas d'expression générale qui pourrait décrire diverses actions comme celles-ci, vous devrez peut-être choisir l'une de ces possibilités qui décrivent plus précisément ce que Simon Peter a fait. Il est aussi utile de réfléchir à la raison pour laquelle Simon Peter a fait cela et au type d'action qui communiquerait la même attitude d'humilité et de respect dans votre culture.
Parfois les érudits de la Bible ne savent pas avec certitude, ou ne sont pas d’accord au sujet de ce qu’un mot ou une phrase particulière signifie dans la Bible. Les raisons en sont les suivantes :
Lorsque de nombreux érudits disent qu'un mot ou une phrase signifie une chose, et beaucoup d'autres disent qu'il signifie d'autres choses, nous choisissons de donner les significations les plus courantes. Les notes pour ces situations commencent par "les significations probables sont", puis donnent une liste numérotée. Nous vous recommandons d'utiliser le premier sens donné. Cependant, si les membres de votre communauté ont accès à une autre Bible qui utilise l'un des autres sens probables, vous pouvez décider d'utiliser ce sens.
Mais quand il vit cela, il tomba aux genoux de Jésus disant : « Seigneur, éloigne-toi de moi, car je suis un homme pécheur. » (Luc 5:8 GLT)
tomba aux genoux de Jésus Les significations possibles sont : (1) "agenouillé devant Jésus" ou (2) "incliné aux pieds de Jésus" ou (3) "couché sur le sol aux pieds de Jésus". Pierre n’est pas tombé accidentellement. Il l’a fait en signe d’humilité et de respect pour Jésus.
(1) Traduisez-le de telle sorte que le lecteur puisse comprendre l’un ou l’autre sens comme une possibilité.
(2) S’il n’est pas possible de le faire dans votre langue, choisissez un sens et traduisez-le.
(3) Si ne pas choisir un sens rend la compréhension du passage en général difficile pour les lecteurs, alors choisissez un sens et faites la traduction avec ce sens.
Les figures de style sont des façons de dire quelque chose en utilisant des mots de manière non littérale. C'est-à-dire que le sens d'une figure de style n'est pas le même que le sens direct de ses mots. Il y a beaucoup de types de figures de style.
Dans les Notes de traduction, vous trouverez une explication du sens d'une figure de style située dans un passage. Quand une traduction alternative est fournie, elle est marquée comme "Traduction alternative". Vous trouverez aussi un lien vers une page unfoldingWord®Translation Academy (UTA) qui donne des informations supplémentaires et des stratégies de traduction pour le type de figure de style situé dans le passage.
Afin de traduire le sens d’une figure de style, vous devez reconnaître la figure de style et de savoir ce qu'elle signifie dans la langue source. Ensuite, vous pouvez choisir soit une figure de style équivalente ou un moyen direct de communiquer ce même sens dans la langue cible.
Remarque : Lorsque vous regardez une note de traduction, vous pouvez cliquer sur le lien pour en savoir plus au sujet des figures de style et des stratégies générales. Cependant, les liens vers les articles UTA dans les exemples ci-dessous ne sont pas fonctionnels.
Beaucoup viendront en mon nom et diront : « C'est moi ». Et ils séduiront beaucoup. (Marc 13:6 GLT)
En mon nom, Les significations possibles sont (traductions alternatives :) (1) "usurper mon autorité" ou (2) "prétendre que Dieu les a envoyés". (Voir : Métonymie et Idiome)
La figure de style dans cette note s'appelle une métonymie. L'expression "en mon nom" ne fait pas référence au nom du locuteur (Jésus), mais à sa personne et à son autorité. (Ainsi, dans ce contexte, le mot "nom" est une métonymie pour les idées de "personne/autorité".) La note de traduction explique la métonymie dans ce passage en donnant deux traductions alternatives. Après cela, il y a un lien vers la page UTA sur la métonymie. Cliquez sur le lien pour en savoir plus sur la métonymie et les stratégies générales de traduction des métonymies. Étant donné que cette phrase est aussi un idiome courant, la note comprend un lien vers la page UTA qui explique les idiomes.
« Race de vipères, qui vous a avertit de fuir la colère qui vient ? » (Luc 3:7b GLT)
Race de vipères, dans cette métaphore, Jean compare la foule aux vipères, qui sont des serpents mortels et dangereux représentant le mal. Traduction alternative : "vous, méchants serpents venimeux" ou "les gens doivent rester loin de vous, tout comme ils évitent les serpents venimeux" (Voir : Métaphore)
La figure de style dans cette note est appelée une métaphore. La note explique la métaphore et donne deux traductions alternatives. Ensuite, il y a un lien vers la page UTA au sujet des métaphores.
Il existe deux types de citations : la citation directe et la citation indirecte. Lors de la traduction d’une citation, les traducteurs doivent décider s’il faut la traduire sous forme de citation directe ou indirecte. (Voir Citations directes et indirectes.)
Lorsqu'il y a une citation directe ou indirecte dans le GLT, le traducteur pourrait la traduire en type de citation opposé. La note de traduction peut commencer par : "Cela peut être traduit comme une citation directe" ou "cela peut être traduit comme une citation indirecte" et elle sera suivie de ce type de citation. Ensuite suit un lien vers la page d'information intitulée « Citations directes et indirectes » qui explique les deux types de citations.
Lorsqu'une citation contient une autre citation, une note de traduction sera fournie car celles-ci peuvent prêter à confusion. Dans certaines langues, il peut être plus naturel de traduire l'une de ces citations avec une citation directe et l'autre citation avec une citation indirecte. La note se terminera par un lien vers la page d'information appelée “Citations à l'intérieur de citations.”
Il lui ordonna de n’en parler à personne. (Luc 5:14a GLT)
de n’en parler à personne Cela peut être traduit par une citation directe : « Ne le dites à personne. » Il y a des informations implicites qui peuvent également être énoncées explicitement (Traduction alternative) : « Ne dites à personne que vous avez été guéri. » (Voir : Citations directes et indirectes et Ellipse)
Ici, la note de traduction montre comment changer la citation indirecte en une citation directe pour la rendre plus claire ou plus naturelle dans la langue cible.
À l’époque de la moisson, je dirai aux moissonneurs : « Arrachez d’abord les mauvaises herbes, et liez-les en gerbes pour les brûler, mais amassez le blé dans mon grenier. » (Matthieu 13:30 GLT)
Je dirai aux moissonneurs : « Arrachez d’abord les mauvaises herbes, et liez-les en gerbes pour les brûler, mais amassez le blé dans mon grenier. Vous pouvez traduire cela comme une citation indirecte : "Je dirai aux moissonneurs de ramasser d'abord les mauvaises herbes et de les attacher en bottes pour les brûler, mais de ramasser le blé dans ma grange." (Voir: Citations directes et indirectes)
Ici, la note de traduction montre comment changer la citation directe en une citation indirecte, pour la rendre plus claire ou plus naturelle dans la langue cible. N'utilisez pas de guillemets autour des guillemets indirects. Ils ont été utilisés ici uniquement pour indiquer clairement ce que vous pourriez dire en tant que citation indirecte.
Quand il y a une note de traduction pour une phrase et des notes de traduction séparées pour certaines parties de cette phrase, la phrase est expliquée en premier, et ses parties ensuite.
Mais c'est dans la mesure de ton endurcissement et de ton cœur impénitent que tu t'accumules la colère pour le jour de la colère. (Romains 2:5a GLT)
Mais c'est dans la mesure de ton endurcissement et de ton cœur impénitent, Paul utilise une métaphore pour comparer une personne qui refuse d'obéir à Dieu à quelque chose de dur, comme une pierre. Il utilise également la métonymie "cœur" pour représenter la personne entière. Traduction alternative : "c’est parce que vous refusez d’écouter et de vous repentir" (Voir : Métaphore et Métonymie) endurcissement et cœur impénitent, l'expression "cœur impénitent" explique le mot "endurcissement" (Voir : Doublet)
Dans cet exemple, la première note explique la métaphore et la métonymie de la phrase la plus longue en entier, et la seconde note explique le doublet dans une partie de la phrase.
En tant que traducteur, vous devez faire de votre mieux pour vous assurer que chaque passage biblique que vous traduisez a le sens que son auteur voulait communiquer. Pour achever cela, vous devrez étudier les aides à la traduction préparées par des spécialistes de la Bible, y compris la ressource unfoldingWord® Translation Words.
Pour utiliser les mots de traduction unfoldingWord®, procédez comme suit :
Une fois que vous avez trouvé une bonne traduction pour un terme, vous devriez l'utiliser de manière cohérente tout au long de la traduction. Si vous trouvez un endroit où cette traduction ne convient pas, répétez le processus. Il se peut qu'un mot ayant une signification semblable convienne mieux au nouveau contexte. Notez les mots que vous utilisez pour traduire chaque terme et mettez-les à la disposition de tous les membres de l'équipe de traduction pour les aider à savoir quels mots ils doivent utiliser.
Parfois, un mot fait référence à une chose ou à une coutume inconnue dans la langue cible. Les solutions possibles sont d'utiliser une phrase descriptive, de substituer quelque chose de semblable, d'utiliser un mot emprunté d'une autre langue, d'utiliser un mot plus général ou d'utiliser des mots plus spécifiques. Voir l’article sur Traduire l'inconnu pour plus d'informations.
Les mots qui font référence aux coutumes et croyances religieuses juives et chrétiennes sont une sorte d'"idée inconnue". D'autres idées inconnues ordinaires sont :
Les noms des lieux, tels que :
Titres des personnes qui occupent un poste, tels que :
Concepts bibliques clés, tels que :
Remarquez que ce sont tous des noms, mais ils représentent des événements, donc ils peuvent être traduits par des clauses verbales (action).
Il vous sera probablement utile de discuter les définitions de ces mots de traduction du GLT avec d'autres membres de l'équipe de traduction ou des personnes de votre église et de votre village afin de découvrir la meilleure façon de les traduire.
En tant que traducteur, vous devez faire de votre mieux pour vous assurer que chaque passage biblique que vous traduisez a le sens que son auteur voulait communiquer. Il vous sera donc essentiel d'étudier les aides à la traduction préparées par des spécialistes de la Bible, y compris les questions de traduction.
Les questions de traduction (tQ) posent des questions basées sur le contenu du GLT, mais elles peuvent être utilisées pour vérifier n'importe quelle traduction de la Bible. Ce contenu ne devrait pas changer même quand il est traduit dans différentes langues. Cette ressource (tQ) suggère une réponse pour chaque question. Vous pouvez utiliser ces séries de questions et réponses pour vérifier l'exactitude de votre traduction personnellement, avec d’autres traducteurs et aussi avec les membres de la communauté linguistique.
L'utilisation de tQ lors des réunions de vérification de la traduction aidera le traducteur à savoir si la traduction dans la langue cible communique clairement le sens des textes traduits. Si les membres de la communauté ne peuvent pas répondre correctement aux questions après avoir entendu la traduction d’un texte biblique, alors la traduction du texte lié aux questions n'est pas claire ou précise et doit être améliorée.
Pour faire une autovérification en tant que traducteur, veuillez consulter le Manuel de langage Gateway.
Pour utiliser les tQ pour conduire une réunion de vérification avec les membres de la communauté, veuillez consulter le Manuel de langage Gateway.
Il y a des milliers d'années, des gens ont écrit les livres de la Bible. D'autres personnes les ont ensuite copiés à la main et les ont traduits. Ils ont fait des milliers de copies très soigneusement au fil des ans. Cependant, les gens qui les ont examinés plus tard ont vu qu'il y avait de petites différences entre eux. Des copieurs ont accidentellement omis des mots, et d’autres ont confondu un mot avec un autre qui lui ressemblait. Parfois, ils ajoutaient des mots ou même des phrases entières, soit par accident, soit parce qu'ils voulaient expliquer quelque chose. Les Bibles modernes sont des traductions de ces anciennes copies. Certaines Bibles modernes ont des phrases qui ont été ajoutées. Dans le ULT, ces phrases ajoutées sont généralement écrites dans des notes de bas de page.
Les érudits de la Bible ont lu de nombreux anciens exemplaires et les ont comparés les uns avec les autres. Pour chaque endroit de la Bible où il y avait une différence, ils sont arrivés à comprendre quelles formulations sont probablement correctes. Les traducteurs de l'ULT ont basé l'ULT sur des formulations qui, selon les érudits, sont probablement correctes. Étant donné que les personnes qui utilisent l'ULT peuvent avoir accès à des Bibles basées sur d'autres copies, les traducteurs de l'ULT ont parfois inclus des informations sur certaines des différences entre elles, soit dans les notes de bas de page de l'ULT, soit dans les notes de traduction.
Les traducteurs sont encouragés à traduire le texte de l'ULT et à écrire les phrases ajoutées dans les notes de bas de page, comme cela se fait dans l'ULT. Cependant, si l'église locale veut vraiment que ces phrases soient incluses dans le texte principal, les traducteurs peuvent les mettre dans le texte et inclure une note de bas de page à leur sujet.
Matthieu 18:10-11 ULT a une note de bas de page concernant le verset 11.
10 Veillez à ne pas mépriser un de ces petits. Car je vous dis qu’au ciel leurs anges regardent toujours la face de mon Père qui est dans les cieux. 11 [1]
[1] Plusieurs autorités, certaines anciennes, ajoutent le verset 11 : Car le Fils de l’Homme est venu pour sauver ce qui a été perdu.
Jean 7:53-8:11 n'est pas dans les meilleurs manuscrits les plus anciens. Il a été inclus dans l'ULT, mais il est délimité par des crochets ([ ]) au début et à la fin, et il y a une note de bas de page après le verset 11.
53 [Puis chacun rentra chez lui… 11 Elle dit : « Personne, Seigneur. » Jésus a dit : « Moi non plus, je ne te condamne pas. Va et ne pèche plus. »] [2]
[2] Certains manuscrits anciens comprennent Jean 7:53-8:11
Lorsqu’il existe une variante textuelle, vous pouvez choisir de suivre le GLT ou une autre version à laquelle vous avez accès.
(1) Traduisez les versets tels qu’ils sont dans le GLT et ajoutez la note de bas de page que le GLT fournit.
(2) Traduisez les versets comme le fait une autre version, et changez la note de bas de page pour qu’elle corresponde à cette situation.
Les stratégies de traduction sont appliquées à Marc 7:14-16 GLT, qui a une note de bas de page sur le verset 16.
14 Il appela de nouveau la foule et leur dit : « Écoutez-moi, vous tous, et comprenez. 15 Il n'y a rien de l'extérieur de l'homme qui puisse le souiller quand cela entre en lui. Mais les choses qui sortent de l'homme sont les choses qui souillent l'homme. » 16 [1]
[1] Certains anciens manuscrits comprennent le verset 16. Si quelqu'un a des oreilles pour entendre, qu'il entende.
(1) Traduisez les versets tels qu’ils sont dans le GLT et ajoutez la note de bas de page que le GLT fournit.
14 Il appela de nouveau la foule et leur dit : « Écoutez-moi, vous tous, et comprenez. 15 Il n'y a rien de l'extérieur de l'homme qui puisse le souiller quand cela entre en lui. Mais les choses qui sortent de l'homme sont les choses qui souillent l'homme. » 16 [1]
[1] Certains anciens manuscrits comprennent le verset 16. Si quelqu'un a des oreilles pour entendre, qu'il entende.
(2) Traduisez les versets comme le fait une autre version, et changez la note de bas de page pour qu’elle corresponde à cette situation.
14 Il appela de nouveau la foule et leur dit : « Écoutez-moi, vous tous, et comprenez. 15 Il n'y a rien de l'extérieur de l'homme qui puisse le souiller quand cela entre en lui. Mais les choses qui sortent de l'homme sont les choses qui souillent l'homme. 16 Si quelqu'un a des oreilles pour entendre, qu'il entende. » [1]
[1] Certains manuscrits anciens ne comprennent pas le verset 16.
Occasionnellement, vous verrez dans le texte simplifié du texte en langage Gateway (GST) deux numéros de versets ou plus combinés, comme 17-18. C'est ce qu'on appelle un pont de versets. Cela veut dire que le contenu des versets a été réorganisé afin que l'histoire ou le message puisse être plus facilement compris.
29 Voici les chefs des Horites : le chef Lotân, le chef Shobal, le chef Tsibéôn, le chef Ana, 30 le chef Dishôn, le chef Etser, le chef Dishân. Ce sont là les chefs des Horites, leurs chefs au pays de Séir. (Genèse 36:29-30 GLT)
29-30 Les groupes de personnes qui étaient des descendants de Hor vivaient dans la terre de Séir. Le nom de leur chefs étaient Lotân, Shobal, Tsibéôn, Ana, Dishôn, Etser, and Dishân. (Genesis 36:29-30 GST)
Dans le texte GLT, les versets 29 et 30 sont séparés et les informations sur les personnes vivant à Séir se trouvent à la fin du verset 30. Dans le texte GST, les versets sont joints et les informations sur leur vie à Séir se trouvent au début. Pour de nombreuses langues, il s'agit d'un ordre d'informations plus logique.
Là où le GST a un pont de versets, le GLT aura des versets séparés.
4-5 Yahvé notre Dieu vous bénira dans le pays qu'il vous donne. Si vous obéissez à Yahvé notre Dieu et obéissez à tous les commandements que je vous donne aujourd'hui, il n'y aura pas de pauvres parmi vous. (Deutéronome 15:4-5 GST)
4 Cependant, il ne devrait y avoir aucun pauvre parmi vous (car Yahvé vous bénira certainement dans le pays qu'il vous donne en héritage à posséder), 5 si seulement tu écoutes attentivement la voix de Yahvé ton Dieu, pour garder tous ces commandements que je te commande aujourd'hui. (Deutéronome 15:4-5 GLT)
16-17 Mais Yahvé lui dit : « Je ne te permettrai pas de manger du fruit de l'arbre qui te permettra de savoir quelles actions sont bonnes à faire et quelles actions sont mauvaises à faire. Si vous mangez un fruit de cet arbre, le jour où vous le mangerez, vous mourrez sûrement. Mais je vous autoriserai à manger le fruit de n'importe lequel des autres arbres du jardin. (Genèse 2:16-17 GST)
16 Yahvé Dieu ordonna à l'homme en disant : « De tout les arbres du jardin, tu peux manger librement. 17 Mais vous ne pouvez pas manger de l'arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où vous en mangerez, vous allez certainement mourir. » (Genèse 2:16-17 GLT)
Arrangez les informations d'une manière qui sera claire pour vos lecteurs. Si l'ordre des informations est clair comme dans l'ULT, utilisez cet ordre. Mais si l'ordre prête à confusion ou donne un sens erroné, modifiez l'ordre pour qu'il soit plus clair.
(1) Si vous mettez les informations d'un verset avant celles d'un verset antérieur, combinez les versets et mettez un trait d'union entre les deux numéros de versets.
Voir comment marquer les versets dans translationStudio.
(1) Si vous mettez des informations d'un verset avant celles d'un verset antérieur, combinez les versets et mettez un trait d'union entre les deux numéros de versets.
2 Tu sépareras trois villes au milieu du pays que l'Éternel ton Dieu te donne pour le posséder ; 3 Tu dois construire une route et diviser les limites de ton pays en trois parties, le pays que Yahvé ton Dieu te fait hériter, afin que quiconque tue quelqu'un d'autre puisse s'y enfuir. (Deutéronome 19:2-3 GLT)
2-3 Vous devez diviser en trois parties la terre qu'il vous donne. Sélectionnez ensuite une ville dans chaque partie. Vous devez faire de bonnes routes pour que les gens puissent se rendre facilement dans ces villes. Quelqu'un qui tue une autre personne peut s'échapper dans l'une de ces villes pour être hors de danger. (Deutéronome 19 :2-3 GST)
Il y a des genres ou types d'écriture différents et chacun a un objectif distinct. Parce que leurs objectifs sont différents, les types d'écriture sont organisés de différentes manières. Ils utilisent des verbes différents, des types de phrases différents et font référence aux personnes et aux choses au sujet desquelles ils écrivent différemment. Ces différences aident le lecteur à connaître rapidement le but de l'écriture et contribuent à communiquer au mieux le sens de l'auteur.
Ces quatre types élémentaires de l’écriture existent dans chaque langue. Chacun d’eux a un but différent :
Chaque langue a sa propre manière d'organiser ces types d'écriture. Vous (le traducteur) devez comprendre le type d'écriture que vous traduisez, son organisation dans la langue source et aussi dans votre langue. Vous devez mettre l'écriture dans la forme que votre langue utilise pour ce type afin que les gens le comprennent correctement. Dans chaque traduction, la façon dont les mots, les phrases et les paragraphes sont arrangés affectera la compréhension du message par le public.
Ce qui suit sont des façons d'écrire qui peuvent se combiner avec les quatre types élémentaires ci-dessus. Ces styles d'écriture présentent souvent des chalenges en traduction.
Les différences entre les types d'écriture d'une langue peuvent être appelées leurs caractéristiques de discours. Le but d'un texte particulier influencera les caractéristiques du discours utilisées. Par exemple, dans un récit, les caractéristiques du discours pourraient comprendre :
Les langues ont des manières différentes d'utiliser ces différentes caractéristiques du discours. Le traducteur devrait étudier comment sa langue les utilise afin que sa traduction communique le message d'une manière claire et naturelle. D'autres types d'écriture ont d'autres caractéristiques de discours.
Quand les gens racontent une histoire, ils racontent normalement les événements dans l'ordre où ils se sont passés. Cet ordre d'événements constitue le scénario. Le scénario est plein de verbes d'action qui font avancer l'histoire dans le temps. Mais parfois, un écrivain peut faire une pause dans l'histoire et donner des informations pour aider ses auditeurs à mieux comprendre l'histoire. Ce genre d'information est appelé information générale ou contexte. Les informations contextuelles peuvent concerner des choses qui se sont passées avant les événements dont il a déjà parlé. Elles peuvent expliquer quelque chose dans l'histoire, ou elles peuvent s’appliquer à quelque chose qui se produira beaucoup plus tard dans l'histoire.
Exemple – Les propositions en gras dans l'histoire ci-dessous sont toutes des informations générales.
Pierre et Jean sont partis à la chasse parce que leur village allait avoir un festin le lendemain. Peter était le meilleur chasseur du village. Une fois, il avait tué trois cochons sauvages en une journée ! Ils ont marché pendant des heures à travers des buissons bas avant qu'ils entendent un cochon sauvage. Le cochon a couru, mais ils ont réussi à tirer sur le cochon et à le tuer. Ensuite, ils ont attaché ses jambes avec une corde qu'ils avaient apportée et l'ont ramené à la maison sur une perche. Lorsqu'ils l'ont apporté au village, le cousin de Peter a vu le cochon et s'est rendu compte que c'était son cochon. Peter avait tué par erreur le cochon de son cousin.
Les informations contextuelles parlent souvent de quelque chose qui s'était passé plus tôt ou de quelque chose qui arriverait beaucoup plus tard. En voici des exemples : "leur village allait organiser un festin le lendemain", "Il a tué une fois trois cochons sauvages en un jour" et "qu'ils avaient apporté".
Souvent, les informations générales utilisent les formes des verbe "être" et "avoir" comme "était" et "avaient", plutôt que des verbes d’action. Par exemple, "leur village allait avoir un festin le lendemain" et "Peter était le meilleur chasseur du village".
L’information générale peut également être marquée avec des mots qui disent au lecteur que cette information ne fait pas partie de la ligne d’événement de l’histoire. Dans cette histoire, certains de ces mots sont "parce que", "une fois" et "avaient".
Le cadre comprend :
- Où se déroule l'histoire
- quand l’histoire se passe
- qui est présent lorsque l’histoire commence
- ce qui se passe lorsque l’histoire commence.
Agar donna naissance au fils d'Abram, et Abram nomma son fils, qu'Agar enfanta, Ismaël. Abram avait 86 ans quand Agar donna Ismaël à Abram. (Genèse 16:15-16 GLT)
La première phrase raconte deux événements. Agar accoucha et Abraham nomma son fils. La deuxième phrase contient des informations générales sur l'âge d'Abram lorsque ces événements se sont passés.
Et Jésus lui-même, lorsqu'il a commencé à enseigner, avait environ 30 ans. Il était le fils (comme on le supposait) de Joseph, le fils d'Héli. (Luc 3:23 GLT)
Jésus avait environ trente ans lorsqu'il commença à enseigner. Il était, à ce que l'on pensait, fils de Joseph, qui était fils d'Éli. (Luc 3:23 GST)
Les versets précédents parlent du temps où Jésus a été baptisé. Cette phrase présente des informations générales sur l'âge et les ancêtres de Jésus. L'histoire reprend au chapitre 4 où elle raconte que Jésus se rend dans le désert.
Alors il arriva, un jour de sabbat, qu'il parcourait les champs de céréales, et ses disciples cueillaient et mangeaient les épis, les frottant dans leurs mains. Mais certains des Pharisiens ont dit… (Luc 6:1-2a ULT)
Ces versets donnent le cadre de l'histoire. Les événements ont eu lieu dans un champ de céréales le jour du sabbat. Jésus, ses disciples et quelques pharisiens étaient là, et les disciples de Jésus cueillaient des épis et les mangeaient. L'action principale de l'histoire commence par la phrase : « Mais certains pharisiens ont dit… ».
Pour que les traductions restent claires et naturelles, vous devrez étudier comment les gens racontent des histoires dans votre langue. Observez comment votre langue note les informations générales. Vous devrez peut-être écrire quelques histoires afin d'étudier cela. Observez quels types de verbes votre langue utilise pour les informations générales et quels types de mots ou d'autres marqueurs signalent qu'une partie de phrase est de l'information générale. Faites ces mêmes choses lorsque vous traduisez, afin que votre traduction soit claire et naturelle et que les gens puissent la comprendre facilement.
(1) Utilisez la manière que votre langue utilise pour montrer que certaines informations sont des informations générales.
(2) Réorganisez l’information afin que les événements antérieurs soient mentionnés en premier. (Ce n’est pas toujours possible lorsque l’information de générales est très longue.)
(1) Utilisez la manière que votre langue utilise pour montrer que certaines informations sont des informations générales. Les exemples ci-dessous expliquent comment cela devrait être fait dans les traductions du GLT.
Et Jésus lui-même, lorsqu'il a commencé à enseigner, avait environ 30 ans. Il était le fils (comme on le supposait) de Joseph, le fils d'Héli. (Luc 3:23 GLT)
Utilisez “et” pour montrer qu’il y a un changement dans l’histoire. Les verbes "avait" et "était" indiquent que l'information est contextuelle.
Donc, adressant aussi beaucoup d'autres exhortations, il prêcha la bonne nouvelle au peuple. Mais Hérode le tétrarque, ayant été réprimandé par lui au sujet d'Hérodias, la femme de son frère, et au sujet de toutes les mauvaises choses qu'il avait faites, ajouta encore cet acte à tous les autres : Il mit Jean en prison. (Luc 3:18-20 GLT)
Les actions dans les phrases en gras ont eu lieu avant que Jean a réprimandé Hérode. Le verbe auxiliaire "avait" dans le verbe "avait faites", montre qu'Hérode a fait ces choses avant que Jean l’a réprimandé.
(2) Réorganiser l’information afin que les événements antérieurs soient mentionnés en premier.
Agar donna naissance au fils d'Abram, et Abram nomma son fils, qu'Agar enfanta, Ismaël. Abram avait 86 ans quand Agar donna Ismaël à Abram. (Genèse 16:15-16 GLT)
« Lorsque Abram eut 86 ans, Agar enfanta son fils, et Abram lui donna le nom d’Ismaël. »
Donc, adressant aussi beaucoup d'autres exhortations, il prêcha la bonne nouvelle au peuple. Mais Hérode le tétrarque, ayant été réprimandé par lui au sujet d'Hérodias, la femme de son frère, et au sujet de toutes les mauvaises choses qu'il avait faites, ajouta encore cet acte à tous les autres : Il mit Jean en prison. (Luc 3:18-20 GLT)
La traduction ci-dessous réorganise les reproches de Jean et les actions d’Hérode.
"Or Hérode le tétrarque épousa la femme de son frère, Hérodias, et il fit beaucoup d'autres choses mauvaises. Donc, Jean le réprimanda. Mais alors Hérode ajouta une autre chose très mauvaise. Il fit enfermer Jean en prison."
On trouve des types variés d'informations à la fin d'une histoire. Il s'agit souvent d'informations contextuelles qui ne ressemblent pas aux actions qui constituent la partie principale de l'histoire. Un livre de la Bible est souvent composé de beaucoup de petites histoires qui font partie de l'histoire plus large du livre lui-même. Par exemple, l'histoire de la naissance de Jésus est une petite histoire dans la plus grande histoire du livre de Luc. Toutes ces histoires, grandes ou petites, peuvent se terminer avec des informations générales.
Différentes langues ont des manières distinctes de présenter les informations de fin d'histoire. Si vous (le traducteur) n'utilisez pas les méthodes de votre langue, les lecteurs pourraient ne pas savoir :
Alors les autres hommes devraient suivre, certains sur des planches, et d’autres sur d’autres parties du navire. De cette façon, il s'est passé que nous avons tous été amenés sains et saufs à la terre. (Actes 27:44 GLT)
Beaucoup de ceux qui pratiquaient les arts magiques ont rassemblé leurs livres et les ont brûlés en vue de tous. Puis ils en comptèrent la valeur et trouvèrent qu'il s'agissait de 50 000 pièces d'argent. Ainsi la parole du Seigneur se répandait et s'imposait avec puissance. (Actes 19:19-20 ULT)
Et Marie dit : « Mon âme exalte le Seigneur, et mon esprit se réjouit en Dieu, mon Sauveur. » Et Marie est restée avec elle environ trois mois, et ensuite, est retournée chez elle. (Luc 1:46-47, 56 GLT)
Tous ceux qui les entendirent furent étonnés concernant ce qui leur était dit par les bergers. Mais Marie a gardé toutes ces choses, les méditant dans son cœur. (Luc 2:18-9 GLT)
« Malheur à vous, experts de la loi juive, car vous avez emporté la clé de la connaissance ; vous n'entrez pas, vous-mêmes, et vous entravez ceux qui entrent. » Quand il fut sorti de là, les scribes et les pharisiens ont commencé à s'opposer farouchement à lui et se sont disputés contre lui au sujet de beaucoup de choses, attendant de le piéger par quelque parole sortie de sa bouche. (Luc 11:52-54 ULT)
Considérez ces phrases : « Si le soleil s'arrêtait de briller… » « Et si le soleil s'était arrêté de briller… » « Supposez que le soleil s'arrêtait de briller… » et « Si seulement le soleil n'avait pas cessé de briller ». Nous utilisons de telles expressions pour mettre en place des situations hypothétiques, imaginant ce qui aurait pu arriver ou ce qui pourrait arriver dans le futur mais qui ne se produira probablement pas. Nous les utilisons également pour exprimer des regrets ou des souhaits. Nous trouvons souvent des expressions hypothétiques dans la Bible. Quand vous, le traducteur, traduisez ces expressions, soyez sûrs que les gens sachent que l'événement ne s'est pas réellement passé et qu'ils comprennent pourquoi l'événement a été imaginé.
Les situations hypothétiques sont des situations qui ne sont pas réelles. On peut les présenter dans le passé, le présent ou le futur. Les situations hypothétiques dans le passé et le présent n'ont pas pris place, ne se passent pas maintenant, et on ne s'attend pas à ce qu'elles se produisent dans le futur.
Les gens parlent parfois de conditions et de ce qui se passerait si ces conditions étaient remplies, mais ils savent que ces choses n'ont pas eu lieu ou ne prendront probablement pas place. Généralement, les conditions comprennent une expression qui commence par "si".
Les gens expriment parfois des souhaits au sujet de choses qui ne se sont pas produites ou qui ne devraient pas se produire.
Parfois les gens regrettent les choses qui ne se sont pas produites ou qui ne devraient pas se produire.
« Malheur à toi, Chorazin ! Malheur à toi, Bethsaïda ! Si les actes puissants avaient été accomplis à Tyr et à Sidon qui avaient été accomplis parmi vous, elles se seraient repenties depuis longtemps avec le sac et la cendre. » (Matthieu 11:21 GLT)
Dans Matthieu 11 :21, Jésus a dit que si les habitants des anciennes villes de Tyr et de Sidon avaient pu voir les miracles qu'il avait accomplis, ils se seraient repentis depuis longtemps. Les habitants de Tyr et de Sidon n'ont pas réellement vu ses miracles, et ils ne se sont pas repentis. Jésus a dit cela pour réprimander les gens de Chorazin et de Bethsaïda qui avaient vu ses miracles et pourtant ne s'étaient pas repentis.
Marthe dit alors à Jésus : « Seigneur, si tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort.» (Jean 11:21 GLT)
Marthe dit cela pour exprimer son désir que Jésus soit venu plus tôt afin que son frère ne soit pas mort. Mais Jésus n’est pas venu plus tôt et son frère est mort.
Et personne ne met du vin nouveau dans de vieilles outres. Mais s'il faisait cela, le vin nouveau ferait éclater les outres, et il se répandrait, et les outres seraient détruites. (Luc 5:37 GLT)
Jésus a raconté ce qui arriverait si une personne mettait du vin nouveau dans de vieilles outres. Mais personne ne ferait ça. Il a utilisé cette situation imaginaire pour montrer qu'il y a des moments où il n'est pas sage de mélanger des choses nouvelles avec des choses anciennes. Il l'a fait pour que les gens puissent comprendre pourquoi ses disciples ne jeûnaient pas comme les gens le faisaient traditionnellement.
Jésus leur dit : « Quel homme y aurait-il parmi vous qui, s'il n'avait qu'une brebis, et si cette brebis tombait dans un trou profond le jour du sabbat, ne mettrait pas la main sur elle et ne l'en soulèverait pas ? » (Matthieu 12:11 GLT)
Jésus a demandé aux chefs religieux ce qu'ils feraient le jour du sabbat si une de leurs brebis tombait dans un trou. Il ne disait pas que leurs moutons allaient tomber dans un trou. Il a utilisé cette situation imaginaire pour leur montrer qu'ils avaient tort de le juger pour avoir guéri les gens le jour du sabbat.
Si ces jours-là n’étaient pas abrégés, aucune chair ne serait sauvée. Mais à cause des élus, ces jours seront abrégés. (Matthieu 24:22 ULT)
Jésus parlait d'un temps futur où une très grande affliction arriverait. Il a décrit ce qui se passerait si ces jours de troubles allaient durer longtemps. Il a fait cela pour montrer combien terribles ces jours seront, si terribles que s'ils duraient longtemps, personne ne serait sauvé. Mais ensuite, il a précisé que Dieu raccourcira ces jours de troubles afin que les élus (ceux qu'il a choisis) soient sauvés.
Les gens parlent parfois en situations hypothétiques pour exprimer des regrets et des souhaits. Les regrets concernent le passé et les souhaits concernent le présent et le futur.
Les enfants d'Israël leur dirent : Si seulement nous avions tous péri par la main de Yahvé au pays d'Égypte, quand nous étions assis près des marmites de viande, quand nous mangions du pain à satiété. Car vous nous avez amenés dans ce désert, pour faire mourir de faim toute cette assemblée. (Exode 16:3 GLT)
Les Israélites craignaient d'avoir à souffrir et de mourir de faim dans le désert, et ils souhaitaient donc d’être restés en Égypte et d'y être morts l'estomac plein, se plaignant et exprimant le regret que cela ne s’était pas produit.
Je sais ce que tu as fait, et que tu n'es ni froid ni chaud. Si seulement tu étais froid ou chaud ! (Apocalypse 3:15 GLT)
Jésus souhaitait que les gens soient chauds ou froids, mais ils n'étaient ni l'un ni l'autre. Il les réprimandait, exprimant sa colère à ce sujet.
Découvrez comment les personnes parlant votre langue montrent :
Utilisez les manières de votre langue de montrer ce genre de choses.
Vous pouvez aussi regarder la vidéo à http://ufw.io/figs\_hypo.
Quand les gens racontent une histoire, ils parlent d'un événement ou d'une série d'événements. Souvent, ils mettent certaines informations au début de l'histoire, telles que, de qui l'histoire parle, quand elle s'est produite et où elle s'est produite. Cette information que l'écrivain donne avant que les événements de l'histoire ne commencent s'appelle le cadre de l'histoire. Certains nouveaux événements dans une histoire fournissent aussi un cadre, car ils peuvent impliquer de nouvelles personnes, de nouveaux sujets et de nouveaux lieux. Dans certaines langues, les gens déclarent aussi s'ils ont vu l'événement ou en ont entendu parler.
Quand les locuteurs de votre langue racontent des événements, quelles informations donnent-ils au début ? Y a-t-il un certain ordre qu’ils suivent ? Dans votre traduction, vous devrez suivre la manière que votre langue utilise pour introduire des informations ou des événements nouveaux au début d'une histoire au lieu de la manière que la langue source a suivie. De cette façon, votre traduction paraîtra naturelle et communiquera clairement.
Au temps d’Hérode, roi de Judée, il y avait un sacrificateur, nommé Zacharie, de la classe d’Abia ; sa femme était d’entre les filles d’Aaron, et s’appelait Élisabeth. (Luc 1:5 GLT)
Le verset ci-dessus présente une histoire sur Zacharie. Le premier groupe de mots en gras indique quand cela s'est produit, et les deux suivants présentent les personnes principales. Les deux versets qui suivent (6 et 7) expliquent que Zacharie et Elizabeth étaient vieux et n'avaient pas d'enfants. Tout cela est le cadre. Ensuite, l’expression, "Et il arriva que", au début du verset ci-dessous, introduit le premier événement de cette histoire :
Et il arriva que durant ses fonctions comme sacrificateur devant Dieu, dans le rang de sa classe et selon la coutume de la prêtrise, il lui échut par sort d'entrer dans le temple du Seigneur pour y offrir l'encens. (Luc 1:8-9 GLT)
La naissance de Jésus-Christ s'est déroulée de la manière suivante. Sa mère, Marie, était fiancée à Joseph, mais avant qu’ils eussent habité ensemble, elle se trouva enceinte du Saint-Esprit. (Matthieu 1:18 GLT)
La phrase ci-dessus en gras introduit clairement l'histoire de Jésus. L'histoire racontera comment la naissance de Jésus s'est passée.
Or, après la naissance de Jésus à Bethléem de Judée, au temps du roi Hérode, voici, des hommes érudits de l'Orient arrivèrent à Jérusalem. (Matthieu 2: 1 GLT)
Le segment de phrase ci-dessus en caractères gras indique que les événements concernant les hommes érudits se sont produits après la naissance de Jésus.
En ce temps-là, Jean-Baptiste vint prêcher dans le désert de Judée. (Matthieu 3:1-22 GLT)
L'expression en caractères gras ci-dessus montre que Jean-Baptiste est venu prêcher à l'époque des événements précédents. C'est une information très générale qui fait référence à l'époque où Jésus vivait à Nazareth.
Puis Jésus est venu de Galilée au Jourdain vers Jean, pour être baptisé par lui. (Matthieu 3:13 GLT)
Le mot "alors" nous dit que Jésus est venu au Jourdain quelque temps après les événements des versets précédents.
Or, il y avait un homme parmi les pharisiens qui s'appelait Nicodème, un chef juif. Cet homme est venu à Jésus pendant la nuit. (Jean 3:1-2a GLT)
L'auteur a présenté d'abord la nouvelle personne, puis a expliqué ce qu'il avait fait et quand il l'avait fait. Dans certaines langues, il pourrait être plus naturel de parler d’abord du temps.
6 Noé avait 600 ans lorsque le déluge tomba sur la terre. 7 Noé, ses fils, sa femme et les femmes de ses fils entrèrent ensemble dans l'arche à cause des eaux du déluge. (Genèse 7:6-7 GLT)
Le verset 6 est une déclaration des événements qui se passent dans le reste du chapitre 7. Le chapitre 6 a déjà raconté comment Dieu avait dit à Noé qu'il y aurait un déluge, et comment Noé s'y est préparé. Dans le chapitre 7, le verset 6 présente Noé et sa famille et les animaux entrant dans le bateau, la pluie commençant et la pluie inondant la terre. Certaines langues pourraient avoir besoin de préciser que ce verset introduit simplement l'événement, ou devraient mettre ce verset après le verset 7. Le verset 6 ne fait pas partie des événements de l'histoire. Les gens sont entrés dans le bateau avant l’arrivée du déluge.
Si l'information donnée au début d'un nouvel événement est claire et naturelle pour vos lecteurs, pensez à la traduire telle qu'elle est dans le GLT ou le GST. Sinon, envisagez l'une des stratégies suivantes :
(1) Mettez l’information qui introduit l’événement dans l’ordre où votre peuple le mettrait.
(2) Si les lecteurs s'attendaient à trouver certaines informations mais elles ne sont pas dans la Bible, envisagez d'utiliser un mot ou une expression indéfinie pour compléter cette information, telle que : « une autre fois » ou « quelqu'un ».
(3) Si l’introduction est un résumé de l’événement dans son ensemble, utilisez la façon de montrer dans votre langue qu’il s’agit d’un résumé.
(4) S’il semble étrange dans la langue cible de donner un résumé de l’événement au début, indiquez que l’événement se produira réellement plus tard dans l’histoire.
(1) Mettez l’information qui introduit l’événement dans l’ordre où votre peuple le mettrait.
Or, il y avait un homme parmi les pharisiens qui s'appelait Nicodème, un chef juif. Cet homme est venu à Jésus pendant la nuit. (Jean 3:1-2a GLT)
Il y avait un homme qui s’appelait Nicodème. Il était pharisien et membre du Conseil juif. Une nuit, il est venu vers Jésus.
Une nuit, un homme du nom de Nicodème, qui était pharisien et membre du Conseil juif, vint à Jésus.
Comme il passait, il vit Lévi, fils d’Alphée, assis à la tente du percepteur, et il lui dit… (Marc 2:14a GLT)
Tandis qu'il passait, Lévi, fils d'Alphée, était assis à la tente du percepteur. Jésus le vit et lui dit…
Tandis qu'il passait, il y avait un homme assis à la tente du publicain. Il s’appelait Lévi, et il était fils d’Alphée. Jésus le vit et lui dit…
Comme il passait, il y avait un percepteur assis à la tente du percepteur. Son nom était Lévi, et il était le fils d’Alphée. Jésus le vit et lui dit…
(2) Si les lecteurs s'attendaient à trouver certaines informations mais elles ne sont pas dans la Bible, envisagez d'utiliser un mot ou une expression indéfinie pour compléter cette inform».
Noé avait 600 ans lorsque le déluge s'abattit sur la terre. (Genèse 7:6 GLT) - Si les gens s'attendent à être informés du moment où le nouvel événement s'est produit, l'expression "après cela" peut les aider à voir que cela s'est produit après les événements déjà mentionnés.
Après cela, quand Noé avait 600 ans, le déluge est venu sur la terre.
Encore une fois il se mit à enseigner au bord de la mer. (Marc 4 :1a GLT) – Au chapitre 3, Jésus enseignait chez quelqu'un. Il faudra peut-être dire aux lecteurs que ce nouvel événement s'est produit à un autre moment, ou que Jésus est en fait allé à la mer.
Une autre fois, Jésus commença à enseigner de nouveau aux gens au bord de la mer.
Jésus est allé à la mer et là, il a recommencé à enseigner aux gens.
(3) Si l’introduction est un résumé de l’événement dans son ensemble, utilisez la façon de montrer dans votre langue qu’il s’agit d’un résumé.
Noé avait 600 ans quand le déluge est venu sur la terre. (Genèse 7:6 GLT)
Alors, c’est ce qui est arrivé quand Noé avait 600 ans et le déluge est venu sur la terre.
Cette partie raconte ce qui s’est passé quand le déluge est venu sur la terre. Cela s'est passé quand Noé avait 600 ans.
(4) S’il semble étrange dans la langue cible de donner un résumé de l’événement au début, indiquez que l’événement se produira réellement plus tard dans l’histoire.
6 Noé avait 600 ans lorsque le déluge tomba sur la terre. 7 Noé, ses fils, sa femme et les femmes de ses fils entrèrent ensemble dans l'arche à cause des eaux du déluge. (Genèse 7:6-7 GLT)
C'est ce qui s'est passé quand Noé avait 600 ans. Noé, ses fils, sa femme et les femmes de ses fils entrèrent ensemble dans l'arche parce que Dieu leur avait dit que les eaux du déluge viendraient.
La première fois que des personnes ou des choses sont mentionnées dans une histoire, ce sont de nouveaux participants. Après cela, chaque fois qu'ils sont mentionnés, ce sont des anciens participants.
Or il y avait un homme parmi les pharisiens qui s'appelait Nicodème… Cet homme vint à Jésus la nuit… Jésus répondit et lui dit… (Jean 3:1, 2a, 3a)
La première phrase en caractères gras présente Nicodème en tant que nouveau participant. Après avoir été présenté, il est alors appelé "cet homme" et "lui" lorsqu'il est devenu un ancien participant.
Afin de rendre votre traduction claire et naturelle, il est nécessaire de faire référence aux participants de manière à ce que les gens sachent s'il s'agit de nouveaux participants ou de participants qu'ils ont déjà rencontrés. Différentes langues ont différentes façons de le faire. Vous devez suivre la façon que votre langue utilise, pas celle de la langue source.
Souvent, le nouveau participant le plus important est présenté avec une phrase qui dit qu'il a existé, telle que "Il y avait un homme", comme dans l'exemple ci-dessous. L'expression "Il y avait" nous dit que cet homme existait. Le mot "un" dans "un homme" nous dit que l'auteur parle de lui pour la première fois. Le reste de la phrase dit d'où venait cet homme, qui était sa famille et quel était son nom.
Or il y avait un homme de Zorah, d'une famille des Danites, et son nom était Manoah. (Juges 13:2a GLT)
Un nouveau participant qui n'est pas le participant le plus important est souvent présenté par rapport à la personne la plus importante qui a déjà été présentée. Dans l'exemple ci-dessous, la femme de Manoah est simplement appelée "sa femme". Cette phrase montre sa relation avec lui.
Il y avait un homme de Tsora, d'une famille des Danites, et son nom était Manoah. Sa femme était stérile et elle n’avait jamais donné naissance. (Juges 13:2 GLT)
Parfois, un nouveau participant est présenté simplement par son nom parce que l’auteur suppose que les lecteurs connaissent la personne. Dans le premier verset de 1 Rois, l’auteur suppose que ses lecteurs savent qui est le roi David, donc il n’est pas nécessaire d’expliquer qui il est.
Or le roi David était vieux, il était avancé en age, et ils le couvraient de vêtements, mais il ne faisait pas assez chaud pour lui. (1 Rois 1:1 GLT)
Une personne qui a déjà été amenée dans l’histoire peut être désignée par un pronom après cela. Dans l’exemple ci-dessous, on fait référence à Manoah avec le pronom "son", et son épouse avec le pronom "elle".
Son épouse était stérile et elle n’avait jamais accouché. (Juges 13:2 GLT)
Les anciens participants peuvent également être appelés d'autres manières, selon ce qui se passe dans l'histoire. Dans l'exemple ci-dessous, l'histoire concerne l'enfantement d'un fils, et la femme de Manoah est désignée par le syntagme nominal « l'épouse ».
L’ange de Yahvé apparut à l’épouse et il lui dit… (Juges 13:3a GLT)
Si l’ancien participant n’a pas été mentionné depuis un certain temps, ou s’il pourrait y avoir de la confusion entre les participants, l’auteur peut utiliser de nouveau le nom du participant. Dans l’exemple ci-dessous, Manoah est désigné par son nom, que l’auteur n’a pas utilisé depuis le verset 2.
Alors Manoah a prié Yahvé. (Juges 13:8a GLT)
Certaines langues placent un affixe sur le verbe qui dit quelque chose sur le sujet. Dans certaines de ces langues, les gens n'utilisent pas toujours des syntagmes nominals ou des pronoms pour les anciens participants lorsqu'ils sont le sujet de la phrase. Le marqueur sur le verbe donne suffisamment d'informations pour que l'auditeur comprenne qui est le sujet. (Voir Verbes.)
(1) Si le participant est nouveau, utilisez une des façons de présenter les nouveaux participants dans votre langue.
(2) S’il n’est pas clair à qui un pronom se réfère, utilisez une expression ou un nom.
(3) Si un ancien participant est désigné par son nom ou un syntagme nominal et les gens se demandent s'il s'agit d'un nouveau participant, essayez d'utiliser un pronom à sa place. Si un pronom n'est pas nécessaire parce que les gens le comprendraient clairement à partir du contexte, alors omettez le pronom.
(1) Si le participant est nouveau, utilisez une des façons de présenter les nouveaux participants dans votre langue.
Puis Joseph, appelé Barnabas par les apôtres (ce qui se traduit par Fils d'encouragement), un Lévite originaire de Chypre… (Actes 4:36-37 GLT) – Commencer la phrase par le nom de Joseph alors qu'il n'a pas encore été présenté pourrait être déroutant dans certaines langues.
Il y avait un homme de Chypre qui était un Lévite. Son nom était Joseph, et les apôtres lui ont donné le nom de Barnabas (c'est-à-dire, interprété, fils d'encouragement).
Il y avait un Lévite de Chypre qui s'appelait Joseph. Les apôtres lui ont donné le nom de Barnabas, qui signifie Fils d'encouragement
(2) S’il n’est pas clair à qui un pronom se réfère, utilisez une expression ou un nom.
Et il arriva qu'alors qu'il priait à un certain endroit, lorsqu'il s'arrêta, un de ses disciples lui dit : « Seigneur, apprends-nous à prier comme Jean aussi l'a enseigné à ses disciples. » (Luc 11:1 GLT) – Puisqu'il s'agit du premier verset d'un chapitre, les lecteurs peuvent se demander à qui "il" fait référence.
Il est arrivé que lorsque Jésus a fini de prier à un certain endroit, un de ses disciples lui a dit : « Seigneur, apprends-nous à prier comme Jean a enseigné à ses disciples. »
(3) Si un ancien participant est désigné par un nom ou une expression, et que les gens se demandent s’il s’agit d’un nouveau participant, essayez plutôt d’utiliser un pronom. Si un pronom n’est pas nécessaire parce que les gens le comprendraient clairement à partir du contexte, alors laissez de côté le pronom.
Le maître de Joseph prit Joseph et le mit en prison à l'endroit où tous les prisonniers du roi étaient mis, et Joseph y resta. (Genèse 39:20) – Puisque Joseph est le personnage principal de l'histoire, certaines langues pourraient préférer l'emploi d'un pronom.
Le maître de Joseph le prit et le mit en prison à l'endroit où étaient mis tous les prisonniers du roi, et il resta là dans la prison.
Une parabole est une histoire courte qui enseigne quelque chose de vrai et donne la leçon d’une manière facile à comprendre et difficile à oublier.
Une parabole est une histoire courte qui est racontée pour enseigner quelque chose de vrai. Bien que les événements d'une parabole puissent se passer, ils ne prennent pas réellement place. On les raconte seulement pour enseigner la ou les leçons que l'auditeur est censé apprendre. Les paraboles contiennent rarement les noms de personnes spécifiques. (Cela peut vous aider à identifier ce qu'est une parabole et ce qu'est le récit d'un événement réel.) Les paraboles utilisent souvent des figures de style telles que la comparaison et la métaphore.
Puis il leur dit aussi une parabole. « Un aveugle n’est pas capable de guider un aveugle, n’est-ce pas ? Ne tomberaient-ils pas tous deux dans une fosse ? » (Luc 6:39 GLT)
Cette parabole enseigne que si une personne n’a pas la compréhension spirituelle, elle ne peut pas aider quelqu’un d’autre à comprendre les choses spirituelles.
Les gens n'allument pas non plus une lampe et la mettent sous un panier mais plutôt sur le chandelier, et elle brille pour tout le monde dans la maison. Que ta lumière brille devant les gens de telle manière qu'ils voient tes bonnes actions et louent ton Père qui est aux cieux. (Matthieu 5:15-16 GLT)
Cette parabole nous enseigne à ne pas cacher aux autres la façon dont nous vivons pour Dieu.
Puis Jésus leur présenta une autre parabole. Il a dit : « Le royaume des cieux est comme une graine de moutarde qu'un homme a prise et semée dans son champ. Cette graine est en effet la plus petite de toutes les autres graines. Mais quand elle a grandi, elle est plus grande que les plantes du jardin et devient un arbre, de sorte que les oiseaux du ciel viennent nicher dans ses branches. (Matthieu 13:31-32 GLT)
Cette parabole enseigne que le royaume de Dieu peut sembler petit au début, mais il grandira et se répandra dans le monde entier.
(1) Si une parabole est difficile à comprendre parce qu'elle contient des objets inconnus, vous pouvez les remplacer par des objets que les gens de votre culture connaissent. Cependant, veillez à garder la leçon la même.
(2) Si l’enseignement de la parabole n’est pas clair, songez à raconter un peu ce qu’elle enseigne dans une introduction, telle que "Jésus a raconté cette histoire sur la générosité".
(1) Si une parabole est difficile à comprendre parce qu'elle contient des objets inconnus, vous pouvez les remplacer par des objets que les gens de votre culture connaissent. Cependant, veillez à garder la leçon la même.
Jésus leur dit aussi : « On n'apporte pas une lampe pour la mettre sous une corbeille, ou sous le lit, n'est-ce pas ? N'est-ce pas pour qu'elle soit mise sur le chandelier ? » (Marc 4:21 ULT)
Si les gens ne savent pas ce qu'est un chandelier, vous pouvez le remplacer par quelque chose d'autre sur lequel les gens allumeront une lumière afin d'éclairer la maison.
Jésus leur dit aussi : « On n'apporte pas une lampe pour la mettre sous une corbeille, ou sous le lit, n'est-ce pas ? N'est-ce pas pour la mettre sur une étagère haute ? »
Puis Jésus leur présenta une autre parabole. Il a dit : « Le royaume des cieux est comme une graine de moutarde qu'un homme a prise et semée dans son champ. Cette graine est en effet la plus petite de toutes les autres graines. Mais quand elle a grandi, elle est plus grande que les plantes du jardin et devient un arbre, de sorte que les oiseaux du ciel viennent nicher dans ses branches. (Matthieu 13:31-32 GLT)
Semer des graines signifie les jeter afin qu’ils se dispersent sur le sol. Si les gens ne sont pas familiers avec le semis, vous pouvez remplacer la plantation.
Puis Jésus leur présenta une autre parabole. Il a dit : « Le royaume des cieux est comme une graine de moutarde qu'un homme a prise et a déposé sur le sol dans son champ. Cette graine est en effet la plus petite de toutes les autres graines. Mais quand elle a grandi, elle est plus grande que les plantes du jardin et devient un arbre, de sorte que les oiseaux du ciel viennent nicher dans ses branches.
(2) Si l’enseignement de la parabole n’est pas clair, songez à raconter un peu ce qu’elle enseigne dans une introduction, telle que "Jésus a raconté cette histoire sur la générosité".
Jésus leur dit aussi : « On n'apporte pas une lampe pour la mettre sous une corbeille, ou sous le lit, n'est-ce pas ? N'est-ce pas pour qu'elle soit mis sur le chandelier ? (Marc 4:21 GLT)
Jésus leur raconta une parabole sur les raisons pour lesquelles ils devaient témoigner ouvertement. Jésus leur dit : « On n'apporte pas une lampe pour la mettre sous une corbeille, ou sous le lit, n'est-ce pas ? N'est-ce pas pour qu'elle soit mis sur le chandelier ? (Marc 4:21 GLT)
Puis Jésus leur présenta une autre parabole. Il a dit : « Le royaume des cieux est comme une graine de moutarde qu'un homme a prise et semée dans son champ. Cette graine est en effet la plus petite de toutes les autres graines. Mais quand elle a grandi, elle est plus grande que les plantes du jardin et devient un arbre, de sorte que les oiseaux du ciel viennent nicher dans ses branches. (Matthieu 13:31-32 GLT)
Alors Jésus leur présenta une autre parabole sur la façon dont le royaume de Dieu grandit. l a dit : « Le royaume des cieux est comme une graine de moutarde qu'un homme a prise et semée dans son champ. Cette graine est en effet la plus petite de toutes les autres graines. Mais quand elle a grandi, elle est plus grande que les plantes du jardin et devient un arbre, de sorte que les oiseaux du ciel viennent nicher dans ses branches.
La poésie est une des façons d'utiliser les mots et les sons de votre langue pour embellir votre discours et votre écriture et exprimer une émotion forte. Grâce à la poésie, les gens peuvent communiquer une émotion plus profonde qu'ils ne le peuvent par de simples formes non poétiques. La poésie donne plus de poids et d'élégance aux déclarations de vérité telles que les proverbes, et elle est aussi plus facile à retenir que le discours ordinaire.
Louez-le, tous ses anges;
Louez-le, toutes ses armées.
Louez-le, soleil et lune;
Louez-le, toutes les étoiles brillantes. (Psaume 148:2-3 GLT)
La charité est patiente ;
Elle est pleine de bonté ;
La charité n'est pas envieuse ;
La charité n'est pas insolente ; Elle ne s'enfle pas d'orgeuil. (1 Cor. 13:4 GLT)
Alouette, gentille alouette,
Alouette, je te plumerai (comptine traditionnelle française)
« Pierre, Pierre, buveur de sancerre »
Nous trouvons aussi :
- Des mots et expressions anciens
- de l'imagerie dramatique
- une utilisation différente de la grammaire, notamment :
- des phrases incomplètes
- l'absence de mots conjonctifs
Le discours élégant ou sophistiqué est semblable à la poésie en ce qu'il utilise un beau langage. Mais il n'utilise pas toutes les caractéristiques de la poésie du langage et pas aussi fréquemment. Les locuteurs populaires de la langue utilisent souvent un discours élégant qui est probablement la source la plus facile à étudier pour découvrir ce qui rend le discours élégant dans votre langue.
La Bible utilise la poésie pour les chants, l’enseignement et la prophétie. Presque tous les livres de l’Ancien Testament contiennent de la poésie et beaucoup d’entre eux sont entièrement composés de poésie.
… car vous avez vu mon affliction ; vous avez connu la détresse de mon âme. (Psaume 31:7b GLT)
Cet exemple de Parallélisme avec le même sens a deux lignes qui signifient la même chose.
Yahvé, juge les nations ; justifie-moi, Yahvé, car je suis juste et innocent, le Plus Haut. (Psaume 7:8 GLT)
Cet exemple de parallélisme montre le contraste entre ce que David veut que Dieu lui fasse et ce qu'il veut que Dieu fasse aux nations injustes. (Voir Parallélisme.)
Gardez aussi votre serviteur des péchés arrogants; ne les laisse pas régner sur moi. (Psaume 19:13a GLT)
Cet exemple de personnification parle des péchés comme s’ils pouvaient régner sur une personne. (Voir Personnification.)
Oh, rends les grâces à l’Éternel, car il est bon,
car sa fidélité à son alliance dure à toujours.
Oh, rends grâce au Dieu des dieux,
car sa fidélité à son alliance dure à toujours.
Oh, rends grâce au Seigneur des seigneurs,
car sa fidélité à son alliance dure à toujours.
(Psaume 136:1-3 GLT)
Cet exemple répète les expressions "rends grâce" et "sa fidélité à son alliance dure pour toujours".
Si le style de poésie utilisé dans le texte source est naturel et donne le bon sens dans votre langue, envisagez de l'utiliser. Sinon, voici d'autres façons de le traduire.
(1) Traduisez la poésie en utilisant un des styles de poésie de votre langue.
(2) Traduisez la poésie en utilisant votre style de discours élégant.
(3) Traduisez la poésie en utilisant votre style de discours ordinaire.
Si vous utilisez de la poésie, ce sera peut-être plus beau.
Si vous utilisez la parole ordinaire, elle pourrrait être plus claire.
Béni soit l'homme qui ne marche pas selon les conseils des méchants, ou ne se tient pas sur le chemin avec les pécheurs, ou ne s'assoit pas dans l'assemblée des moqueurs. Mais sa plus grande joie est dans la loi de Yahvé, et sur sa loi il médite jour et nuit. (Psaume 1:1-2 GLT)
Les exemples qui suivent montrent comment les gens peuvent traduire le Psaume 1:1-2.
(1) Traduisez la poésie en utilisant un des styles de poésie de votre langue. (Le style de cet exemple comprend des mots qui sonnent de la même manière à la fin de chaque ligne.)
“Heureux celui qui n'est pas encouragé à pécher, Manque de respect pour Dieu, il ne va pas commencer, À ceux qui se moquent de Dieu, il n'est pas apparenté. Dieu est son plaisir constant, Il fait ce que Dieu dit n’est pas malfaisant, Toutes les nuits et tous les jours y pensant”
(2) Traduisez la poésie en utilisant votre style de discours élégant.
C'est le genre de personne qui est vraiment béni : celle qui ne suit pas les conseils des méchants, ne s'arrête pas en chemin pour parler avec les pécheurs ni ne se joint au rassemblement de ceux qui se moquent de Dieu. Au contraire, il prend une grande joie dans la loi de Yahvé, et il y médite jour et nuit.
(3) Traduisez la poésie en utilisant votre style de discours ordinaire.
Les gens qui n'écoutent pas les conseils de mauvaises personnes sont vraiment heureux. Ils ne passent pas de temps avec les gens qui font continuellement le mal et ne se joignent pas à ceux qui ne respectent pas Dieu. Au lieu de cela, ils aiment obéir à la loi de Yahvé, et ils y pensent tout le temps.
Les proverbes sont des courtes maximes qui donnent des conseils ou enseignent quelque chose qui est généralement vrai au sujet de la vie. Les gens aiment les proverbes parce qu'ils donnent beaucoup de sagesse en peu de mots. Mais, les proverbes ne devraient pas être compris comme des lois absolues et immuables. Au contraire, ils offrent des conseils généraux à une personne sur la façon de vivre. Les proverbes de la Bible utilisent souvent la métaphore et le parallélisme
La haine attise les conflits, mais l'amour couvre toutes les offenses. (Proverbes 10:12 GLT)
Voici un autre exemple tiré du livre des Proverbes.
Regarde la fourmi, paresseux ; considère ses manières et sois sage. Elle n'a pas de commandant, d'officier ou de dirigeant, pourtant elle prépare sa nourriture en été, et pendant la récolte elle emmagasine ce qu'elle va manger. (Proverbes 6:6-8 GLT)
Chaque langue a sa propre façon d'énoncer les proverbes. Il y a beaucoup de proverbes dans la Bible. Ils doivent être traduits de la même manière que les gens les disent dans leur langue afin qu’ils les reconnaissent comme des proverbes et comprennent ce qu'ils enseignent.
Un bon nom est à choisir par-dessus toutes grandes richesses,
et la faveur vaut mieux que l’argent et l’or. (Proverbes 22:1 GLT)
Cela signifie qu'il vaut mieux être une bonne personne et avoir une bonne réputation que d'avoir beaucoup d'argent.
Comme du vinaigre sur les dents et de la fumée dans les yeux,
ainsi est le fainéant à ceux qui l’envoient. (Proverbes 10:26 GLT)
Cela signifie qu’un fainéant est très ennuyeux pour ceux qui l’envoient faire quelque chose.
La voie de Yahvé protège ceux qui ont l’intégrité ;
mais c’est la voie de destruction pour les méchants. (Proverbes 10:29 GLT)
Cela signifie que l’Éternel protège ceux qui font ce qui est juste, mais qu’il détruit ceux qui sont méchants.
Si la traduction littérale d'un proverbe semble naturelle et donne le bon sens à votre langue, envisagez de la faire. Sinon, voici quelques options :
(1) Découvrez comment les gens disent des proverbes dans votre langue, et utilisez une de ces façons.
(2) Si beaucoup de personnes de votre groupe linguistique ne connaissent pas quelques objets du proverbe, envisagez de les remplacer par des objets que les gens connaissent et qui fonctionnent de la même manière dans votre langue.
(3) Substituez un proverbe dans votre langue qui enseigne la même chose que le proverbe dans la Bible.
(4) Enseignez la même chose, mais pas sous la forme d’un proverbe.
(1) Découvrez comment les gens disent des proverbes dans votre langue, et utilisez une de ces façons.
Un bon nom est à choisir par-dessus toutes grandes richesses,
et la faveur vaut mieux que l’argent et l’or. (Proverbes 22:1 GLT)
Voici quelques idées pour énoncer ce proverbe dans votre langue.
Il vaut mieux avoir une bonne réputation que d'avoir de grandes richesses, et être favorisé par les gens est préférable à avoir de l'argent et de l'or.
Les sages préfèrent une bonne réputation à de grandes richesses et la faveur à l'argent et l'or.
Essayez d'avoir une bonne réputation plutôt que de grandes richesses.
La richesse vous aidera-t-elle vraiment ? Je préférerais avoir une bonne réputation.
(2) Si beaucoup de personnes de votre groupe linguistique ne connaissent pas quelques objets du proverbe, envisagez de les remplacer par des objets que les gens connaissent et qui fonctionnent de la même manière dans votre langue.
Comme la neige en été ou la pluie dans la récolte,
ainsi, un fou ne mérite pas l’honneur. (Proverbes 26:1 GLT)Il n'est pas naturel qu'un vent froid souffle pendant la saison chaude ou qu'il pleuve pendant la saison des récoltes ; Et il n'est pas naturel d'honorer une personne insensée.
(3) Substituez un proverbe dans votre langue qui enseigne la même chose que le proverbe dans la Bible.
Ne te vante pas de demain,
car tu ne sais pas ce qu’un jour peut apporter. (Proverbes 27:1a GLT)Ne comptez pas vos poulets avant qu’ils éclosent.
(4) Enseignez la même chose, mais pas sous la forme d’un proverbe.
Il y a une génération qui maudit son père
et qui ne bénit pas sa mère.
Il y a une génération qui est pure à ses propres yeux,
et pourtant elle n'est pas lavée de sa saleté. (Proverbes 30:11-12 GLT)Les gens qui ne respectent pas leurs parents pensent qu’ils sont justes, et ils ne se détournent pas de leur péché.
Le langage symbolique dans la parole et l'écriture est l'utilisation de symboles pour représenter d'autres choses, d'autres événements, etc. Dans la Bible on trouve les symboles plus souvent dans les prophéties et la poésie, en particulier dans les visions et les rêves sur des choses qui se passeront dans le futur. Bien que les gens ne connaissent pas immédiatement la signification d'un symbole, il est important de le garder dans la traduction.
Mange ce rouleau, puis va parler à la maison d’Israël. (Ezéchiel 3:1 GLT)
C'était un rêve. Manger le rouleau est un symbole représentant Ézéchiel en train de lire et de bien comprendre ce qui était écrit sur le rouleau et d'accepter ces paroles de Dieu.
Les personnes qui lisent la Bible aujourd'hui peuvent avoir du mal à reconnaître que le langage est symbolique, et elles pourraient ne pas savoir ce que le symbole représente.
Après cela, j'ai vu dans mes visions nocturnes une quatrième bête, terrifiante, effrayante et très forte. Elle avait de grandes dents de fer ; Elle dévorait, brisait en morceaux et foulait aux pieds ce qui restait. Elle était différente des autres animaux, et elle avait dix cornes. (Daniel 7:7 GLT)
La signification des symboles en gras est expliquée dans Daniel 7:23-24 comme indiqué ci-dessous. Les animaux représentent des royaumes, les dents de fer représentent une armée puissante et les cornes représentent des chefs puissants.
C'est ce que la personne dans mon rêve a dit : « Quant à la quatrième bête, ce sera un quatrième royaume sur la terre qui sera différent de tous les autres royaumes. Il dévorera toute la terre, et il la foulera aux pieds et la brisera en morceaux. Quant aux dix cornes, de ce royaume dix rois vont provenir, et un autre proviendra après eux. Il sera différent des précédents, et il vaincra les trois rois. » (Daniel 7:23-24 GLT)
Je me suis retourné pour voir la voix qui me parlait, et en me retournant, j'ai vu sept chandeliers d'or. Au milieu des chandeliers, il y en avait quelqu'un comme un fils d'homme… Il avait sept étoiles dans sa main droite et une épée à deux tranchants sortait de sa bouche. Quant au sens caché des sept étoiles que tu as vues dans ma main droite et des sept chandeliers d'or : Les sept étoiles sont les anges des sept églises, et les sept chandeliers sont les sept églises. (Apocalypse 1:12-13a, 16a, 20 GLT)
Ce passage explique la signification des sept chandeliers et des sept étoiles. L'épée à deux tranchants représente la parole de Dieu et son jugement.
(1) Traduisez le texte avec les symboles. Souvent, l'orateur ou l'auteur explique le sens plus tard dans le passage.
(2) Traduisez le texte avec les symboles. Expliquez ensuite les symboles dans les notes de bas de page.
(1) Traduisez le texte avec les symboles. Souvent, l'orateur ou l'auteur explique le sens plus tard dans le passage.
C'est ce que la personne dans mon rêve a dit : « Quant à la quatrième bête, ce sera un quatrième royaume sur la terre qui sera différent de tous les autres royaumes. Il dévorera toute la terre, et il la foulera aux pieds et la brisera en morceaux. Quant aux dix cornes, de ce royaume dix rois vont provenir, et un autre proviendra après eux. Il sera différent des précédents, et il vaincra les trois rois. » (Daniel 7:23-24 GLT)
(2) Traduisez le texte avec les symboles. Expliquez ensuite les symboles dans les notes de bas de page.
Après cela, j'ai vu dans mes visions nocturnes une quatrième bête, terrifiante, effrayante et très forte. Elle avait de grandes dents de fer ; Elle dévorait, brisait en morceaux et foulait aux pieds ce qui restait. Elle était différente des autres animaux, et elle avait dix cornes. (Daniel 7:7 GLT)
Après cela, j'ai vu dans mes visions nocturnes une quatrième bête, 1 terrifiante, effrayante et très forte. Elle avait de grandes dents de fer ; 2elle dévorait, brisait en morceaux et foulait aux pieds ce qui restait. Elle était différente des autres animaux, et elle avait dix cornes. 3
Les notes de bas de page ressembleraient à :
[1] L’animal est le symbole d’un royaume.
[2] Les dents de fer symbolisent la puissante armée du royaume. [3] Les cornes sont un symbole de rois puissants.
La prophétie symbolique est un type de message que Dieu a donné à un prophète afin que le prophète le dise aux autres. Ces messages utilisent des images et des symboles pour montrer ce que Dieu fera à l'avenir.
Les livres principaux de la Bible qui contiennent ces prophéties sont Isaïe, Ézéchiel, Daniel, Zacharie et Apocalypse. Des exemples plus courts de prophétie symbolique se trouvent également dans d'autres Écritures, comme dans Matthieu 24, Marc 13 et Luc 21.
La Bible raconte comment Dieu a donné en même temps chaque message et le contenu du message. Lorsque Dieu a donné ces messages, il l'a souvent fait de manière miraculeuse, comme dans des rêves et des visions. (Voir "rêve" et "vision" pour obtenir de l'aide pour traduire ces termes.) Lorsque les prophètes voyaient ces rêves et ces visions, ils voyaient souvent des images et des symboles concernant Dieu et le ciel. Quelques images comprenaient un trône, des chandeliers d'or, un homme puissant avec des cheveux blancs et des vêtements blancs, des yeux comme du feu et des jambes comme du bronze. Quelques-unes de ces images ont été vues par plusieurs prophètes.
Les prophéties au sujet du monde contiennent aussi des images et des symboles. Par exemple, dans certaines prophéties, des bêtes très fortes représentent des royaumes, des cornes représentent des rois ou des royaumes, un dragon ou un serpent représente le diable, la mer représente les nations et les semaines représentent des périodes plus longues. Certaines de ces images ont aussi été observées par plus d'un prophète.
Les prophéties parlent du mal dans ce monde. Elles montrent comment Dieu jugera le monde et punira le péché, et comment Il établira son royaume juste dans le nouveau monde qu'il crée. Elles révèlent aussi des choses qui vont arriver concernant le ciel et l'enfer.
Une grande partie de la prophétie dans la Bible est présentée dans un style poétique. Dans certaines cultures, les gens supposent que si quelque chose est présenté en poésie, alors ce n'est peut-être pas vrai ou très important. Cependant, les prophéties de la Bible sont vraies et très importantes, qu'elles soient présentées en style poétique ou non.
Généralement, le passé est utilisé dans ces livres prophétiques pour des événements qui ont eu lieu dans le passé. Mais parfois, le passé est utilisé pour des événements qui devraient se produire dans le futur. Ces utilisations du passé existent pour deux raisons. Lorsque les prophètes racontaient des choses qu'ils voyaient dans un rêve ou une vision, ils utilisaient souvent le passé parce que leur rêve était dans le passé. D'autre part, ils utilisaient le passé pour se référer à des événements futurs afin de souligner que ces événements se produiraient certainement. Les événements étaient si certains que c'était comme s'ils s'étaient déjà produits. Nous appelons cette seconde utilisation du passé « le passé prédictif ». (Voir Passé prédictif.) (See Passé prédictif.)
Certaines de ces choses sont arrivées juste après que les prophètes en ont parlé, et certaines d’entre elles arriveront vers la fin de ce monde.
Certaines de ces images sont difficiles à comprendre parce que nous n’avons jamais vu des choses semblables auparavant.
Les descriptions de choses que nous n’avons jamais vues ou qui n’existent pas dans ce monde sont difficiles à traduire.
Dans les endroits où Dieu ou le prophète ont utilisé le passé, les lecteurs pourraient avoir du mal à savoir s'il parlait de quelque chose qui s'était déjà passé ou de quelque chose qui arriverait plus tard.
Les passages suivants décrivent des êtres puissants qu'Ézéchiel, Daniel et Jean ont vus. Les images mentionnées dans ces visions comprennent des cheveux blancs comme de la laine, une voix comme le son de grandes eaux, une ceinture d’or et des jambes ou des pieds comme du bronze poli. Bien que les prophètes aient vu des détails différemment, il serait bon de traduire les détails qui sont les mêmes de la même façon. Les phrases en caractères gras dans le passage de l'Apocalypse apparaissent aussi dans des passages de Daniel et d'Ézéchiel.
Au milieu des chandeliers, il y avait quelqu’un comme un fils d’homme, portant une robe qui s’étendait jusqu’à ses pieds et il portait une ceinture dorée sur sa poitrine. Sa tête et ses cheveux étaient aussi blancs que de la laine — aussi blancs que la neige — et ses yeux étaient comme une flamme de feu. Ses pieds étaient comme de l’airain poli, comme de l’airain affiné dans une fournaise, et sa voix était comme le bruit de nombreuses eaux impétueuses. Il avait sept étoiles dans sa main droite, et une épée à deux tranchants sortait de sa bouche. Son visage brillait comme le soleil à son maximum. (Apocalypse 1:13-16 GLT)
Tandis que je regardais, des trônes furent mis en place, et l’Ancien des Jours s'assit. Ses vêtements étaient blancs comme la neige, et les cheveux de sa tête étaient comme de la laine pure. (Daniel 7:9 GLT)
J'ai levé les yeux et j'ai vu un homme vêtu de lin, avec une ceinture autour de sa taille en or pur d'Uphaz. Son corps était comme de la topaze, son visage brillait comme un éclair, ses yeux étaient comme des torches enflammées, ses bras et ses pieds étaient comme de l'airain poli, et le son de ses paroles était comme le bruit d'une grande foule. (Daniel 10:5-6 GLT)
Voici ! La gloire du Dieu d'Israël est venue de l'orient ; sa voix était comme le bruit de grandes eaux, et la terre brillait de sa gloire ! (Ézéchiel 43:2 GLT)
Les passages suivants montrent l’utilisation du passé pour faire référence aux événements passés. Les verbes en caractères gras font référence aux événements passés.
La vision d'Isaïe, fils d'Amots, qu'il a vue concernant Juda et Jérusalem, aux jours d'Ozias, de Jotham, d'Achaz et d'Ézéchias, rois de Juda. (Esaïe 1:1 GLT)
Écoutez, cieux, et prêtez l'oreille, terre ; car Yahweh a parlé : (Isaïe 1:2a GLT)
« J'ai nourri et élevé des enfants, mais ils se sont rebellés contre moi. » (Esaïe 1:2b GLT)
Le passage qui suit montre le futur et les différentes utilisations du passé. Les verbes en gras sont des exemples du passé prédictif, où le passé est utilisé pour montrer que les événements se produiront certainement.
La tristesse sera dissipée de celle qui était dans l'angoisse. Auparavant, il a humilié le pays de Zabulon et le pays de Nephtali, mais dans le futur il le rendra glorieux, le chemin de la mer, au-delà du Jourdain, la Galilée des nations. Le peuple qui marchait dans les ténèbres a vu une grande lumière ; la lumière a brillé sur ceux qui ont vécu au pays de l'ombre de la mort. (Esaïe 9 :1-2 GLT)
Si la prophétie utilise le passé pour parler du futur et que cela serait mal compris dans votre langage, utilisez les stratégies du Passé prédictif.
Si les images de la prophétie représentent des choses inconnues dans votre culture, utilisez les stratégies de Traduire l'inconnu.
La structure de phrase la plus simple en français comprend un sujet et un verbe exprimant une action :
Le sujet est l'élément qui désigne l'être ou l'objet dont on exprime l'action ou l'état. Dans les exemples ci-dessous, le sujet est en gras :
Les sujets sont généralement des expressions (syntagmes) ou des pronoms. (Voir Parties du discours.) Dans les exemples ci-dessus, “le garçon” est une expression” et “il” est un pronom.
Lorsque la phrase est un commandement, dans de nombreuses langues, il n’y a pas de pronom de sujet. Les gens comprennent que le sujet est "toi" ou "vous".
Le prédicat est la partie d'une phrase qui dit quelque chose sur le sujet. Il a généralement un verbe. (Voir les Verbes.) Dans les phrases ci-dessous, les sujets sont "l'homme" et "il". Les prédicats sont en gras.
Une phrase peut être composée de plusieurs phrases. Chacune des deux lignes ci-dessous a un sujet et un prédicat et est une phrase complète.
La phrase composée ci-dessous contient les deux phrases ci-dessus. En français, les phrases composées sont jointes par des conjonctions telles que ; "et", "mais" ou "ou".
Les phrases peuvent aussi avoir des propositions et d'autres expressions. Les propositions sont comme des phrases parce qu'elles ont un sujet et un prédicat, mais elles ne se sont normalement pas présentes toutes seules. Voici quelques exemples de propositions. Les sujets sont en gras et les prédicats sont en gras.
Les phrases peuvent comporter de nombreuses propositions et peuvent donc devenir longues et complexes. Mais chaque phrase doit avoir au moins une proposition indépendante, c'est-à-dire une proposition qui peut être une phrase par elle-même. Les autres propositions qui ne peuvent pas être des phrases par elles-mêmes sont appelées des propositions dépendantes. Les propositions dépendantes ont besoin de la proposition indépendante pour compléter leur sens. Les propositions dépendantes sont en gras dans les phrases ci-dessous.
Chacune des phrases suivantes peut être une phrase entière. Elles sont des propositions indépendantes des phrases ci-dessus.
Dans certaines langues, les propositions subordonnées peuvent être utilisées avec un nom qui fait partie d'une phrase. On les appelle des propositions relatives.
Dans la phrase ci-dessous, "le maïs qui était prêt" fait partie du prédicat de toute la phrase. La proposition relative "qui était prêt" est utilisée avec le nom "maïs" pour dire quel maïs elle a cueilli.
Dans la phrase ci-dessous, "sa mère, qui était très ennuyée" fait partie du prédicat de toute la phrase. La proposition relative "qui était très ennuyée" est utilisée avec le nom "mère" pour dire ce que sa mère a ressenti lorsqu'elle n'a pas eu de maïs.
Différentes langues organisent les parties de la phrase de différentes manières. En français, l'ordre habituel place d’abord le sujet, puis le verbe, puis le complément ou l’attribut comme ceci ; Pierre a peint sa maison hier.
Beaucoup d'autres langues placent normalement ces choses dans un ordre différent tel que : Pierre a peint hier sa maison.
Toutes les langues assignent un ordre normal aux parties d'une phrase. Mais, cet ordre peut changer en fonction des informations que le locuteur ou l'écrivain considère les plus importantes.
Supposons que quelqu'un doit répondre à la question : « Qu'est-ce que Pierre a peint hier ? » La personne qui pose la question donne déjà toutes les informations nécessaires dans la question ci-dessus à l'exception de l'objet "sa maison". Donc, "la maison" devient la partie la plus importante de l'information, et une personne répondant pourrait dire "Sa maison est ce que Pierre a peint hier."
La réponse ci-dessus met l'information la plus importante en premier, ce qui serait normal pour l'anglais. Beaucoup d'autres langues placeraient les informations les plus importantes en dernier. Dans le flux d'un texte, l'information la plus importante est généralement ce que l'auteur considère comme une nouvelle information pour le lecteur. Dans certaines langues, les nouvelles informations viennent en premier, et dans d'autres, elles viennent en dernier.
Ils ont tous mangé jusqu'à ce qu'ils fussent satisfaits. (Marc 6:42 GLT)
Les parties de cette phrase étaient dans un ordre différent dans la langue source grecque originale. L'ordre original était comme ceci : Et ils avaient mangé tout et ils étaient satisfaits.
Cette traduction signifie que le peuple a tout mangé. Mais le verset qui suit dit qu'ils ont pris douze paniers pleins de restes de nourriture. Pour que cela ne soit pas si confus, les traducteurs du GLT ont mis les parties de la phrase dans le bon ordre.
Et le jour commença à se terminer, et les douze vinrent à lui et dirent : « Renvoyez la foule afin qu'elle aille dans les villages et les campagnes des environs, et qu'elle trouve du logement et de la nourriture, car nous sommes ici dans un lieu désolé. » (Luc 9:12 GLT)
Dans ce verset, ce que les disciples disent à Jésus met d'abord l'information importante qu'il devrait renvoyer la foule. Dans les langues qui mettent les informations importantes en dernier, les gens comprendraient que le fait qu'ils se trouvent dans un endroit isolé est la partie la plus importante de leur message à Jésus. Ils pourraient alors penser que les disciples ont peur des esprits dans cet endroit, et qu'envoyer les gens acheter de la nourriture est un moyen de les protéger des esprits. Ce serait le faux message.
Malheur à vous quand tous les hommes disent du bien de vous, car c'est ainsi que vos ancêtres traitaient les faux prophètes. (Luc 6:26 GLT)
Dans ce verset, la partie la plus importante de l'information est en première place : C'est que le "malheur" vient sur les gens pour ce qu'ils font. La raison qui soutient cet avertissement vient à la fin. Cela pourrait être déconcertant pour les personnes qui s'attendent à ce que les informations importantes arrivent en dernier.
(1) Étudiez comment votre langue organise les parties d’une phrase, et utilisez cet ordre dans votre traduction.
(2) Étudiez où votre langue met les informations nouvelles ou importantes, et réorganisez l'ordre des informations afin qu'il suive la manière utilisée dans votre langue.
(1) Étudiez comment votre langue organise les parties d’une phrase, et utilisez cet ordre dans votre traduction.
C’est le verset dans l’ordre grec original :
Et il sortit de là et vint dans la ville natale la sienne, et ils suivirent lui, les disciples de lui. (Marc 6:1)
Le GLT a mis cela dans l’ordre normal pour le français :
Maintenant, Jésus est sorti de là et est venu dans sa ville natale, et ses disciples l'ont suivi. (Marc 6:1 GLT)
(2) Étudiez où votre langue met les informations nouvelles ou importantes, et réorganisez l'ordre des informations afin qu'il suive la manière utilisée dans votre langue.
Et le jour commença à se terminer, et les douze vinrent à lui et dirent : « Renvoyez la foule afin qu'elle aille dans les villages et les campagnes des environs, et qu'elle trouve du logement et de la nourriture, car nous sommes ici dans un lieu désolé. » (Luc 9:12 GLT)
Si votre langue met l’information importante en dernier, vous pouvez changer l’ordre du verset.
Maintenant que la journée touchait à sa fin, les douze vinrent à lui et dirent : « Parce que nous sommes ici dans un lieu désolé, renvoyez la foule afin qu'elle aille dans les villages et la campagne des environs pour trouver du logement et de la nourriture. »
Malheur à vous quand tous les hommes disent du bien de vous, car c'est ainsi que vos ancêtres traitaient les faux prophètes. (Luc 6:26 GLT)
Si votre langue met l’information importante en dernier, vous pouvez changer l’ordre du verset.
Quand tous les hommes parlent bien de vous, ce qui est exactement comme vos ancêtres ont traité les faux prophètes, alors malheur à vous !
Une phrase est un groupe de mots qui exprime une pensée complète. Les types de phrases de base sont énumérés ci-dessous avec les fonctions pour lesquelles ils sont principalement utilisés.
Les exemples ci-dessous montrent chacun de ces types utilisés pour leurs fonctions principales.
Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre. (Genèse 1:1 GLT)
Les déclarations peuvent aussi avoir d’autres fonctions. (Voir Déclarations – Autres emplois.)
Les locuteurs ci-dessous ont utilisé ces questions pour obtenir des informations, et les personnes à qui ils parlaient ont répondu à leurs questions.
Jésus leur dit : « Croyez-vous que je puisse faire cela ? » Ils lui dirent : « Oui, Seigneur. » (Matthieu 9:28b GLT)
Il… a dit : « Messieurs, que dois-je faire pour être sauvé ? Ils ont dit : « Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé, toi et ta famille. » (Actes 16:29-31 GLT)
Les questions peuvent aussi avoir d’autres fonctions. (Voir Question rhétorique.)
Il y a des types de phrases impératives différents : les commandes, les instructions, les suggestions, les invitations, les requêtes et les souhaits.
Avec une commande, le locuteur utilise son autorité et dit à quelqu’un de faire quelque chose.
Lève-toi, Balak, et écoute. Écoute-moi, fils de Zippor. (Nombres 23:1b8 GLT)
Avec une instruction, l'orateur dit à quelqu'un comment faire quelque chose.
… mais si tu veux entrer dans la vie, garde les commandements. … si tu veux être parfait, va, vends ce que tu as, et donne aux pauvres, et tu auras un trésor dans le ciel… (Matthieu 19:17b, 21b GLT)
Avec une suggestion, l'orateur dit à quelqu'un quelque chose à faire ou à ne pas faire qui, selon lui, pourrait l'aider. Dans l'exemple ci-dessous, il est préférable que les deux hommes aveugles n'essaient pas de se diriger l'un l'autre.
Un aveugle n'est pas capable de guider un aveugle, n'est-ce pas ? Ne tomberaient-ils pas tous les deux dans un gouffre ? (Luc 6:39b GST)
Les orateurs peuvent avoir l'intention de faire partie du groupe qui fait ce qui est suggéré. Dans Genèse 11, les gens disaient qu'il serait bon qu'ils fassent tous des briques ensemble.
Ils se dirent l’un à l’autre : « Venez, faisons des briques et cuisons-les tout à fait. » (Genèse 11:3a GLT)
Avec une invitation, l'orateur utilise la politesse ou l'amabilité pour suggérer à quelqu'un de faire quelque chose s'il le veut. C'est généralement quelque chose que l'orateur pense que l'auditeur appréciera.
Venez avec nous et nous vous ferons du bien. (Nombres 10:29b GLT)
Avec une invitation, l'orateur utilise la politesse ou l'amabilité pour suggérer à quelqu'un de faire quelque chose s'il le veut. C'est généralement quelque chose que l'orateur pense que l'auditeur appréciera.
Donne-nous aujourd’hui notre pain quotidien. (Matthieu 6:11 GLT)
Je vous demande de me considérer excusé. (Luc 14:18 GLT)
Avec un souhait, une personne exprime ce qu'elle veut qu'il se passe. Les phrases commencent souvent par le mot "que" ou "fais".
Dans Genèse 28, Isaac dit à Jacob ce qu’il voulait que Dieu fasse pour lui.
Que Dieu tout-puissant vous bénisse et vous rende féconds et vous multiplie. (Genèse 28:3a GLT)
Dans Genèse 9, Noé dit ce qu’il voulait qu’il arrive à Canaan.
Maudit soit Canaan. Qu’il soit le serviteur des serviteurs de ses frères. (Genèse 9:25b GLT)
Dans Genèse 21, Agar a exprimé son désir ardent de ne pas voir son fils mourir, puis elle s'est éloignée pour ne pas le voir mourir.
Permettez-moi de ne pas voir la mort de l’enfant. (Genèse 21:16b GLT)
Les phrases impératives peuvent aussi avoir d'autres fonctions. (Voir Phrases Impératives – Autres utilisations.)
Les exclamations expriment un sentiment fort. Dans le GLT et le GST, elles ont généralement un point d’exclamation (!) à la fin.
Sauve-nous, Seigneur ; nous sommes sur le point de mourir ! (Matthieu 8:25b GLT)
(Voir Exclamations pour d'autres manières d'afficher les exclamations et de les traduire.)
(1) Utilisez les moyens de votre langue pour montrer qu’une phrase a une fonction particulière.
(2) Lorsqu'une phrase de la Bible a un type de phrase que votre langue n'utiliserait pas pour la fonction de la phrase, consultez les liens ci-dessous pour les stratégies de traduction.
Normalement, les déclarations sont utilisées pour donner des informations. Parfois, elles sont utilisées dans la Bible pour d'autres fonctions.
Certaines langues n'utiliseront pas de déclarations pour certaines fonctions pour lesquelles des déclarations sont utilisées dans la Bible.
Les déclarations sont normalement utilisées pour donner des informations. Toutes les phrases de Jean 1:6-8 ci-dessous sont des déclarations, et leur fonction est de donner des informations.
Il y avait un homme qui a été envoyé de Dieu, dont le nom était Jean. Il est venu comme témoin pour témoigner de la lumière, afin que tous croient par lui. Jean n'était pas la lumière, mais il est venu pour témoigner de la lumière. (Jean 1:6-8 GLT)
Une instruction peut également être utilisée pour donner un ordre à quelqu’un de faire quelque chose. Dans les exemples ci-dessous, le grand prêtre a utilisé des déclarations avec le verbe "devoir" pour donner des ordres au peuple.
Il leur donna cet ordre : « Voici ce que vous devez faire. Le tiers d’entre vous qui venez le jour du sabbat doit veiller sur la maison du roi, et le tiers doit être à la porte de Sur, et le tiers à la porte derrière le poste de garde. » (2 Rois 11:5 GLT)
Une déclaration peut également être utilisée pour donner des instructions. L'orateur ci-dessous ne parlait pas simplement à Joseph de quelque chose que Joseph ferait à l'avenir ; il disait à Joseph ce qu'il devait faire.
Elle donnera naissance à un fils, et vous l'appellerez du nom Jésus, car il sauvera son peuple de ses péchés. (Matthieu 1:21 GLT)
Une déclaration peut aussi être utilisée pour faire une requête. L'homme atteint de la lèpre ne déclarait pas seulement ce que Jésus était capable de faire. Il demandait aussi à Jésus de le guérir.
Voici, un lépreux s'approcha de lui et se prosterna devant lui en disant : « Seigneur, si tu le veux, tu peux me purifier. (Matthieu 8:2 GLT)
Une instruction peut également être utilisée pour effectuer quelque chose. En disant à Adam que la terre était maudite à cause de lui, Dieu l'a en fait maudite.
… maudit soit le sol à cause de vous ; (Genèse 3:17b GLT)
En disant à un homme que ses péchés étaient pardonnés, Jésus a pardonné les péchés de l'homme.
Quand Jésus a vu leur foi, il a dit à l'homme paralysé : « Fils, tes péchés sont pardonnés.» (Marc 2:5 GLT)
(1) Si la fonction d’une déclaration n’est pas comprise correctement dans votre langue, utilisez un type de phrase qui exprimerait cette fonction.
(2) Si la fonction d'une déclaration ne serait pas comprise correctement dans votre langue, ajoutez un type de phrase qui exprimerait cette fonction.
(3) Si la fonction d'une déclaration n’est pas comprise correctement dans votre langue, utilisez une forme verbale qui exprimerait cette fonction.
(1) Si la fonction d’une déclaration n’est pas comprise correctement dans votre langue, utilisez un type de phrase qui exprimerait cette fonction.
Elle donnera naissance à un fils, et ** vous lui donnerez le nom Jésus **, car il sauvera son peuple de ses péchés. (Matthieu 1:21 GLT)
Le syntagme "vous lui donnerez nom Jésus" est une instruction. Il peut être traduit en utilisant le type de phrase d'une instruction normale.
Elle donnera naissance à un fils. Nommez-le Jésus, car il sauvera son peuple de ses péchés.
(2) Si la fonction d'une déclaration ne serait pas comprise correctement dans votre langue, ajoutez un type de phrase qui exprimerait cette fonction.
Seigneur, s'il te plaît, guéris-moi, parce que je sais que tu peux me guérir si tu le veux bien. (Matthieu 8:2 GLT)
La fonction de "je sais que tu peux" est de faire une demande. En plus de la déclaration, une demande peut être ajoutée.
Seigneur, je sais que tu peux me guérir. Si tu le veux, s'il te plaît, guéris-moi.
Seigneur, si tu le veux, guéris-moi s'il te plaît**.** Je sais que tu peux le faire.
(3) Si la fonction d'une déclaration n’est pas comprise correctement dans votre langue, utilisez une forme verbale qui exprimerait cette fonction.
Elle donnera naissance à un fils, et vous l'appellerez par le nom Jésus, car il sauvera son peuple de ses péchés. (Matthieu 1:21 GLT)
Elle donnera naissance à un fils, et ** vous devez l'appeler Jésus **, car il sauvera son peuple de ses péchés.
Fils, tes péchés sont pardonnés. (Marc 2:5 ULT)
Fils, je te pardonne tes péchés.
Fils, Dieu a pardonné tes péchés.
Les phrases impératives sont principalement utilisées pour exprimer le désir ou une demande que quelqu'un fasse quelque chose. Dans la Bible, les phrases impératives ont parfois d'autres usages.
La Bible emploie des phrases impératives pour certaines fonctions, mais certaines langues ne les utiliseraient pas pour ces fonctions.
Les locuteurs utilisent souvent des phrases impératives pour ordonner ou demander à leurs auditeurs de faire quelque chose. Dans Genèse 26, Dieu a parlé à Isaac et lui a dit de ne pas aller en Égypte mais de vivre là où Dieu lui dirait de vivre.
Mais Yahvé lui apparut et lui dit : « Ne descends pas en Égypte ; va vivre dans le pays où je te dis de vivre. (Genèse 26:2 GLT)
Parfois, les phrases impératives dans la Bible ont d’autres usages.
Dieu peut causer des choses de se passer en ordonnant qu'elles prennent place. Jésus a guéri un homme en ordonnant que l'homme soit guéri. L'homme ne pouvait rien faire pour obéir au commandement, mais Jésus l'a guéri par sa commande. (Dans ce contexte, le commandement « Sois pur » signifie « être guéri » afin que les autres autour de lui sachent qu'il était sûr de toucher à nouveau l'homme.)
« Je le veux. Sois pur." Immédiatement, il fut purifié de sa lèpre. (Matthieu 8:3b GLT)
Dans Genèse 1, Dieu a commandé qu'il y ait de la lumière, et en la commandant, il l'a fait exister. Certaines langues, comme l'hébreu de la Bible, ont des commandes qui sont à la troisième personne. D'autres langues comme le français ne font pas cela, et elles doivent donc transformer la commande à la troisième personne en une commande générale à la deuxième personne, comme dans le GLT :
Dieu a dit : « Que la lumière soit », et il y eut de la lumière. (Genèse 1:3 GLT)
Les langues qui ont des commandes à la troisième personne peuvent suivre l'hébreu d'origine, qui se traduit en français par quelque chose comme "la lumière doit être" ou bien par le subjonctif "Que la lumière soit".
Dans la Bible, Dieu bénit les gens en utilisant des impératifs. Ils indiquent quelle est sa volonté pour eux.
Dieu les bénit et leur dit : « Soyez féconds et multipliez. Remplissez la terre et soumettez-la. Dominez sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel et sur tout être vivant qui se déplace sur la terre. (Genèse 1:28 GLT)
Une phrase impérative peut également être utilisée pour indiquer la condition qui causera quelque chose de se produire. Les proverbes parlent principalement de la vie et des choses qui arrivent souvent. Le but du Proverbes 4:6 ci-dessous n'est pas principalement de donner un ordre, mais d'enseigner ce qui va arriver aux gens si ils aiment la sagesse.
N’abandonnez pas la sagesse et elle veillera sur vous;
aimez-la et elle vous gardera en sécurité. (Proverbes 4:6 GLT)
Le but du Proverbe ci-dessous, est d'enseigner à quoi les gens peuvent s'attendre s'ils enseignent à leurs enfants la voie à suivre.
Enseignez à un enfant la voie qu'il doit suivre, et quand il sera vieux il ne se détournera pas de cette instruction. (Proverbes 22:6 GLT)
(1) Si les peuples cibles n'utilisent pas de phrase impérative pour une des fonctions de la Bible, essayez d'utiliser une déclaration à sa place.
(2) Si les gens ne comprennent pas qu'une phrase est utilisée pour faire arriver quelque chose, ajoutez une conjonction comme « donc » pour montrer que ce qui va arriver est le résultat de ce qui a été dit.
(3) Si les gens n'utiliseraient pas une commande comme condition, traduisez-la par une déclaration avec les mots "si" et "alors".
(1) Si les peuples cibles n'utilisent pas de phrase impérative pour une des fonctions de la Bible, essayez d'utiliser une déclaration à sa place.
Sois pur. (Matthieu 8:3b GLT)
« Tu es maintenant pur. »
« Je te purifie maintenant. »Dieu a dit : « Que la lumière soit », et la lumière fut. (Genèse 1:3 GLT)
Dieu a dit : « Il y a maintenant de la lumière » et il y a eu de la lumière.
Dieu les bénit et leur dit : « Soyez féconds et multipliez. Remplissez la terre et soumettez-la. Dominez sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel et sur tout être vivant qui se déplace sur la terre. (Genèse 1:28 GLT)
Dieu les bénit et leur dit : « Ma volonté pour vous est que vous soyez féconds, et multipliiez. Que vous remplissiez la terre et la soumettiez. Je veux que vous dominiez sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel et sur tout être vivant qui se déplace sur la terre. »
(2) Si les gens ne comprennent pas qu'une phrase est utilisée pour faire arriver quelque chose, ajoutez une conjonction comme « donc » pour montrer que ce qui va arriver est le résultat de ce qui a été dit.
Dieu a dit : « Que la lumière soit », et la lumière fut. (Genèse 1:3 GLT)
Dieu a dit : « Que la lumière soit », et donc, la lumière fut.
Dieu a dit, « Que la lumière soit », et à la suite de cela, la lumière fut.
(3) Si les gens n'utiliseraient pas une commande comme condition, traduisez-la par une déclaration avec les mots "si" et "alors".
Enseignez à un enfant la voie qu'il doit suivre, et quand il sera vieux, il ne se détournera pas de cette instruction. (Proverbes 22:6 GLT)
Traduction :
Si vous enseignez à un enfant la voie qu'il doit suivre, alors, quand il
il sera vieux, il ne se détournera pas de cette instruction.
Les exclamations sont des mots ou des phrases qui expriment un sentiment fort comme la surprise, la joie, la peur ou la colère. Dans le GLT et le GST, les exclamations sont suivies d'un point d'exclamation (!). La marque indique qu'il s'agit d'une exclamation. La situation et le sens de ce que les gens ont dit nous aident à comprendre les sentiments qu'ils exprimaient. Dans l'exemple ci-dessous de Matthieu 8, les orateurs avaient terriblement peur. Dans l'exemple de Matthieu 9, les orateurs étaient stupéfaits, parce qu'il s'était passé quelque chose qu'ils n'avaient jamais vu auparavant.
Sauve-nous, Seigneur ; nous sommes sur le point de mourir ! (Matthieu 8:25b GLT)
Quand le démon a été chassé, l'homme muet a parlé. Les foules ont été étonnées et ont dit : « On n'a jamais vu quelque chose de pareil auparavant en Israël ! » (Matthieu 9:33 GLT)
Les langues ont différentes façons de montrer qu’une phrase communique une forte émotion.
Certaines exclamations ont un mot qui intensifie un sentiment. Les phrases ci-dessous emploient « Oh » et « Ah ». Le mot « oh » ici montre l'étonnement de l'orateur.
Oh, la profondeur des richesses à la fois de la sagesse et de la connaissance de Dieu ! (Romains 11:33 GLT)
Le mot "Hélas" ci-dessous veut dire "malheur à moi" et montre que Gédéon avait très peur.
Lorsque Gédéon vit qu'il était l'ange de Yahvé, Gédéon se lamenta : « Hélas, ô mon Seigneur l'Éternel, car à cause de cela j'ai vu l'ange de Yahvé face à face ! (Juges 6:22 GLT)
Certaines exclamations commencent par un mot interrogatif tel que « comment » ou « pourquoi », même s'il ne s'agit pas de questions. La phrase ci-dessous montre que l'orateur est étonné de voir combien les jugements de Dieu sont insondables.
Combien insondables sont ses jugements, et ses voies au-delà de la découverte ! (Romains 11:33b GLT)
Certaines exclamations dans la Bible n’ont pas de verbe principal. L’exclamation ci-dessous montre que l’orateur est dégoûté de la personne à qui il parle.
Toi, vaurien ! (Matthieu 5:22b GLT)
(1) Si une exclamation dans votre langue nécessite un verbe, ajoutez-en un. Souvent, un bon verbe est "est" ou "sont".
(2) Utilisez un mot d'exclamation de votre langue qui exprime le sentiment fort du texte source.
(3) Traduisez le mot d'exclamation avec une phrase qui exprime le sentiment.
(4) Utilisez un mot qui met l'accent sur la partie de la phrase qui provoque le sentiment fort.
(5) Si le sentiment fort n'est pas clair dans la langue cible, exprimez comment la personne s'est sentie dans votre langue.
(1) Si une exclamation dans votre langue nécessite un verbe, ajoutez-en un. Souvent, un bon verbe est "est" ou "sont".
Toi, vaurien ! (Matthieu 5:22b GLT)
"Tu es une personne tellement sans valeur !"
Oh, la profondeur des richesses à la fois de la sagesse et de la connaissance de Dieu ! (Romains 11:33 GLT)
Oh, les richesses de la sagesse et de la connaissance de Dieu sont si profondes !
(2) Utilisez un mot d'exclamation de votre langue qui exprime le sentiment fort du texte source. Dans la première traduction suggérée ci-dessous, le mot "ouah" montre qu'ils étaient étonnés. Dans la deuxième traduction suggérée, l'expression "Oh non" montre que quelque chose de terrible ou d'effrayant s'est produit.
Ils ont été extrêmement étonnés et disaient : « Il a tout bien fait. Il fait même entendre les sourds et parler les muets. (Marc 7:37 GLT)
Ils ont été extrêmement étonnés et ont dit : « Ouah ! Il a tout bien fait. Il fait même entendre les sourds et parler les muets. »
Hélas, ô mon Seigneur Yahvé ! Car à cause de cela j'ai vu l'ange de Yahvé face à face ! (Juges 6:22b GLT)
Oh non, Seigneur Yahvé! j’ai vu l’ange de Yahvé face à face !
(3) Traduisez le mot d'exclamation avec une phrase qui exprime le sentiment.
Hélas, ô mon Seigneur Yahvé ! Car à cause de cela j'ai vu l'ange de Yahvé face à face ! (Juges 6:22b GLT)
Seigneur Yahvé, que m’arrivera-t-il ? Car j’ai vu l’ange de Yahvé face à face !
Au secours, Seigneur Yahvé ! Car j’ai vu l’ange de Yahvé face à face !
(4) Utilisez un mot qui met l'accent sur la partie de la phrase qui provoque le sentiment fort.
Combien ses jugements sont insondables, et ses voies au-delà de la découverte ! (Romains 11:33b GLT)
Ses jugements sont si insondables et ses voies sont si loin de la découverte !
(5) Si le sentiment fort n'est pas clair dans la langue cible, exprimez comment la personne s'est sentie dans votre langue.
Lorsque Gédéon vit qu'il était l'ange de Yahvé, Gédéon se lamenta : « Hélas, ô mon Seigneur Yahvé, car à cause de cela j'ai vu l'ange de Yahweh face à face ! (Juges 6:22 GLT)
Gédéon comprit que c'était l'ange de Yahvé. Il était terrifié et a dit : « Hélas, Seigneur Yahvé ! J'ai vu l'ange de Yahvé face à face !
En tant qu'êtres humains, nous écrivons nos pensées dans des syntagmes et des phrases. Nous voulons généralement communiquer une série de pensées qui sont liées les unes aux autres de différentes manières. Les mots et les phrases de liaison indiquent comment ces pensées sont associées les unes aux autres. Par exemple, nous pouvons montrer comment les pensées suivantes sont attachées en utilisant les mots de liaison en caractères gras :
Les mots ou les phrases de liaison peuvent relier les expressions ou les propositions d'une phrase. Ils peuvent joindre des phrases entre elles. Ils peuvent aussi combiner des fragments entiers les uns aux autres afin de montrer comment le premier fragment se rapporte au fragment qui suit le mot de liaison. Très souvent, les mots de liaison qui relient des fragments entiers les uns aux autres sont soit des conjonctions, soit des adverbes.
Il pleuvait, mais je n'avais pas de parapluie, alors je me suis trempé.
Maintenant, je dois changer de vêtements. Ensuite, je vais boire une tasse de thé chaud et me réchauffer au coin du feu.
Dans l'exemple ci-dessus, le mot maintenant joint deux courtes phrases, montrant la relation entre elles. L'orateur doit se changer, boire du thé chaud et se réchauffer à cause de quelque chose qui s'est passé plus tôt (c'est-à-dire qu'il s'est mouillé sous la pluie).
Parfois, les gens peuvent ne pas utiliser de mot de liaison parce qu'ils s'attendent à ce que le contexte aide les lecteurs à comprendre la relation entre les pensées. Certaines langues n'utilisent pas autant de mots de liaison que d'autres langues. Ils pourraient dire :
Vous (le traducteur) devrez utiliser la méthode la plus naturelle et la plus claire dans la langue cible. Mais en général, l'utilisation de mots de liaison autant que possible aide le lecteur à comprendre les idées de la Bible le plus clairement.
Voici, ci-dessous, une liste de types de connexions que l'on emploie entre des idées ou des événements. Ces types de connexions peuvent être indiqués en utilisant différents mots de connexion. Lorsque nous écrivons ou traduisons quelque chose, il est important d'utiliser le mot de connexion qui convient afin que ces connexions soient claires pour le lecteur. Si vous souhaitez plus d'informations, cliquez sur le lien hypertexte souligné en couleur pour accéder une page contenant des définitions et des exemples pour chaque type de connexion.
Je n'ai consulté ni la chair ni le sang. Je ne suis pas monté à Jérusalem pour voir ceux qui ont été des apôtres avant moi. Au lieu de cela, je suis allé en Arabie, puis je suis retourné à Damas. Ensuite, après trois ans, je suis retourné à Jérusalem pour visiter Céphas, et je suis resté avec lui quinze jours. (Galates 1:16b-8 GLT)
L'expression "au lieu de cela" introduit des actions qui contrastent avec ce qui a été dit auparavant. Le contraste est ici entre ce que Paul n'a pas fait et ce qu'il a fait. Le mot "ensuite" introduit une séquence d'événements. Il introduit quelque chose que Paul a fait après son retour à Damas.
Celui donc, qui enfreint le moindre de ces commandements et enseigne aux autres à le faire sera appelé le moindre dans le royaume des cieux. Mais celui qui les garde et les enseigne, celui-là sera appelé grand dans le royaume des cieux. (Matthieu 5:19 GLT)
Le mot "donc" relie ce verset à celui qui le précède, signalant que la section précédente a donné la raison de cette section. "Donc" relie généralement des sections plus longues qu'une phrase. Le mot "et" ne relie que deux actions dans la même phrase, celle de transgresser les commandements et d'enseigner aux autres. Dans ce verset, le mot "mais" met en contraste ce qu'un groupe de personnes sera appelé dans le royaume de Dieu avec ce qu'un autre groupe de personnes sera appelé.
Nous ne plaçons rien comme obstacle devant qui que ce soit, pour que notre ministère ne soit pas discrédité. Au lieu de cela, nous nous félicitons en tout en tant que serviteurs de Dieu. (2 Corinthiens 6:3-4 GLT)
Ici, l'expression "pour que" relie ce qui suit comme la raison de ce qui précède ; la raison pour laquelle Paul ne place pas d'obstacles (pierres d'achoppement) est qu'il ne veut pas que son ministère soit discrédité. L’expression "au lieu de cela" met en contraste ce que Paul fait (il prouve par ses actions qu'il est le serviteur de Dieu) avec ce qu'il a dit qu'il ne fait pas (placer des pierres d'achoppement).
Si la façon de connecter la relation entre les pensées dans le GLT est naturelle et donne le bon sens dans votre langue, alors envisagez de l'utiliser. Sinon, voici d'autres options.
(1) Utilisez un mot de connexion (même si le GLT n’en utilise pas).
(2) N'utilisez pas un mot de connexion s'il n'est pas naturel d'en utiliser un et si les gens comprennent la bonne relation entre les pensées sans en utiliser un.
(3) Utilisez un mot de connexion différent.
(1) Utilisez un mot de connexion (même si le GLT n’en utilise pas).
Jésus leur dit : « Venez, suivez-moi, et je vous ferai devenir pêcheurs d'hommes. » Puis, ils ont immédiatement quitté les filets et l'ont suivi. (Marc 1:17-18 GLT).
Ils ont suivi Jésus parce qu'il le leur avait dit de le faire. Certains traducteurs voudraient peut-être marquer cette proposition avec le mot de connexion « donc. »
Jésus leur dit : « Venez, suivez-moi, et je vous ferai devenir pêcheurs d'hommes. Donc, ils ont immédiatement quitté les filets et l'ont suivi.
(2) N'utilisez pas un mot de connexion s'il n'est pas naturel d'en utiliser un et si les gens comprennent la bonne relation entre les pensées sans en utiliser un.
Celui "donc, qui enfreint le moindre de ces commandements et enseigne aux autres à le faire sera appelé le moindre dans le royaume des cieux. Mais celui qui les garde et les enseigne, celui-là sera appelé grand dans le royaume des cieux. (Matthieu 5:19 GLT)
Certaines langues préféreraient ne pas utiliser de mots de connexion ici car le sens est clair sans eux et leur utilisation ne serait pas naturelle. On pourrait traduire le passage ainsi :
Celui qui enfreint le moindre de ces commandements, en enseignant aux autres à faire de même, sera appelé le plus petit dans le royaume des cieux. Celui qui les garde et les enseigne, celui-là sera appelé grand dans le royaume des cieux.
Je n'ai pas immédiatement consulté la chair et le sang. Je ne suis pas monté à Jérusalem vers ceux qui ont été des apôtres avant moi. Au lieu de cela, je suis allé en Arabie, puis je suis retourné à Damas. Alors, après trois ans, je suis monté à Jérusalem pour visiter Céphas, et je suis resté avec lui quinze jours. (Galates 1:16b-18 GLT)
Certaines langues pourraient ne pas avoir besoin des mots "Au lieu de cela" ou « alors » ici. On pourrait traduire le passage ainsi :
Je n'ai consulté ni la chair, ni le sang, ni ne suis monté à Jérusalem vers ceux qui étaient devenus apôtres avant moi. Je suis allé en Arabie, puis je suis retourné à Damas. Au bout de trois ans, je suis monté à Jérusalem pour visiter Céphas, et je suis resté avec lui quinze jours.
(3) Utilisez un mot de connexion différent.
Celui "donc, qui enfreint le moindre de ces commandements et enseigne aux autres à le faire sera appelé le moindre dans le royaume des cieux. Mais celui qui les garde et les enseigne, celui-là sera appelé grand dans le royaume des cieux. (Matthieu 5:19 GLT)
Au lieu d'un mot comme "donc", une langue pourrait utiliser une expression pour indiquer qu'il y avait une section avant elle qui donnait la raison de la section qui suit. Le mot, "mais", est utilisé ici en raison du contraste entre les deux groupes de personnes. Dans certaines langues le mot, "mais", pourrait indiquer que ce qui vient après lui est surprenant. Alors, le mot, "et", pourrait être plus clair pour ces langues. On pourrait traduire le passage ainsi :
À cause de cela, quiconque enfreint le moindre de ces commandements et enseigne aux autres à le faire sera appelé le moins dans le royaume des cieux. Et quiconque les garde et les enseigne, celui-là sera appelé grand dans le royaume des cieux.
Certains mots de connexion établissent des relations temporelles entre deux expressions, propositions, phrases ou fragments de texte.
Une proposition séquentielle est une relation temporelle qui relie deux événements où l'un se produit d'abord, et ensuite l'autre se produit.
Les langues diverses indiquent des séquences d'événements de différentes façons ; certains utilisent un arrangement des événements, certains des mots de connexion, d'autres utilisent même le temps relatif (le temps relatif est un temps de verbe qui fait référence à un point dans le contexte.) Les mots de connexion qui peuvent indiquer une séquence sont des mots tels que : "alors", "plus tard", "après", "ensuite", "avant", "d'abord" et "quand". Les traducteurs doivent être sûrs qu'ils communiquent l'ordre des événements d'une manière naturelle dans leur langue. Cela peut nécessiter d'arranger les propositions dans une séquence différente de celles des langues d'origine.
Quand Joseph est venu voir ses frères, ils l'ont kidnappé et l'ont vendu à des marchands d'esclaves. (OBS Histoire 8 Image No. 2)
D'abord, Joseph est venu voir ses frères, ensuite ils l'ont kidnappé et vendu. Nous le savons à cause du mot de connexion « quand ». Le traducteur doit décider de la meilleure façon de communiquer cette séquence clairement et correctement.
C'était aussi doux que du miel dans ma bouche, mais après l'avoir mangé, mon estomac est devenu plein d'amertume. (Apocalypse 10:10b GLT)
L'événement de la première clause se produit d’abord et l'événement de la dernière clause se produit plus tard. Nous le savons grâce au mot de connexion après. Le traducteur doit décider de la meilleure façon de communiquer cette séquence clairement et correctement.
Car avant que l'enfant sache refuser le mal et choisir le bien, le pays dont vous redoutez les deux rois ne sera que désolation. (Ésaïe 7:16 GLT)
L'événement de la première clause se produit après l'événement de la deuxième clause. D'abord la terre qu'ils redoutent sera désolée, puis l'enfant saura refuser le mal et choisir le bien. Nous le savons grâce au mot de connexion avant. Mais la mention des propositions dans cet ordre peut indiquer un arrangement inapproprié des événements dans votre langue. Le traducteur pourrait être amené à modifier l'ordre afin que les propositions soient présentées dans l'ordre dans lequel elles apparaissent. Il est aussi possible de conserver l'ordre du texte de la langue d'origine et de marquer l'ordre de la séquence afin qu'il soit clair pour les lecteurs. Vous (le traducteur) devez décider de la meilleure façon de communiquer cette séquence clairement et correctement.
En ces jours-là, Marie se leva et se rendit rapidement dans la région montagneuse, dans une ville de Juda, et elle entra dans la maison de Zacharie et salua Elisabeth. (Luc 1:39-40 GLT)
Ici, la conjonction de coordination et relie quatre événements. Ce sont des événements séquentiels - chacun se produit après celui qui le précède. Nous le savons parce que c'est la seule façon dont ces événements se produiraient. Donc, en français, la conjonction de coordination et est suffisante pour rendre la séquence claire pour des événements tels que ceux-ci. Vous devrez décider si cela communique également cette séquence clairement et correctement dans votre langue.
Si la séquence des événements est claire dans votre langue, traduisez la séquence telle qu'elle est.
(1) Si le mot de connexion n'est pas clair, utilisez un mot de connexion qui communique la séquence plus clairement.
(2) Si les propositions sont dans un ordre qui rend la séquence pas assez claire, placez-les dans un ordre plus clair.
(1) Si le mot de connexion n'est pas clair, utilisez un mot de connexion qui communique la séquence plus clairement.
En ces jours-là, Marie se leva et se rendit rapidement dans la région montagneuse, dans une ville de Juda, et elle entra dans la maison de Zacharie et salua Elisabeth. (Luc 1:39-40 GLT)
En ces jours-là, Marie se leva. Puis elle se rendit rapidement dans la région montagneuse, dans une ville de Juda. Ensuite, elle entra dans la maison de Zacharie, et alors elle salua Elisabeth.
Car avant que l'enfant sache refuser le mal et choisir le bien, le pays dont vous redoutez les deux rois ne sera que désolation. (Ésaïe 7:16 GLT)
Car le temps viendra où l'enfant saura refuser le mal et choisir le bien, mais avant ce temps, la terre dont vous redoutez les deux rois ne sera que désolation.
(2) Si les propositions sont dans un ordre qui rend la séquence pas assez claire, placez-les dans un ordre plus clair.
Car le pays dont vous redoutez les deux rois sera désolé avant que l'enfant ne sache refuser le mal et choisir le bien.
Pour en savoir plus sur les séquences d'événements, voir L'ordre des événements.
Certains mots de connexion établissent des relations temporelles entre deux expressions, propositions, phrases ou fragments de texte.
Une proposition simultanée est une relation temporelle qui relie deux ou plusieurs événements qui prennent place en même temps.
Les langues variées du monde indiquent de différentes façons que des événements se produisent simultanément. Ces façons varient si quelque chose provoque les événements de prendre place simultanément. Les mots de connexion qui indiquent des événements simultanés sont des mots tels que "pendant", "comme" et "pendant". Souvent, la Bible n'établit pas de relation entre les événements, mais dit simplement qu'ils se sont produits en même temps. Il est important que vous (le traducteur) sachiez quand une relation temporelle est implicite et quand elle ne l'est pas afin de pouvoir la communiquer clairement. Une proposition simultanée indique que des événements se sont produits en même temps, mais n'indique pas qu'un événement a causé l'autre. Ces propositions auraient une relation de raison et de résultat.
Joseph a bien servi son maître, et Dieu a béni Joseph. (OBS Histoire 8, Image no. 4)
Deux événements se sont produits alors que Joseph était l'esclave d'un riche fonctionnaire du gouvernement égyptien : Joseph l'a bien servi et Dieu a béni Joseph. Il n'y a aucune indication d'une relation de raison et de résultat (cause et effet) entre les deux, ou d’une relation temporelle séquentielle
Mais en vérité, je vous dis qu'il y avait beaucoup de veuves en Israël pendant les jours d'Élie. (Luc 4:25b GLT)
Le mot de connexion pendant nous dit clairement que deux choses se sont produites en même temps. Mais il est aussi clair qu'un événement n'a pas causé l'autre.
Et les gens attendaient Zacharie, et ils s'étonnaient qu'il s’attarde dans le temple. (Luc 1:21 GLT)
Les gens attendaient et se demandaient en même temps. La conjonction et l'indique.
**Alors qu'**ils regardaient intensément vers le ciel comme il montait, soudainement, deux hommes en vêtements blancs se sont tenus à leurs côtés. (Actes 1:10 GLT)
Trois événements se sont produits en même temps – les disciples regardants, Jésus montant au ciel et deux hommes se tenant debout. Les mots de connexion alors que et comme nous le disent.
Si les propositions simultanées sont clairement marquées dans votre langue, traduisez-les telles quelles.
(1) Si le mot de connexion n'indique pas clairement que les propositions simultanées prennent place en même temps, utilisez un mot de connexion qui le communique plus clairement.
(2) S'il n'est pas clair à quelle proposition la proposition simultanée est connectée et si elles se passent en même temps, marquez toutes les propositions avec un mot de connexion.
(3) Si votre langue marque les événements comme simultanés sans l'utilisation de mots de connexion, utilisez la façon de le faire de votre langue.
Chaque verset biblique ci-dessous sera reformulé de trois manières différentes, selon les stratégies de traduction de la liste ci-dessus. Chaque reformulation aura le même numéro que la stratégie de traduction qu'elle utilise.
Et le peuple attendait Zacharie, et il s'étonnait qu'il s'attarde dans le temple. (Luc 1:21 GLT)
(1) Pendant que le peuple attendait Zacharie, il s'étonnait qu'il s'attarde dans le temple.
(2) Alors que les gens attendaient Zacharie, ils s’inquiétaient aussi de son retard dans le temple.
(3) Le peuple attendait Zacharie, s'inquiétant de son retard dans le temple.
**Alors qu'**ils regardaient intensément vers le ciel comme il montait, soudainement, deux hommes en vêtements blancs se sont tenus à leurs côtés. (Actes 1:10 GLT)
(1) Et durant le temps qu'ils regardaient attentivement vers le ciel pendant qu'il montait, tout à coup, deux hommes en vêtements blancs se tenaient à côté d'eux.
(2) Et pendant qu'ils regardaient attentivement vers le ciel alors que Jésus montait, à ce même moment, deux hommes en vêtements blancs ont apparu, se tenant à côté d'eux.
(3) Ils regardaient attentivement vers le ciel ; Jésus montait quand ils ont vu deux hommes en vêtements blancs, debout à côté d'eux.
Certains mots de connexion établissent des relations temporelles entre deux expressions, propositions, phrases ou fragments de texte.
Une proposition contextuelle (de renseignements généraux) est une proposition simultanée qui indique les circonstances qui accompagnent les événements de la proposition principale. Ce qui se passe déjà sert de toile de fond à l'autre événement, celui qui est au centre de l'attention. L'arrière-plan fourni par la proposition contextuelle donne simplement la période ou un autre contexte pour l'événement ou les événements présentés dans la proposition principale.
Les langues indiquent un changement dans le temps de différentes manières. Vous (le traducteur) devez comprendre comment ces décalages dans le temps sont indiqués dans les langues d'origine afin de les communiquer clairement dans votre propre langue. Les propositions contextuelles présentent souvent une période de temps qui a commencé bien avant l'événement qui est au centre de l'attention mais qui continue en parallèle. Les traducteurs doivent comprendre comment la langue source et la langue cible communiquent les événements d'arrière-plan. Certains mots de connexion qui indiquent des événements en arrière-plan sont "maintenant", "quand", "pendant" et "durant". Ces conjonctions peuvent également indiquer des événements simultanés. Pour les identifier, demandez-vous si tous les événements semblent avoir la même importance et ont commencé à peu près au même moment. Si c'est le cas, il s'agit probablement d'événements simultanés. Mais si un événement est en cours et un autre événement vient de commencer, alors l'événement en cours constitue probablement le contexte ou des renseignements généraux regardant l'événement principal. Certaines expressions courantes qui indiquent des événements en arrière-plan sont "en ces jours" et "à ce moment-là".
Quand Salomon était vieux, il adorait aussi leurs dieux. (OBS Histoire 18, Image 3)
Salomon a commencé à adorer des dieux étrangers pendant qu'il était vieux. Sa vieillesse est l'événement contextuel, un renseignement général. Son adoration d'autres dieux est l'événement principal.
Et ses parents allaient chaque année à Jérusalem pour la fête de la Pâque. Lorsqu'il eut 12 ans, ils montèrent selon la coutume de la fête. (Luc 2:41-42 GLT)
Le premier événement – la coutume d'aller à Jérusalem – est en cours et a commencé il y a longtemps. Nous le savons à cause des mots "chaque année". Aller à Jérusalem est l'événement contextuel. "Quand il avait douze ans" commence un événement qui prend place à l'intérieur de la coutume de la fête. L'événement principal est donc le moment précis où Jésus et sa famille se sont rendus à Jérusalem pour la fête de la Pâque, à savoir lorsqu'il avait douze ans.
Pendant qu'ils étaient là, les jours où Marie devait accoucher sont arrivés. (Luc 2:6 ULT)
Être à Bethléem est le contexte de la naissance du bébé qui est l’événement principal.
Pendant la quinzième année du règne de Tibère César, lorsque Ponce Pilate était gouverneur de la Judée, et Hérode tétrarque de la Galilée, et son frère Philippe était tétrarque de l’Iturée et du territoire de la Trachonite, et Lysanias était tétrarque de l’Abilène, et durant la période des souverains sacrificateurs Anne et Caïphe, la Parole de Dieu fut addressée à Jean, fils de Zacharie, dans le désert. (Luke 3:1-2 GLT)
Cet exemple commence par cinq propositions contextuelles (marquées par des virgules), signalées comme arrière-plan par les mots "pendant" et "lorsque". Ensuite, l'événement principal se produit : "la parole de Dieu est venue à Jean".
Si la façon dont les propositions contextuelles sont marquées est claire dans votre langue, alors traduisez-les telles qu’elles sont.
(1) Si le mot de connextion n’indique pas clairement que ce qui suit est une proposition contextuelle, utiliser un mot de connexion qui le communique plus clairement.
(2) Si votre langue indique les propositions contextuelles d’une manière différente de sans utiliser de mots de connexion (comme en utilisant des formes de verbe différentes), alors utilisez cette façon.
Pendant la quinzième année du règne de Tibère César, lorsque Ponce Pilate était gouverneur de la Judée, et Hérode tétrarque de la Galilée, et son frère Philippe était tétrarque de l’Iturée et du territoire de la Trachonite, et Lysanias était tétrarque de l’Abilène, et durant la période des souverains sacrificateurs Anne et Caïphe, la Parole de Dieu fut addressée à Jean, fils de Zacharie, dans le désert. (Luke 3:1-2 GLT)
(1) Si le mot de connextion n’indique pas clairement que ce qui suit est une proposition contextuelle, utiliser un mot de connexion qui le communique plus clairement.
la Parole de Dieu fut addressée à Jean, fils de Zacharie, dans le désert, durant la quinzième année du règne de Tibère César, et pendant que Ponce Pilate était gouverneur de la Judée et Hérode tétrarque de la Galilée, et pendant que son frère Philippe était tétrarque de l’Iturée et du territoire de la Trachonite, et pendant que Lysanias était tétrarque de l’Abilène, et et aussi durant la période des souverains sacrificateurs Anne et Caïphe.
(2) Si votre langue marque les clauses d’arrière-plan d’une manière différente de l’utilisation de mots de connexion, par exemple avec des formes de verbe différentes, utilisez cette façon.
Ponce Pilate gouvernait la Judée, et Hérode régnait sur la Galilée, et son frère Philippe régnait sur la région de l'Iturée et de la Trachonitte, et Lysanias régnait sur l'Abilene, et Anne et Caïphe étaient grands prêtres et la parole de Dieu arriva à Jean fils de Zacharie dans le désert.
Catégories | Exemple |
---|---|
Cadre contextuel | La parole de Yahvé était rare à cette époque ; |
Contexte répété | les visions prophétiques n’étaient pas fréquentes. |
Introduction de l'événement principal | En ce temps-là, quand Élie |
Renseignements généraux | dont la vue avait commencé à faiblir |
de sorte qu'il ne pouvait pas bien voir, | |
Contexte simultané | était couché dans son lit, |
Contexte simultané | la lampe de Dieu n'était pas encore éteinte, |
Contexte simultané | et Samuel était couché dans le temple de Yahvé, |
Contexte simultané | où était l'arche de Dieu. |
Événement principal | L'Éternel appela Samuel |
Événement sequentiel | qui répondit, « Me voici ! » (1 Sam 3:1-4 GLT) |
Dans l'exemple ci-dessus, les deux premières lignes parlent d'une condition qui durait depuis longtemps. C’est le renseignement général à long terme. Nous le savons d’après l’expression "à cette époque". Après l’introduction de l’événement principal (en ce temps-là), il y a plusieurs lignes de contexte simultané. La première est introduite par "quand", puis trois autres suivent, la dernière étant connectée par "et". La proposition contextuelle introduite par “où” donne un peu plus d'information sur la proposition simultanée qui la précède. Ensuite, l'événement principal prend place, suivit par d'autres événements . Les traducteurs devront réfléchir à la meilleure façon de montrer ces relations dans leur langue.
Certains mots de connexion établissent des relations logiques entre deux expressions, propositions, phrases ou fragments de texte.
Une relation de but est une relation logique dans laquelle le deuxième événement est l'objectif ou le but du premier événement. Pour qu'une relation de but existe, quelqu'un doit faire le premier événement avec l'intention de causer le deuxième événement.
Dans les Écritures, l'objectif ou le but peut être énoncé en premier ou en second. Mais dans certaines langues, l'objectif doit toujours se trouver dans la même position (soit en premier, soit en deuxième) pour que cette relation logique soit comprise. Vous (le traducteur) devez comprendre la relation entre les deux événements et les communiquer avec précision dans votre langue. Cela peut nécessiter de changer l'ordre des deux événements et cela peut aussi exiger des mots spécifiques pour indiquer que l'un est l'objectif de l'autre. Les mots couramment utilisés pour indiquer une relation de but en français sont "afin de", "afin que" ou "de sorte que". Il est important que le traducteur reconnaisse les mots qui signalent une relation de but et traduise cette relation de manière naturelle.
Elle s'est mise en colère et a faussement accusé Joseph afin qu'il soit arrêté et envoyé en prison. (Histoire 8 Image 5 OBS)
Le but de la fausse accusation de la femme était de faire arrêter Joseph et de l'envoyer en prison.
Pendant ce temps, Gédéon, son fils, battait du blé au pressoir afin de se cacher de la présence de Madian. (Juges 6:11b GLT)
Ici, la proposition logique commence par "afin de".
Maintenant, si j'ai trouvé grâce à tes yeux, montre-moi tes voies afin que je puisse te connaître et continuer à trouver grâce à tes yeux. Considère que cette nation est ton peuple. (Exode 33:13 GLT)
Moïse veut que Dieu lui montre ses voies dans le but qu'il puisse connaître Dieu et continuer à trouver grâce auprès de lui.
Assurez-vous même d'en retirer quelques-uns des gerbes pour elle et de les laisser derrière pour qu'elle les glane, et ne la réprimandez pas ! (Ruth 2:16 GLT)
Le but de Boaz, demandant aux hommes de retirer des épis de leurs gerbes et de les laisser tomber, était de permettre à Ruth de les recueillir (glaner).
Les bergers se dirent : « Allons bien sûr jusqu'à Bethléem, et voyons ce qui s'est passé, ce que le Seigneur nous a fait connaître. (Luc 2:15 GLT)
Le but d'aller à Bethléem était de voir ce qui s'était passé. Ici, le but n'est pas marqué indiqué par un mot de connexion et pourrait être mal compris.
… si vous voulez entrer dans la vie, gardez les commandements. (Matthieu 19:17b GLT)
Le but de garder les commandements est d’entrer dans la vie.
Ne vous en détournez pas vers la droite ou vers la gauche afin d'être sage partout où vous marchez. (Josué 1:7c GLT)
Le but de ne pas se détourner des instructions que Moïse a données aux Israélites était qu’ils soient sages
Mais quand les vignerons virent le fils, ils se dirent entre eux : « C'est l'héritier. Venez, tuons-le et prenons possession de son héritage. » Donc, ils le prirent, le jetèrent hors de la vigne et le tuèrent. (Matt 21:38-39 GLT)
Le but des vignerons en tuant l'héritier était de prendre son héritage. Ils déclarent leur plan comme deux événements, ne les joignant qu'avec la conjonction "et". Ensuite, le mot « donc » marque le rapport au premier événement, mais le deuxième événement (le but) n'est pas déclaré.
Si votre langue utilise les relations de but et d'objectives de la même manière que dans le texte source, utilisez-les telles qu'elles sont.
(1) Si la déclaration de l’objectif n’est pas claire, remplacez-la par un énoncé plus clair.
(2) Si l’ordre des déclarations rend l'objectif imprécis ou pas clair pour le lecteur, modifiez cet ordre.
(1) Si la déclaration de l’objectif n’est pas claire, remplacez-la par un énoncé plus clair.
Assurez-vous même d'en retirer quelques-uns des gerbes pour elle et de les laisser derrière pour qu'elle les glane, et ne la réprimandez pas ! (Ruth 2:16 GLT)
Assurez-vous même d'en retirer quelques-uns des gerbes pour elle et de les laisser derrière afin qu'elle puisse les glaner, et ne la réprimandez pas ! (Ruth 2:16 GLT)
Les bergers se dirent : « Allons bien sûr jusqu'à Bethléem, et voyons ce qui s'est passé, ce que le Seigneur nous a fait connaître. (Luc 2:15 GLT)
Les bergers se dirent : « Allons bien sûr jusqu'à Bethléem, afin de voir cet événement qui s'est passé, ce que le Seigneur nous a fait connaître. » (Luc 2:15 GLT)
(2) Si l’ordre des déclarations rend l'objectif imprécis ou pas clair pour le lecteur, modifiez cet ordre.
… si vous voulez entrer dans la vie, gardez les commandements. (Matthieu 19:17b GLT)
“… gardez les commandements si vous voulez entrer dans la vie.” ou :
“… gardez les commandements afin que vous puissiez entrer dans la vie..”(1) et (2)
Mais quand les vignerons virent le fils, ils se dirent entre eux : « C'est l'héritier. Venez, tuons-le et prenons possession de son héritage. » Donc, ils le prirent, le jetèrent hors de la vigne et le tuèrent. (Matt 21:38-39 GLT)
Mais quand les vignerons virent le fils, ils sedirent entre eux : « C'est l'héritier. Venez, tuons-le afin que nous puissions prendre possession de son héritage. » Alors ils le prirent, le jetèrent hors de la vigne et le tuèrent afin de prendre possession de son héritage.
Certains mots de connexion établissent des relations logiques entre deux expressions, propositions, phrases ou fragments de texte.
Une relation fondée sur la raison et les résultats est une relation logique dans laquelle un événement est la raison ou la cause d'un autre événement. Le deuxième événement est donc le résultat du premier.
Une relation fondée sur la raison et les résultats peut être tournée vers l’avenir – "Je le fais parce que je voudrais que X se produise". Mais habituellement, cette relation regarde en arrière – "X s’est produit, donc, c’est ce que j’ai fait". Il est aussi possible d’indiquer la raison avant ou après le résultat. Beaucoup de langues ont un ordre préféré pour la raison et le résultat, et il pourrait être déconcertant pour le lecteur s'ils sont dans l'ordre inverse. Les mots couramment utilisés pour indiquer une relation raison-résultat sont “because,” “so,” “par conséquent,” and “car.” Certains de ces mots peuvent aussi être utilisés pour indiquer une relation de but. Les traducteurs doivent donc être conscients de la différence entre une relation de but et une relation de raison résultat. Il est aussi nécessaire que les traducteurs comprennent comment les deux événements sont liés pour les communiquer clairement dans leur langue.
Si la raison et le résultat se trouvent dans des versets différents, il est toujours possible de les mettre dans un ordre différent. Si vous changez l'ordre des versets, rassemblez les numéros de versets au début du groupe de versets qui ont été réarrangés comme ceci : 1-2. C'est ce qu'on appelle un Pont de versets.
Les Juifs étaient stupéfaits, parce que Saul avait essayé de tuer des croyants, et maintenant il croyait en Jésus ! (OBS Histoire 46, Image 6 )
La raison est le changement de Saul. Il avait essayé de tuer des gens qui croyaient en Jésus, et maintenant il croyait lui-même en Jésus. Le résultat est que les Juifs étaient stupéfaits. "Parce que" relie les deux idées et indique que ce qui suit est une raison.
Voici, une grande tempête s'éleva sur la mer, de sorte que la barque fut couverte de vagues. (Matthieu 8:24a GLT)
La raison est la grande tempête, et le résultat est le bateau couvert par les vagues. Les deux événements sont liés par "de sorte que". Remarquez que le terme "de sorte que" indique souvent une relation de but, mais ici nous observons une relation de raison-résultat. C’est parce que la mer ne peut pas penser et n’a donc pas de but.
Dieu bénit le septième jour et le sanctifia, parce que durant ce jour il se reposa de tout son travail qu’il avait fait dans sa création. (Genèse 2:3 GLT)
Le résultat c'est que Dieu bénit et sanctifia le septième jour. La raison est qu’il se reposa de son travail le septième jour.
« Vous êtes bien heureux, vous pauvres, car votre royaume est le royaume de Dieu . » (Luke 6:20b GLT)
Le résultat est que les pauvres sont bénis. La raison est que le royaume de Dieu leur appartient.
Mais il établit à leur place leurs enfants que Josué circoncit, car ils étaient incirconcis, **parce qu'**ils n’avaient pas été circoncis sur le chemin. (Josué 5:7 GLT)
Le résultat est que Josué a circoncis les garçons et les hommes qui étaient nés dans le désert. La raison était qu’ils n’avaient pas été circoncis pendant leur voyage.
Si votre langue utilise les relations raison-résultat de la même manière que dans le texte, alors utilisez-les telles qu’elles sont.
(1) Si l’ordre des propositions porte à la confusion pour le lecteur, modifier l’ordre.
(2) Si la relation entre les propositions n’est pas claire, utiliser un mot de connexion plus clair.
(3) S’il est plus clair de mettre un mot de rattachement dans une proposition qui n’en a pas, faites-le.
Dieu bénit le septième jour et le sanctifia, parce que durant ce jour il se reposa de tout son travail qu’il avait fait dans sa création. (Genèse 2:3 GLT)
(1) Dieu se reposa le septième jour de tout son travail qu’il avait fait dans sa création. C’est pourquoi il bénit le septième jour et le sanctifia.
« Vous êtes bien heureux, vous pauvres, car votre royaume est le royaume de Dieu . » (Luke 6:20b GLT)
(1) Le royaume de Dieu vous appartient, vous qui êtes pauvres. Donc, les pauvres sont bénis.
(2) Heureux sont les pauvres, parce que le royaume de Dieu leurs appartient.
(3) La raison pour laquelle les pauvres sont bénis est parce que le royaume de Dieu leur appartient.
Voici, une grande tempête s'éleva sur la mer, de sorte que la barque fut couverte de vagues. (Matthieu 8:24a GLT)
(1) Voici, le bateau était couvert de vagues parce que une grande tempête s'était levée sur la mer.
(2) Voici, une grande tempête se leva sur la mer, et le résultat fut que le bateau a été couvert de vagues.
(3) Voici, parce que une grande tempête s’était levée sur la mer, le bateau était couvert de vagues.
Comme il ne pouvait rien savoir avec certitude à cause du bruit, il a ordonné qu'il soit amené dans la forteresse. (Actes 21:34b GLT)
(1) Le capitaine a ordonné que Paul soit amené dans la forteresse, **parce qu'**il ne pouvait rien dire à cause de tout le bruit.
(2) Parce que le capitaine ne pouvait rien dire à cause de tout le bruit, il a ordonné que Paul soit amené dans la forteresse.
(3) Le capitaine ne pouvait rien dire à cause de tout le bruit, alors il a ordonné que Paul soit amené dans la forteresse.
Certains mots de connexion établissent des relations logiques entre deux expressions, propositions, phrases ou fragments de texte.
Une relation de contraste est une relation logique dans laquelle un événement ou un élément est mis en contraste ou en opposition à un autre.
Dans les Écritures, de nombreux événements ne se sont pas passés comme les personnes impliquées l'avaient prévu ou s'y attendaient. Les gens agissaient d'une manière inattendue, parfois bonne ou mauvaise. Souvent, c'était Dieu à l'œuvre, changeant les événements en situations souvent cruciales. Il est important que les traducteurs comprennent et communiquent ces contrastes. En français, les relations de contraste sont souvent indiquées par les mots « mais », « bien que », « même si », « quoique », « encore » ou « cependant ».
Vous avez essayé de faire du mal quand vous m’avez vendu comme esclave, mais Dieu a utilisé ce mal pour le bien ! (Histoire 8, Image 12 OBS)
Le mauvais plan des frères de Joseph de le vendre comme esclave est contrasté avec le bon plan de Dieu de sauver beaucoup de gens. Le mot "mais" marque le contraste.
Car qui est le plus grand, celui qui se met à table ou celui qui sert ? N'est-ce pas celui qui est à table ? Pourtant, je suis parmi vous comme celui qui sert. (Luc 22:27 GLT)
Jésus met en contraste le comportement fier des dirigeants humains avec son comportement humble. Le contraste est marqué par le mot "pourtant".
Vous posséderez toute la région montagneuse. **Bien qu'**elle soit couverte de forêts, vous la défricherez et elle deviendra la vôtre jusqu'à ses limites les plus éloignées, car vous chasserez les Cananéens, même **bien qu'**ils aient des chars de fer, et **bien qu'**ils soient très forts . (Josué 17:18 GLT)
On ne s'attendait pas à ce que les Israélites, qui avaient été esclaves en Egypte, puissent conquérir et revendiquer la terre promise.
Si votre langue utilise les relations de contraste de la même manière que vous les trouvez dans le texte, utilisez-les telles qu’elles sont.
(1) Si la relation de contraste entre les propositions n’est pas claire, utiliser un mot ou une phrase qui est plus spécifique ou plus claire.
(2) S’il est plus clair dans votre langue de marquer l’autre proposition de la relation de contraste, utilisez alors un mot de connexion dans l’autre proposition.
(3) Si votre langue présente une relation de contraste d’une manière différente, utilisez-la.
(1) Si la relation de contraste entre les propositions n’est pas claire, utiliser un mot ou une phrase qui est plus spécifique ou plus claire.
Car qui est le plus grand, celui qui se met à table ou celui qui sert ? N'est-ce pas celui qui est à table ? Pourtant, je suis parmi vous comme celui qui sert. (Luc 22:27 GLT)
Car qui est le plus grand, celui qui se met à table ou celui qui sert ? N'est-ce pas celui qui se met à table ? Contrairement à cette personne, je suis parmi vous comme celui qui sert.
(2) S’il est plus clair dans votre langue de marquer l’autre proposition de la relation de contraste, utilisez alors un mot de connexion dans l’autre proposition.
Vous posséderez toute la région montagneuse. **Bien qu'**elle soit couverte de forêts, vous la défricherez et elle deviendra la vôtre jusqu'à ses limites les plus éloignées, car vous chasserez les Cananéens, même **bien qu'**ils aient des chars, et **bien qu'**ils soient très forts.. (Josué 17:18 GLT)
La région montagneuse sera aussi la vôtre. C'est une forêt, mais vous la défricherez et elle deviendra la vôtre jusqu'à ses limites les plus éloignées. Les Cananéens ont des chars de fer, et ils sont forts, mais vous les chasserez.
(3) Si votre langue présente une relation de contraste d’une manière différente, utilisez-la.
[David] trouva grâce aux yeux de Dieu, et il demanda s'il pouvait trouver une demeure sainte pour la maison de Jacob. Cependant, Salomon a construit la maison pour lui. Mais le Très-Haut ne vit pas dans des maisons faites par la main des hommes. (Actes 7:46-48a GLT)
[David] trouva grâce aux yeux de Dieu, et il demanda s'il pouvait trouver une demeure sainte pour la maison de Jacob. Mais c'est Salomon, pas David, qui a construit la maison pour Dieu. Même si Salomon lui a construit une maison, le Très-Haut ne vit pas dans des maisons faites par la main des hommes.
Les connecteurs conditionnels relient deux propositions pour indiquer que l'une d'entre elles se passera lorsque l'autre arrivera. En français, la manière la plus commune de connecter des propositions conditionnelles est d'utiliser les mots "si… alors". Cependant, le mot "alors" est souvent omis.
Une condition factuelle est une condition qui semble hypothétique mais qui est déjà certaine ou vraie dans l'esprit du locuteur. En français, une phrase contenant une condition factuelle peut utiliser les mots "même si", "puisque", "ceci étant le cas" pour indiquer qu'il s'agit d'une condition factuelle et non d'une condition hypothétique.
Certaines langues ne déclarent pas quelque chose comme une condition si elle est certaine ou vraie. Les traducteurs de ces langues pourraient mal comprendre l'utilisation d'une condition factuelle dans la langue source et penser que la condition est incertaine. Cela conduirait à des erreurs dans leurs traductions. Même si les traducteurs comprennent que la condition est certaine ou vraie, les lecteurs pourraient mal la comprendre. Dans ce cas, il serait préférable de le traduire comme une déclaration de fait plutôt qu'une déclaration de condition factuelle.
“Si Yahvé est Dieu, adorez-le!” (Histoire 19, Image 6 OBS)
Élie s'est approché de tout le peuple et a dit : « Jusqu’à quand changerez-vous d'avis ? Si Yahweh est Dieu, suivez-le. Mais si Baal est Dieu, alors suivez-le ». Pourtant le peuple ne lui répondit pas un mot. (1 Rois 18:21 ULT)
Cette phrase a la même construction qu'une condition hypothétique. La condition est « si Yahvé est Dieu ». Si c'est vrai, alors les Israélites devraient adorer Yahvé. Mais le prophète Élie ne se demande pas si oui ou non Yahvé est Dieu. En fait, il est si certain que Yahvé est Dieu que plus tard dans le passage, il verse de l'eau sur tout son sacrifice. Il est convaincu que Dieu est réel et qu'il brûlera même une offrande complètement trempée. Maintes et maintes fois, les prophètes ont enseigné que Yahvé est Dieu, donc les gens devraient l'adorer. Cependant, le peuple n'adorait pas Yahvé, bien qu'il est Dieu. En mettant la déclaration ou l'instruction sous la forme d'une condition factuelle, Élie essaie d'amener les Israélites à comprendre plus clairement ce qu'ils doivent faire.
« Un fils honore son père, et un serviteur honore son maître. Si alors, je suis un père, où est mon honneur ? Si je suis un maître, où est la révérence pour moi ? » dit l’Éternel des armées à vous, prêtres, qui méprisent mon nom. (Malachie 1:6 ULT)
Yahvé a dit qu'il est un père et un maître pour Israël, donc même si cela ressemble à une condition hypothétique parce qu'elle commence par « si », la proposition n'est pas hypothétique. Le verset commence par un proverbe qui dit qu'un fils honore son père. Tout le monde sait que c'est vrai. Mais les Israélites n'honorent pas Yahvé. L'autre proverbe du verset dit qu'un serviteur honore son maître. Tout le monde sait aussi que c'est vrai. Mais les Israélites n'honorent pas Yahweh. Il semble donc qu'il ne soit pas leur maître. Mais Yahvé est le maître. Yahvé utilise la forme d'une condition hypothétique pour démontrer que les Israélites ont tort. La deuxième partie de la condition qui devrait se produire naturellement ne se produit pas, même si la déclaration conditionnelle est vraie.
Si l’utilisation de la forme d’une condition hypothétique est déroutante ou ferait penser au lecteur que l’orateur doute de ce qu’il dit dans la première partie de la phrase, alors utilisez une déclaration à sa place. Des mots comme « depuis » ou « vous savez que… » ou « il est vrai que… » peuvent aider à en clarifier le sens.
« Si Yahvé est Dieu, adorez-le ! » (Histoire 19, Image 6 OBS)
« Il est vrai que Yahvé est Dieu, donc adorez-le ! »
« Un fils honore son père, et un serviteur honore son maître. Si alors, je suis un père, où est mon honneur ? Si je suis un maître, où est la révérence pour moi ? » dit l’Éternel des armées à vous, prêtres, qui méprisent mon nom. (Malachie 1:6 ULT)
Un fils honore son père, et un serviteur honore son maître. Puisque moi, je suis un père, où est mon honneur ? Puisque je suis un maître, où est la révérence pour moi ?
Les connecteurs conditionnels relient deux clauses pour indiquer que l'une d'elles se produira quand l'autre prend place. En français, la façon la plus courante de relier les clauses conditionnelles est avec les mots "si… alors". Mais, le mot "alors" est souvent omit.
Une condition contraire aux faits est une condition qui semble hypothétique, mais dont l’orateur est déjà certain que ce n’est pas vrai.
Normalement, il n'y a pas de mots spéciaux qui indiquent une condition contraire aux faits. L'auteur suppose que le lecteur sait que la condition n’est pas vraie. Pour cette raison, il faut souvent reconnaître les informations implicites pour déterminer qu'elles ne sont pas vraies. Si les traducteurs ont des difficultés à communiquer ce type de condition, ils peuvent envisager d'utiliser les mêmes stratégies que celles qu'ils ont utilisées pour questions rhétoriques ou renseignements implicites.
Mais si Baal est Dieu, adorez-le ! (Histoire 19, Image 6 OBS)
Élie s’est approché de tout le peuple et a dit : « Jusqu'à quand changerez-vous d’avis ? Si Yahvé est Dieu, suivez-le. Mais si Baal est Dieu, alors suivez-le. » Pourtant, le peuple ne lui répondit pas un mot. (1 Rois 18:21 ULT)
Baal n'est pas Dieu. Élie ne suggère pas que Baal pourrait être Dieu, et il ne veut pas que les gens suivent Baal. Mais Élie a utilisé une déclaration conditionnelle pour leur montrer que ce qu'ils faisaient était mauvais. Dans l'exemple ci-dessus, nous voyons deux conditions qui ont la même construction. La première, "Si Yahvé est Dieu", est une condition factuelle parce qu'Élie est certain que c'est vrai. La seconde, « si Baal est Dieu », est une condition contraire aux faits, car Élie est certain que ce n'est pas vrai. Vous devrez vous demander si les gens exprimeraient les deux conditions de la même manière dans votre langue ou s'ils les diraient différemment.
Mais sa femme lui répondit : « Si Yahvé avait voulu nous faire mourir, il n’aurait pas pris de nos mains l’holocauste et l’offrande. Il ne nous aurait pas montré toutes ces choses, et à cet instant, il ne nous aurait pas permis d'en entendre parler ». (Juges 13:23 ULT)
La femme de Manoah pense que la deuxième partie de sa déclaration conditionnelle n’est pas vraie, donc la première partie est aussi fausse. Dieu a reçu leur holocauste ; par conséquent, il ne veut pas les tuer.
« Si seulement nous étions morts par la main de Yahvé dans le pays d'Égypte, assis près d'un pot de viande et mangeant du pain à satiété. » (Exode 16b:3 ULT)
Bien sûr, les gens qui parlent ici n'étaient pas morts en Egypte, et c’est donc une condition contraire aux faits qui est utilisée pour exprimer un souhait.
« Malheur à toi, Chorazin ! Malheur à toi, Bethsaïde ! Si les grandes actions qui ont été faites en vous avaient été faites à Tyr et à Sidon, ils se seraient repentis il y a longtemps en sac et en cendres. » (Matthieu 11:21 ULT)
Le lecteur sait que ces deux derniers exemples sont des conditions contraires aux faits en raison des verbes au passé utilisés dans la première partie (ce ne sont pas des choses qui pourraient arriver). Le dernier exemple a une deuxième partie qui utilise le conditionnel. Ces mots signalent également quelque chose qui ne s'est pas produit.
Si les conditions contraires aux faits sont claires dans votre langue, utilisez-les telles quelles.
(1) Si la condition amène le lecteur à penser que l’orateur croit quelque chose qui est faux, alors reformulez la condition en quelque chose que les autres croient.
(2) Si la condition amène le lecteur à penser que le locuteur suggère que la première partie est vraie, alors reformulez-la comme une déclaration indiquant qu'elle n'est pas vraie.
(3) Si la condition exprime quelque chose que l'orateur voulait mais qui ne s’est pas produit, reformulez-la comme un souhait.
(4) Si la condition exprime quelque chose qui ne s’est pas passé, reformulez-la comme un énoncé négatif.
(5) Souvent, des conditions factuelles et contraires aux faits sont utilisées pour présenter des arguments raisonnés en faveur d'un changement de comportement. Si les traducteurs ont du mal à connaître la meilleure façon de les traduire, il pourrait être utile de discuter de la manière dont cela se fait dans leur communauté linguistique. Si quelqu'un essaie de convaincre les gens de changer leur comportement, comment va-t-il le faire ? Il serait peut-être possible d'adapter des stratégies similaires à ces conditions.
(1) Si la condition amène le lecteur à penser que l’orateur croit quelque chose qui est faux, alors reformulez la condition en quelque chose que les autres croient.
Mais si Baal est Dieu, adorez-le ! (Histoire 19, Image 6 OBS)
Si vous croyez que Baal est Dieu, alors adorez-le !
(2) Si la condition amène le lecteur à penser que le locuteur suggère que la première partie est vraie, alors reformulez-la comme une déclaration indiquant qu'elle n'est pas vraie.
Si Baal n’est pas Dieu, vous ne devriez pas l’adorer !
Mais sa femme lui répondit : « Si Yahvé avait voulu nous faire mourir, il n’aurait pas pris de nos mains l’holocauste et l’offrande. Il ne nous aurait pas montré toutes ces choses, et à cet instant, il ne nous aurait pas permis d'en entendre parler ». (Juges 13:23 ULT)
« Yahvé ne veut pas nous tuer, sinon il n’aurait pas reçu l’holocauste et l’offrande que nous lui avons donnée. »
(3) Si la condition exprime quelque chose que l'orateur voulait mais qui ne s’est pas produit, reformulez-la comme un souhait.
« Si seulement nous étions morts par la main de Yahvé dans le pays d'Égypte, assis près d'un pot de viande et mangeant du pain à satiété. » (Exode 16b:3 ULT)
« Nous aurions aimé mourir de la main de Yahvé dans le pays d’Égypte… »
(4) Si la condition exprime quelque chose qui ne s’est pas passé, reformulez-la comme un énoncé négatif.
« Malheur à toi, Chorazin ! Malheur à toi, Bethsaïde ! Si les grandes actions qui ont été faites en vous avaient été faites à Tyr et à Sidon, ils se seraient repentis il y a longtemps en sac et en cendres. » (Matthieu 11:21 ULT)
« Malheur à toi, Chorazin ! Malheur à toi, Bethsaïde ! Les grandes actions qui ont été faites en toi n’ont pas été faites à Tyr et à Sidon. Mais si elles avaient été faites là-bas, ces gens se seraient repentis il y a longtemps en sac et en cendres. »
(5) Souvent, des conditions factuelles et contraires aux faits sont utilisées pour présenter des arguments raisonnés en faveur d'un changement de comportement. Si les traducteurs ont du mal à connaître la meilleure façon de les traduire, il pourrait être utile de discuter de la manière dont cela se fait dans leur communauté linguistique. Si quelqu'un essaie de convaincre les gens de changer leur comportement, comment va-t-il le faire ? Il serait peut-être possible d'adapter des stratégies similaires à ces conditions.
Mais si Baal est Dieu, adorez-le ! (Histoire 19, Image 6 OBS)
Baal est-il celui qui est vraiment Dieu? Devriez-vous l’adorer?
« Malheur à toi, Chorazin ! Malheur à toi, Bethsaïde ! Si les grandes actions qui ont été faites en vous avaient été faites à Tyr et à Sidon, ils se seraient repentis il y a longtemps en sac et en cendres. » (Matthieu 11:21 ULT)
« Malheur à toi, Chorazin ! Malheur à toi, Bethsaïde ! Vous croyez être meilleurs que Tyr et Sidon, mais vous ne l'êtes pas ! Il y a longtemps qu’ils se seraient repentis en sac et en cendres en voyant les grandes actions que vous avez vues ! Vous devriez être comme eux! »
Les connecteurs conditionnels relient deux clauses pour indiquer que l'une d'elles se produira quand l'autre prend place. En français, la façon la plus courante de relier les clauses conditionnelles est avec les mots "si… alors". Mais, le mot "alors" est souvent omit.
Une condition hypothétique est une condition dans laquelle le deuxième événement (la clause "alors") n’aura lieu que si le premier événement (la clause "si") a lieu ou est rempli d’une manière ou d’une autre. Parfois, ce qui se passe dépend des actions d’autres personnes.
Il est important que les traducteurs reconnaissent une condition hypothétique afin de la traduire correctement. Par exemple, certaines des promesses de Dieu à Israël étaient conditionnelles, basées sur l’obéissance d'Israël à Dieu. Mais de nombreuses promesses de Dieu à Israël n'étaient pas conditionnelles ; Dieu gardera ces promesses même quand les Israélites ne lui obéissent pas. Il est important que le traducteur connaisse la différence entre ces deux types de promesses et communique chacune avec précision dans sa propre langue. Parfois, les conditions sont énoncées dans un ordre différent de l'ordre dans lequel elles se produiront. Si les clauses sont présentées dans la langue cible dans un ordre différent, vous devrez alors faire un ajustement.
Dieu a promis de bénir le peuple et de le protéger, **s’**il obéissait à ces lois. Mais il a dit qu’il les punirait **s’**ils ne leur obéissaient pas. (Histoire 13, Image 7 OBS)
Dans les deux conditions hypothétiques de ce cadre, le premier événement (la proposition "si") suit le second (la proposition "alors"). Si cela n’est pas naturel ou porte à confusion, les propositions peuvent être reformulées dans un ordre plus naturel. La première condition hypothétique est : si les Israélites obéissaient à Dieu, alors Dieu les bénirait et les protégerait. La deuxième condition hypothétique est : si les Israélites n'obéissaient pas à Dieu, alors Dieu les punirait.
Si vous faites ce qui est juste, ne serez-vous pas accepté? (Genèse 4:7a ULT)
Si Caïn fait ce qui est juste, alors il sera accepté. Pour Caïn, le seul moyen d'être accepté est de faire ce qui est juste.
Si ce plan ou cette œuvre vient des hommes, il sera renversé. Mais **s'**il vient de Dieu, vous ne pourrez pas le renverser. (Actes 5:38b-39aULT)
Il y a deux conditions hypothétiques ici : (1) S’il est vrai que ce plan vient des hommes, alors il sera renversé. (2) S’il est vrai que ce plan vient de Dieu, alors il ne peut pas être renversé.
(1) Si l’ordre des articles rend la condition hypothétique pas claire, alors changez l’ordre des articles.
(2) S’il n’est pas clair où se trouve le deuxième événement, ajoutez un mot comme "alors".
(1) Si l’ordre des articles rend la condition hypothétique pas claire, alors changez l’ordre des articles.
Dieu a promis de bénir le peuple et de le protéger, **s’**il obéissait à ces lois. Mais il a dit qu’il les punirait **s’**ils ne leur obéissaient pas. (Histoire 13, Image 7 OBS)
Si le peuple obéissait à ces lois, Dieu a promis de les bénir et de les protéger. Mais **s'**ils n’obéissaient pas à ces lois, Dieu a dit qu’il les punirait.
(2) S’il n’est pas clair où se trouve le deuxième événement, ajoutez un mot comme "alors".
Dieu a promis de bénir le peuple et de le protéger, **s’**il obéissait à ces lois. Mais il a dit qu’il les punirait **s’**ils ne leur obéissaient pas. (Histoire 13, Image 7 OBS)
Si le peuple obéissait à ces lois, alors Dieu avait promis de les bénir et de les protéger. Mais **s'**ils n’obéissaient pas à ces lois, alors Dieu avait dit qu’il les punirait.
Si ce plan ou cette œuvre vient des hommes, il sera renversé. Mais **s'**il vient de Dieu, vous ne pourrez pas le renverser. (Actes 5:38b-39aULT)
Si ce plan ou cette œuvre vient des hommes, alors il sera renversé. Mais **s'**il vient de Dieu, alors vous ne serez pas en mesure de le renverser.
Les connecteurs de relations exceptionnelles font une exception pour un ou plusieurs éléments ou personnes d'un groupe.
Le Français indique des relations exceptionnelles en décrivant d'abord un groupe (dans la première partie), puis en indiquant ce qui n'appartient pas au groupe en utilisant des mots comme "excepté", "hormis", "si ce n’est que", "à part", "sauf si", dans la seconde partie. Certaines langues n'indiquent pas de cette manière qu'un ou plusieurs éléments ou personnes sont exclus d'un groupe. Ils pourraient avoir d'autres façons de le faire. Dans certaines langues, ce type de construction n'a pas de sens car l'exception de la deuxième partie semble contredire l'énoncé de la première partie. Les traducteurs doivent comprendre ce qui est dans le groupe et comment il est exclu afin de pouvoir le communiquer avec précision dans leur langue.
Dieu a dit à Adam « tu peux manger de n’importe quel arbre du jardin, saufde l’arbre de la connaissance du bien et du mal. Si tu en manges tu vas mourir. » (Histoire 1, Image11 OBS)
Mais si vous ne voulez pas le racheter, dites-le-moi pour que je le sache, car il n’y a personne pour le racheter à part vous, et je suis après vous. (Ruth 4:4b ULT)
David les a attaqués du crépuscule au soir du lendemain. Pas un homme ne s'est échappé sauf 400 jeunes hommes, qui sont montés sur des chameaux et se sont enfuis. (1 Samuel 30:17 ULT)
L'homme a dit : "Laisse-moi partir, car l'aube se lève." Jacob a dit : "Je ne te laisserai pas partir à moins que tu ne me bénisses." (Genèse 32:26 ULT)
Si la façon dont les propositions exceptionnelles sont marquées dans la langue source est claire dans votre langue, traduisez-les de la même façon.
(1) Très souvent, l’exception de la deuxième partie contredit quelque chose qui a été nié dans la première partie. Dans ce cas, le traducteur peut formuler la même idée sans la contradiction en supprimant le négatif et en utilisant un mot comme seulement.
(2) Inversez l'ordre des propositions de sorte que l'exception soit indiquée en premier, puis le plus grand groupe soit nommé en second.
(1) Très souvent, l’exception de la deuxième partie contredit quelque chose qui a été nié dans la première partie. Dans ce cas, le traducteur peut formuler la même idée sans la contradiction en supprimant le négatif et en utilisant un mot comme seulement.
David les a attaqués du crépuscule au soir du lendemain. Pas un homme ne s'est échappé sauf 400 jeunes hommes, qui sont montés sur des chameaux et se sont enfuis. (1 Samuel 30:17 ULT)
David les a attaqués du crépuscule au soir du lendemain. Seulement 400 jeunes hommes s’échappèrent; ils montèrent sur des chameaux et s’enfuirent.
Mais si vous ne voulez pas le racheter, dites-le-moi pour que je le sache, car il n’y a personne pour le racheter à part vous, et je suis après vous. (Ruth 4:4b ULT)
Mais si vous ne le rachetez pas, dites-le-moi pour que je le sache, car vous êtes en première ligne pour le racheter [vous seul pouvez le racheter], et je viens après vous.
L'homme a dit : "Laisse-moi partir, car l'aube se lève." Jacob a dit : "Je ne te laisserai pas partir à moins que tu ne me bénisses." (Genèse 32:26 ULT)
L’homme a dit : « Laisse-moi partir, car l’aube se lève. » Jacob a dit : « Je te laisserai partir seulement si tu me bénis. »
(2) Inverser l’ordre des articles, de sorte que l’exception soit mentionnée en premier, puis le groupe plus important soit nommé en deuxième.
Dieu a dit à Adam « tu peux manger de n’importe quel arbre du jardin, **sauf **de l’arbre de la connaissance du bien et du mal. Si tu en manges tu vas mourir. » (Histoire 1, Image11, OBS)
Dieu a dit à Adam qu’il ne devait pas manger de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, mais qu’il pouvait manger de n’importe quel autre arbre dans le jardin.
La grammaire a deux parties principales : les mots et la structure. La structure consiste à mettre les mots ensemble pour former des expressions, des propositions et des phrases. Voici un aperçu des sujets de grammaire que nous allons traiter en détail.
Les parties du discours – Chaque mot dans une langue appartient à une catégorie appelée une partie du discours . (Voir parties du discours.)
Phrases – Quand nous parlons, nous organisons nos pensées en phrases. Une phrase exprime généralement une pensée complète sur un événement ou une situation ou un état d’être. (Voir structure de la phrase.)
La possession – En français, la possession exprime l’avoir de quelque chose ou bien le lien avec une ou plusieurs personnes. On exprime la possession avec : le verbe avoir, les adjectifs possessifs (mon, ton, son…) et les pronoms possessifs (le mien, le tien, le sien…) les prépositions à et de. (Voir Possession.)
Les citations – Une citation est un rapport de ce que quelqu’un d’autre a dit.
Les noms abstraits sont des noms qui font allusion aux attitudes, aux qualités, aux événements, aux situations ou même aux relations entre ces idées. Ce sont des choses qui ne peuvent être vues ou touchées physiquement, telles que le bonheur, le poids, les blessures, l'unité, l'amitié, la santé et la raison.
Rappelez-vous que les noms sont des mots qui parlent d’une personne, un lieu, une chose ou une idée. ** Les noms abstraits ** sont les noms qui font allusion à des idées. Celles-ci peuvent être des attitudes, des qualités, des événements, des situations ou même des relations entre ces idées. Ce sont des choses qui ne peuvent pas être vues ou touchées physiquement, telles que la joie, la paix, la création, le bien, le contentement, la justice, la vérité, la liberté, la vengeance, la lenteur, la longueur et le poids.
L'utilisation de noms abstraits permet aux gens d'exprimer leurs pensées sur les idées en moins de mots que s'ils n'avaient pas ces noms. C'est une façon de nommer des actions ou des qualités pour que les gens puissent en parler comme s'il s'agissait de choses. Par exemple, dans les langues qui utilisent des noms abstraits, les gens peuvent dire : "Je crois au pardon du péché". Mais si la langue ne possédait pas les deux noms abstraits "pardon" et "péché", ils seraient obligés de construire une phrase plus longue pour exprimer le même sens. Ils devraient dire, par exemple, "Je crois que Dieu est prêt à pardonner aux gens après qu'ils ont péché", en utilisant des phrases verbales au lieu de noms pour ces idées.
La Bible à partir de laquelle vous traduisez utilise probablement des noms abstraits pour exprimer des idées. Votre langue pourrait ne pas utiliser de noms abstraits pour certaines de ces idées ; au lieu de cela, elle pourrait utiliser des expressions. Ces expressions utiliseront d'autres types de mots tels que des adjectifs, des verbes ou des adverbes pour rendre la signification du nom abstrait.
Depuis l’enfance vous avez connu les écrits sacrés… (2 Timothée 3:15a ULT)
Le nom abstrait "enfance" se réfère à la période quand quelqu'un est un enfant.
En effet la piété avec le contentement est un grand gain. (1 Timothée 6:6 ULT)
Les noms abstraits, "piété" et "contentement", se réfèrent à l’état d’être pieux et satisfait. Le nom abstrait "gain" fait référence à quelque chose qui fait du bien ou aide quelqu'un.
Aujourd’hui le salut est venu dans cette maison, parce qu’il est aussi un fils d’Abraham. (Luc 19:9 ULT)
Ici, le nom abstrait "salut" fait référence au fait d'être sauvé.
Le Seigneur ne se déplace pas lentement concernant ses promesses, comme certains considèrent que la lenteur est (2 Pierre 3:9a ULT)
Le nom abstrait "lenteur" fait référence au manque de rapidité avec lequel on fait quelque chose.
Il rendra à la lumière les choses cachées des ténèbres et révélera les intentions des cœurs. (1 Corinthiens 4:5b ULT)
Le nom abstrait "intention" fait référence aux choses que les gens veulent faire et aux raisons pour lesquelles ils veulent les faire.
Si un nom abstrait est naturel et donne le bon sens dans votre langue, envisagez de l’utiliser. Sinon, voici une autre option :
(1) Reformulez la phrase avec une expression qui explique le nom abstrait. Au lieu d'un nom, la nouvelle phrase utilisera un verbe, un adverbe ou un adjectif pour exprimer l'idée du nom abstrait.
(1) Reformulez la phrase avec une expression qui explique le nom abstrait. Au lieu d'un nom, la nouvelle phrase utilisera un verbe, un adverbe ou un adjectif pour exprimer l'idée du nom abstrait.
…depuis l’enfance tu as connu les écrits sacrés… (2 Timothée 3:15a ULT)
Depuis que tu étais un enfant, tu as connu les écrits sacrés.
En effet la piété avec le contentement est un grand gain. (1 Timothée 6:6 ULT)
Mais être pieux et content est très bénéfique. Mais nous profitons grandement lorsque nous sommes pieux et contents. Mais nous bénéficions grandement lorsque nous honorons et obéissons à Dieu et lorsque nous sommes satisfaits de ce que nous avons.
Aujourd’hui le salut est venu dans cette maison, parce qu’il est aussi un fils d’Abraham. (Luc 19:9 ULT)
Aujourd'hui, les gens de cette maison ont été sauvés… Aujourd'hui, Dieu a sauvé les habitants de cette maison…
Le Seigneur ne se déplace pas lentement concernant ses promesses, comme certains considèrent que la lenteur est (2 Pierre 3:9a ULT)
Le Seigneur n’avance pas lentement au sujet de ses promesses, comme certains considèrent qu'avancer lentement peut être.
Il rendra à la lumière les choses cachées des ténèbres et révélera les intentions des cœurs. (1 Corinthiens 4:5b ULT)
Il mettra en lumière les choses cachées des ténèbres et révélera les choses que les gens veulent faire et les raisons pour lesquelles ils veulent les faire.
Certaines langues ont des phrases actives et aussi des phrases passives. Dans les phrases actives, le sujet fait l'action. Dans les phrases passives, le sujet subit l'action. Voici quelques exemples avec leurs sujets soulignés :
Les traducteurs dont les langues ne contiennent pas de phrases passives devront savoir comment traduire les phrases passives qu'ils trouvent dans la Bible. Les autres traducteurs devront décider quand utiliser la voix passive et quand utiliser la voix active.
Certaines langues ont des phrases actives (voix active) et aussi des phrases passives (voix passive)
Dans les exemples de phrases actives et passives ci-dessous, nous avons souligné le sujet.
Toutes les langues ont des formes actives. Certaines langues ont des formes passives, et d'autres ne les ont pas. La forme passive n’est pas utilisée pour les mêmes raisons dans toutes les langues qui l’utilisent.
Les archers ont tiré du haut de la muraille sur tes serviteurs, et plusieurs des serviteurs du roi ont été tués, et ton serviteur Urie, le Héthien, est mort aussi. (2 Samuel 11:24 LS)
Cela signifie que les archers ennemis ont tué certains des serviteurs du roi, y compris Urie. Le centre d'attention est ce qui est arrivé aux serviteurs du roi et à Urie, pas à ceux qui leur ont tiré dessus. Le but de la voix passive ici est de se concentrer sur les serviteurs du roi et Urie.
Quand les hommes de la ville se sont levés tôt le matin, et ont vu que l’autel de Baal a été démoli… (Juges 6:28a ULT)
Les hommes de la ville ont vu ce qui était arrivé à l'autel de Baal, mais ils ne savaient pas qui l'avait détruit. Le but de la voix passive ici est de communiquer cet événement du point de vue des hommes de la ville.
Il aurait été préférable pour lui qu’on lui ait mis une pierre de moulin à son cou et qu’on l'ait jeté dans la mer… (Luc 17 :2 ULT)
La situation décrit une personne qui se retrouve à la mer avec une meule autour du cou. Le but de la voix passive ici est de garder le focus sur ce qui arrive à cette personne. Qui a fait ces choses à la personne n'est pas important.
Si vous décidez qu'il est préférable de traduire sans l’emploi de la voix passive, voici quelques stratégies à envisager.
(1) Utilisez le même verbe dans une phrase à la voix active et dites qui ou quoi a fait l'action. Si vous faites cela, essayez de garder le focus sur la personne qui est l'objet de l'action.
(2) Utilisez le même verbe dans une phrase active, et ne dites pas qui ou quoi a fait l’action. Utilisez plutôt une expression générique comme « eux », « gens » ou « quelqu’un ».
(3) Utilisez un verbe différent dans une phrase active.
(1) Utilisez le même verbe dans une phrase à la voix active et dites qui ou quoi a fait l'action. Si vous faites cela, essayez de garder le focus sur la personne qui est l'objet de l'action.
Un pain lui a été donné tous les jours venant de la rue des boulangers. (Jérémie 37:21b ULT)
Tous les jours, les serviteurs du roi donnaient à Jérémie un pain venant de la rue des boulangers.
(2) Utilisez le même verbe dans une phrase active, et ne dites pas qui ou quoi a fait l’action. Utilisez plutôt une expression générique comme « eux », « gens » ou « quelqu’un ».
Il aurait été préférable pour lui qu’on lui ait mis une pierre de moulin à son cou et qu’on l'ait jeté dans la mer… (Luc 17 :2 ULT)
Ce serait mieux pour lui s'ils lui mettaient une meule autour du cou et le jetaient à la mer. Ce serait mieux pour lui si quelqu'un lui mettait une lourde pierre autour du cou et le jetait à la mer.
(3) Utilisez un verbe différent dans une phrase active.
Un pain lui a été donné tous les jours venant de la rue des boulangers. (Jérémie 37:21b ULT)
Il recevait un pain tous les jours de la rue des boulangers.
Dans certaines langues, des expressions qui modifient un nom peuvent être utilisées avec le nom à deux fins différentes. Elles peuvent soit (1) distinguer le nom d'autres noms semblables, soit (2) elles peuvent donner plus d'informations sur le nom. Cette information peut être nouvelle pour le lecteur ou un rappel de quelque chose que le lecteur sait déjà. Certaines langues utilisent des expressions de modification avec un nom uniquement pour distinguer le nom d'autres noms semblables. Lorsque les personnes qui parlent ces langues entendent une expression de modification avec un nom, elles supposent que sa fonction est de distinguer ce nom d'un autre qui est semblable.
Certaines langues utilisent une virgule pour marquer la différence entre (1) faire une distinction entre des mots semblables et (2) donner plus d’informations sur un mot. Sans la virgule, la phrase ci-dessous indique qu’elle fait une distinction.
Marie a donné une partie de la nourriture à sa sœur qui était très reconnaissante.
Si sa sœur était généralement reconnaissante, l’expression "qui était reconnaissante" pourrait distinguer cette sœur de Marie d’une autre sœur qui n’était habituellement pas reconnaissante.
Avec la virgule, la phrase donne plus d’information :
Marie a donné une partie de la nourriture à sa sœur, qui était très reconnaissante.
Cette même phrase peut être utilisée pour nous donner plus d’informations sur la sœur de Marie. Elle nous dit comment la sœur de Marie a répondu quand Marie lui a donné la nourriture. Dans ce cas, il ne distingue pas une sœur d’une autre sœur.
Beaucoup de langues sources de la Bible utilisent des phrases qui modifient un nom à la fois pour distinguer le nom d’un autre semblable et aussi pour donner plus d’informations sur le nom. Vous (le traducteur) devez faire attention à comprendre quel sens l’auteur a voulu donner dans chaque cas. Certaines langues utilisent des expressions qui modifient un nom uniquement pour distinguer le nom d'un autre. Lors de la traduction d'une phrase utilisée pour donner plus d'informations, les traducteurs qui parlent ces langues devront séparer la phrase du nom. Sinon, les personnes qui le lisent ou l'entendent penseront que la phrase est destinée à distinguer le nom d'autres noms semblables.
Le rideau doit séparer le lieu saint du lieu très saint. (Exode 26:33b ULT)
Les mots saint et très saint distinguent deux lieux différents l’un de l’autre et de tout autre lieu.
Un fils insensé est un chagrin pour son père, et l’amertume de la femme qui l’a enfanté. (Proverbes 17:25 ULT)
L'expression qui l'a enfanté distingue la femme pour laquelle le fils est amertume. Il n'est pas amertume pour toutes les femmes, mais pour sa mère.
L’expression qui l’a enfanté distingue la femme dont le fils est amertume. Il n’est pas amertume pour toutes les femmes, mais pour sa mère.
(Il s’agit d’un problème de traduction pour les langues qui ne les utilisent pas.)
…car vos jugements justes sont bons. (Psaume 119:39b ULT)
Le mot "juste" nous rappelle simplement que les jugements de Dieu sont justes. Il ne fait pas de distinction entre pas ses jugements justes de ses jugements injustes, parce que tous ses jugements sont justes.
Comment Sarah, qui a 90 ans, peut-elle avoir un fils ? (Genèse 17:17b ULT)
L’expression "qui a 90 ans" est la raison pour laquelle Abraham ne pensait pas que Sarah pouvait avoir un fils. Il ne distinguait pas une femme du nom de Sarah d’une autre femme du nom de Sarah, qui avait un âge différent, et il ne disait rien de nouveau à personne au sujet de son âge. Il ne pensait tout simplement pas qu’une femme aussi âgée pouvait porter un enfant.
Je vais anéantir l’humanité que j’ai créée de la surface de la terre. (Genèse 6:7 ULT)
L’expression "que j’ai créée" rappelle la relation entre Dieu et l’humanité. C’est la raison pour laquelle Dieu avait le droit de détruire l’humanité. Il n’y a pas d'autre humanité que Dieu n’a pas créée.
Si les lecteurs comprennent le but d’une phrase avec un nom, alors envisager de garder la phrase et le nom ensemble. Pour les langues qui utilisent des mots ou des phrases avec un nom seulement pour distinguer un élément d’un autre, voici quelques stratégies pour traduire des phrases qui sont utilisées pour informer ou rappeler.
(1) Mettez l’information dans une autre partie de la phrase et ajoutez des mots qui pointent vers son but.
(2) Utilisez l’une des façons que vous avez pour dire qu’il s’agit simplement d’information ajoutée. Vous pouvez ajouter un petit mot, ou changer la façon dont la voix sonne. Les changements dans la voix peuvent être effectués avec des signes de ponctuation, comme des parenthèses ou des virgules.
(1) Mettez l’information dans une autre partie de la phrase et ajoutez des mots qui pointent vers son but.
Je hais ceux qui s’attachent à de vaines idoles (Psaumes 31:7 LSG)
En disant vaines idoles, David commentait toutes les idoles et donnait sa raison de détester ceux qui les servent. Il ne distinguait pas les idoles vaines des idoles de valeur.
Parce que les idoles sont sans valeur, je déteste ceux qui les servent.
…car vos jugements justes sont bons. (Psalm 119:39b)
…car vos jugements sont bons parce qu’ils sont justes
Et Sara, une femme de quatre-vingt-dix ans, peut-elle donner naissance à un enfant ? (Genèse 17:17) L’expression quatre-vingt-dix ans rappelle l’âge de Sarah. Elle explique pourquoi Abraham posait la question. Il ne s’attendait pas à ce qu’une femme aussi âgée puisse porter un enfant.
Sarah peut-elle porter un fils même si elle a quatre-vingt-dix ans ?
J’invoquerai Yahvé, qui est digne d’être loué. (2 Samuel 22:4a) Il n'y a qu'un seul Yahvé. L'expression qui est digne d'être loué donne une raison d'invoquer Yahvé.
J’en appelle à Yahvé, parce que il est digne d’être loué
(2) Utilisez l'un des moyens de votre langue qui exprime qu'il ne s'agit que d'information supplémentaire.
Tu es mon Fils, que j'aime. Je suis content de toi. (Luke 3:22)
Tu es mon Fils. Je t'aime et je suis content de toi. Reçois mon amour, tu es mon Fils. Je suis content de toi.
Une double négation existe lorsqu’un article comporte deux adverbes négatifs qui expriment chacun le sens de ne…pas. Les doubles négations signifient des choses très différentes dans différentes langues. Pour traduire des phrases qui ont des doubles négations avec précision et clarté, vous devez savoir ce qu’une double négation signifie dans la Bible et comment exprimer cette idée dans votre langue.
Une double négation est un procédé linguistique par lequel deux adverbes négatifs sont combinés” pour mettre l'accent sur la négation ou pour exprimer le contraire. Par exemple, je **n'**ai jamais rien dit (ne…jamais et ne…rien) qui veut dire que je n'ai catégoriquement jamais dit un mot. De plus, certains mots ont des préfixes qui expriment la négation comme dans les mots suivants : impossible, inutile, non— sens, et mécontent. D’autres types de mots ont aussi un sens négatif, comme "manquer" ou "rejeter", ou même "lutter" ou "mauvais".
Un double négatif se produit lorsqu’un article comporte deux mots qui ont chacun un sens négatif.
Ce **n’**est pas que nous **n’**en ayons pas le droit (2 Thess 3:9a LSG)
Et cela nes’est pas fait sans serment (Hébreux 7:20a)
Certes, le méchant nerestera pas impuni. (Proverbs 11:21a)
Les doubles négations signifient des choses très différentes dans différentes langues.
Pour traduire des phrases qui ont des doubles négations avec précision et clarté, vous devez savoir ce qu’une double négation signifie dans la Bible et comment exprimer cette idée dans votre langue.
… afin de ne pas être sans fruit. (Tite 3:14b) Cela signifie "afin qu’ils soient fructueux".
Toutes choses ont été faites par la Parole, et rien de ce qui a été fait **n’**a été fait sans elle. (Jean 1:3 LSG)
En utilisant une double négation, Jean a souligné que le Fils de Dieu a créé absolument tout. Le double négatif fait une déclaration plus forte que le simple positif.
Car sans moi vous ne pouvez rien faire. (Jean 15:5 LSG) Dans certaines langues comme en Anglais, on ne peut pas reproduire ce double négatif car un second négatif dans une clause annule le premier. En anglais, et peut-être dans votre langue, vous pouvez mettre la phrase au positif et dire :
Seulement avec mon aide, vous pouvez faire quelque chose.
Je ne veux pas que vous soyez ignorant (1 Corinthiens 12:1)
Je veux que vous soyez bien informé
Si les doubles négations sont naturelles et sont utilisées pour exprimer le positif aussi bien que pour renforcer la négation dans votre langue, envisagez de les utiliser. Autrement, vous pourriez envisager les stratégies suivantes :
(1) Si le but d’un double négatif dans la Bible est simplement de faire une déclaration positive, et si cela ne le fait pas dans votre langue, supprimez les deux négatifs afin que la déclaration soit positive.
(2) Si le but d’un double négatif dans la Bible est de faire une déclaration très positive, et si cela ne le fait pas dans votre langue, supprimez les deux négatifs et ajoutez un mot ou une expression comme "très" ou "sûrement" ou "absolument".
(1) Si le but d’un double négatif dans la Bible est simplement de faire une déclaration positive, et si cela ne le fait pas dans votre langue, supprimez les deux négatifs afin que la déclaration soit positive.
Car nous **n’**avons pas un grand prêtre insensible à nos faiblesses. (Hébreux 4:15a)
"Car nous avons un grand prêtre qui éprouve de la sympathie pour nos faiblesses".
… afin de ne pas être sans fruit. (Tite 3:14b) (Titus 3:14b)
“… afin d'être fructueux”
(2) Si le but d’un double négatif dans la Bible est de faire une déclaration très positive, et si cela ne le fait pas dans votre langue, supprimez les deux négatifs et ajoutez un mot ou une expression comme "très" ou "sûrement" ou "absolument".
Certes, le méchant nerestera pas impuni. (Proverbs 11:21a)
“Soyez sûr de cela : les méchants seront certainement punis.”
Je ne veux pas que vous soyez ignorant (1 Corinthiens 12:1)
Je veux que vous soyez très bien informé
Toutes choses ont été faites par lui, et rien de ce qui a été fait **n’**a été fait sans lui. (Jean 1:3)
Toutes choses ont été faites par lui. Il a fait absolument tout ce qui a été fait.
Une ellipse est ce qui arrive quand un locuteur ou un écrivain omet un ou plusieurs éléments dans une phrase. Ils savent que l'auditeur ou le lecteur comprendra le sens de la phrase et complétera les mots qui manquent dans son esprit lorsqu’il entendra ou lira les informations contextuelles qui sont là. Par exemple :
C’est pourquoi les méchants ne résistent pas au jour du jugement, ni les pécheurs dans l’assemblée des justes ; (Psaumes 1:5 LSG)
Il y a une ellipse dans la deuxième partie parce que la proposition, "ni les pécheurs dans l'assemblée des justes", n'est pas une phrase complète. L'orateur suppose que l'auditeur comprendra l’action que les pécheurs ne feront pas dans l'assemblée des justes en utilisant l'action de la clause précédente. Avec l'action incluse, la phrase complète se lirait :
Donc, les méchants ne se tiendront pas debout dans le jugement, ni vont les pécheurs se tenir debout dans l’assemblée des justes.
La langue française a un signe de ponctuation qui s'appelle un point de suspension ( … ). Les points de suspension sont utilisés pour indiquer qu’une pensée, expression, une phrase ou plus du texte restent incomplètes intentionnellement. Cet article de l’Académie de Traduction ne porte pas sur ce signe de ponctuation, mais sur le concept d'omission de mots qui devraient normalement figurer dans la phrase.
Les lecteurs qui voient des phrases ou des expressions incomplètes pourraient ne pas savoir que l'auteur s'attend à ce qu'ils remplissent les informations qui manquent. Peut-être, les lecteurs comprennent qu'il manque des informations, mais ils ne savent pas quelles informations car ils ne connaissent pas le langage originel, la culture ou la situation biblique comme les lecteurs originaux. Dans ce cas, ils pourraient fournir des informations erronées. Les lecteurs pourraient mal comprendre les ellipses s’ils ne les utilisent pas dans leur langue.
Il fait bondir le Liban comme des veaux, et Sirion comme de jeunes bœufs. (Psaumes 29:6)
L’auteur veut que ses mots soient peu nombreux et qu’ils fassent de la bonne poésie. La phrase complète avec l’information remplie serait :
Il fait bondir le Liban comme des veaux, et il fait bondir Sirion comme de jeunes bœufs.
Prenez donc garde de vous conduire avec circonspection – non pas comme des imprudents, mais comme des sages. (Éphésiens 5:15b LSG)
L’information que le lecteur doit comprendre dans la deuxième partie de ces phrases peut être remplie à partir de la première partie :
Prenez donc garde de vous conduire avec circonspection — ne vous conduisez pas comme des imprudents mais conduisez-vous comme des sages.
Quand il s'est approché, il lui a demandé : Que veux-tu ? Il a répondu : Seigneur, je veux voir de nouveau. (Luc 18:40b-41 )
L’homme a répondu dans une phrase incomplète parce qu’il voulait être poli et ne pas demander directement à Jésus de le guérir. Il savait que la seule façon de recevoir sa vue serait que Jésus le guérisse. La phrase complète serait :
"Seigneur, ** je veux que tu me guérisses ** afin que je puisse recouvrer la vue."
à Tite, mon enfant légitime en notre foi commune : que la grâce et la paix te soient données par Dieu le Père et Jésus-Christ notre Sauveur ! (Titus 1:4 )
L’auteur suppose que le lecteur va reconnaître cette forme commune de bénédiction, de sorte qu’il n’a pas besoin d’inclure la phrase complète, qui serait :
A Tite, un vrai fils dans notre foi commune. Puissiez-vous recevoir grâce et paix de Dieu le Père et du Christ Jésus notre Sauveur.
Si les ellipses sont naturelles et donnent un bon sens dans votre langue, envisagez de l’utiliser. Sinon, voici une autre option :
(1) Ajoutez les mots qui manquent à la phrase ou la proposition incomplète.
(1) Ajoutez les mots qui manquent à la phrase ou la proposition incomplète.
C’est pourquoi les méchants ne résistent pas au jour du jugement, ni les pécheurs dans l’assemblée des justes ; (Psalm 1:5)
Ainsi les méchants ne seront pas dans le jugement, et les pécheurs ne seront pas dans l’assemblée** des justes.
Quand il s'est approché, il lui a demandé : Que veux-tu ? Il a répondu : Seigneur, je veux voir de nouveau. (Luke 18:40b-41 ULT)
Quand l’homme s’est approché, Jésus lui a demandé : « Que veux-tu que je fasse pour toi ? » Il a dit : « Seigneur, Je veux que tu me guérisses afin que de recevoir ma vue. »
Il fait sauter le Liban comme un veau et Sirion comme un jeune bœuf. (Psalm 29:6)
Il fait sauter le Liban comme un veau, et il fait sauter ** Sirioncomme un jeune bœuf.
Certaines langues ont plus d'un mot pour "vous" en fonction du nombre de personnes auxquelles le mot fait référence. Le singulier fait référence à une personne et le pluriel à plusieurs personnes. Certaines langues ont également une forme double qui fait référence à deux personnes, et d'autres ont d'autres formes qui font référence à trois ou quatre personnes.
Vous voudrez peut-être aussi regarder la vidéo sur http://ufw.io/figs_younum.
Parfois, dans la Bible, un locuteur utilise une forme singulière de "vous" quand il s'adresse à une foule.
Certaines langues ont plus d'une forme de "vous" en fonction de la relation entre le locuteur et la personne à qui il parle. Les gens utilisent la forme formelle de "vous" pour parler à une personne plus âgée, ayant une autorité supérieure, ou qu'ils ne connaissent pas très bien. Les gens utilisent la forme informelle "tu" pour parler à quelqu'un qui n'est pas plus âgé, n'a pas d'autorité supérieure ou qui est un membre de la famille ou un ami proche.
Regarder aussi la vidéo à : http://ufw.io/figs_youform.
Pour vous aider avec la traduction de ces pronoms (tu et vous), nous vous suggérons de lire :
Certaines langues ont une forme singulière de "vous" qui fait référence à une seule personne, et une forme plurielle de "vous" qui fait référence à plus d'une personne. Certaines langues emploient le pronom "vous" dans une forme appelée les "doubles pronoms". Dans ce cas, il s'agit d'utiliser deux pronoms dans une phrase. Par exemple, Si je veux dire à Jean et Marie que je vais leur prêter ma voiture. Je vais dire : Je "vous" la prête. Les traducteurs de ces langues devront toujours savoir ce que le locuteur veut dire afin de choisir le bon mot pour "vous" dans la langue cible. D'autres langues, comme l'anglais, n'ont qu'une seule forme, que les gens utilisent quel que soit le nombre de personnes auxquelles il se réfère.
La Bible a d'abord été écrite en hébreu, en araméen et en grec. Toutes ces langues ont une forme singulière et une forme plurielle de "vous". Lorsque nous lisons la Bible dans ces langues, les pronoms et les formes verbales nous indiquent si le mot "vous" fait référence à une personne ou à plusieurs personnes. Cependant, ils ne nous indiquent pas s'il s'agit d'un double pronom. Lorsque les pronoms ne nous indiquent pas à combien de personnes le mot "vous" fait référence, nous devons examiner le contexte pour voir de quelle forme de "vous"il s’agit.
Souvent, le contexte indiquera clairement si le mot "vous" désigne une ou plusieurs personnes. Si vous regardez les autres pronoms de la phrase, ils vous aideront à savoir à combien de personnes l’orateur s’adressait.
Les fils de Zébédée, Jacques et Jean, se sont approchés de Jésus, et lui ont dit: « Maître, nous voudrions que tu fasses pour nous ce que nous te demanderons. Il leur dit: Que voulez-vous que je fasse pour vous ? (Mark 10:35-36 LSG)
Jésus demande à Jacques et Jean, ce qu’ils veulent qu’il fasse pour eux. Si la langue cible a une double forme de « vous », utilisez-la. Si la langue cible n’a pas de double forme, alors la forme plurielle serait appropriée.
Jesus sent out two of his disciples and said to them, “Go into the village opposite us. As soon as you enter it, you will find a colt tied there, on which no one has yet sat. Untie it and bring it to me.” (Mark 11:1b-2 ULT)
Le contexte indique clairement que Jésus s’adresse à plus d’une personne. Si la langue cible a une forme plurielle de "vous", utilisez-la. Si la langue cible n’a pas de forme plurielle, alors envisager de remplacer le pronom par des mots descriptifs.
Mes frères, regardez comme un sujet de joie complète les diverses épreuves auxquelles vous pouvez être exposés, sachant que l’épreuve de votre foi produit la patience (James 1:1-3 LSG)
James a écrit cette lettre à beaucoup de gens, alors le mot "vous" fait référence à beaucoup de gens. Si la langue cible a une forme plurielle de "vous", il serait préférable de l’utiliser ici.
(1) Regardez les notes de traduction pour voir si "vous" désigne une ou plusieurs personnes.
(2) Regardez la version littérale du texte pour voir si elle dit quelque chose qui vous montrerait si le mot "vous" fait référence à une personne ou à plus d’une personne.
(3) Si vous avez une bible écrite dans un langage qui distingue "vous" au singulier du "vous" au pluriel, voyez quelle forme de "vous" cette Bible a pour le verset en question.
(4) Voyez si le pronom "vous" est utilisé dans l’expression ou la phrase avec un autre pronom. Dans ce cas, recherchez le contexte et remplacez le pronom "vous" par le mot qu’il a remplacé.
Vous pouvez aussi regarder la vidéo à http://ufw.io/figs_youdual.
Certaines langues ont une forme singulière de "vous" qui fait référence à une seule personne, et une forme plurielle de "vous" qui fait référence à plus d'une personne. Les traducteurs qui parlent une de ces langues devront toujours savoir ce que le locuteur voulait dire afin de pouvoir choisir le mot correct pour "vous" . D’autres langues, comme l’anglais, n’ont qu’une seule forme quel que soit le nombre de personnes auquelles il fait référence.
La Bible a d'abord été écrite en hébreu, en araméen et en grec. Toutes ces langues ont une forme singulière et une forme plurielle de "vous". Lorsque nous lisons la Bible dans ces langues, les pronoms et les formes verbales nous indiquent si le mot "vous" fait référence à une personne ou à plusieurs personnes. Quand nous lisons la Bible dans une langue qui n’a pas de formes différentes de vous, nous devons regarder le contexte pour voir à combien de personnes l’orateur parlait.
Souvent, le contexte indiquera clairement si le mot "vous" désigne une ou plusieurs personnes. Si vous regardez les autres pronoms de la phrase, ils vous aideront à savoir à combien de personnes l’orateur s’adressait. Parfois, les locuteurs grecs et hébreux utilisaient la forme singulière de "vous", même s’ils parlaient à un groupe de personnes. (Voir [Formes de "vous" – Singulier à une foule] (../figs-youcrowd/01.md).)
J’ai, a-t-il dit, observé toutes ces choses dès ma jeunesse. Jésus, ayant entendu cela, lui a dit: Il te manque encore une chose: vends tout ce que tu as, distribue-le aux pauvres, et tu auras un trésor dans les cieux. Puis, viens, et suis-moi. (Luke 18:21-22)
Le souverain parlait de lui-même lorsqu’il a dit "J'ai observé…". Cela nous montre que lorsque Jésus a dit "tu", il ne faisait référence qu’au souverain. Les langues qui ont des formes singulières et plurielles de "vous" ont donc besoin de la forme singulière ici.
Alors l'ange lui a dit: « Mets ta ceinture et attache tes sandales. » Pierre l'a fait et l'ange a ajouté: « Mets ton manteau et suis-moi. » (Acts 12:8)
Le contexte indique clairement que l’ange parlait à une personne et qu’une seule personne a fait ce que l’ange a ordonné. Ainsi, les langues qui ont des formes singulières et plurielles de "vous" auraient besoin de la forme singulière ici pour "votre" et "vos". De plus, si les verbes ont des formes différentes pour les sujets singuliers et pluriels, les verbes "mettre" et "attacher" doivent avoir la forme qui suit un sujet singulier.
À Tite, mon enfant légitime en notre commune foi. Je t’ ai laissé en Crète, afin que tu mettes en ordre ce qui reste à régler, et que, selon mes instructions, tu établisses des anciens dans chaque ville, Mais toi, dis les choses qui sont conformes à la saine doctrine. (Titus 1:4a, 5; 2:1 LSG)
Paul a écrit cette lettre à une personne, Titus. La plupart du temps, le mot "tu" dans cette lettre ne fait référence qu’à Titus.
(1) Regardez les notes de traduction pour voir si "vous" désigne une ou plusieurs personnes.
(2) Regardez la version littérale du texte pour voir si elle dit quelque chose qui vous montrerait si le mot "vous" fait référence à une personne ou à plus d’une personne.
(3) Si vous avez une bible écrite dans un langage qui distingue "vous" au singulier du "vous" au pluriel, voyez quelle forme de "vous" cette Bible a pour le verset en question.
(4) Regardez le contexte pour voir à combien de personnes l’orateur a parlé et qui a répondu.
Vous pouvez aussi regarder la vidéo à http://ufw.io/figs_younum.
Les expressions nominales génériques font référence à des personnes ou à des choses en général plutôt qu'à des individus ou à des choses spécifiques. On les trouve fréquemment dans les proverbes, car les proverbes racontent des choses qui sont vraies sur les gens en général.
Un homme peut-il marcher sur des charbons ardents sans se brûler les pieds? Il en est de même pour l'homme qui va vers la femme de son voisin: L’homme qui la touche ne restera pas impuni. (Proverbs 6:28-29)
Les phrases ci-dessus ne font pas référence à un homme en particulier. Elles font référence à n’importe quel homme qui fait ces choses.
Différentes langues ont différentes façons de montrer que des expressions nominales se réfèrent à quelque chose en général. Vous (le traducteur) devez vous référer à ces idées générales de manière naturelle dans votre langue.
Le juste est délivré de la détresse, et le méchant prend sa place. (Proverbs 11:8 LSG)
Les mots en gras ci-dessus ne se réfèrent pas à une personne spécifique mais à toute personne qui fait ce qui est bien ou qui est méchante.
Les gens maudissent l’homme qui refuse de vendre du grain. (Proverbs 11:26)
Il ne s’agit pas d’un homme en particulier, mais de toute personne qui refuse de vendre du grain.
L'Éternel favorise un homme bon, mais il condamne l'homme qui fait de mauvais projets. (Proverbs 12:2)
L'expression "un homme bon" ne se réfère pas à un homme en particulier, mais à toute personne qui est bonne. L'expression « un homme qui fait de mauvais plans » ne se réfère pas à un homme en particulier, mais à n’importe quel homme qui fait de mauvais plans.
Si votre langage peut utiliser le même texte que celui de la translation littérale pour désigner des personnes ou des choses en général plutôt que des personnes ou des choses en particulier, envisagez de l'utiliser. Sinon, voici quelques stratégies que vous pourriez utiliser.
(1) Utilisez les articles indéfinis "un", "une" ou "des" dans la phrase nominale.
(2) Utilisez les mots comme "tout", "n’importe quel", "chaque", aucun avec le nom générique.
(3) Utilisez la forme plurielle du nom générique.
(4) Utilisez toute autre façon qui est naturelle dans votre langue.
(1) Utilisez les articles indéfinis "un", "une" ou "des" dans la phrase nominale
L'Éternel favorise un homme bon, mais il condamne l'homme qui fait de mauvais projets. (Proverbes 12:2)
L'Éternel favorise l'homme bon, mais il condamne un homme qui fait de mauvais projets.
(2) Utilisez les mots comme "tout", "n’importe quel", "chaque", "aucun" avec le nom générique.
Les gens maudissent l’homme qui refuse de vendre du grain. (Proverbs 11:26)
Les gens maudissent tout homme qui refuse de vendre du grain.
(3) Utilisez la forme plurielle du nom générique.
Les gens maudissent l’homme qui refuse de vendre du grain. (Proverbs 11:26)
Les gens maudissent les hommes qui refusent de vendre du grain.
(4) Utilisez toute autre façon qui est naturelle dans votre langue..
Les gens maudissent l’homme qui refuse de vendre du grain. (Proverbs 11:26)
Les gens maudissent n’importe quel homme qui refuse de vendre du grain.
Dans de nombreuses langues, il est difficile de savoir comment utiliser les mots "aller" ou "venir" lorsqu'on parle de mouvement. Par exemple, lorsqu'un Anglais s'approche de quelqu'un qui l'a appelée, il dira "je viens", tandis qu'un Espagnol dira "j'y vais". Donc, le traducteur devra étudier le contexte afin de comprendre l'emploi des mots "aller" et "venir" (et aussi "emmener" et "ammener"), pour traduire ces mots de manière à ce que les lecteurs comprennent la direction dans laquelle les gens se déplacent.
De nombreuses langues ont des façons différentes de parler du mouvement. Les langues bibliques, votre langue source et la langue cible peuvent utiliser les mots "aller", "venir" ou "ammener" et "emmener" différemment. Si ces mots ne sont pas traduits de la manière qui est naturelle dans la langue cible, les lecteurs risquent de ne pas savoir dans quelle direction les gens se déplacent.
L'Éternel a dit à Noé : « Viens, toi et toute ta famille, dans l'arche. » (Genèse 7:1)
Dans certaines langues, cela amènerait les gens à penser que l'Éternel était dans l’arche.
Mais tu sera libéré de mon serment si tu vas vers mes parents et ils ne te la donnent pas. Alors tu seras libéré de mon serment. (Genèse 24:41)
Abraham s'adressait à son serviteur. Les parents d'Abraham vivaient loin de l'endroit où lui et son serviteur se tenaient et il voulait que son serviteur aille vers eux.
Quand tu seras venu dans le pays que l'Éternel ton Dieu te donne, et que tu en prendras possession et que tu commenceras à y habiter… (Deutéronome 17:14a)
Moïse parle au peuple dans le désert. Ils n’étaient pas encore entrés dans la terre que Dieu leur donnait. Dans certaines langues, il serait plus logique de dire : « Lorsque tu seras arrivé dans le pays… »
Ils l’ont emmené au temple de Jérusalem pour le présenter au Seigneur. (Luc 2:22b)
Dans certaines langues, il pourrait être plus logique de dire qu’ils ont amené ou ont apporté Jésus au temple.
Alors voici, il y avait un homme appelé Jaïrus. C'était un chef de la synagogue. Tombant aux pieds de Jésus, il le pria de venir dans sa maison (Luc 8:41).
L’homme n’était pas chez lui quand il a parlé à Jésus. Il a supplié Jésus d'aller avec lui à sa maison.
Qu’êtes-vous allés voir au désert ? Un roseau agité par le vent ? (Luke 7:24b LSG)
Dans certaines langues, il serait plus judicieux de demander : "Qu'est-ce que vous êtes venus voir ?
Si le mot utilisé dans le texte est naturel et donne le bon sens dans la langue cible, envisagez de l’utiliser. Sinon, voici d’autres stratégies.
(1) Utilisez un des mots "aller", "venir", " emmener " ou " amener " qui serait naturel dans la langue cible.
(2) Utilisez un autre mot qui exprime le bon sens.
(1) Utilisez un des mots "aller", "venir", " emmener " ou " amener " qui serait naturel dans la langue cible.
L'Éternel a dit à Noé : « Viens, toi et toute ta famille, dans l'arche. » (Genèse 7:1)
L'Éternel a dit à Noé : « Vas, toi et toute ta famille, dans l'arche.
Qu’êtes-vous allés voir au désert ? Un roseau agité par le vent ? (Luke 7:24b LSG)
Qu'est-ce que vous êtes venus voir au desert ? Un roseau agité par le vent ?
(2) Utilisez un autre mot qui exprime le bon sens.
Quand tu seras venu dans le pays que l'Éternel ton Dieu te donne, et que tu en prendras possession et que tu commenceras à y habiter… (Deutéronome 17:14a)
Lorsque tu seras arrivé dans le pays que l'Éternel ton Dieu te donne, et que tu en prendras possession et que tu commenceras à y habiter…
L'Éternel a dit à Noé : « Viens, toi et toute ta famille, dans l'arche. » (Genèse 7:1)
L'Éternel a dit à Noé : « Entre, toi et toute ta famille, dans l'arche.
Qu’êtes-vous allés voir au désert ? Un roseau agité par le vent ? (Luke 7:24b LSG)
Qu'êtes-vous entrés dans le désert pour voir ? Un roseau agité par le vent ?
Dans certaines langues, un adjectif peut être utilisé pour faire référence à une catégorie de choses que l'adjectif décrit. Dans ce cas, il se comporte comme un nom. Par exemple, le mot "riche" est un adjectif. Voici deux phrases qui montrent que "riche" est un adjectif.
L’homme riche avait des brebis et des bœufs en très grand nombre. (2 Samuel 12:2)
L'adjectif "riche" décrit le mot "homme".
Il ne sera pas riche; sa fortune ne durera pas. (Job 15:29a)
L'adjectif "riche" vient après le verbe "être" et décrit "Il".
Voici une phrase qui montre que "riche" peut aussi fonctionner comme un nom.
Le riche ne doit pas donner plus que le demi-shekel, et le pauvre ne doit pas donner moins. (Exode 30:15b)
Dans Exode 30:15, le mot "riche" agit comme un nom dans l'expression "les riches", et il fait référence aux personnes riches. Le mot "pauvre" agit également comme un nom et se réfère à des personnes pauvres.
Le sceptre de la méchanceté ne doit pas régner dans le pays des justes. (Psaumes 125:3a)
"Ici, les justes" sont des personnes qui pratiquent la justice, mais pas une personne juste en particulier.
Heureux les doux. (Matthieu 5:5a)
" Les doux " ici sont toutes les personnes qui sont douces, pas une personne douce en particulier.
Si votre langue utilise des adjectifs comme noms pour désigner une catégorie de personnes, envisagez d'utiliser les adjectifs de cette façon. Si cela semble étrange, ou si le sens n'est pas clair ou erroné, voici une autre option :
(1) Utilisez l’adjectif avec une forme plurielle du nom que l’adjectif décrit.
(1) Utilisez l’adjectif avec une forme plurielle du nom que l’adjectif décrit.
Le sceptre de la méchanceté ne doit pas régner dans le pays des justes. (Psaumes 125:3a)
Le sceptre de la méchanceté ne doit pas régner dans le pays des personnes justes.
Heureux les doux. (Matthieu 5:5a)
Bénis sont les gens qui sont doux.
Dans la Bible, les événements ne sont pas toujours racontés dans l'ordre dans lequel ils se sont produits. Parfois, l'auteur voulait parler de quelque chose qui s'est passé à une époque antérieure à celle de l'événement dont il vient de parler. Cela peut être source de confusion pour le lecteur.
Les lecteurs peuvent penser que les événements se sont produits dans l'ordre où ils sont racontés. Il est important de les aider à comprendre l'ordre correct des événements.
Il a même ajouté ceci à toutes les actions qu’il avait commises : il a enfermé Jean en prison. Alors, il est arrivé que, lorsque tout le peuple était baptisé, Jésus a aussi été baptisé. (Luc 3:20-21)
Le récit ci-dessus pourrait donner l'impression que Jean a baptisé Jésus après son emprisonnement. Mais Jean a baptisé Jésus avant d’avoir été enfermé en prison.
Comme Josué l'avait dit au peuple, les sept prêtres portant sept trompettes en corne de bélier devant l'Éternel se sont avancés et ont sonné leurs trompettes, et l'arche de l'alliance de l'Éternel les a suivis. Mais Josué a donné cet ordre au peuple : « Ne criez pas, ne faites pas entendre votre voix, et ne laissez aucune parole sortir de votre bouche jusqu'au jour où je vais vous dire de crier. Alors vous devrez crier. » (Josué 6:8,10)
On pourrait avoir l'impression que Josué a donné l'ordre de ne pas crier après le commencement de la marche de l'armée, mais il avait donné ces instructions avant qu'ils commencent à marcher.
Qui est digne d’ouvrir le parchemin, et d’en rompre les sceaux ? (Apocalypse 5:2b LSG)
Il semble qu'une personne doit d'abord ouvrir le parchemin et ensuite briser ses sceaux, mais les sceaux qui verrouillent le parchemin doivent être brisés avant que le parchemin puisse être déroulé.
(1) Si votre langue utilise des phrases ou des mots chronologiques pour montrer qu’un événement s’est passé avant celui qui a déjà été mentionné, envisagez d’en utiliser un.
(2) Si votre langue utilise le temps ou l'aspect du verbe pour montrer qu'un événement s'est passé avant un autre qui a déjà été mentionné, pensez à l'utiliser. (Voir la section "Aspect" de Verbes.
(3) Si votre langue préfère raconter les événements dans l’ordre dans lequel ils se sont produits, envisagez de réorganiser les événements pour qu’ils soient dans cet ordre. Cela peut nécessiter de mettre plusieurs versets ensemble (comme 5-6). (Voir Ponts de versets.)
(1) Si votre langue utilise des phrases ou des mots chronologiques pour montrer qu’un événement s’est passé avant celui qui a déjà été mentionné, envisagez d’en utiliser un.
Il a même ajouté ceci à toutes les actions qu’il avait commises : il a enfermé Jean en prison. Alors, il est arrivé que, lorsque tout le peuple était baptisé, Jésus a aussi été baptisé. (Luc 3:20-21)
20 Alors Hérode... fit enfermer Jean en prison. 21 Avant que Jean soit mis en prison,** pendant que tout le peuple se faisait baptiser par Jean, Jésus aussi s'est fait baptiser.
Qui est digne d’ouvrir le parchemin, et d’en rompre les sceaux ? (Apocalypse 5:2b LSG)
Qui est digne d’ouvrir le parchemin après avoir brisé ses sceaux?
(2) Si votre langue préfère raconter les événements dans l’ordre dans lequel ils se sont produits, envisagez de réorganiser les événements pour qu’ils soient dans cet ordre. Cela peut nécessiter de mettre plusieurs versets ensemble (comme 5-6). (Voir Ponts de versets.)
Comme Josué l'avait dit au peuple, les sept prêtres portant sept trompettes en corne de bélier devant l'Éternel se sont avancés et ont sonné leurs trompettes, et l'arche de l'alliance de l'Éternel les a suivis. Mais Josué a donné cet ordre au peuple : « Ne criez pas, ne faites pas entendre votre voix, et ne laissez aucune parole sortir de votre bouche jusqu'au jour où je vais vous dire de crier. Alors vous devrez crier. » (Josué 6:8,10)
8 Comme Josué l'avait dit au peuple, les sept prêtres ont porté devant l'Éternel les sept trompettes en corne de bélier et, en s'avançant, ils ont sonné les trompettes et l'arche de l'alliance de l'Éternel les a suivis. 10 Mais Josué avait ordonné au peuple de ne pas crier, disant : « Aucun son ne doit sortir de vos bouches jusqu'au jour où je vous dirai de crier. Alors, seulement, vous crierez."
(3) Si votre langue préfère raconter les événements dans l’ordre dans lequel ils se sont produits, envisagez de réorganiser les événements pour qu’ils soient dans cet ordre. Cela peut nécessiter de mettre plusieurs versets ensemble (comme 5-6). (Voir Ponts de versets.)
Comme Josué l'avait dit au peuple, les sept prêtres portant sept trompettes en corne de bélier devant l'Éternel se sont avancés et ont sonné leurs trompettes, et l'arche de l'alliance de l'Éternel les a suivis. Mais Josué a donné cet ordre au peuple : « Ne criez pas, ne faites pas entendre votre voix, et ne laissez aucune parole sortir de votre bouche jusqu'au jour où je vais vous dire de crier. Alors vous devrez crier. » (Josué 6:8,10)
8,10 Josué a donné cet ordre au peuple : « Ne criez pas. Aucun son ne doit sortir de vos bouches jusqu'au jour où je vous dirai de crier. Alors seulement, vous crierez. » Alors, comme Josué l'avait dit au peuple, les sept prêtres ont porté devant l'Éternel les sept trompettes en cornes de bélier et, en s'avançant, ils firent retentir les trompettes et l'arche de l'alliance de l'Éternel les a suivis.
Qui est digne d’ouvrir le parchemin, et d’en rompre les sceaux ? (Apocalypse 5:2b LSG)
Qui est digne de briser les sceaux et d’ouvrir le parchemin?
Vous pouvez également regarder la vidéo à l'adresse http://ufw.io/figs\_events.
Les parties du discours sont les catégories de mots qui sont les fondations d'une langue. Ces différentes catégories de mots ont des fonctions différentes dans une phrase. La plupart des langues ont des parties du discours de base semblables, avec quelques variations, et certaines langues ont plus de catégories que cela. Mais tous les mots d'une langue appartiennent à une partie du discours. La liste suivante n'est pas une liste universelle complète des parties du discours, mais elle couvre les catégories de base.
Les verbes sont des mots qui expriment soit une action (comme "venir", "aller", "manger"), soit un état d'être (comme "est", "sont", "était"). Des informations plus détaillées sont disponibles sur Verbs.
Les noms sont des mots qui se reportent à une personne, un lieu, une chose ou une idée. Les noms communs sont génériques, c'est-à-dire qu'ils ne font pas référence à une entité spécifique ("homme", "ville", "pays"). Les noms propres, font référence à une entité spécifique ("Pierre", "Jérusalem", "Égypte"). (Pour plus d'informations, voir Comment traduire les noms).
Les pronoms prennent la place des noms et comprennent des mots tels que " il ", " elle ", "vous ", " ils ", " nous ", etc. Des pages plus détaillées sur les pronoms se trouvent à l’adresse Pronoms.
Les conjonctions sont des mots qui joignent des expressions, des propositions ou des phrases. Les exemples comprennent "et", "ou", "mais", "pour", "encore", "ni", et d’autres. Certaines conjonctions sont utilisées par paires : "les deux/et" ; "soit/ou" ; "ni/ni" ; "non seulement/mais aussi". Vous trouverez plus d’informations à ce sujet à Connecting Words.
Les prépositions sont des mots qui relient un nom ou un verbe à quelque chose d'autre dans la phrase donnant plus de détails sur ce nom ou ce verbe. Par exemple, "La fille a couru vers son père". Ici, la phrase avec la préposition vers indique la direction de l'action de la fille par rapport à son père. Autre exemple : "La foule autour de Jésus augmentait en nombre." La phrase avec la préposition autour indique l'emplacement de la foule par rapport à Jésus. Voici quelques exemples de prépositions : "à", "de", "dans", "hors de", "sur", "au large de", "avec", "sans", "au-dessus", "au-dessous", "avant", "après", "derrière", "devant", "parmi", "à travers", "au-delà", "parmi".
Les articles sont des mots utilisés avec les noms pour indiquer si l'orateur se réfère ou non à quelque chose qui est complètement ou incomplètement défini. En Français l'article sert aussi à indiquer le genre et le nombre du nom qu'il précède. Les articles définis le, la et les se mettent devant les noms qui sont complètement déterminés. Si un locuteur dit le chien, il fait généralement référence à un chien spécifique, et il s'attend à ce que son auditeur sache de quel chien il parle. Les articles indéfinis un, une et des se mettent devant les noms présentés comme pas déterminés ou pas encore connu. Si un locuteur dit un chien", il ne s'attend pas à ce que son auditeur sache de quel chien il parle ; c'est peut-être la première fois qu'il parle d'un chien. Une exception générale au ci-dessus existe lorsqu'on parle de quelque chose en général. Par exemple, on peut dire, "**l'**éléphant est un animal de grande taille" et se référer aux éléphants en général. *Note : Toutes les langues n'utilisent pas les articles exactement de la même manière. Par exemple, les articles peuvent avoir une signification différente en grec et en hébreu. Vous trouverez plus d'informations à ce sujet sur Expressions nominales génériques.
Les adjectifs sont des mots qui décrivent les noms et expriment des choses comme la quantité, la taille, la couleur et l'âge. Voici quelques exemples : "beaucoup", "grand", "bleu", "vieux", "intelligent", "fatigué". Parfois, les gens utilisent des adjectifs pour donner des informations sur quelque chose, et parfois ils les utilisent pour distinguer un élément d'un autre. Par exemple, dans la phrase mon père âgé, l'adjectif âgé dit simplement quelque chose sur mon père. Mais dans la phrase ma sœur aînée, le mot aînée distingue cette sœur de toutes les autres sœurs que je pourrais avoir. Vous trouverez plus d'informations à ce sujet sur le site Distinguer ou informer ou rappeler.
Les adverbes sont des mots qui modifient le sens d’un verbe ou d'un adjectif ou d’un autre adverbe indiquant par exemple comment une chose se produit, quand elle se produit, où elle se produit, pourquoi elle se produit ou dans quelle mesure elle se produit. De nombreux adverbes en français se terminent par ment. Par exemple, citons les mots "lentement", "rapidement", "grandement", "doucement", "très". On les forme en ajoutant le suffixe ment au féminin d’un adjectif.
En français, la possession exprime l’idée d'avoir quelque chose ou bien une variété de rapports avec une ou plusieurs personnes. On exprime la possession avec : le verbe avoir, les adjectifs possessifs, les pronoms possessifs et les prépositions à et de. Les exemples suivants décrivent différentes façons d'indiquer que mon grand-père possède une maison.
La possession est utilisée en hébreu, en grec et dans d'autres langues. Voici quelques illustrations de son emploi.
Possession — Quelqu’un possède quelque chose
Mes vêtements — Les vêtements que je possède
Relation sociale — Une personne a une sorte de relation sociale avec une autre.
La mère de Jean - la femme qui a donné naissance à Jean, ou la femme qui a pris soin de Jean. Ma mère – la femme qui m’a donné naissance Mon Professeur – la personne qui m’enseigne.
Association — Une chose particulière est associée à une personne ou un lieu.
La maladie de David - la maladie que David éprouve. La crainte du Seigneur - la crainte qu'un être humain doit avoir lorsqu'il est en relation avec le Seigneur.
Contenu — Il y a quelque chose à l'intérieur d'un objet.
Un sac de vêtements - un sac qui contient des vêtements ou un sac rempli de vêtements.
Partie d'une totalité — Une chose fait partie d'une autre.
Ma tête - la tête qui fait partie de mon corps Le toit d'une maison - le toit qui fait partie d'une maison
Dans certaines langues, il existe une forme spéciale de possession appelée possession inaliénable. Cette forme de possession est utilisée pour les choses qui ne peuvent pas vous être enlevées, par opposition aux choses que vous pourriez perdre. Dans les exemples ci-dessus, "ma tête" et "ma mère" sont des exemples de possession inaliénable (au moins dans certaines langues), tandis que "mes vêtements" ou "mon professeur" seraient possédés de manière aliénable. Ce qui peut être considéré comme aliénable ou inaliénable peut différer selon la langue.
Possession – Dans l’exemple ci-dessous, l’argent appartenait au fils.
Le fils cadet… a gaspillé sa richesse en vivant sans se soucier des conséquences. (Luc 15:13b)
Relation sociale - Dans l'exemple ci-dessous, les disciples sont des personnes qui ont appris de Jean.
Alors les disciples de Jean vinrent à lui. (Matthieu 9:14a)
Matériaux – Dans l’exemple ci-dessous, le matériau utilisé pour fabriquer les couronnes était de l’or.
Il y avait sur leurs têtes comme des couronnes semblables à de l’or… (Apocalypse 9:7a LSG)
Contenu - Dans l'exemple ci-dessous, la tasse contient de l'eau.
Et quiconque vous donnera à boire un verre d’eau en mon nom… , il ne perdra point sa récompense. (Marc 9:41 LSG)
Partie d'une totalité - Dans l'exemple ci-dessous, la porte faisait partie du palais.
Mais Urie s'est couché à la porte du palais du roi. (2 Samuel 11:9a)
Partie d'un groupe - Dans l'exemple ci-dessous, "nous" se réfère à l'ensemble du groupe et "chacun" désigne les membres individuels.
Mais à chacun de nous la grâce a été donnée selon la mesure du don de Christ.(Éphésiens 4:7 LSG)
Parfois, dans une relation l'un ou les deux noms sont des noms abstraits qui font référence à un événement ou à une action. Dans les exemples ci-dessous, les noms abstraits sont en caractères gras. Ce ne sont là que quelques-unes des relations possibles entre deux noms lorsque l'un d'eux fait référence à un événement.
Sujet — Parfois, le mot qui suit la préposition, "de", décrit l’action faite par le premier nom. Dans l'exemple ci-dessous, le baptême de Jean signifie que Jean a baptisé des gens.
Le baptême de Jean, venait-il du ciel ou des hommes ? Répondez-moi. (Marc 11:30)
Dans l’exemple ci-dessous, l’amour du Christ signifie que le Christ nous aime.
Qui nous séparera de l’amour du Christ? (Romains 8:35)
Objet — Parfois, le mot qui suit la préposition, "de", décrit l’objet de ce que fait le premier nom. Dans l’exemple ci-dessous, les gens aiment l’argent.
Car l’amour de l’argent est une racine de tous les maux; (1 Timothy 6:10a LSG)
Instrument — Parfois, le mot après la préposition, "de", indique comment quelque chose se passe. Dans l'exemple ci-dessous, Dieu punit les gens en envoyant des ennemis les attaquer avec des épées.
Alors ayez peur de l’épée, parce que la colère apporte la punition de l’épée. (Job 19:29a)
Représentation – Dans l’exemple ci-dessous, Jean baptisait des gens qui se repentaient de leurs péchés. Ils étaient baptisés pour montrer qu’ils se repentaient. Leur baptême représentait leur repentance.
Jean est venu, baptisant dans le désert et prêchant un baptême de repentance pour le pardon des péchés. (Marc 1:4 LSG)
(1) Lisez les versets précédents et suivants pour voir s’ils vous aident à comprendre la relation entre les deux noms.
(2) Lisez le verset dans le Texte Simplifié. Parfois, il montre clairement la relation.
(3) Voyez ce que les notes de traduction disent à ce sujet.
Si la possession est un moyen naturel de montrer une relation particulière entre deux noms, envisagez de l'utiliser. Si elle est étrange ou difficile à comprendre, envisagez de l'utiliser les méthodes suivantes.
(2) Utilisez un verbe pour montrer comment les deux sont liés.
(3) Si l’un des noms fait référence à un événement, traduisez-le en verbe.
Sur leurs têtes, il y avait quelque chose comme des couronnes d'or. (Apocalypse 9:7b)
"Sur leurs têtes il y avait des couronnes en or."
(2) Utilisez un verbe pour montrer comment les deux sont liés.
Et quiconque vous donnera à boire un verre d’eau en mon nom… , il ne perdra pas sa récompense. (Marc 9:41 LSG)
Celui qui te donne à boire une tasse qui contient de l'eau ... ne perdra pas sa récompense.
Au jour de la colère, la richesse ne sert à rien; (Proverbes 11:4a)
La richesse ne vaut rien le jour où Dieu montre sa colère. La richesse est sans valeur le jour où Dieu punit les gens à cause de sa colère.
(3) Si l'un des noms fait référence à un événement, traduisez-le par un verbe.
Remarquez que je ne m'adresse pas à vos enfants, qui n'ont pas connu ni vu le châtiment de l'Éternel votre Dieu. (Deutéronome 11:2a)
Remarquez que je ne m'adresse pas à vos enfants qui n'ont pas su ou vu comment l'Éternel votre Dieu a puni le peuple d'Égypte.
Vous observerez et verrez seulement le châtiment des méchants. (Psaumes 91:8 ULT)
Vous observerez et verrez seulement comment Yahvé punit les méchants.
Vous recevrez le don du Saint-Esprit. (Actes 2:38b)
Vous recevrez le Saint-Esprit, que Dieu vous donnera.
Le verbe est un mot ou un groupe de mots qui exprime l'action, l'état d'un sujet, ou encore la relation qui existe entre l'attribut et le sujet. Une "action" est quelque chose que vous faites. Un "événement" ou l'état est plus généralement quelque chose qui arrive, qui se passe. Un verbe copule est généralement le verbe "être" joignant l'attribut au sujet.
Exemples
Généralement un verbe dit quelque chose au sujet de quelqu’un ou quelque chose. Toutes les phrases de l’exemple ci-dessus disent quelque chose au sujet de Jean. "Jean" est le sujet de ces phrases. En français, le sujet précède normalement le verbe.
Parfois il y a une autre personne ou chose associée au verbe. Dans les exemples ci-dessous, le mot en gras est le verbe, et la phrase citée est l'objet. En français, l’objet vient généralement après le verbe.
Certains verbes n’ont jamais d’objet. Leur action ne passe pas du sujet sur une personne ou une chose.
For many verbs in English, where the object is not important in the sentence, the object may not be stated.
In some languages, a verb that needs an object must always take one, even if the object is not very important. People who speak those languages might restate the sentences above like this.
In some languages, the form of the verb may vary depending on the persons or things associated with it. For example, English speakers sometimes put “s” at the end of the verb when the subject is just one person. In other languages, marking on the verb may show whether the subject is “I,” “you,” or “he”; singular, dual, or plural; male or female, or human or non-human.
When we tell about an event, we usually tell whether it is in the past, the present, or the future. Sometimes we do this with words like “yesterday,” “now,” or “tomorrow.”
In some languages the verb may be a little bit different depending on the time associated with it. This kind of marking on a verb is called “tense.” English speakers sometimes put “ed” at the end of the verb when the event happened in the past.
In some languages speakers might add a word to tell something about the time. English speakers use the word “will” when the verb refers to something in the future.
When we tell about an event, sometimes we want to show how the event progressed over a period of time or how the event relates to another event. This is called “aspect.” English speakers sometimes use the verbs “is” or “has” then add “s,” “ing,” or “ed” to the end of the verb in order to show how the event relates to another event or to the present time.
In the Bible, sometimes the words “men,” “brothers,” and “sons” refer only to men. At other times, those words include both men and women. In those places where the writer meant both men and women, you (the translator) need to translate it in a way that does not limit the meaning to men.
In some languages a word that normally refers to men can also be used in a more general way to refer to both men and women. For example, the Bible sometimes says “brothers” when it refers to both brothers and sisters.
Also in some languages, the masculine pronouns “he” and “him” can be used in a more general way for any person if it is not important whether the person is a man or a woman. In the example below, the pronoun is “his,” but it is not limited to males.
A wise son makes his father rejoice but a foolish son brings grief to his mother. (Proverbs 10:1 ULT)
When a statement applies to both men and women, translate it in such a way that people will be able to understand that it applies to both.
Now we want you to know, brothers, the grace of God that has been given to the churches of Macedonia. (2 Corinthians 8:1 ULT)
This verse is addressing the believers in Corinth, not only men, but men and women.
Then said Jesus to his disciples, “If anyone wants to follow me, he must deny himself, take up his cross, and follow me.” (Matthew 16:24 ULT)
Jesus was not speaking only of men, but of men and women.
Caution: Sometimes masculine words are used specifically to refer to men. Do not use words that would lead people to think that they include women. The words below are specifically about men.
Moses said, ‘If someone dies, not having children, his brother must marry his wife and have children for his brother.’ (Matthew 22:24 ULT)
If people would understand that that masculine words like “man,” “brother,” and “he” can include women, then consider using them. Otherwise, here are some ways for translating those words when they include women.
(1) Use a noun that can be used for both men and women.
(2) Use a word that refers to men and a word that refers to women.
(3) Use pronouns that can be used for both men and women.
(1) Use nouns that can be used for both men and women.
The wise man dies just like the fool dies. (Ecclesiastes 2:16b ULT)
“The wise person dies just like the fool dies.” “Wise people die just like fools die.”
(2) Use a word that refers to men and a word that refers to women.
For we do not want you to be uninformed, brothers, about the troubles that happened to us in Asia. (2 Corinthians 1:8) – Paul was writing this letter to both men and women.
“For we do not want you to be uninformed, brothers and sisters, about the troubles that happened to us in Asia.”
(3) Use pronouns that can be used for both men and women.
“If anyone wants to follow me, he must deny himself, take up his cross, and follow me.” (Matthew 16:24 ULT)
English speakers can change the masculine singular pronouns, “he,” “himself,” and “his” to plural pronouns that do not mark gender, “they,” “themselves,” and “their” in order to show that it applies to all people, not just men.
“If people want to follow me, they must deny themselves, take up their cross, and follow me.”
Most languages have a normal way of ordering the parts of a sentence. It is not the same in all languages. You (the translator) need to know what the normal word order is in your language.
Most sentences have three basic important parts: subject, object, and verb. Subjects and objects are usually nouns (i.e., a person, place, thing, or idea) or pronouns. Verbs show action or a state of being.
The subject is usually what the sentence is about. It usually performs some action or is being described. A subject may be active, meaning that it does something, such as sing, work, or teach.
A subject may have something done to it.
A subject can be described as being in a state, such as being happy, sad, or angry.
The object is often the thing that the subject does something to.
The verb shows an action or a state of being.
All languages have a preferred word order. However, word order is more important in some languages than in others. The examples below show the order of the subject, object, and verb in “Peter hit the ball” for some languages.
In some languages the order is Subject-Verb-Object. This is normal word order for English.
In some languages the order is Subject-Object-Verb.
In some languages the order is Verb-Subject-Object. This is normal word order for Biblical Hebrew.
In some languages the order is not important for the meaning of the sentence because the language uses other ways to indicate whether a word is the subject, the verb, or the object. Both Biblical Aramaic and Koiné Greek are languages like this.
Word order can change if the sentence:
Word order can also change
You may also want to watch the video at http://ufw.io/figs_order.
The normal word order for Biblical Hebrew is: Conjunction–Verb–Subject–Object.
However, there are many different reasons why a writer/speaker of Biblical Hebrew might choose a different word order. Some of the variations are important for understanding and translating the Hebrew text, and some are not. This module will briefly explain some of the most important variations in Hebrew word order and how those variations affect the meaning of the text.
A particle is a word that has a grammatical function but does not fit into the main parts of speech (i.e. noun, verb, adverb). Particles do not change. Sometimes a particle takes the place of the conjunction. Often (but not always) in these cases, the particle is functioning as a connecting word that expresses a specific kind of logical relationship between the chunk before the particle and the chunk after the particle. NOTE: this rule does not apply to negative particles or temporal particles.
Often the subject of a sentence appears before the verb instead of after it. Many of these instances have very little impact on the meaning of a sentence or paragraph. However, sometimes a writer/speaker puts the subject first in order to begin a new story or event, to give background information, to introduce a new participant (or re-introduce an old participant), or to end a story.
A temporal phrase is made of words that tell when something happens, how long it happens or how often it happens. When a temporal phrase appears before the verb, often (but not always) the temporal phrase introduces a new story or event within the narrative. Sometimes a conjunction appears before the temporal phrase, and sometimes not.
When another part of speech (other than a temporal phrase or negative particle) appears before the verb, usually (but not always) it is because the writer/speaker is emphasizing that particular item as the most important information in the sentence.
Most scholars agree that word order is so free in Biblical Aramaic that no distinct patterns of standard word order can be observed. Therefore, it is best to assume that word order has no affect on the meaning of a sentence in Aramaic.
There is no general agreement among scholars concerning standard word order for Koiné Greek as a language. It has been suggested that the normal word order in the New Testament is: Conjunction-Verb-Subject-Object-Modifiers. However, most scholars agree that word order is very free in the New Testament (and in Koiné Greek as a whole) and does not greatly impact the meaning of a sentence or paragraph.
However, the Greek language operates according to two general principles in regard to emphasizing a part(s) of speech within a sentence.
In other words, a writer/speaker does not emphasize words in Greek by moving them toward the end of the sentence, but by moving them toward the beginning of the sentence.
In other words, a writer/speaker shows that one particular word is the most important information in the sentence by positioning it first in the sentence.
When saying that someone said something, we often tell who spoke, whom they spoke to, and what they said. The information about who spoke and whom they spoke to is called the quote margin. What the person said is the quotation. (This is also called a quote.) In some languages the quote margin may come first, last, or even in between two parts of the quotation.
The quote margins are bolded below.
Also in some languages, the quote margin may have more than one verb meaning “said.”
But his mother answered and said, “No. Rather, he will be called John.” (Luke 1:60 ULT)
When writing that someone said something, some languages put the quote (what was said) in quotation marks called inverted commas (“ ”). Some languages use other symbols around the quotation, such as these angle quote marks (« »), or something else.
Then Zechariah said to the angel, “How will I know this? For I am an old man and my wife is advanced in her days.” (Luke 1:18 ULT)
Then tax collectors also came to be baptized, and they said to him, “Teacher, what should we do?” (Luke 3:12 ULT)
So he said to them, “Collect nothing more than what you have been ordered.” (Luke 3:13 ULT)
Yahweh relented concerning this. “It will not happen,” he said. (Amos 7:3 ULT)
“I will hide my face from them,” he said, “and I will see what their end will be; for they are a perverse generation, children who are unfaithful.” (Deuteronomy 32:20 ULT)
For look, days are coming—this is Yahweh’s declaration—when I will restore the fortunes of my people, Israel and Judah. (Jeremiah 30:3a ULT)
(1) Decide where to put the quote margin.
(2) Decide whether to use one or two words meaning “said.”
(1) Decide where to put the quote margin.
He said, “Therefore, those among you who are leaders should go down with us. If there is something wrong with the man, let them accuse him.” (Acts 25:5 ULT)
“Therefore, those who can should go there with us,” he said. “If there is something wrong with the man, you should accuse him.”
“Therefore, those who can should go there with us. If there is something wrong with the man, you should accuse him,” he said.
“Therefore, those who can,” he said, “should go there with us. If there is something wrong with the man, you should accuse him.”
(2) Decide whether to use one or two words meaning “said.”
But his mother answered and said, “No. Rather, he will be called John.” (Luke 1:60 ULT)
But his mother replied, “No. Rather, he will be called John.”
But his mother said, “No. Rather, he will be called John.”
But his mother answered like this. “No. Rather, he will be called John,” she said.
There are two kinds of quotations: direct quotations and indirect quotations.
A direct quotation occurs when someone reports what another person said from the viewpoint of that original speaker. People usually expect that this kind of quotation will represent the original speaker’s exact words. In the example below, John would have said “I” when referring to himself, so the narrator, who is reporting John’s words, uses the word “I” in the quotation to refer to John. To show that these are John’s exact words, many languages put the words between quotation marks:“.”
An indirect quotation occurs when a speaker reports what someone else said, but in this case, the speaker is reporting it from his own point of view instead and not from the original person’s point of view. This kind of quotation usually contains changes in pronouns, and it often includes changes in time, in word choices, and in length. In the example below, the narrator refers to John as “he” in the quotation and uses the word “would” to replace the future tense, indicated by “will.”
In some languages, reported speech can be expressed by either direct or indirect quotations. In other languages, it is more natural to use one than the other. There may be a certain meaning implied by using one rather than the other. So for each quotation, translators need to decide whether it is best to translate it as a direct quotation or as an indirect quotation.
The verses in the examples below contain both direct and indirect quotations. In the explanation below the verse, we have marked in bold the words that are quoted.
And he commanded him to tell no one, but, “Go, show yourself to the priest and offer a sacrifice for your cleansing, according to what Moses commanded, for a testimony to them.” (Luke 5:14 ULT)
And being asked by the Pharisees when the kingdom of God was coming, he answered them and said, “The kingdom of God is not coming with careful observation. 21 Neither will they say, ‘Look, here it is!’ or ‘There it is!’ For indeed, the kingdom of God is among you.”
And being asked by the Pharisees when the kingdom of God was coming, he answered them and said, “The kingdom of God is not coming with careful observation. Neither will they say, ‘Look, here it is!’ or ‘There it is!’ For indeed, the kingdom of God is among you.” (Luke 17:20-21 ULT)
If the kind of quote used in the source text would work well in your language, consider using it. If the kind of quote used in that context is not natural for your language, follow these strategies.
(1) If a direct quote would not work well in your language, change it to an indirect quote.
(2) If an indirect quote would not work well in your language, change it to a direct quote.
(1) If a direct quote would not work well in your language, change it to an indirect quote.
And he commanded him to tell no one, but, “Go, show yourself to the priest and offer a sacrifice for your cleansing, according to what Moses commanded, for a testimony to them.” (Luke 5:14 ULT)
He commanded him to tell no one, but to go and show himself to the priest and offer a sacrifice for his cleansing according to what Moses commanded, for a testimony to them.
(2) If an indirect quote would not work well in your language, change it to a direct quote.
And he commanded him to tell no one, but, “Go, show yourself to the priest and offer a sacrifice for your cleansing, according to what Moses commanded, for a testimony to them.” (Luke 5:14 ULT)
He commanded him, “Tell no one. Just go and show yourself to the priest and offer a sacrifice for your cleansing according to what Moses commanded, for a testimony to them.”
You may also want to watch the video at http://ufw.io/figs\_quotations.
Some languages use quotation marks to mark off direct quotes from the rest of the text. English uses the mark “ immediately before a quote and ” immediately after it.
Quotation marks are not used with indirect quotes.
When there are several layers of quotations inside of other quotations, it might be hard for readers to understand who is saying what. Alternating two kinds of quotation marks can help careful readers to keep track of them. In English, the outermost quotation has double quote marks, and the next quotation within it has single marks. If there is a third embedded quote, that quotation again has double quotation marks.
Some languages use other kinds of quotation marks: Here are some examples: ‚ ‘ ’ „ “ ” ‹ › « » ⁊ — .
The examples below show the kind of quotation markings used in the ULT.
A first layer direct quote has double quotation marks around it.
So the king replied, “That is Elijah the Tishbite.” (2 Kings 1:8b ULT)
A second layer direct quote has single quotation marks around it. We have printed it and the phrase in bold type for you to see them clearly.
They asked him, “Who is the man who said to you, ‘Pick it up and walk’?” (John 5:12 ULT)
He sent two of the disciples, saying, “Go into the village ahead of you. As you enter, you will find a colt that has never been ridden. Untie it and bring it to me. If any one asks you, ‘Why are you untying it?’ you will say thus, ‘The Lord has need of it.’” (Luke 19:29b-31 ULT)
A third layer direct quote has double quotation marks around it. We have printed it in bold type for you to see them clearly.
Abraham said, “Because I thought, ‘Surely there is no fear of God in this place, and they will kill me because of my wife.’ Besides, she is indeed my sister, the daughter of my father, but not the daughter of my mother; and she became my wife. When God caused me to leave my father’s house and travel from place to place, I said to her, ‘You must show me this faithfulness as my wife: At every place where we go, say about me, “He is my brother.”’” (Genesis 20:11-13 ULT)
A fourth layer direct quote has single quotation marks around it. We have printed it in bold for you to see it clearly.
They said to him, “A man came to meet us who said to us, ‘Go back to the king who sent you, and say to him, “Yahweh says this: ‘Is it because there is no God in Israel that you sent men to consult with Baal Zebub, the god of Ekron? Therefore you will not come down from the bed to which you have gone up; instead, you will certainly die.’ ” ’ ” (2 Kings 1:6 ULT)
Here are some ways you may be able to help readers see where each quote starts and ends so they can more easily know who said what.
(1) Alternate two kinds of quote marks to show layers of direct quotation. English alternates double quote marks and single quote marks.
(2) Translate one or some of the quotes as indirect quotes in order to use fewer quote marks, since indirect quotes do not need them. (See Direct and Indirect Quotations.)
(3) If a quotation is very long and has many layers of quotation in it, indent the main overall quote, and use quote marks only for the direct quotes inside of it.
(1) Alternate two kinds of quotation marks to show layers of direct quotation as shown in the ULT text below.
They said to him, “A man came to meet us who said to us, ‘Go back to the king who sent you, and say to him, “Yahweh says this: ‘Is it because there is no God in Israel that you sent men to consult with Baal Zebub, the god of Ekron? Therefore you will not come down from the bed to which you have gone up; instead, you will certainly die.’”’” (2 Kings 1:6 ULT)
(2) Translate one or more of the quotes as indirect quotes in order to use fewer quotation marks, since indirect quotes do not need them. In English, the word “that” can introduce an indirect quote. In the example below, everything after the word “that” is an indirect quote of what the messengers said to the king. Within that indirect quote, there are some direct quotes marked with double and single quotation marks.
They said to him, “A man came to meet us who said to us, ‘Go back to the king who sent you, and say to him, “Yahweh says this: ‘Is it because there is no God in Israel that you sent men to consult with Baal Zebub, the god of Ekron? Therefore you will not come down from the bed to which you have gone up; instead, you will certainly die.’”’” (2 Kings 1:6 ULT)
They told him that a man came to meet them who said to them, “Go back to the king who sent you, and say to him, ‘Yahweh says this: “Is it because there is no God in Israel that you sent men to consult with Baal Zebub, the god of Ekron? Therefore you will not come down from the bed to which you have gone up; instead, you will certainly die.”’”
(3) If a quotation is very long and has many layers of quotation in it, indent the main overall quote, and use quote marks only for the direct quotes inside of it.
They said to him, “A man came to meet us who said to us, ‘Go back to the king who sent you, and say to him, “Yahweh says this: ‘Is it because there is no God in Israel that you sent men to consult with Baal Zebub, the god of Ekron? Therefore you will not come down from the bed to which you have gone up; instead, you will certainly die.’”’” (2 Kings 1:6 ULT)
They said to him,
A man came to meet us who said to us, “Go back to the king who sent you, and say to him, ‘Yahweh says this: “Is it because there is no God in Israel that you sent men to consult with Baal Zebub, the god of Ekron? Therefore you will not come down from the bed to which you have gone up; instead, you will certainly die.”’”
A quotation may have a quote within it, and quotes that are inside of other quotes can also have quotes within them. When a quote has quotes within it, we say there are “layers” of quotation, and each of the quotes is a layer. When there are many layers of quotes inside of quotes, it can be hard for listeners and readers to know who is saying what. Some languages use a combination of direct quotes and indirect quotes to make it easier.
But Paul said, “I, however, was indeed born a citizen.” (Acts 22:28b ULT)
Jesus answered and said to them, “Be careful that no one leads you astray. For many will come in my name. They will say, ‘I am the Christ,’ and will lead many astray.” (Matthew 24:4-5 ULT)
The outermost layer is what Jesus said to his disciples. The second layer is what other people will say.
Jesus answered, “You say that I am a king.” (John 18:37b ULT)
The outermost layer is what Jesus said to Pilate. The second layer is what Pilate said about Jesus.
Abraham said, “… I said to her, ‘You must show me this faithfulness as my wife: At every place where we go, say about me, “He is my brother.”’” (Genesis 20:11a, 13 ULT)
The outermost layer is what Abraham responded to Abimelech. The second layer is what Abraham had told his wife. The third layer is what he wanted his wife to say. (We have bolded the third layer.)
They said to him, “A man came to meet us who said to us, ‘Go back to the king who sent you, and say to him, “Yahweh says this: ‘Is it because there is no God in Israel that you sent men to consult with Baal- Zebub, the god of Ekron? Therefore you will not come down from the bed to which you have gone up; instead, you will certainly die.’”’” (2 Kings 1:6 ULT)
The outermost layer is what the messengers said to the king. The second layer is what the man who had met the messengers told them. The third is what that man wanted the messengers to say to the king. The fourth is what Yahweh said. (We have bolded the fourth layer.)
Some languages use only direct quotes. Other languages use a combination of direct quotes and indirect quotes. In those languages it might sound strange and perhaps even be confusing if there are many layers of direct quotes.
(1) Translate all of the quotes as direct quotes.
(2) Translate one or some of the quotes as indirect quotes. (See Direct and Indirect Quotations.)
(1) Translate all of the quotes as direct quotes. In the example below we have bolded the indirect quotes in the ULT and the quotes that we have changed to direct quotes below it.
Festus presented to the king the things concerning Paul, saying, “There is a certain man was left here as a prisoner by Felix. So I am uncertain about the things concerning this matter. I asked if he was willing to go to Jerusalem and there to be judged concerning these things. But when Paul appealed to keep him in custody for the decision of the emperor, I ordered him to be held in custody until when I could send him to Caesar.” (Acts 25:14b, 20-21 ULT)
Festus presented Paul’s case to the king. He said, “A certain man was left behind here by Felix as a prisoner. I was uncertain about the things concerning this matter. I asked him, ‘Will you go to Jerusalem to be judged there concerning these things?’ But when Paul said, ‘I want to be kept in custody for the emperor’s decision,’ I told the guard, ‘Keep him in custody until when I can send him to Caesar.’”
(2) Translate one or some of the quotes as indirect quotes. In English the word “that” can come before indirect quotes. It is bolded in the examples below. The pronouns that changed because of the indirect quote are also bolded.
And Yahweh spoke to Moses, saying, “I have heard the complaints of the sons of Israel. Speak to them and say, ‘During the evenings you will eat meat, and in the morning you will be satisfied with bread. And you will know that I am Yahweh your God.’” (Exodus 16:11-12 ULT)
And Yahweh spoke to Moses, saying, “I have heard the complaints of the sons of Israel. Tell them that during the evenings they will eat meat, and in the morning they will be satisfied with bread. And they will know that I am Yahweh their God.’”
They said to him, “A man came to meet us who said to us, ‘Go back to the king who sent you, and say to him, “Yahweh says this: ‘Is it because there is no God in Israel that you sent men to consult with Baal-Zebub, the god of Ekron? Therefore you will not come down from the bed to which you have gone up; instead, you will certainly die.’”’” (2 Kings 1:6 ULT)
They told him that a man had come to meet them who said to them, “Go back to the king who sent you, and tell him that Yahweh says this: ‘Is it because there is no God in Israel that you sent men to consult with Baal Zebub, the god of Ekron? Therefore you will not come down from the bed to which you have gone up; instead, you will certainly die.’”
Pronouns are words that people might use instead of using a noun when referring to someone or something. Some examples are “I,” “you,” “he,” “it,” “this,” “that,” “himself,” “someone,” and others. The personal pronouns is the most common type of pronoun.
Personal pronouns refer to people or things and show whether the speaker is referring to himself, the person he is speaking to, or someone or something else. The following are kinds of information that personal pronouns may provide. Other types of pronouns may give some of this information, as well.
Reflexive Pronouns refer to another noun or pronoun in the same sentence: myself, yourself, himself, herself, itself, ourselves, yourselves, themselves.
Interrogative Pronouns are used to make a question that needs more than just a yes or no for an answer: what, which, who, whom, whose.
Relative Pronouns mark a relative clause. The relative pronouns, who, whom, whose, which and that give more information about a noun in the main part of the sentence. Sometimes, the relative adverbs when and where can also be used as relative pronouns.
Demonstrative Pronouns are used to draw attention to someone or something and to show distance from the speaker or something else. The demonstrative pronouns are: this, these, that, and those.
Indefinite pronouns are used when no particular noun is being referred to. The indefinite pronouns are: any, anyone, someone, anything, something, and some. Sometimes a personal pronoun is used in a generic way to do this: you, they, he or it.
In the last example, “they” and “you” just refer to people in general.
Normally a speaker refers to himself as “I” and the person he is speaking to as “you.” Sometimes in the Bible a speaker refers to himself or to the person he is speaking to with terms other than “I” or “you.”
Sometimes in the Bible a speaker uses the third person to refer to himself or to the people he is speaking to. Readers might think that the speaker was referring to someone else. They might not understand that he meant “I” or “you.”
Sometimes people used the third person instead of “I” or “me” to refer to themselves.
But David said to Saul, “Your servant used to keep his father’s sheep.” (1 Samuel 17:34 ULT)
David referred to himself in the third person as “your servant” and used “his.” He was calling himself Saul’s servant in order to show his humility before Saul.
Then Yahweh answered Job out of a fierce storm and said, “… Do you have an arm like God’s? Can you thunder with a voice like his?” (Job 40:6, 9 ULT)
God referred to himself in the third person with the words “God’s” and “his.” He did this to emphasize that he is God, and he is powerful.
Sometimes people use the third person instead of “you” or “your” to refer to the person or people they are speaking to.
Abraham answered and said, “Look, I have undertaken to speak to my Lord, even though I am only dust and ashes!” (Genesis 18:27 ULT)
Abraham was speaking to the Lord, and referred to the Lord as “My Lord” rather than as “you.” He did this to show his humility before God.
So also my heavenly Father will do to you, if each of you does not forgive his brother from your heart. (Matthew 18:35 ULT)
After saying “each of you,” Jesus used the third person “his” instead of “your.”
If using the third person to mean “I” or “you” would be natural and give the right meaning in your language, consider using it. If not, here are some other options.
(1) Use the third person phrase along with the pronoun “I” or “you.”
(2) Simply use the first person (“I”) or second person (“you”) instead of the third person.
(1) Use the third person phrase along with the pronoun “I” or “you.”
But David said to Saul, “Your servant used to keep his father’s sheep.” (1 Samuel 17:34)
But David said to Saul, “I, your servant, used to keep my father’s sheep.”
(2) Simply use the first person (“I”) or second person (“you”) instead of the third person.
Then Yahweh answered Job out of a fierce storm and said, “… Do you have an arm like God’s? Can you thunder with a voice like his?” (Job 40:6, 9 ULT)
Then Yahweh answered Job out of a fierce storm and said, “… Do you have an arm like mine? Can you thunder with a voice like mine?”
So also my heavenly Father will do to you if each of you does not forgive his brother from your heart. (Matthew 18:35 ULT)
So also my heavenly Father will do to you if each of you does not forgive your brother from your heart.
Some languages have more than one form of “we”: an inclusive form that means “I and you” and an exclusive form that means “I and someone else but not you.” The exclusive form excludes the person being spoken to. The inclusive form includes the person being spoken to and possibly others. This is also true for “us,” “our,” “ours,” and “ourselves.” Some languages have inclusive forms and exclusive forms for each of these. Translators whose language has separate exclusive and inclusive forms for these words will need to understand what the speaker meant so that they can decide which form to use.
See the pictures. The people on the right are the people that the speaker is talking to. The yellow highlight shows who the inclusive “we” and the exclusive “we” refer to.
The Bible was first written in the Hebrew, Aramaic, and Greek languages. Like English, these languages do not have separate exclusive and inclusive forms for “we.” If your language has separate exclusive and inclusive forms of “we,” then you will need to understand what the speaker meant so that you can decide which form of “we” to use.
They said, “There are not more than five loaves of bread and two fish with us—unless we go and buy food for all these people.” (Luke 9:13 ULT)
In the second clause, the disciples are talking about some of them going to buy food, so that “we” would be the exclusive form, since Jesus would not go to buy food.
We have seen it, and we bear witness to it. We are announcing to you the eternal life, which was with the Father, and which has been made known to us. (1 John 1:2 ULT)
John is telling people who have not seen Jesus what he and the other apostles have seen. So languages that have exclusive forms of “we” and “us” would use the exclusive forms in this verse.
The shepherds said one to each other, “Let us now go to Bethlehem, and see this thing that has happened, which the Lord has made known to us.” (Luke 2:15b ULT)
The shepherds were speaking to one another. When they said “us,” they were including the people they were speaking to – one another.
Now it happened that on one of those days, he indeed got into a boat with his disciples, and he said to them, “Let us go over to the other side of the lake.” So they set sail. (Luke 8:22 ULT)
When Jesus said “us,” he was referring to himself and to the disciples he was speaking to, so this would be the inclusive form.
(You may also want to watch the video at http://ufw.io/figs_youform.)
Some languages make a distinction between the formal form of “you” and the informal form of “you.” This page is primarily for people whose language makes this distinction.
In some cultures people use the formal “you” when speaking to someone who is older or in authority, and they use the informal “you” when speaking to someone who is their own age or younger or who has less authority. In other cultures, people use the formal “you” when speaking to strangers or people they do not know well, and the informal “you” when speaking with family members and close friends.
Yahweh God called to the man and said to him, “Where are you?” (Genesis 3:9 ULT)
God is in authority over the man, so languages that have formal and informal forms of “you” would probably use the informal form here.
It seemed good to me also, having carefully investigated everything from the beginning, to write for you an orderly account, most excellent Theophilus, so that you might know the certainty concerning the things that you have been taught. (Luke 1:3-4 ULT)
Luke called Theophilus “most excellent.” This shows us that Theophilus was probably a high official to whom Luke was showing great respect. Speakers of languages that have a formal form of “you” would probably use that form here.
‘Our Father who is in heaven, may your name be honored as holy.’ (Matthew 6:9b ULT)
This is part of a prayer that Jesus taught his disciples. Some cultures would use the formal “you” because God is in authority. Other cultures would use the informal “you” because God is our Father.
Translators whose language has formal and informal forms of “you” will need to understand the relationship between two speakers in order to choose the appropriate form of “you” in their language.
Pay attention to the relationships between the speakers.
If you have a Bible in a language that has formal and informal forms of “you,” see what forms it uses. Remember, though, that the rules in that language might be different than the rules in your language.
English does not have formal and informal forms of “you,” so we cannot show in English how to translate using formal and informal forms of “you.” Please see the examples and discussion above.
The Bible was written in Hebrew, Aramaic and Greek. These languages have a singular form of “you” for when the word “you” refers to just one person, and a plural form for when the word “you” refers to more than one person. However, sometimes speakers in the Bible used the singular form of “you” even though they were speaking to a group of people. This is not obvious when you read the Bible in English because English does not have different forms that indicate where “you” is singular and where “you” is plural. But you may see this if you read a Bible in a language that does have distinct forms.
Also, speakers and writers of the Old Testament often referred to groups of people with the singular pronoun “he,” rather than with the plural pronoun “they.”
Finally, Old Testament speakers and writers also refer to actions that they performed as part of a group by saying ‘I’ did it when, really, the whole group was involved.
1 Now take heed that you do not do your acts of righteousness before people to be seen by them, otherwise you will not have a reward with your Father who is in heaven. 2 So when you give alms, do not sound a trumpet before yourself as the hypocrites do in the synagogues and in the streets, so that they may have the praise of people. Truly I say to you, they have received their reward. (Matthew 6:1-2 ULT)
Jesus said this to a crowd. He used “you” plural in verse 1, and “you” singular in the first sentence of verse 2. Then, in the last sentence, he used the plural again.
God spoke all these words: “I am Yahweh, your God, who brought you out of the land of Egypt, out of the house of slavery. You must have no other gods before me.” (Exodus 20:1-3 ULT)
God said this to all the people of Israel. He had taken them all out of Egypt and he wanted them all to obey him, but he used the singular form of you here when speaking to them.
This is what Yahweh says, “For three sins of Edom, even for four, I will not turn away punishment, because he pursued his brother with the sword and cast off all pity. His anger raged continually, and his wrath lasted forever.” (Amos 1:11 ULT)
Yahweh said these things about the nation of Edom, not about only one person.
And I arose in the night, myself and a few men with me. And I was going up by the wadi at night, and I was looking intently at the wall. And I turned back, and I entered by the gate of the valley, and I returned. (Nehemiah 2:12a,15 ULT)
Nehemiah makes clear that he brought other people with him on his inspection tour of the wall of Jerusalem. But as he describes the tour, he just says “I” did this and that.
(1) If the singular form of the pronoun would be natural when referring to a group of people, consider using it.
(1) If the singular form of the pronoun would not be natural when referring to a group of people, or if the readers would be confused by it, use the plural form of the pronoun.
This is what Yahweh says, “For three sins of Edom, even for four, I will not turn away punishment, because he pursued his brother with the sword and cast off all pity. His anger raged continually, and his wrath lasted forever.” (Amos 1:11 ULT)
This is what Yahweh says, “For three sins of Edom, even for four, I will not turn away punishment, because they pursued their brothers with the sword and cast off all pity. Their anger raged continually, and their wrath lasted forever.”
And I arose in the night, myself and a few men with me. And I was going up by the wadi at night, and I was looking intently at the wall. And I turned back, and I entered by the gate of the valley, and I returned. (Nehemiah 2:12a,15 ULT)
And I arose in the night, myself and a few men with me. … And we were going up by the wadi at night and we were looking intently at the wall. And we turned back and we entered by the gate of the valley, and we returned.
All languages have ways of showing that the same person fills two different roles in a sentence. English does this by using reflexive pronouns. These are pronouns that refer to someone or something that has already been mentioned in a sentence. In English the reflexive pronouns are: “myself,” “yourself,” “himself,” “herself,” “itself,” “ourselves,” “yourselves,” and “themselves.” Other languages may have other ways to show this.
Reflexive pronouns are used to show the same person or thing fills two different roles in a sentence.
If I should testify about myself, my testimony would not be true. (John 5:31 ULT)
Now the Passover of the Jews was near, and many went up to Jerusalem from the country before the Passover in order to purify themselves. (John 11:55 ULT)
Reflexive pronouns are used to emphasize a person or thing in the sentence.
Jesus himself was not baptizing, but his disciples were. (John 4:2 ULT)
So they left the crowd, taking Jesus with them, just as he was, in the boat. There also were other boats with him. Then a violent windstorm arose and the waves were breaking into the boat so that the boat was already full of water. But Jesus himself was in the stern, asleep on the cushion. (Mark 4:36-38a ULT)
Reflexive pronouns are used to show that someone did something alone.
When Jesus realized that they were about to come and seize him by force to make him king, he withdrew again up the mountain by himself. (John 6:15 ULT)
Reflexive pronouns are used to show that someone or something was alone.
He saw the linen cloths lying there and the cloth that had been on his head. It was not lying with the linen cloths but was folded up in a place by itself. (John 20:6b-7 ULT)
If a reflexive pronoun would have the same function in your language, consider using it. If not, here are some other strategies.
(1) In some languages people put something on the verb to show that the object of the verb is the same as the subject.
(2) In some languages people emphasize a certain person or thing by referring to it in a special place in the sentence.
(3) In some languages people emphasize a certain person or thing by adding something to that word or putting another word with it.
(4) In some languages people show that someone did something alone by using a word like “alone.”
(5) In some languages people show that something was alone by using a phrase that tells about where it was.
(1) In some languages people modify the verb to show that the object of the verb is the same as the subject.
If I should testify about myself alone, my testimony would not be true. (John 5:31)
“If I should self-testify alone, my testimony would not be true.”
Now the Passover of the Jews was near, and many went up to Jerusalem from the country before the Passover in order to purify themselves. (John 11:55)
“Now the Passover of the Jews was near, and many went up to Jerusalem out from country before the Passover in order to self-purify.”
(2) In some languages people emphasize a certain person or thing by referring to it in a special place in the sentence.
He himself took our sickness and bore our diseases. (Matthew 8:17 ULT)
“It was he who took our sickness and bore our diseases.”
Jesus himself was not baptizing, but his disciples were. (John 4:2)
“It was not Jesus who was baptizing, but his disciples were.”
(3) In some languages people emphasize a certain person or thing by adding something to that word or putting another word with it. English adds the reflexive pronoun.
But Jesus said this to test Philip, for he himself knew what he was going to do. (John 6:6)
(4) In some languages people show that someone did something alone by using a word like “alone.”
When Jesus realized that they were about to come and seize him by force to make him king, he withdrew again up the mountain by himself. (John 6:15)
“When Jesus realized that they were about to come and seize him by force to make him king, he withdrew again alone up the mountain.”
(5) In some languages people show that something was alone by using a phrase that tells about where it was.
He saw the linen cloths lying there and the cloth that had been on his head. It was not lying with the linen cloths but was folded up in a place by itself. (John 20:6b-7 ULT)
“He saw the linen cloths lying there and the cloth that had been on his head. It was not lying with the linen cloths but was folded up and lying in it’s own place.”
When we talk or write, we use pronouns to refer to people or things without always having to repeat the noun or name. Usually, the first time we refer to someone in a story, we use a descriptive phrase or a name. The next time we might refer to that person with a simple noun or by name. After that we might refer to him simply with a pronoun as long as we think that our listeners will be able to understand easily to whom the pronoun refers.
Now there was a man from the Pharisees whose name was Nicodemus, a Jewish leader. This man came to Jesus at night. Jesus replied and said to him … (John 3:1, 2a, 3a ULT)
In John 3, Nicodemus is first referred to with noun phrases and his name. Then he is referred to with the noun phrase “this man.” Then he is referred to with the pronoun “him.”
Each language has its rules and exceptions to this usual way of referring to people and things.
The example below occurs at the beginning of a chapter. In some languages it might not be clear to whom the pronouns refer.
Then Jesus entered into the synagogue again, and there was a man who had a withered hand. Some people watched him closely to see if he would heal him on the Sabbath so that they might accuse him. (Mark 3:1-2 ULT)
In the example below, two men are named in the first sentence. It might not be clear whom “he” in the second sentence refers to.
Now after some days had passed, King Agrippa and Bernice came down to Caesarea to pay their respects to Festus. After he had been there for many days, Festus presented to the king the things concerning Paul. (Acts 25:13-14)
Jesus is the main character of the book of Matthew, but in the verses below he is referred to four times by name. This may lead speakers of some languages to think that Jesus is not the main character. Or it might lead them to think that there is more than one person named Jesus in this story. Or it might lead them to think that there is some kind of emphasis on him, even though there is no emphasis.
At that time Jesus went on the Sabbath day through the grainfields. His disciples were hungry and began to pluck heads of grain and eat them. But when the Pharisees saw that, they said to Jesus, “See, your disciples do what is unlawful to do on the Sabbath.” But Jesus said to them, “Have you never read what David did, when he was hungry, and the men who were with him?” Then Jesus left from there and went into their synagogue. (Matthew 12:1-3,9 ULT)
(1) If it would not be clear to your readers to whom or to what a pronoun refers, use a name or a noun.
(2) If repeating a noun or name would lead people to think that a main character is not a main character, or that the writer is talking about more than one person with that name, or that there is some kind of emphasis on someone when there is no emphasis, use a pronoun instead.
(1) If it would not be clear to your readers to whom or to what a pronoun refers, use a name or a noun.
Again he walked into the synagogue, and a man with a withered hand was there. Some Pharisees watched him to see if he would heal the man on the Sabbath. (Mark 3:1-2)
Again Jesus walked into the synagogue, and a man with a withered hand was there. Some Pharisees watched Jesus to see if he would heal the man on the Sabbath.
(2) If repeating a noun or name would lead people to think that a main character is not a main character, or that the writer is talking about more than one person with that name, or that there is some kind of emphasis on someone when there is no emphasis, use a pronoun instead.
At that time Jesus went on the Sabbath day through the grainfields. His disciples were hungry and began to pluck heads of grain and eat them. But when the Pharisees saw that, they said to Jesus, “See, your disciples do what is unlawful to do on the Sabbath.” But Jesus said to them, “Have you never read what David did, when he was hungry, and the men who were with him?” Then Jesus left from there and went into their synagogue. (Matthew 12:1-3,9 ULT)
This may be translated as:
At that time Jesus went on the Sabbath day through the grainfields. His disciples were hungry and began to pluck heads of grain and eat them. But when the Pharisees saw that, they said to him, “See, your disciples do what is unlawful to do on the Sabbath.” But he said to them, “Have you never read what David did, when he was hungry, and the men who were with him?” Then he left from there and went into their synagogue.
While working to translate the Bible, you (the translator) might find yourself asking: “How do I translate words like lion, fig tree, mountain, priest, or temple when people in my culture have never seen these things and we do not have a word for them?”
Unknowns are things that occur in the source text that are not known to the people of your culture. The unfoldingWord® Translation Words pages and the unfoldingWord® Translation Notes will help you understand what they are. After you understand them, you will need to find ways to refer to those things so that people who read your translation will understand what they are.
They said to him, “We have nothing here except five loaves of bread and two fish.” (Matthew 14:17 ULT)
Bread is a particular food made by mixing finely crushed grains with oil, and then cooking the mixture so that it is dry. (Grains are the seeds of a kind of grass.) In some cultures people do not have bread and do not know what it is.
So I will turn Jerusalem into piles of ruins, a hideout for jackals. (Jeremiah 9:11a ULT)
Jackals are wild animals like dogs that live in only a few parts of the world. So they are not known in many places.
Beware of false prophets, who come to you in sheep’s clothing, but inwardly they are ravenous wolves. (Matthew 7:15 ULT)
If wolves do not live where the translation will be read, the readers may not understand that they are fierce, wild animals like dogs that attack and eat sheep.
They offered him wine mixed with myrrh, but he did not drink it. (Mark 15:23 ULT)
People may not know what myrrh is and that it was used as a medicine.
… to him who made great lights … (Psalm 136:7a ULT)
Some languages have terms for things that give light, like the sun and fire, but they have no general term for lights.
Your sins … will be white like snow. (Isaiah 1:18b ULT)
People in many parts of the world have not seen snow, but they may have seen it in pictures.
Here are ways you might translate a term that is not known in your language:
(1) Use a phrase that describes what the unknown item is, or what is important about the unknown item for the verse being translated.
(2) Substitute something similar from your language if doing so does not falsely represent a historical fact.
(3) Copy the word from another language, and add a general word or descriptive phrase to help people understand it.
(4) Use a word that is more general in meaning.
(5) Use a word or phrase that is more specific in meaning.
(1) Use a phrase that describes what the unknown item is, or what is important about the unknown item for the verse being translated.
Beware of false prophets, who come to you in sheep’s clothing, but are inwardly they are ravenous wolves. (Matthew 7:15 ULT)
Beware of false prophets, who come to you in sheep’s clothing, but inwardly they are very hungry and dangerous animals.
“Ravenous wolves” is part of a metaphor here, so the reader needs to know that they are very dangerous to sheep in order to understand this metaphor. (If sheep are also unknown, then you will need to also use one of the translation strategies to translate sheep, or change the metaphor to something else, using a translation strategy for metaphors. See Translating Metaphors.)
“We have nothing here except five loaves of bread and two fish.” (Matthew 14:17 ULT)
We have nothing here except five loaves of baked grain seeds and two fish.
(2) Substitute something similar from your language if doing so does not falsely represent a historical fact.
Your sins … will be white like snow. (Isaiah 1:18b ULT) This verse is not about snow. It uses snow in a figure of speech to help people understand how white something will be.
Your sins … will be white like milk.
Your sins … will be white like the moon.
(3) Copy the word from another language, and add a general word or descriptive phrase to help people understand it.
Then they tried to give Jesus wine that was mixed with myrrh. But he refused to drink it. (Mark 15:23 ULT) – People may understand better what myrrh is if it is used with the general word “medicine.”
Then they tried to give Jesus wine that was mixed with a medicine called myrrh. But he refused to drink it.
“We have nothing here except five loaves of bread and two fish.” (Matthew 14:17 ULT) – People may understand better what bread is if it is used with a phrase that tells what it is made of (seeds) and how it is prepared (crushed and baked).
We have nothing here except five loaves of baked crushed seed bread and two fish.
(4) Use a word that is more general in meaning.
I will turn Jerusalem into piles of ruins, a hideout for jackals (Jeremiah 9:11a ULT)
I will turn Jerusalem into piles of ruins, a hideout for wild dogs
“We have nothing here except five loaves of bread and two fish.” (Matthew 14:17 ULT)
We have nothing here except five loaves of baked food and two fish.
(5) Use a word or phrase that is more specific in meaning.
… to him who made great lights … (Psalm 136:7a ULT)
to him who made the sun and the moon
Sometimes the Bible includes things that are not part of your culture and for which your language may not have a word. The Bible also includes people and places for which you may not have names.
When that happens you can “borrow” the word from the Bible in a familiar language and use it in your translation in your own language. This means that you basically copy it from the other language. This page tells how to “borrow” words. (There are also other ways to translate words for things that are not in your language. See Translate Unknowns.)
Seeing one fig tree along the roadside, he went to it. (Matthew 21:19a ULT)
If there are no fig trees where your language is spoken, there might not be a name for this kind of tree in your language.
Above him were the seraphim; each one had six wings; with two each covered his face, and with two he covered his feet, and with two he flew. (Isaiah 6:2 ULT)
Your language might not have a name for this kind of creature.
The declaration of the word of Yahweh to Israel by the hand of Malachi. (Malachi 1:1 ULT)
Malachi might not be a name that people who speak your language use.
There are several things to be aware of when borrowing words from another language.
There are several ways to borrow a word.
(1) If your language uses a different script from the language you are translating from, you can simply substitute each letter shape with the corresponding letter shape of the script of your language.
(2) You can spell the word as the Other Language spells it, and pronounce it the way your language normally pronounces those letters.
(3) You can pronounce the word similarly to the way the Other Language does, and adjust the spelling to fit the rules of your language.
(1) If your language uses a different script from the language you are translating from, you can simply substitute each letter shape with the corresponding letter shape of the script of your language.
צְפַנְיָ֤ה – A man’s name in Hebrew letters.
“Zephaniah” – The same name in Roman letters
(2) You can spell the word as the Other Language spells it, and pronounce it the way your language normally pronounces those letters.
Zephaniah – This is a man’s name.
“Zephaniah” – The name as it is spelled in English, but you can pronounce it according to the rules of your language.
(3) You can pronounce the word similarly to the way the Other Language does, and adjust the spelling to fit the rules of your language.
Zephaniah – If your language does not have the “z,” you could use “s.” If your writing system does not use “ph” you could use “f.” Depending on how you pronounce the “i” you could spell it with “i” or “ai” or “ay.”
“Sefania”
“Sefanaia”
“Sefanaya”
The Bible contains the names of many people, groups of people, and places. Some of these names may sound strange and be hard to say. Sometimes readers may not know what a name refers to, and sometimes they may need to understand what a name means. This page will help you see how you can translate these names and how you can help people understand what they need to know about them.
Most names in the Bible have meaning. Most of the time, names in the Bible are used simply to identify the people and places they refer to, but sometimes the meaning of a name is especially important.
For this Melchizedek, king of Salem, priest of God Most High, was the one who met Abraham returning from the slaughter of the kings and blessed him. (Hebrews 7:1 ULT)
Here the writer uses the name “Melchizedek” primarily to refer to a man who had that name, and the title “king of Salem” tells us that he ruled over a certain city.
His name first indeed means “king of righteousness,” and then also “king of Salem,” that is, “king of peace.” (Hebrews 7:2b ULT)
Here the writer explains the meanings of Melchizedek’s name and title because those things tell us more about the person. Other times, the writer does not explain the meaning of a name because he expects the reader to already know the meaning. If the meaning of the name is important to understand the passage, you can include the meaning in the text or in a footnote.
Then you crossed over the Jordan and came to Jericho, and the men of Jericho, and the Amorites … fought against you, but I gave them into your hand. (Joshua 24:11 ULT)
Readers might not know that “Jordan” is the name of a river, “Jericho” is the name of a city, and “Amorites” is the name of a group of people.
She said, “Do I really continue to see, even after he has seen me?” Therefore, the well was called Beer Lahai Roi. (Genesis 16:13b-14a ULT)
Readers may not understand the second sentence if they do not know that “Beer Lahai Roi” means “Well of the Living One who sees me.”
And she called his name Moses and she said, “For out of the water I drew him.” (Exodus 2:10b ULT)
Readers may not understand why she said this if they do not know that the name Moses sounds like the Hebrew words “pull out.”
Saul was in agreement with his execution. (Acts 8:1a ULT)
But when the apostles, Barnabas and Paul, heard of it, they tore their clothing. (Acts 14:14a ULT)
Readers may not know that the names Saul and Paul refer to the same person.
(1) If readers cannot easily understand from the context what kind of a thing a name refers to, you can add a word to clarify it.
(2) If readers need to understand the meaning of a name in order to understand what is said about it, copy the name and tell about its meaning either in the text or in a footnote.
(3) Or if readers need to understand the meaning of a name in order to understand what is said about it, and that name is used only once, translate the meaning of the name instead of copying the name.
(4) If a person or place has two different names, use one name most of the time and the other name only when the text tells about the person or place having more than one name or when it says something about why the person or place was given that name. Write a footnote when the source text uses the name that is used less frequently.
(5) Or if a person or place has two different names, then use whatever name is given in the source text, and add a footnote that gives the other name.
(1) If readers cannot easily understand from the context what kind of a thing a name refers to, you can add a word to clarify it.
Then you crossed over the Jordan and came to Jericho, and the men of Jericho, and the Amorites … fought against you, but I gave them into your hand. (Joshua 24:11 ULT)
You went over the Jordan River and came to the city of Jericho. The men of Jericho fought against you, along with the tribe of the Amorites.
At that hour, certain Pharisees approached, saying to him, “Leave and go away from here, because Herod wants to kill you.” (Luke 13:31 ULT)
At that hour, certain Pharisees approached, saying to him, “Go and leave here, because King Herod wants to kill you.”
(2) If readers need to understand the meaning of a name in order to understand what is said about it, copy the name and tell about its meaning either in the text or in a footnote.
And she called his name Moses and she said, “For out of the water I drew him.” (Exodus 2:10b ULT)
She called his name Moses (which sounds like ‘drawn out’), and she said, “For out of the water I drew him.”
(3) Or if readers need to understand the meaning of a name in order to understand what is said about it, and that name is used only once, translate the meaning of the name instead of copying the name.
She said, “Do I really continue to see, even after he has seen me?” Therefore, the well was called Beer Lahai Roi. (Genesis 16:13b-14a ULT)
She said, “Do I really continue to see, even after he has seen me?” Therefore, the well was called Well of the Living One who sees me.
(4) If a person or place has two different names, use one name most of the time and the other name only when the text tells about the person or place having more than one name or when it says something about why the person or place was given that name. Write a footnote when the source text uses the name that is used less frequently. For example, Paul is called “Saul” before Acts 13 and “Paul” after Acts 13. You could translate his name as “Paul” all of the time, except in Acts 13:9 where it talks about him having both names.
… a young man named Saul. (Acts 7:58b ULT)
… a young man named Paul 1
The footnote would look like:
[1] Most versions say “Saul” here, but most of the time in the Bible he is called “Paul.”
Then later in the story, you could translate this way:
But Saul, who is also called Paul, was filled with the Holy Spirit; (Acts 13:9)
But Saul, who is also called Paul, was filled with the Holy Spirit;
(5) Or if a person or place has two names, use whatever name is given in the source text, and add a footnote that gives the other name. For example, you could write “Saul” where the source text has “Saul” and “Paul” where the source text has “Paul.”
a young man named Saul (Acts 7:58 ULT)
a young man named Saul
The footnote would look like:
[1] This is the same man who is called Paul beginning in Acts 13.
Then later in the story, you could translate this way:
But Saul, who is also called Paul, was filled with the Holy Spirit; (Acts 13:9)
But Saul, who is also called Paul, was filled with the Holy Spirit;
Then after the story has explained the name change, you could translate this way.
It came about in Iconium that Paul and Barnabas entered together into the synagogue (Acts 14:1 ULT)
It came about in Iconium that Paul1 and Barnabas entered together into the synagogue
The footnote would look like:
[1] This is the same man who was called Saul before Acts 13.
Assumed knowledge is whatever a speaker assumes his audience knows before he speaks and gives them some kind of information. The speaker does not give the audience this information because he believes that they already know it.
When the speaker does give the audience information, he can do so in two ways. The speaker gives explicit information in what the he states directly. Implicit Information is what the speaker does not state directly because he expects his audience to be able to learn it from other things he says.
When someone speaks or writes, he has something specific that he wants people to know or do or think about. He normally states this directly. This is explicit information.
The speaker assumes that his audience already knows certain things that they will need to think about in order to understand this information. Normally he does not tell people these things, because they already know them. This is called assumed knowledge.
The speaker does not always directly state everything that he expects his audience to learn from what he says. Implicit information is information that he expects people to learn from what he says even though he does not state it directly.
Often, the audience understands this implicit information by combining what they already know (assumed knowledge) with the explicit information that the speaker tells them directly.
All three kinds of information are part of the speaker’s message. If one of these kinds of information is missing, then the audience will not understand the message. Because the target translation is in a language that is very different from the biblical languages and is made for an audience that lives in a very different time and place than the people in the Bible, many times the assumed knowledge or the implicit information is missing from the message. In other words, modern readers do not know everything that the original speakers and hearers in the Bible knew. When these things are important for understanding the message, it is helpful if you include this information in the text or in a footnote.
Then a scribe came to him and said, “Teacher, I will follow you wherever you go.” Jesus said to him, “Foxes have holes, and the birds of the sky have nests, but the Son of Man has nowhere to lay his head.” (Matthew 8:19-20 ULT)
Jesus did not say what foxes and birds use holes and nests for, because he assumed that the scribe would have known that foxes sleep in holes in the ground and birds sleep in their nests. This is assumed knowledge.
Jesus did not directly say here “I am the Son of Man” but, if the scribe did not already know it, then that fact would be implicit information that he could learn because Jesus referred to himself that way. Also, Jesus did not state explicitly that he travelled a lot and did not have a house that he slept in every night. That is implicit information that the scribe could learn when Jesus said that he had nowhere to lay his head.
Woe to you, Chorazin! Woe to you, Bethsaida! If the mighty deeds had been done in Tyre and Sidon which were done in you, they would have repented long ago in sackcloth and ashes. But I say to you, it will be more tolerable for Tyre and Sidon at the day of judgment than for you. (Matthew 11:21-22 ULT)
Jesus assumed that the people he was speaking to knew that Tyre and Sidon were very wicked, and that the day of judgment is a time when God will judge every person. Jesus also knew that the people he was talking to believed that they were good and did not need to repent. Jesus did not need to tell them these things. This is all assumed knowledge.
An important piece of implicit information here is that the people he was speaking to would be judged more severely than the people of Tyre and Sidon would be judged because they did not repent.
Why do your disciples violate the traditions of the elders? For they do not wash their hands when they eat. bread. (Matthew 15:2 ULT)
One of the traditions of the elders was a ceremony in which people would wash their hands in order to be ritually clean before eating. People thought that in order to be righteous, they had to follow all the traditions of the elders. This was assumed knowledge that the Pharisees who were speaking to Jesus expected him to know. By saying this, they were accusing his disciples of not following the traditions, and thus not being righteous. This is implicit information that they wanted him to understand from what they said.
If readers have enough assumed knowledge to be able to understand the message, along with any important implicit information that goes with the explicit information, then it is good to leave that knowledge unstated and leave the implicit information implicit. If the readers do not understand the message because one of these is missing for them, then follow these strategies:
(1) If readers cannot understand the message because they do not have certain assumed knowledge, then provide that knowledge as explicit information.
(2) If readers cannot understand the message because they do not know certain implicit information, then state that information clearly, but try to do it in a way that does not imply that the information was new to the original audience.
(1) If readers cannot understand the message because they do not have certain assumed knowledge, then provide that knowledge as explicit information.
Jesus said to him, “Foxes have holes, and the birds of the sky have nests, but the Son of Man has nowhere to lay his head.” (Matthew 8:20 ULT)
The assumed knowledge was that the foxes slept in their holes and birds slept in their nests.
Jesus said to him, “Foxes have holes to live in, and the birds of the sky have nests to live in, but the Son of Man has nowhere to lay his head and sleep.”
It will be more tolerable for Tyre and Sidon at the day of judgment than for you (Matthew 11:22 ULT)
The assumed knowledge was that the people of Tyre and Sidon were very, very wicked. This can be stated explicitly.
At the day of judgment, it will be more tolerable for those cities of Tyre and Sidon, whose people were very wicked, than it will be for you. or At the day of judgment, It will be more tolerable for those wicked cities, Tyre and Sidon, than for you.
Why do your disciples violate the traditions of the elders? For they do not wash their hands when they eat bread. (Matthew 15:2 ULT)
The assumed knowledge was that one of the traditions of the elders was a ceremony in which people would wash their hands in order to be ritually clean before eating, which they must do to be righteous. It was not to remove germs from their hands to avoid sickness, as a modern reader might think.
Why do your disciples violate the traditions of the elders? For they do not go through the ceremonial handwashing ritual of righteousness when they eat bread.
(2) If readers cannot understand the message because they do not know certain implicit information, then state that information clearly, but try to do it in a way that does not imply that the information was new to the original audience.
Then a scribe came to him and said, “Teacher, I will follow you wherever you go.” Jesus said to him, “Foxes have holes, and the birds of the sky have nests, but the Son of Man has nowhere to lay his head.” (Matthew 8:19-20 ULT)
The implicit information is that Jesus himself is the Son of Man. Other implicit information is that if the scribe wanted to follow Jesus, then, like Jesus, he would have to live without a house.
Jesus said to him, “Foxes have holes, and the birds of the sky have nests, but I, the Son of Man, have no home to rest in. If you want to follow me, you will live as I live.”
It will be more tolerable for Tyre and Sidon at the day of judgment than for you (Matthew 11:22 ULT)
The implicit information is that God would not only judge the people; he would punish them. This can be made explicit.
At the day of judgment, God will punish Tyre and Sidon, cities whose people were very wicked, less severely than he will punish you. or: At the day of judgment, God will punish you more severely than Tyre and Sidon, cities whose people were very wicked.
Modern readers may not know some of the things that the people in the Bible and the people who first read it knew. This can make it hard for them to understand what a speaker or writer says, and to learn things that the speaker left implicit. Translators may need to state some things explicitly in the translation that the original speaker or writer left unstated or implicit.
Some languages have ways of saying things that are natural for them but sound strange when translated into Other Languages. One of the reasons for this is that some languages say things explicitly that some Other Languages would leave as implicit information.
If you translate all of the explicit information from the source language into the explicit information in the target language, it could sound foreign, unnatural, or perhaps even unintelligent if the target language would not make that information explicit. Instead, it is best to leave that kind of information implicit in the target language.
Then Abimelech came toward the tower and he fought against it, and approached as far as the entrance of the tower in order to burn it with fire. (Judges 9:52 ESV)
In Biblical Hebrew, it is normal to start most sentences with a conjunction such as “and” to show the connection between sentences. In English, it is not natural to do so, it is quite tiresome for the English reader, and it gives the impression that the author is uneducated. In English, it is best to leave the idea of connection between sentences implicit in most cases and not translate the conjunction explicitly.
In Biblical Hebrew, it is normal to say that something was burned with fire. In English, the idea of fire is included in the action of burning, and so it is unnatural to state both ideas explicitly. It is enough to say that something was burned and leave the idea of fire implicit.
But the centurion answered and said, “Lord, I am not worthy that you should enter under my roof …” (Matthew 8:8a ULT)
In the biblical languages, it was normal to introduce direct speech with two verbs of speaking. One verb indicated the action, and the other introduced the words of the speaker. English speakers do not do this, so it is very unnatural and confusing to use two verbs. For the English speaker, the idea of speaking is included in the idea of answering. Using two verbs in English implies two separate speeches, rather than just one. So in English, it is better to use only one verb of speaking.
(1) If the explicit information of the source language sounds natural in the target language, then translate it as explicit information.
(2) If the explicit information does not sound natural in the target language or seems unnecessary or confusing, leave the explicit information implicit. Only do this if the reader can understand this information from the context. You can test this by asking the reader a question about the passage.
(1) If the explicit information of the source language sounds natural in the target language, then translate it as explicit information.
(2) If the explicit information does not sound natural in the target language or seems unnecessary or confusing, make the explicit information implicit. Only do this if the reader can understand this information from the context. You can test this by asking the reader a question about the passage.
Then Abimelech came toward the tower and he fought against it, and he approached as far as the entrance of the tower in order to burn it with fire. (Judges 9:52 ESV)
Abimelech came to the tower and fought against it, and he approached the door of the tower to burn it. (Or) … to set it on fire.
In English, it is clear that the action of this verse follows the action of the previous verse without the use of the connector “and” at the beginning, so it was omitted. Also, the words “with fire” were left out, because this information is communicated implicitly by the word “burn.” An alternative translation for “to burn it” is “to set it on fire.” It is not natural in English to use both “burn” and “fire,” so the English translator should choose only one of them. You can test if the readers understood the implicit information by asking, “How would the door burn?” If they knew it was by fire, then they have understood the implicit information. Or, if you chose the second option, you could ask, “What happens to a door that is set on fire?” If the readers answer, “It burns,” then they have understood the implicit information.
But the centurion answered and said, “Lord, I am not worthy that you should enter under my roof” (Matthew 8:8a ULT)
The centurion answered, “Lord, I am not worthy that you should enter under my roof”
In English, the information that the centurion responded by speaking is included in the verb “answered,” so the verb “said” can be left implicit. You can test if the readers understood the implicit information by asking, “How did the centurion answer?” If they knew it was by speaking, then they have understood the implicit information.
He opened his mouth and taught them, saying, (Matthew 5:2 ULT)
He began to teach them, saying, (Or) He taught them, saying,
In English, it would be very strange to include the information that Jesus opened his mouth when he spoke. That information is included in the verbs “taught” and “saying,” so that phrase can be omitted and that information left implicit. However, “he opened his mouth” is an idiom that indicates the beginning of a speech, so that information may be included, or it may also be left implicit.
Sometimes it is better not to state assumed knowledge or implicit information explicitly. This page gives some direction about when not to do this.
From the eater came forth food; and from the strong one came forth sweetness. (Judges 14:14 ULT)
This was a riddle. Samson purposely said this in a way that it would be hard for his enemies to know what it meant. Do not make it clear that the eater and the strong thing was a lion and that the sweet thing to eat was honey.
Jesus said to them, “Take heed and beware of the yeast of the Pharisees and Sadducees.” They reasoned among themselves saying, “It is because we did not take bread.” (Matthew 16:6-7 ULT)
Some possible implicit information here is that the disciples should beware of the false teaching of the Pharisees and Sadducees. But Jesus’ disciples did not understand this. They thought that Jesus was talking about real yeast and bread. So it would not be appropriate to state explicitly that the word “yeast” here refers to false teaching. The disciples did not understand what Jesus meant until they heard what Jesus said in Matthew 16:11.
“How is it that you do not understand that I was not speaking to you about bread? Beware of the yeast of the Pharisees and Sadducees.” Then they understood that he was not telling them to beware of yeast in bread, but to beware of the teaching of the Pharisees and Sadducees. (Matthew 16:11-12 ULT)
Only after Jesus explained that he was not talking about bread did they realize that he was talking about the false teaching of the Pharisees. Therefore, it would be wrong to explicitly state the implicit information in Matthew 16:6.
This page does not have any translation strategies.
This page does not have any translation strategies applied.
The following terms are the most common measures for distance or length that were originally used in the Bible. Most of these are based on the sizes of the hand and forearm.
The metric values in the table below are close but not exactly equal to the biblical measures. The biblical measures probably differed in exact length from time to time and place to place. The equivalents below are an attempt to give an average measurement.
Original Measure | Metric Measure |
---|---|
handbreadth | 8 centimeters |
span | 23 centimeters |
cubit | 46 centimeters |
“long” cubit | 54 centimeters |
stadia | 185 meters |
(1) Use the measurements from the ULT. These are the same kinds of measurements that the original writers used. Spell them in a way that is similar to the way they sound or are spelled in the ULT. (See Copy or Borrow Words.)
(2) Use the metric measurements given in the UST. The translators of the UST have already figured how to represent the amounts in the metric system.
(3) Use measurements that are already used in your language. In order to do this you would need to know how your measurements relate to the metric system and figure out each measurement.
(4) Use the measurements from the ULT and include measurements that your people know in the text or a note.
(5) Use measurements that your people know, and include the measurements from the ULT in the text or in a note.
The strategies are all applied to Exodus 25:10 below.
They are to make an ark of acacia wood. Its length must be two and a half cubits; its width will be one cubit and a half; and its height will be one cubit and a half. (Exodus 25:10 ULT)
(1) Use the measurements given in the ULT. These are the same kinds of measurements that the original writers used. Spell them in a way that is similar to the way they sound or are spelled in the ULT. (See Copy or Borrow Words.)
“They are to make an ark of acacia wood. Its length must be two and a half kubits; its width will be one kubit and a half; and its height will be one kubit and a half.”
(2) Use the metric measurements given in the UST. The translators of the UST have already figured how to represent the amounts in the metric system.
“They are to make an ark of acacia wood. Its length must be one meter; its width will be two thirds of a meter; and its height will be two thirds of a meter.”
(3) Use measurements that are already used in your language. In order to do this you would need to know how your measurements relate to the metric system and figure out each measurement. For example, if you measure things using the standard meter length, you could translate it as below.
“They are to make an ark of acacia wood. Its length must be one meter; its width will be two thirds of a meter; and its height will be two thirds of a meter.”
(4) Use the measurements from the ULT and include measurements that your people know in the text or a note. The following shows both measurements in the text.
“They are to make an ark of acacia wood. Its length must be two and a half cubits (one meter); its width will be one cubit and a half (two thirds of a meter); and its height will be one cubit and a half (two thirds of a meter).”
(5) Use measurements that your people know, and include the measurements from the ULT in the text or in a note. The following shows the ULT measurements in notes.
“They are to make an ark of acacia wood. Its length must be one meter; 1 its width will be two thirds of a meter; 2 and its height will be two thirds of a meter.”
The footnotes would look like:
“They are to make an ark of acacia wood. Its length must be one meter; 1 its width will be two thirds of a meter; 2 and its height will be two thirds of a meter.”
The footnotes would look like:
[1] two and a half cubits [2] one cubit and a half
The following terms are the most common units of volume used in the Bible to state how much a certain container could hold. The containers and measurements are given for both liquids (such as wine) and dry solids (such as grain). The metric values are not exactly equal to the biblical measures. The biblical measures probably differed in exact amount from time to time and place to place. The equivalents below are an attempt to give an average measurement.
Type | Original Measure | Liters |
---|---|---|
Dry | omer | 2 liters |
Dry | ephah | 22 liters |
Dry | homer | 220 liters |
Dry | cor | 220 liters |
Dry | seah | 7.7 liters |
Dry | lethek | 114.8 liters |
Liquid | metrete | 40 liters |
Liquid | bath | 22 liters |
Liquid | hin | 3.7 liters |
Liquid | kab | 1.23 liters |
Liquid | log | 0.31 liters |
(1) Use the measurements from the ULT. These are the same kinds of measurements that the original writers used. Spell them in a way that is similar to the way they sound or are spelled in the ULT. (See Copy or Borrow Words.)
(2) Use the metric measurements given in the UST. The translators of the UST have already figured how to represent the amounts in the metric system.
(3) Use measurements that are already used in your language. In order to do this you would need to know how your measurements relate to the metric system and figure out each measurement.
(4) Use the measurements from the ULT and include measurements that your people know in the text or a note.
(5) Use measurements that your people know, and include the measurements from the ULT in the text or in a note.
The strategies are all applied to Isaiah 5:10 below.
For a ten-yoke vineyard will yield only one bath, and one homer of seed will yield only an ephah. (Isaiah 5:10 ULT)
(1) Use the measurements from the ULT. These are the same kinds of measurements that the original writers used. Spell them in a way that is similar to the way they sound or are spelled in the ULT. (See Copy or Borrow Words.)
“For a ten-yoke vineyard will yield only one bat, and one homer of seed will yield only an efa.”
(2) Use the measurements given in the UST. Usually they are metric measurements. The translators of the UST have already figured how to represent the amounts in the metric system.
“For a ten-yoke vineyard will yield only 22 liters and 220 liters of seed will yield only 22 liters.”
“For a ten-yoke vineyard will yield only 22, and ten baskets of seed will yield only one basket.”
(3) Use measurements that are already used in your language. In order to do this you would need to know how your measurements relate to the metric system and figure out each measurement.
“For a ten-yoke vineyard will yield only six gallons, and six and a half bushels of seed will yield only 20 quarts.”
(4) Use the measurements from the ULT and include measurements that your people know in the text or a note. The following shows both measurements in the text.
“For a ten-yoke vineyard will yield only one bath (six gallons), and one homer (six and a half bushels) of seed will yield only an ephah (20 quarts).”
(5) Use measurements that your people know, and include the measurements from the ULT in the text or in a note. The following shows the ULT measurements in footnotes.
“For a ten-yoke vineyard will yield only 22 liters1, and 220 liters2 of seed will yield only 22 liters3.”
The footnotes would look like:
[1] one bath [2] one homer [3] one ephah
Sometimes the Hebrew does not specify a particular unit of volume but only uses a number. In these cases, many English versions, including the ULT and UST, add the word “measure.”
When you came to a heap of 20 measures of grain, there were only ten, and when you came to the wine vat to draw out 50 measures of wine, there were only 20. (Haggai 2:16 ULT)
(1) Translate literally by using the number without a unit.
(2) Use a generic word like “measure” or “quantity” or “amount.”
(3) Use the name of an appropriate container, such as “basket” for grain or “jar” for wine.
(4) Use a unit of measure that you are already using in your translation.
The strategies are all applied to Haggai 2:16 below.
When you came to a heap of 20 measures of grain, there were only ten, and when you came to the wine vat to draw out fifty measures of wine, there were only 20. (Haggai 2:16 ULT)
(1) Translate literally by using the number without a unit.
When you came to a heap of 20 of grain, there were only ten, and when you came to the wine vat to draw out 50 of wine, there were only 20.
(2) Use a generic word like “measure” or “quantity” or “amount.”
When you came to a heap of 20 amounts of grain, there were only ten, and when you came to the wine vat to draw out fifty amounts of wine, there were only 20.
(3) Use the name of an appropriate container, such as “basket” for grain or “jar” for wine.
When you came to a heap of 20 baskets of grain, there were only ten, and when you came to the wine vat to draw out 50 jars of wine, there were only 20.
(4) Use a unit of measure that you are already using in your translation.
When you came to a heap for 20 liters of grain, there were only ten liters, and when you came to the wine vat to draw out 50 liters of wine, there were only 20 liters.
The following terms are the most common units of weight in the Bible. The term “shekel” means “weight,” and many other weights are described in terms of the shekel. Some of these weights were used for money. The metric values in the table below are not exactly equal to the biblical measures. The biblical measures differed in exact amount from time to time and place to place. The equivalents below are only an attempt to give an average measurement.
Original Measure | Shekels | Grams | Kilograms |
---|---|---|---|
shekel | 1 shekel | 11 grams | - |
bekah | 1/2 shekel | 5.7 grams | - |
pim | 2/3 shekel | 7.6 grams | - |
gerah | 1/20 shekel | 0.57 grams | - |
mina | 50 shekels | 550 grams | 1/2 kilogram |
talent | 3,000 shekels | - | 34 kilograms |
(1) Use the measurements from the ULT. These are the same kinds of measurements that the original writers used. Spell them in a way that is similar to the way they sound or are spelled in the ULT. (See Copy or Borrow Words.)
(2) Use the metric measurements given in the UST. The translators of the UST have already figured how to represent the amounts in the metric system.
(3) Use measurements that are already used in your language. In order to do this, you would need to know how your measurements relate to the metric system and figure out each measurement.
(4) Use the measurements from the ULT and include measurements that your people know in the text or a note.
(5) Use measurements that your people know, and include the measurements from the ULT in the text or in a note.
The strategies are all applied to Exodus 38:29 below.
The bronze from the wave offering weighed 70 talents and 2,400 shekels. (Exodus 38:29 ULT)
(1) Use the measurements from the ULT. These are the same kinds of measurements that the original writers used. Spell them in a way that is similar to the way they sound or are spelled in the ULT. (See Copy or Borrow Words.)
“The bronze from the wave offering weighed 70 talentes and 2,400 sekeles.”
(2) Use the metric measurements given in the UST. The translators of the UST have already figured how to represent the amounts in the metric system.
“The bronze from the wave offering weighed 2,400 kilograms.”
(3) Use measurements that are already used in your language. In order to do this you would need to know how your measurements relate to the metric system and figure out each measurement.
“The bronze from the wave offering weighed 5,300 pounds.”
(4) Use the measurements from the ULT and include measurements that your people know in the text or a footnote. The following shows both measurements in the text.
“The bronze from the wave offering weighed 70 talents (2,380 kilograms) and 2,400 shekels (26.4 kilograms).”
(5) Use measurements that your people know, and include the measurements from the ULT in the text or in a footnote. The following shows the ULT measurements in notes.
“The bronze from the offering weighed 70 talents and 2,400 shekels. 1”
The footnote would look like:
[1] This was a total of about 2,400 kilograms.
In early Old Testament times, people weighed their metals, such as silver and gold, and would pay a certain weight of that metal in order to buy things. Later, people started to make coins that each contained a standard amount of a certain metal. The daric is one such coin. In New Testament times, people used silver and copper coins.
The two tables below show some of the most well-known units of money found in the Old Testament (OT) and New Testament (NT). The table for Old Testament units shows what kind of metal was used and how much it weighed. The table for New Testament units shows what kind of metal was used and how much it was worth in terms of a day’s wage.
Unit in OT | Metal | Weight |
---|---|---|
daric | gold coin | 8.4 grams |
shekel | various metals | 11 grams |
talent | various metals | 33 kilograms |
Unit in NT | Metal | Day’s Wage |
---|---|---|
denarius/denarii | silver coin | 1 day |
drachma | silver coin | 1 day |
mite | copper coin | 1/64 day |
shekel | silver coin | 4 days |
talent | silver | 6,000 days |
Do not use modern money values since these change from year to year. Using them will cause the Bible translation to become outdated and inaccurate.
The value of most money in the Old Testament was based on its weight. So when translating these weights in the Old Testament, see Biblical Weight. The strategies below are for translating the value of money in the New Testament.
(1) Use the Bible term and spell it in a way that is similar to the way it sounds. (See Copy or Borrow Words.)
(2) Describe the value of the money in terms of what kind of metal it was made of and how many coins were used.
(3) Describe the value of the money in terms of what people in Bible times could earn in one day of work.
(4) Use the biblical term and give the equivalent amount in the text or a footnote.
(5) Use the biblical term and explain it in a footnote.
The translations strategies are all applied to Luke 7:41 below.
The one owed 500 denarii, and the other, 50. (Luke 7:41b ULT)
“The one owed 500 denali, and the other, 50.”
“The one owed 500 silver coins, and the other, 50.”
(3) Describe the value of the money in terms of what people in Bible times could earn in one day of work.
“The one owed 500 days’ wages, and the other, 50.”
(4) Use the Bible term and give the equivalent amount in the text or a footnote.
“The one owed 500 denarii 1, and the other owed 50 denarii. 2”
The footnotes would look like:
[1] 500 days’ wages [2] 50 days’ wages
(5) Use the Bible term and explain it in a footnote.
“The one owed 500 denarii,1 and the other, 50.” (Luke 7:41 ULT)
[1] A denarius was the amount of silver that people could earn in one day of work.
The Hebrew calendar used in the Bible has twelve months. Unlike the western calendar, its first month begins in the spring of the northern hemisphere. Sometimes a month is called by its name (Aviv, Ziv, Sivan), and sometimes it is called by its order in the Hebrew calendar year (first month, second month, third month).
This is a list of the Hebrew months with information about them that may be helpful in the translation.
Aviv – (This month was called Nisan after the Babylonian exile.) This is the first month of the Hebrew calendar. It marks when God brought the people of Israel out of Egypt. It is at the beginning of the spring season when the late rains come and people begin to harvest their crops. It is during the last part of March and the first part of April on western calendars. The Passover celebration started on Aviv 10; the Festival of Unleavened Bread was right after that, and the Festival of Harvest was a few weeks after that.
Ziv – This is the second month of the Hebrew calendar. This is during the harvest season. It is during the last part of April and the first part of May on Western calendars.
Sivan – This is the third month of the Hebrew calendar. It is at the end of the harvest season and the beginning of the dry season. It is during the last part of May and the first part of June on Western calendars. The Feast of Weeks is celebrated on Sivan 6.
Tammuz – This is the fourth month of the Hebrew calendar. It is during the dry season. It is during the last part of June and the first part of July on Western calendars.
Ab – This is the fifth month of the Hebrew calendar. It is during the dry season. It is during the last part of July and the first part of August on Western calendars.
Elul – This is the sixth month of the Hebrew calendar. It is at the end of the dry season and the beginning of the rainy season. It is during the last part of August and the first part of September on Western calendars.
Ethanim – This is the seventh month of the Hebrew calendar. This is during the early rain season which would soften the land for sowing. It is during the last part of September and the first part of October on Western calendars. The Feast of Ingathering and the Day of Atonement are celebrated in this month.
Bul – This is the eighth month of the Hebrew calendar. It is during the rainy season when people plough their fields and sow seed. It is during the last part of October and the first part of November on Western calendars.
Kislev – This is the ninth month of the Hebrew calendar. This is at the end of the sowing season and the beginning of the cold season. It is during the last part of November and the first part of December on Western calendars.
Tebeth – This is the tenth month of the Hebrew calendar. It is during the cold season when there may be rain and snow. It is during the last part of December and the first part of January on Western calendars.
Shebat – This is the eleventh month of the Hebrew calendar. This is the coldest month of the year, and it has heavy rainfall. It is during the last part of January and the first part of February on Western calendars.
Adar – This is the twelfth and last month of the Hebrew calendar. This is during the cold season. It is during the last part of February and the first part of March on western calendars. The feast called Purim is celebrated in Adar.
Today you are going out, in the month of Aviv. (Exodus 13:4 ULT)
You must eat unleavened bread from evening of the fourteenth day in the first month of the year, until evening of the twenty-first day of the month. (Exodus 12:18 ULT)
You may need to make some information about the months explicit. (See Assumed Knowledge and Implicit Information.)
(1) Tell the number of the Hebrew month.
(2) Use the names for months that people know.
(3) State clearly what season the month occurred in.
(4) Refer to the time in terms of the season rather than in terms of the Hebrew name of the month. (If possible, use a footnote to show the Hebrew month and day.)
The examples below use these two verses.
At that time, you will appear before me in the month of Aviv, which is fixed for this purpose. It was in this month that you came out from Egypt. (Exodus 23:15b ULT)
It will always be a statute for you that in the seventh month, on the tenth day of the month, you must humble yourselves and do no work. (Leviticus 16:29a ULT)
(1) Tell the number of the Hebrew month.
At that time, you will appear before me in the first month of the year, which is fixed for this purpose. It was in this month that you came out from Egypt.
(2) Use the months that people know.
At that time, you will appear before me in the month of March, which is fixed for this purpose. It was in this month that you came out from Egypt.
It will always be a statute for you that on the day I choose in late September you must humble yourselves and do no work.
(3) State clearly what season the month occurs in.
It will always be a statute for you that in the autumn, on the tenth day of the seventh month, you must humble yourselves and do no work.
(4) Refer to the time in terms of the season rather than in terms of the month.
It will always be a statute for you that in the day I choose in early autumn1 you must humble yourselves and do no work.
The footnote would look like:
[1] The Hebrew says, “the seventh month, on the tenth day of the month.”
There are many numbers in the Bible. They can be written as words (“five”) or as numerals (“5”). Some numbers are very large, such as “two hundred” (200), “twenty-two thousand” (22,000), or “one hundred million” (100,000,000). Some languages do not have words for all of these numbers. Translators need to decide how to translate numbers and whether to write them as words or numerals.
Some numbers are exact and others are rounded.
Abram was 86 years old when Hagar bore Ishmael to Abram. (Genesis 16:16 ULT)
Eighty-six (86) is an exact number.
That day about 3,000 of the people died. (Exodus 32:28b ULT)
Here the number three thousand (3,000) is a round number. It may have been a little more than that or a little less than that. The word “about” shows that it is not an exact number.
Some languages do not have words for some of these numbers.
When Jared had lived 162 years, he became the father of Enoch. After he became the father of Enoch, Jared lived 800 years. He became the father of more sons and daughters. Jared lived 962 years, and then he died. (Genesis 5:18-20 ULT)
The numbers 162, 800, and 962 are exact numbers and should be translated with something as close to those numbers as possible.
Our sister, may you be the mother of thousands of ten thousands. (Genesis 24:60b ULT)
This is a rounded number. It does not say exactly how many descendants she should have, but it was a huge number of them.
(1) Write numbers using numerals.
(2) Write numbers using your language’s words or the Gateway Language words for those numbers.
(3) Write numbers using words, and put the numerals in parentheses after them.
(4) Combine words for large numbers.
(5) Use a very general expression for very large rounded numbers and write the numeral in parentheses afterward.
We will use the following verse in our examples:
Now, see, at great effort I have prepared for Yahweh’s house 100,000 talents of gold, 1,000,000 talents of silver, and bronze and iron in large quantities. (1 Chronicles 22:14a ULT)
(1) Write numbers using numerals.
I have prepared for Yahweh’s house 100,000 talents of gold, 1,000,000 talents of silver, and bronze and iron in large quantities.
(2) Write numbers using your language’s words or the Gateway Language words for those numbers.
I have prepared for Yahweh’s house one hundred thousand talents of gold, one million talents of silver, and bronze and iron in large quantities.
(3) Write numbers using words, and put the numerals in parenthesis after them.
I have prepared for Yahweh’s house one hundred thousand (100,000) talents of gold, one million (1,000,000) talents of silver, and bronze and iron in large quantities.
(4) Combine words for large numbers.
I have prepared for Yahweh’s house one hundred thousand talents of gold, a thousand thousand talents of silver, and bronze and iron in large quantities.
(5) Use a very general expression for very large rounded numbers and write the numeral in parentheses afterward.
I have prepared for Yahweh’s house a great amount of gold (100,000 talents), ten times that amount of silver (1,000,000 talents), and bronze and iron in large quantities.
Be consistent in your translations. Decide how the numbers will be translated, using numbers or numerals. There are different ways of being consistent.
The unfoldingWord® Literal Text (ULT) and the unfoldingWord® Simplified Text (UST) use words for the numbers one through ten and use numerals for all numbers above ten.
When Adam had lived 130 years, he became the father of a son in his own likeness, after his image, and he called his name Seth. After Adam became the father of Seth, he lived 800 years. He became the father of more sons and daughters. Adam lived 930 years, and then he died. (Genesis 5:3-5 ULT)
Ordinal numbers are used in the Bible mainly to tell the position of something in a list.
And God has indeed appointed some in the church, first apostles, second prophets, third teachers, then miracles. (1 Corinthians 12:28a ULT)
This is a list of workers that God gave to the church in their order.
Most ordinal numbers in English simply have “-th” added to the end.
Numeral | Number | Ordinal Number |
---|---|---|
4 | four | fourth |
10 | ten | tenth |
100 | one hundred | one hundredth |
1,000 | one thousand | one thousandth |
Some ordinal numbers in English do not follow that pattern.
Numeral | Number | Ordinal Number |
---|---|---|
1 | one | first |
2 | two | second |
3 | three | third |
5 | five | fifth |
12 | twelve | twelfth |
Some languages do not have special numbers for showing the order of items in a list. There are different ways to deal with this.
The first lot went to Jehoiarib, the second to Jedaiah, the third to Harim, the fourth to Seorim … the twenty-third to Delaiah, and the twenty-fourth to Maaziah. (1 Chronicles 24:7-18 ULT)
The people cast lots and one went to each of these people in the order given.
You must place in it four rows of precious stones. The first row must have a ruby, a topaz, and a garnet. The second row must have an emerald, a sapphire, and a diamond. The third row must have a jacinth, an agate, and an amethyst. The fourth row must have a beryl, and an onyx, and a jasper. They must be mounted in gold settings. (Exodus 28:17-20 ULT)
This describes four rows of stones. The first row is probably the top row, and the fourth row is probably the bottom row.
If your language has ordinal numbers and using them would give the right meaning, consider using them. If not, here are some strategies to consider:
(1) Use “one” with the first item and “another” or “the next” with the rest.
(2) Tell the total number of items and then list them or the things associated with them.
(1) Tell the total number of items, and use “one” with the first item and “another” or “the next” with the rest.
The first lot went to Jehoiarib, the second to Jedaiah, the third to Harim, the fourth to Seorim … the twenty-third to Delaiah, and the twenty-fourth to Maaziah. (1 Chronicles 24:7-18 ULT)
There were 24 lots. One lot went to Jehoiarib, another to Jedaiah, another to Harim … another to Delaiah, and the last went to Maaziah.
There were 24 lots. One lot went to Jehoiarib, the next to Jedaiah, the next to Harim … the next to Delaiah, and the last went to Maaziah.
A river went out of Eden to water the garden. From there it divided and became four rivers. The name of the first is Pishon. It is the one which flows throughout the whole land of Havilah, where there is gold. The gold of that land is good. There is also bdellium and the onyx stone there. The name of the second river is Gihon. This one flows throughout the whole land of Cush. The name of the third river is Tigris, which flows east of Asshur. The fourth river is the Euphrates. (Genesis 2:10-14 ULT)
A river went out of Eden to water the garden. From there it divided and became four rivers. The name of one is Pishon. It is the one which flows throughout the whole land of Havilah, where there is gold. The gold of that land is good. There is also bdellium and the onyx stone there. The name of the next river is Gihon. This one flows throughout the whole land of Cush. The name of the next river is Tigris, which flows east of Asshur. The last river is the Euphrates.
(2) Tell the total number of items and then list them or the things associated with them.
The first lot went to Jehoiarib, the second to Jedaiah, the third to Harim, the fourth to Seorim … the twenty-third to Delaiah, and the twenty-fourth to Maaziah. (1 Chronicles 24:7-18 ULT)
They cast 24 lots. The lots went to Jerhoiarib, Jedaiah, Harim, Seorim … Delaiah, and Maaziah.
A fraction is a number that represents part of a whole. When an item is divided into several equal parts, a fraction refers to one or more of those parts.
For the drink offering, you must offer a third of a hin of wine. (Numbers 15:7a ULT)
A hin is a container of a set size which is used for measuring wine and other liquids. The people were to think about dividing a hin container into three equal parts, filling up only one of those parts and offering that amount.
… a third of the ships were destroyed. (Revelation 8:9b ULT)
There were many ships. If all those ships were divided into three equal groups of ships, one group of ships was destroyed.
Most fractions in English simply have the letters “th” added to the end of the number, such as fourth, sixth, ninth, tenth.
| Number of parts the whole is divided into | Fraction | | -------- | -------- | | four | fourth | | ten | tenth | | one hundred | one hundredth | | one thousand | one thousandth |
Some fractions in English do not follow that pattern.
| Number of parts the whole is divided into | Fraction | | -------- | -------- | | two | half | | three | third | | five | fifth |
Some languages do not use fractions. They may simply talk about parts or groups, but they do not use fractions to tell how big a part is or how many parts are included in a group.
Now to the half-tribe of Manasseh, Moses had given a possession in Bashan, but to the other half, Joshua gave a possession among their brothers across the Jordan on the west. (Joshua 22:7 ULT)
The tribe of Manasseh divided into two groups. The phrase “the half-tribe of Manasseh” refers one of those groups. The phrase “the other half” refers to the other group.
So the four angels who had been prepared for that hour, that day, that month, and that year, were released so that they would kill a third of mankind. (Revelation 9:15 ULT)
If all the people in the world were to be divided into three equal groups, then the number of people in one group would be killed.
You must also prepare a fourth of a hin of wine as the drink offering. (Numbers 15:5 ULT)
They were to imagine dividing a hin of wine into four equal parts and prepare the amount equal to one of them.
If a fraction in your language would give the right meaning, consider using it. If not, you could consider these strategies.
(1) Tell the number of parts or groups that the item would be divided into, and then tell the number of parts or groups that is being referred to.
(2) For measurements such as for weight and length, use a unit that your people might know or the unit in the UST.
(3) For measurements, use ones that are used in your language. In order to do that you would need to know how your measurements relates to the metric system and figure out each measurement.
(1) Tell the number of parts or groups that the item would be divided into, and then tell the number of parts or groups that is being referred to.
A third of the ocean became red like blood (Revelation 8:8 ULT)
It was like they divided the ocean into three parts, and one part of the ocean became blood.
Then you must offer with the bull a grain offering of three-tenths of an ephah of fine flour mixed with half a hin of oil. (Numbers 15:9 ULT)
… then you must divide an ephah of fine flour into ten parts and divide a hin of oil into two parts. Then mix three of those parts of the flour with one of the parts of oil. Then you must offer that grain offering along with the bull.
(2) For measurements, use the measurements that are given in the UST. The translators of the UST have already figured how to represent the amounts in the metric system.
… two-thirds of a shekel … (1 Samuel 13:21b ULT)
… eight grams of silver … (1 Samuel 13:21b UST)
… three-tenths of an ephah of fine flour mixed with half a hin of oil. (Numbers 15:9b ULT)
… six and one-half liters of finely ground flour mixed with two liters of olive oil. (Numbers 15:9b UST)
(3) For measurements, use ones that are used in your language. In order to do that you would need to know how your measurements relates to the metric system and figure out each measurement.
… three-tenths of an ephah of fine flour mixed with half a hin of oil. (Numbers 15:9b ULT)
six quarts of fine flour mixed with two quarts of oil.
A symbolic action is something that someone does in order to express a certain idea. For example, in some cultures people nod their heads up and down to mean “yes” or turn their heads from side to side to mean “no.” Symbolic actions do not mean the same things in all cultures. In the Bible, sometimes people perform symbolic actions and sometimes they only refer to the symbolic action.
An action may have a meaning in one culture and a different meaning or no meaning at all in another culture. For example, in some cultures raising the eyebrows means “I am surprised” or “What did you say?” In other cultures it means “yes.”
In the Bible, people did things that had certain meanings in their culture. When we read the Bible, we might not understand what someone meant if we interpret the action based on what it means in our own culture today.
You (the translator) need to understand what people in the Bible meant when they used symbolic actions. If an action does not mean the same thing in your own culture, then you need to figure out how to translate what the action meant.
And behold, a man came whose name was Jairus, and he was a ruler of the synagogue. And falling at the feet of Jesus, he begged him to come to his house. (Luke 8:41 ULT)
Meaning of symbolic action: He did this to show great respect to Jesus.
Look, I am standing at the door and am knocking. If anyone hears my voice and opens the door, I will come into him and will eat with him, and he with me. (Revelation 3:20 ULT)
Meaning of symbolic action: When people wanted someone to welcome them into their home, they stood at the door and knocked on it.
If people would correctly understand what a symbolic action meant to the people in the Bible, consider using it. If not, here are some strategies for translating it.
(1) Tell what the person did and why he did it.
(2) Do not tell what the person did, but tell what he meant.
(3) Use an action from your own culture that has the same meaning. Do this only in poetry, parables, and sermons. Do not do this when there actually was a person who did a specific action.
(1) Tell what the person did and why he did it.
And falling at the feet of Jesus (Luke 8:41 ULT)
Jairus fell down at Jesus’ feet in order to show that he greatly respected him.
Look, I am standing at the door and am knocking. (Revelation 3:20 ULT)
Look, I stand at the door and knock on it, asking you to let me in.
(2) Do not tell what the person did, but tell what he meant.
And falling at the feet of Jesus (Luke 8:41 ULT)
Jairus showed Jesus great respect.
Look, I am standing at the door and am knocking. (Revelation 3:20 ULT)
Look, I stand at the door and ask you to let me in.
(3) Use an action from your own culture that has the same meaning.
And falling at the feet of Jesus (Luke 8:41 ULT) – Since Jairus actually did this, you should not substitute an action from your own culture.
Look, I am standing at the door and am knocking. (Revelation 3:20 ULT) – Jesus was not standing at a real door. Rather he was speaking about wanting to have a relationship with people. So in cultures where it is polite to clear one’s throat when wanting to be let into a house, you could use that.
Look, I stand at the door and clear my throat.
Figures of speech have special meanings that are not the same as the meanings of their individual words. There are different kinds of figures of speech. This page lists and defines some of those that are used in the Bible. In-depth study will follow
Figures of speech are ways of saying things that use words in non-literal ways. That is, the meaning of a figure of speech is not the same as the more direct meaning of its words. In order to translate the meaning, you need to be able to recognize figures of speech and know what the figure of speech means in the source language. Then you can choose either a figure of speech or a direct way to communicate that same meaning in the target language.
Listed below are different types of Figures of Speech. If you would like additional information simply click the colored word to be directed to a page containing definitions, examples, and videos for each figure of speech.
Apostrophe – An apostrophe is a figure of speech in which a speaker directly addresses someone who is not there, or addresses a thing that is not a person.
Doublet – A doublet is a pair of words or very short phrases that mean the same thing and that are used in the same phrase. In the Bible, doublets are often used in poetry, prophecy, and sermons to emphasize an idea.
Euphemism – A euphemism is a mild or polite way of referring to something that is unpleasant or embarrassing. Its purpose is to avoid offending the people who hear or read it.
Hendiadys – In hendiadys a single idea is expressed with two words connected with “and,” when one word could be used to modify the other.
Hyperbole – A hyperbole is a deliberate exaggeration used to indicate the speaker’s feeling or opinion about something.
Idiom – An idiom is a group of words that has a meaning that is different from what one would understand from the meanings of the individual words.
Irony – Irony is a figure of speech in which the sense that the speaker intends to communicate is actually the opposite of the literal meaning of the words.
Litotes – Litotes is an emphatic statement about something made by negating an opposite expression.
Merism – Merism is a figure of speech in which a person refers to something by listing some of its parts or by speaking of two extreme parts of it.
Metaphor – A metaphor is a figure of speech in which one concept is used in place of another, unrelated concept. This invites the hearer to think of what the unrelated concepts have in common. That is, metaphor is an implied comparison between two unrelated things.
Metonymy – Metonymy is a figure of speech in which a thing or idea is called not by its own name, but by the name of something closely associated with it. A metonym is a word or phrase used as a substitute for something it is associated with.
Parallelism – In parallelism two phrases or clauses that are similar in structure or idea are used together. It is found throughout the whole of the Hebrew Bible, most commonly in the poetry of the books of Psalms and Proverbs.
Personification – Personification is a figure of speech in which an idea or something that is not human is referred to as if it were a person and could do the things that people do or have the qualities that people have.
Predictive Past – The predictive past is a form that some languages use to refer to things that will happen in the future. This is sometimes done in prophecy to show that the event will certainly happen.
Rhetorical Question – A rhetorical question is a question that is used for something other than getting information. Often it indicates the speaker’s attitude toward the topic or the listener. Often it is used for rebuking or scolding, but some languages have other purposes as well.
Simile – A simile is a comparison of two things that are not normally thought to be similar. It focuses on a particular trait that the two items have in common, and it includes words such as “like,” “as,” or “than” to make the comparison explicit.
Synecdoche – Synecdoche is a figure of speech in which (1) the name of a part of something is used to refer to the whole thing, or (2) the name of a whole thing is used to refer to just one part of it.
An apostrophe is a figure of speech in which a speaker turns his attention away from his listeners and speaks to someone or something that he knows cannot hear him. He does this to tell his listeners his message or feelings about that person or thing in a very strong way.
Many languages do not use apostrophe, and readers could be confused by it. They may wonder who the speaker is talking to, or think that the speaker is crazy to talk to things or people who cannot hear.
Mountains of Gilboa, let there not be dew or rain on you. (2 Samuel 1:21a ULT)
King Saul was killed on Mount Gilboa, and David sang a sad song about it. By telling these mountains that he wanted them to have no dew or rain, he showed how sad he was.
Jerusalem, Jerusalem, who kills the prophets and stones those sent to you. (Luke 13:34a ULT)
Jesus was expressing his feelings for the people of Jerusalem in front of his disciples and a group of Pharisees. By speaking directly to Jerusalem as though its people could hear him, Jesus showed how deeply he cared about them.
He cried against the altar by the word of Yahweh: “Altar, altar! This is what Yahweh says, ‘See, … on you they will burn human bones.’” (1 Kings 13:2 ULT)
The man of God spoke as if the altar could hear him, but he really wanted the king, who was standing there, to hear him.
If apostrophe would be natural and give the right meaning in your language, consider using it. But if this way of speaking would be confusing to your people, let the speaker continue speaking to the people that are listening to him as he tells them his message or feelings about the people or thing that cannot hear him. See the example below.
He cried against the altar by the word of Yahweh: “Altar, altar! This is what Yahweh says, ‘See, … on you they will burn human bones.’” (1 Kings 13:2 ULT)
He said this about the altar: “This is what Yahweh says about this altar. ‘See, … they will burn people’s bones on it.’”
Mountains of Gilboa, let there not be dew or rain on you. (2 Samuel 1:21a ULT)
As for these mountains of Gilboa, let there not be dew or rain on them.
An aside is a figure of speech in which someone who is speaking to a person or group pauses to speak confidentially to himself or someone else about those to whom he had been speaking. The speaker does this to indicate in a strong way his thoughts or feelings about that person or group.
Many languages do not use asides, and readers could be confused by them. They may wonder why the speaker suddenly starts talking to himself or someone else about the people he is speaking with.
All the men of your covenant are sending you away as far as the border. The men of your peace are deceiving you and are prevailing against you. They of your bread will set a trap under you. There is no understanding in him. (Obadiah 1:7 ULT)
In the first three lines, Yahweh is telling the people of Edom what will happen to them because they did not help the people of Judah. In the fourth line, Yahweh says something about Edom to himself.
And I purified them from everything foreign. And I caused the service watches to stand: for the priests and for the Levites, a man in his work; and for the offering of pieces of wood at the appointed times; and for the firstfruits. Remember me, my God, for good. (Nehemiah 13:30-31 ULT)
Nehemiah is speaking to the readers of his account and describing some of the many things he did to restore true worship in Judah after the people returned from exile. But he suddenly turns aside and addresses God, asking God to bless him for what he, Nehemiah, has done for those people.
(1) If an aside would be natural and give the right meaning in your language, consider using it. But if this way of speaking would be confusing, let the speaker continue speaking to the people who are listening to him, but make clear that he is now expressing his thoughts and feelings about them.
(2) If a person speaks a prayer to God as an aside, you can put the prayer in quotation marks to indicate that.
All the men of your covenant are sending you away as far as the border. The men of your peace are deceiving you and are prevailing against you. They of your bread will set a trap under you. There is no understanding in him. (Obadiah 1:7 ULT)
(1) All the men of your covenant are sending you away as far as the border. The men of your peace are deceiving you and are prevailing against you. They of your bread will set a trap under you. You do not understand any of this.
And I purified them from everything foreign. And I caused the service watches to stand: for the priests and for the Levites, a man in his work; 31 and for the offering of pieces of wood at the appointed times; and for the firstfruits. Remember me, my God, for good. (Nehemiah 13:30-31 ULT)
(2) And I cleansed them from everything foreign, and I made assignments for the priests and for the Levites, a man to his own work. And the wood offering at the stated time, and the firstfruits. “Remember me, my God, for good.”
We are using the word “doublet” to refer to two words or phrases that are used together and either mean the same thing or mean very close to the same thing. Often they are joined with the word “and.” Unlike Hendiadys, in which one of the words modifies the other, in a doublet the two words or phrases are equal and are used to emphasize or intensify the one idea that is expressed by the two words or phrases.
In some languages people do not use doublets. Or they may use doublets, but only in certain situations, so a doublet might not make sense in their language in some verses. People might think that the verse is describing two ideas or actions, when it is only describing one. In this case, translators may need to find some other way to express the meaning expressed by the doublet.
He has one people scattered and dispersed among the peoples (Esther 3:8 ULT)
The bolded words mean the same thing. Together they mean the people were spread out.
He attacked two men more righteous and better than himself. (1 Kings 2:32b ULT)
This means that they were “much more righteous” than he was.
You have decided to prepare false and deceptive words. (Daniel 2:9b ULT)
This means that they had decided to lie, which is another way of saying that they intended to deceive people.
… like of a lamb without blemish and without spot. (1 Peter 1:19b ULT)
This means that he was like a lamb that did not have any defect—not even one.
If a doublet would be natural and give the right meaning in your language, consider using it. If not, consider these strategies.
(1) Translate only one of the words or phrases.
(2) If the doublet is used to intensify the meaning, translate one of the words or phrases and add a word that intensifies it such as “very” or “great” or “many.”
(3) If the doublet is used to intensify or emphasize the meaning, use one of your language’s ways of doing that.
(1) Translate only one of the words.
You have decided to prepare false and deceptive words. (Daniel 2:9b ULT)
“You have decided to prepare false things to say.”
(2) If the doublet is used to intensify the meaning, translate one of the words and add a word that intensifies it such as “very” or “great” or “many.”
He has one people scattered and dispersed among the peoples (Esther 3:8 ULT)
“He has one people very spread out.”
(3) If the doublet is used to intensify or emphasize the meaning, use one of your language’s ways of doing that.
… like a lamb without blemish and without spot. (1 Peter 1:19b ULT)
- English can emphasize this with “any” and “at all.”
“… like a lamb without any blemish at all.”
A euphemism is a mild or polite way of referring to something that is unpleasant, embarrassing, or socially unacceptable, such as death or activities usually done in private.
… they found Saul and his sons fallen on Mount Gilboa. (1 Chronicles 10:8b ULT)
This means that Saul and his sons “were dead.” It is a euphemism because the important thing was not that Saul and his sons had fallen but that they were dead. Sometimes people do not like to speak directly about death because it is unpleasant.
Different languages use different euphemisms. If the target language does not use the same euphemism as in the source language, readers may not understand what it means and they may think that the writer means only what the words literally say.
… where there was a cave. Saul went inside to cover his feet. (1 Samuel 24:3b ULT)
The original hearers would have understood that Saul went into the cave to use it as a toilet, but the writer wanted to avoid offending or distracting them, so he did not say specifically what Saul did or what he left in the cave.
But Mary said to the angel, “How will this be, since I have not known a man?” (Luke 1:34 ULT)
In order to be polite, Mary uses a euphemism to say that she has never had sexual intercourse with a man.
If euphemism would be natural and give the right meaning in your language, consider using it. If not, here are other options:
(1) Use a euphemism from your own culture.
(2) State the information plainly without a euphemism if it would not be offensive.
(1) Use a euphemism from your own culture.
… where there was a cave. Saul went inside to cover his feet. (1 Samuel 24:3b ULT) – Some languages might use euphemisms like these:
“… where there was a cave. Saul went into the cave to dig a hole” “… where there was a cave. Saul went into the cave to have some time alone”
But Mary said to the angel, “How will this be, since I have not known a man?” (Luke 1:34 ULT)
But Mary said to the angel, “How will this be, since I do not know a man?” – (This is the euphemism used in the original Greek)
(2) State the information plainly without a euphemism if it would not be offensive.
They found Saul and his sons fallen on Mount Gilboa. (1 Chronicles 10:8b ULT)
“They found Saul and his sons dead on Mount Gilboa.”
When a speaker expresses a single idea by using two words that are connected with “and,” it is called a hendiadys. In a hendiadys, the two words work together. Usually one of the words is the primary idea and the other word further describes the primary one.
… his own kingdom and glory. (1 Thessalonians 2:12b ULT)
Though “kingdom” and “glory” are both nouns, “glory” actually tells what kind of kingdom it is: it is a kingdom of glory or a glorious kingdom.
Two phrases connected by “and” can also be a hendiadys when they refer to a single person, thing, or event.
while we look forward to receiving the blessed hope and appearing of the glory of our great God and Savior Jesus Christ. (Titus 2:13b ULT)
Titus 2:13 contains two hendiadyses. “The blessed hope” and “appearing of the glory” refer to the same thing and serve to strengthen the idea that the return of Jesus Christ is greatly anticipated and wonderful. Also, “our great God” and “Savior Jesus Christ” refer to one person, not two.
For I will give you a mouth and wisdom … (Luke 21:15a ULT)
“A mouth” and “wisdom” are nouns, but in this figure of speech “wisdom” describes what comes from the mouth.
If you are willing and obedient … (Isaiah 1:19a ULT)
“Willing” and “obedient” are adjectives, but “willing” describes “obedient.”
If the hendiadys would be natural and give the right meaning in your language, consider using it. If not, here are other options:
(1) Substitute the describing noun with an adjective that means the same thing.
(2) Substitute the describing noun with a phrase that means the same thing.
(3) Substitute the describing adjective with an adverb that means the same thing.
(4) Substitute other parts of speech that mean the same thing and show that one word or phrase describes the other.
(5) If it is unclear that only one thing is meant, change the phrase so that this is clear.
(1) Substitute the describing noun with an adjective that means the same thing.
For I will give you a mouth and wisdom … (Luke 21:15a ULT)
For I will give you wise words …
Walk in a manner that is worthy of God, who calls you into his own kingdom and glory. (1 Thessalonians 2:12b ULT)
You should walk in a manner that is worthy of God, who calls you to his own glorious kingdom.
(2) Substitute the describing noun with a phrase that means the same thing.
For I will give you a mouth and wisdom … (Luke 21:15a ULT)
for I will give you words of wisdom.
You should walk in a manner that is worthy of God, who calls you into his own kingdom and glory. (1 Thessalonians 2:12b ULT)
You should walk in a manner that is worthy of God, who calls you to his own kingdom of glory.
(3) Substitute the describing adjective with an adverb that means the same thing.
If you are willing and obedient … (Isaiah 1:19a ULT)
If you are willingly obedient …
(4) Substitute other parts of speech that mean the same thing and show that one word or phrase describes the other.
If you are willing and obedient … (Isaiah 1:19a ULT)
The adjective “obedient” can be substituted with the verb “obey.”
if you obey willingly …
(4) and (5) If it is unclear that only one thing is meant, change the phrase so that this is clear.
We look forward to receiving the blessed hope and appearing of the glory of our great God and Savior Jesus Christ. (Titus 2:13b ULT)
The noun “glory” can be changed to the adjective “glorious” to make it clear that Jesus’ appearing is what we hope for. Also, “Jesus Christ” can be moved to the front of the phrase and “great God and Savior” put into a relative clause that describes the one person, Jesus Christ.
We look forward to receiving what we are longing for, the blessed and glorious appearing of Jesus Christ, who is our great God and Savior.
A speaker or writer can use exactly the same words to say something that he means as completely true, or as generally true, or as a hyperbole. This is why it can be hard to decide how to understand a statement. For example, the sentence below could mean three different things.
It rains here every night.
In hyperbole, a figure of speech that uses exaggeration, a speaker deliberately describes something with an extreme or even unreal statement, usually to show his strong feeling or opinion about it. He expects people to understand that he is exaggerating.
They will not leave stone upon stone in you. (Luke 19:44b ULT)
This is an exaggeration. It means that the enemies will completely destroy Jerusalem.
Moses was educated in all the wisdom of the Egyptians. (Acts 7:22a ULT)
This hyperbole means that he had learned everything an Egyptian education could offer.
This is a statement that is true most of the time or in most situations that it could apply to.
The one who ignores instruction will have poverty and shame, but honor will come to him who learns from correction. (Proverbs 13:18)
These generalizations tell about what normally happens to people who ignore instruction and what normally happens to people who learn from correction. There may be some exceptions to these statements, but they are generally true.
And when you pray, do not make useless repetitions as the Gentiles do, for they think that they will be heard because of their many words. (Matthew 6:7)
This generalization tells about what Gentiles were known for doing. Many Gentiles did this. It does not matter if a few did not. The point was that the hearers should not join in this well-known practice.
Even though a hyperbole or a generalization may have a strong-sounding word like “all,” “always,” “none,” or “never,” it does not necessarily mean exactly “all,” “always,” “none,” or “never.” It simply means “most,” “most of the time,” “hardly any,” or “rarely.”
If your hand causes you to stumble, cut it off. It is better for you to enter into life maimed … (Mark 9:43a ULT)
When Jesus said to cut off your hand, he meant that we should do whatever extreme things we need to do in order not to sin. He used this hyperbole to show how extremely important it is to try to stop sinning.
The Philistines gathered together to fight against Israel with 3,000 chariots, 6,000 men to drive the chariots, and troops as numerous as the sand on the seashore. (1 Samuel 13:5a ULT)
The bolded phrase is an exaggeration for the purpose of expressing the emotion that the Philistine army was overwhelming in number. It means that there were many, many soldiers in the Philistine army.
But as his anointing teaches you everything and is true and is not a lie, and just as it has taught you, remain in him. (1 John 2:27b ULT)
This is a hyperbole. It expresses the assurance that God’s Spirit teaches us about all things that we need to know. God’s Spirit does not teach us about everything that it is possible to know.
When they found him, they also said to him, “Everyone is looking for you.” (Mark 1:37 ULT)
The disciples probably did not mean that everyone in the city was looking for Jesus, but that many people were looking for him, or that all of Jesus’ closest friends there were looking for him. This is an exaggeration for the purpose of expressing the emotion that they and many others were worried about him.
Can any good thing come out of Nazareth? (John 1:46b ULT)
This rhetorical question is meant to express the generalization that there is nothing good in Nazareth. The people there had a reputation for being uneducated and not strictly religious. Of course, there were exceptions.
One of them, of their own prophets, has said, “Cretans are always liars, evil beasts, lazy bellies.” (Titus 1:12 ULT)
This is a generalization that means that Cretans had a reputation to be like this because, in general, this is how Cretans behaved. It is possible that there were exceptions.
A lazy hand causes a person to be poor, but the hand of the diligent person gains riches. (Proverbs 10:4 ULT)
This is generally true, and it reflects the experience of most people. It is possible that there are exceptions in some circumstances.
They saw Jesus walking on the sea and coming near the boat. (John 6:19b ULT)
This is not hyperbole. Jesus really walked on the water. It is a literal statement.
Yahweh is righteous in all his ways
and gracious in all he does. (Psalms 145:17 ULT)
Yahweh is always righteous. This is a completely true statement.
If the hyperbole or generalization would be natural and people would understand it and not think that it is a lie, consider using it. If not, here are other options.
(1) Express the meaning without the exaggeration.
(2) For a generalization, show that it is a generalization by using a phrase like “in general” or “in most cases.”
(3) For a hyperbole or a generalization, add a word like “many” or “almost” to show that the hyperbole or generalization is not meant to be exact.
(4) For a hyperbole or a generalization that has a word like “all,” “always,” “none,” or “never,” consider deleting that word.
(1) Express the meaning without the exaggeration.
The Philistines gathered together to fight against Israel: 3,000 chariots, 6,000 men to drive the chariots, and troops as numerous as the sand on the seashore. (1 Samuel 13:5a ULT)
The Philistines gathered together to fight against Israel: 3,000 chariots, 6,000 men to drive the chariots, and a great number of troops.
(2) For a generalization, show that it is a generalization by using a phrase like “in general” or “in most cases.”
The one who ignores instruction will have poverty and shame. (Proverbs 13:18a ULT)
In general, the one who ignores instruction will have poverty and shame
When you pray, do not make useless repetitions as the Gentiles do, for they think that they will be heard because of their many words. (Matthew 6:7 ULT)
And when you pray, do not make useless repetitions as the Gentiles generally do, for they think that they will be heard because of their many words.
(3) For a hyperbole or a generalization, add a word like “many” or “almost” to show that the hyperbole or generalization is not meant to be exact.
The whole country of Judea and all the people of Jerusalem went out to him. (Mark 1:5a ULT)
Almost all the country of Judea and almost all the people of Jerusalem went out to him. or:
Many of the country of Judea and many of the people of Jerusalem went out to him.
(4) For a hyperbole or a generalization that has a word like “all,” “always,” “none,” or “never,” consider deleting that word.
The whole country of Judea and all the people of Jerusalem went out to him. (Mark 1:5a ULT)
The country of Judea and the people of Jerusalem went out to him.
An idiom is a figure of speech made up of a group of words that, as a whole, has a meaning that is different from what one would understand from the meanings of the individual words. Someone from outside of the culture usually cannot understand an idiom without someone inside the culture explaining its true meaning. Every language uses idioms. Some English examples are:
An idiom is a phrase that has a special meaning to the people of the language or culture who use it. Its meaning is different than what a person would understand from the meanings of the individual words that form the phrase.
he set his face to go to Jerusalem. (Luke 9:51b ULT)
The words “set his face” is an idiom that means “decided.”
Sometimes people may be able to understand an idiom from another culture, but it might sound like a strange way to express the meaning.
I am not worthy that you would come under my roof. (Luke 7:6b ULT)
The phrase “come under my roof” is an idiom that means “enter my house.”
Put these words into your ears. (Luke 9:44a ULT)
This idiom means “Listen carefully and remember what I say.”
Purpose: An idiom is probably created in a culture somewhat by accident when someone describes something in an unusual way. But, when that unusual way communicates the message powerfully and people understand it clearly, other people start to use it. After a while, it becomes a normal way of talking in that language.
Then all Israel came to David at Hebron and said, “Look, we are your flesh and bone.” (1 Chronicles 11:1 ULT)
This means, “We and you belong to the same race, the same family.”
The children of Israel went out with a high hand. (Exodus 14:8b ASV)
This means, “The Israelites went out defiantly.”
the one who lifts up my head (Psalm 3:3b ULT)
This means, “the one who helps me.”
If the idiom would be clearly understood in your language, consider using it. If not, here are some other options.
(1) Translate the meaning plainly without using an idiom.
(2) Use a different idiom that people use in your own language that has the same meaning.
(1) Translate the meaning plainly without using an idiom.
Then all Israel came to David at Hebron and said, “Look, we are your flesh and bone.” (1 Chronicles 11:1 ULT)
Look, we all belong to the same nation.
Then he set his face to go to Jerusalem. (Luke 9:51b ULT)
He started to travel to Jerusalem, determined to reach it.
I am not worthy that you would come under my roof. (Luke 7:6b ULT)
I am not worthy that you should enter my house.
(2) Use an idiom that people use in your own language that has the same meaning.
Put these words into your ears. (Luke 9:44a ULT)
Be all ears when I say these words to you.
My eyes grow dim from grief. (Psalm 6:7a ULT)
I am crying my eyes out
Irony is a figure of speech in which the sense that the speaker intends to communicate is actually the opposite of the literal meaning of the words. Sometimes a person does this by using someone else’s words, but in a way that communicates that he does not agree with them. People do this to emphasize how different something is from what it should be, or how someone else’s belief about something is wrong or foolish. It is often humorous.
Then Jesus answered and said to them, “People who are well do not have need of a physician, but those who have sickness. I did not come to call the righteous, but sinners to repentance.” (Luke 5:31-32 ULT)
When Jesus spoke of “righteous people,” he was not referring to people who were truly righteous, but to people who wrongly believed that they were righteous. By using irony, Jesus communicated that they were wrong to think that they were better than others and did not need to repent.
If someone does not realize that a speaker is using irony, he will think that the speaker actually believes what he is saying. He will understand the passage to mean the opposite of what it was intended to mean.
How well you reject the commandment of God so that you may keep your tradition! (Mark 7:9b ULT)
Here Jesus praises the Pharisees for doing something that is obviously wrong. Through irony, he communicates the opposite of praise: He communicates that the Pharisees, who take great pride in keeping the commandments, are so far from God that they do not even recognize that their traditions are breaking God’s commandments. The use of irony makes the Pharisee’s sin more obvious and startling.
“Present your case,” says Yahweh; “present your best arguments for your idols,” says the King of Jacob. “Let them bring us their own arguments; have them come forward and declare to us what will happen, so we may know these things well. Have them tell us of earlier predictive declarations, so we can reflect on them and know how they were fulfilled.” (Isaiah 41:21-22 ULT)
People worshiped idols as if their idols had knowledge or power, and Yahweh was angry at them for doing that. So he used irony and challenged their idols to tell what would happen in the future. He knew that the idols could not do this, but by speaking as if they could, he mocked the idols, making their inability more obvious, and rebuked the people for worshiping them.
Can you lead light and darkness to their places of work? Can you find the way back to their houses for them? Undoubtedly you know, for you were born then; “the number of your days is so large!” (Job 38:20-21 ULT)
Job thought that he was wise. Yahweh used irony to show Job that he was not so wise. The two phrases in bold above are irony. They emphasize the opposite of what they say, because they are so obviously false. They emphasize that Job could not possibly answer God’s questions about the creation of light because Job was not born until many, many years later.
Already you are satisfied! Already you have become rich! You began to reign apart from us, and I wish you really did reign, so that we also might reign with you.(1 Corinthians 4:8 ULT)
The Corinthians considered themselves to be very wise, self-sufficient, and not in need of any instruction from the Apostle Paul. Paul used irony, speaking as if he agreed with them, to show how proudly they were acting and how far from being wise they really were.
If the irony would be understood correctly in your language, translate it as it is stated. If not, here are some other strategies.
(1) Translate it in a way that shows that the speaker is saying what someone else believes.
(2) The irony is not found in the literal words of the speaker, but instead the true meaning is found in the opposite of the literal meaning of the speaker’s words.
(1) Translate it in a way that shows that the speaker is saying what someone else believes.
How well you reject the commandment of God so that you may keep your tradition! (Mark 7:9a ULT)
You think that you are doing well when you reject God’s commandment so you may keep your tradition! You act like it is good to reject God’s commandment so you may keep your tradition!
I did not come to call the righteous, but sinners to repentance. (Luke 5:32 ULT)
I did not come to call people who think that they are righteous to repentance, but to call sinners to repentance.
(2) Translate the actual, intended meaning of the statement of irony.
How well you reject the commandment of God so that you may keep your tradition! (Mark 7:9a ULT)
You are doing a terrible thing when you reject the commandment of God so you may keep your tradition!
“Present your case,” says Yahweh; “present your best arguments for your idols,” says the King of Jacob. “Let them bring us their own arguments; have them come forward and declare to us what will happen, so we may know these things well. Have them tell us of earlier predictive declarations, so we can reflect on them and know how they were fulfilled.” (Isaiah 41:21-22 ULT)
‘Present your case,’ says Yahweh; ‘present your best arguments for your idols,’ says the King of Jacob. Your idols cannot bring us their own arguments or come forward to declare to us what will happen so we may know these things well. We cannot hear them because they cannot speak to tell us their earlier predictive declarations, so we cannot reflect on them and know how they were fulfilled.
Can you lead light and darkness to their places of work? Can you find the way back to their houses for them? Undoubtedly you know, for you were born then; the number of your days is so large! (Job 38:20-21 ULT)
Can you lead light and darkness to their places of work? Can you find the way back to their houses for them? You act like you know how light and darkness were created, as if you were there; as if you are as old as creation, but you are not!
A litany is a figure of speech in which the various components of a thing are listed in a series of very similar statements. The speaker does this to indicate that what he is saying should be understood as comprehensive and without exceptions.
Many languages do not use litanies, and readers could be confused by them. They may wonder why the speaker seems to be saying the same thing over and over again.
Though they dig into Sheol, there my hand will take them. Though they climb up to heaven, there I will bring them down. Though they hide on the top of Carmel, there I will search and take them. Though they are hidden from my sight in the bottom of the sea, there will I give orders to the serpent, and it will bite them. Though they go into captivity, driven by their enemies before them, there will I give orders to the sword, and it will kill them. (Amos 9:2-4 ULT)
In this passage Yahweh is telling the people of Israel that when he punishes them, none of them will escape.
But you should not have looked on the day of your brother, on the day of his misfortune. And you should not have rejoiced over the sons of Judah in the day of their perishing. And you should not have made your mouth great in a day of distress. You should not have entered the gate of my people in the day of their calamity. Yes, you! You should not have looked on his evil in the day of his calamity. And you women should not have looted his wealth in the day of his calamity. And you should not have stood at the crossroads to cut down his fugitives. And you should not have delivered up his survivors in a day of distress. (Obadiah 1:12–14)
In this passage Yahweh is telling the people of Edom all the things they should not have done when the people of Judah were conquered by the Babylonians.
(1). A good strategy for showing how a litany conveys its meaning may be to format it on the page in a certain way. Often in the Bible there will be a general statement at the beginning or end of a litany that sums up its overall meaning. You can format that statement and the litany in a way appropriate to your language that will show that by listing all of the components of a thing, the litany is making a comprehensive statement equivalent to this general statement.
(2) Also in terms of formatting, if each sentence in the litany has two parts, you can decide whether it would be clearer to put both of these parts on the same line or to put them on separate lines.
(3) You can eliminate words like “and,” “but,” and “or” at the beginning of sentences so that it will be clearer that the component parts of a thing are all being listed in a row.
(1) The verse before the litany explains its overall meaning. That verse can be placed as an introduction. In English, a colon would indicate that what follows elaborates on this meaning. The accusation in the middle of the litany can be placed on a line of its own so that readers will see that the sentence that follows is like all the others in the litany.
You did nothing to help the Israelites when strangers carried away their wealth. They conquered all the cities of Judah, and they even plundered Jerusalem. And you were just as bad as those foreigners, because you did nothing to help:
You should not have looked on the day of your brother, on the day of his misfortune. You should not have rejoiced over the sons of Judah in the day of their perishing. You should not have made your mouth great in a day of distress. You should not have entered the gate of my people in the day of their calamity. Yes, you! You should not have looked on his evil in the day of his calamity. You women should not have looted his wealth in the day of his calamity. You should not have stood at the crossroads to cut down his fugitives. You should not have delivered up his survivors in a day of distress. (Obadiah 1:12-14)
(2) The sentence before the litany explains its overall meaning. That sentence can be placed as an introduction. In English, a colon would indicate that what follows elaborates on this meaning. Because the first three sentences are shorter, they can be presented on a single line, so that the way the litany develops may be recognized more clearly.
Not one of them will get away, not one of them will escape:
Though they dig into Sheol, there my hand will take them. Though they climb up to heaven, there I will bring them down. Though they hide on the top of Carmel, there I will search and take them. Though they are hidden from my sight in the bottom of the sea, there will I give orders to the serpent, and it will bite them. Though they go into captivity, driven by their enemies before them, there will I give orders to the sword, and it will kill them. (Amos 9:1b–4 ULT)
Litotes is a figure of speech in which the speaker expresses a strong positive meaning by using two negative words or a negative word with a word that means the opposite of the meaning he intends. A few examples of negative words are “no,” “not,” “none,” and “never.” The opposite of “good” is “bad.” Someone could say that something is “not bad” to mean that it is extremely good.
Some languages do not use litotes. People who speak those languages might not understand that a statement using litotes actually strengthens the positive meaning. Instead, they might think that it weakens or even cancels the positive meaning.
For you yourselves know, brothers, that our coming to you was not useless, (1 Thessalonians 2:1 ULT)
By using litotes, Paul emphasized that his visit with them was very useful.
Now when it became day, there was no small disturbance among the soldiers over what therefore had happened to Peter. (Acts 12:18 ULT)
By using litotes, Luke emphasized that there was a lot of excitement or anxiety among the soldiers about what happened to Peter. (Peter had been in prison, and even though there were soldiers guarding him, he escaped when an angel let him out. So they were very agitated.)
But you, Bethlehem, in the land of Judah, are not the least among the leaders of Judah, for from you will come a ruler who will shepherd my people Israel. (Matthew 2:6 ULT)
By using litotes, the prophet emphasized that Bethlehem would be a very important city.
If the litotes would be understood correctly, consider using it.
(1) If the meaning with the negative would not be clear, give the positive meaning in a strong way.
(1) If the meaning with the negative would not be clear, give the positive meaning in a strong way.
For you yourselves know, brothers, that our coming to you was not useless. (1 Thessalonians 2:1 ULT)
“For you yourselves know, brothers, our visit to you did much good.”
Now when it became day, there was no small disturbance among the soldiers over what therefore had happened to Peter. (Acts 12:18 ULT)
“Now when it became day, there was great excitement among the soldiers, regarding what had happened to Peter.” “Now when it became day, the soldiers were very concerned because of what had happened to Peter.”
Merism is a figure of speech in which a person refers to something by speaking of two extreme parts of it. By referring to the extreme parts, the speaker intends to include also everything in between those parts.
“I am the alpha and the omega,” says the Lord God, “the one who is, and who was, and who is to come, the Almighty.” (Revelation 1:8 ULT)
I am the alpha and the omega, the first and the last, the beginning and the end. (Revelation 22:13, ULT)
Alpha and omega are the first and last letters of the Greek alphabet. This is a merism that includes everything from the beginning to the end. It means eternal.
… I praise you, Father, Lord of heaven and earth …, (Matthew 11:25b ULT)
Heaven and earth is a merism that includes everything that exists.
Some languages do not use merism. The readers of those languages may think that the phrase only applies to the items mentioned. They may not realize that it refers to those two things and everything in between.
From the rising of the sun to its setting, Yahweh’s name should be praised. (Psalm 113:3 ULT)
This bolded phrase is a merism because it speaks of the east and the west and everywhere in between. It means “everywhere.”
He will bless those who honor him, both young and old. (Psalm 115:13)
The bolded phrase is merism because it speaks of old people and young people and everyone in between. It means “everyone.”
If the merism would be natural and give the right meaning in your language, consider using it. If not, here are other options:
(1) Identify what the merism refers to without mentioning the parts.
(2) Identify what the merism refers to and include the parts.
(1) Identify what the merism refers to without mentioning the parts.
I praise you, Father, Lord of heaven and earth. (Matthew 11:25b ULT)
I praise you, Father, Lord of everything.
From the rising of the sun to its setting, Yahweh’s name should be praised. (Psalm 113:3 ULT)
In all places, people should praise Yahweh’s name.
(2) Identify what the merism refers to and include the parts.
I praise you, Father, Lord of heaven and earth. (Matthew 11:25b ULT)
I praise you, Father, Lord of everything, including both what is in heaven and what is on earth.
He will bless those who honor him, both young and old. (Psalm 115:13 ULT)
He will bless all those who honor him, regardless of whether they are young or old.
A metaphor is a figure of speech in which someone speaks of one thing as if it were a different thing because he wants people to think about how those two things are alike.
For example, someone might say, “The girl I love is a red rose.”
A girl and a rose are very different things, but the speaker considers that they are alike in some way. The hearer’s task is to understand in what way they are alike.
The example above shows us that a metaphor has three parts. In this metaphor, the speaker is talking about “the girl I love.” This is the Topic. The speaker wants the hearer to think about what is similar between her and “a red rose.” The red rose is the Image to which he compares the girl. Most probably, he wants the hearer to consider that they are both beautiful. This is the Idea that the girl and the rose both share, and so we may also call it the Point of Comparison.
Every metaphor has three parts:
The Topic, the item being immediately discussed by the writer/speaker.
The Image, the physical item (object, event, action, etc.) which the speaker uses to describe the topic.
The Idea, the abstract concept or quality that the physical Image brings to the mind of the hearer when he thinks of how the Image and the Topic are similar. Often, the Idea of a metaphor is not explicitly stated in the Bible, but it is only implied from the context. The hearer or reader usually needs to think of the Idea himself.
Using these terms, we can say that a metaphor is a figure of speech that uses a physical Image to apply an abstract Idea to the speaker’s Topic.
Usually, a writer or speaker uses a metaphor in order to express something about a Topic, with at least one Point of Comparison (Idea) between the Topic and the Image. Often in metaphors, the Topic and the Image are explicitly stated, but the Idea is only implied. The writer/speaker often uses a metaphor in order to invite the readers/listeners to think about the similarity between the Topic and the Image and to figure out for themselves the Idea that is being communicated.
Speakers often use metaphors in order to strengthen their message, to make their language more vivid, to express their feelings better, to say something that is hard to say in any other way, or to help people remember their message.
Sometimes speakers use metaphors that are very common in their language. However, sometimes speakers use metaphors that are uncommon, and even some metaphors that are unique. When a metaphor has become very common in a language, often it becomes a “passive” metaphor, in contrast to uncommon metaphors, which we describe as being “active.” Passive metaphors and active metaphors each present a different kind of translation problem, which we will discuss below.
A passive metaphor is a metaphor that has been used so much in the language that its speakers no longer regard it as one concept standing for another. Linguists often call these “dead metaphors.” Passive metaphors are extremely common. Examples in English include the terms “table leg,” “family tree,” “book leaf” (meaning a page in a book), or the word “crane” (meaning a large machine for lifting heavy loads). English speakers simply think of these words as having more than one meaning. Examples of passive metaphors in Biblical Hebrew include using the word “hand” to represent “power,” using the word “face” to represent “presence,” and speaking of emotions or moral qualities as if they were “clothing.”
Many ways of metaphorical speaking depend on pairs of concepts, where one underlying concept frequently stands for a different underlying concept. For example, in English, the direction “up” (the Image) often represents the concepts of “more” or “better” (the Idea). Because of this pair of underlying concepts, we can make sentences such as “The price of gasoline is going up,” “A highly intelligent man,” and also the opposite kind of idea: “The temperature is going down,” and “I am feeling very low.”
Patterned pairs of concepts are constantly used for metaphorical purposes in the world’s languages because they serve as convenient ways to organize thought. In general, people like to speak of abstract qualities (such as power, presence, emotions, and moral qualities) as if they were body parts, or as if they were objects that could be seen or held, or as if they were events that could be watched as they happened.
When these metaphors are used in normal ways, it is rare that the speaker and audience regard them as figurative speech. Examples of metaphors in English that go unrecognized are:
English speakers do not view these as metaphorical expressions or figures of speech, so it would be wrong to translate them into other languages in a way that would lead people to pay special attention to them as figurative speech. For a description of important patterns of this kind of metaphor in biblical languages, please see Biblical Imagery – Common Patterns and the pages it will direct you to.
When translating something that is a passive metaphor into another language, do not treat it as a metaphor. Instead, just use the best expression for that thing or concept in the target language.
These are metaphors that people recognize as one concept standing for another concept, or one thing for another thing. Metaphors make people think about how the one thing is like the other thing, because in most ways the two things are very different. People also easily recognize these metaphors as giving strength and unusual qualities to the message. For this reason, people pay attention to these metaphors. For example,
But for you who fear my name, the sun of righteousness will rise with healing in its wings. (Malachi 4:2a ULT)
Here, God speaks about his salvation as if it were the sun rising in order to shine its rays on the people whom he loves. He also speaks of the sun’s rays as if they were wings. Also, he speaks of these wings as if they were bringing medicine that would heal his people. Here is another example:
And he said to them, “Go and tell that fox …” (Luke 13:32a ULT)
Here, “that fox” refers to King Herod. The people listening to Jesus certainly understood that Jesus was intending for them to apply certain characteristics of a fox to Herod. They probably understood that Jesus intended to communicate that Herod was evil, either in a cunning way or as someone who was destructive, murderous, or who took things that did not belong to him, or all of these.
Active metaphors require the translator’s special care to make a correct translation. To do so, you need to understand the parts of a metaphor and how they work together to produce meaning.
Jesus said to them, “I am the bread of life; he who comes to me will not be hungry, and he who believes in me will never be thirsty.” (John 6:35 ULT)
In this metaphor, Jesus called himself the bread of life. The Topic is “I” (meaning Jesus himself) and the Image is “bread.” Bread was the primary food that people ate in that place and time. The similarity between bread and Jesus is that people need both to live. Just as people need to eat food in order to have physical life, people need to trust in Jesus in order to have eternal life. The Idea of the metaphor is “life.” In this case, Jesus stated the central Idea of the metaphor, but often the Idea is only implied.
Listen to this word, you cows of Bashan, (Amos 4:1q ULT)
In this metaphor Amos speaks to the upper-class women of Samaria (“you,” the Topic) as if they were cows (the Image). Amos does not say what similarity(s) he intends between these women and cows. He wants the reader to think of them, and he fully expects that readers from his culture will easily do so. From the context, we can see that he means that the women are like cows in that they are fat and interested only in feeding themselves. If we were to apply similarities from a different culture, such as that cows are sacred and should be worshiped, we would get the wrong meaning from this verse.
NOTE: Amos does not actually mean that the women are cows. He speaks to them as human beings.
Yet, Yahweh, you are our father; we are the clay. You are our potter; and we all are the work of your hand. (Isaiah 64:8 ULT)
The example above has two related metaphors. The Topic(s) are “we” and “you,” and the Image(s) are “clay” and “potter.” The similarity between a potter and God is the fact that both make what they wish out of their material. The potter makes what he wishes out of the clay, and God makes what he wishes out of his people. The Idea being expressed by the comparison between the potter’s clay and “us” is that neither the clay nor God’s people have a right to complain about what they are becoming.
Jesus said to them, “Take heed and beware of the yeast of the Pharisees and Sadducees.” The disciples reasoned among themselves and said, “It is because we did not take bread.” (Matthew 16:6-7 ULT)
Jesus used a metaphor here, but his disciples did not realize it. When he said “yeast,” they thought he was talking about bread, but “yeast” was the Image in his metaphor, and the Topic was the teaching of the Pharisees and Sadducees. Since the disciples (the original audience) did not understand what Jesus meant, it would not be good to state clearly here what Jesus meant.
If people would understand the metaphor in the same way that the original readers would have understood it, go ahead and use it. Be sure to test the translation to make sure that people do understand it in the right way.
If people do not or would not understand it, here are some other strategies.
(1) If the metaphor is a common expression in the source language or expresses a patterned pair of concepts in a biblical language (that is, it is a passive metaphor), then express the Idea in the simplest way preferred by your language.
(2) If the metaphor seems to be an active metaphor, you can translate it literally if you think that the target language also uses this metaphor in the same way to mean the same thing as in the Bible. If you do this, be sure to test it to make sure that the language community understands it correctly.
(3) If the target audience does not realize that it is a metaphor, then change the metaphor to a simile. Some languages do this by adding words such as “like” or “as.” See Simile.
(4) If the target audience would not know the Image, see Translate Unknowns for ideas on how to translate that image.
(5) If the target audience would not use that Image for that meaning, use an image from your own culture instead. Be sure that it is an image that could have been possible in Bible times.
(6) If the target audience would not know what the Topic is, then state the topic clearly. (However, do not do this if the original audience did not know what the Topic was.)
(7) If the target audience would not know the intended similarity (the Idea) between the topic and the image, then state it clearly.
(8) If none of these strategies is satisfactory, then simply state the Idea plainly without using a metaphor.
(1) If the metaphor is a common expression in the source language or expresses a patterned pair of concepts in a biblical language (that is, a passive metaphor), then express the Idea in the simplest way preferred by your language.
Then, see, one of the leaders of the synagogue, named Jairus, came, and when he saw him, fell at his feet. (Mark 5:22 ULT)
Then one of the leaders of the synagogue, named Jairus, came, and when he saw him, immediately bowed down in front of him.
(2) If the metaphor seems to be an active metaphor, you can translate it literally if you think that the target language also uses this metaphor in the same way to mean the same thing as in the Bible. If you do this, be sure to test it to make sure that the language community understands it correctly.
But Jesus said to them, “He wrote this commandment to you because of your hardness of heart.” (Mark 10:5 ULT)
It was because of your hard hearts that he wrote you this law.
We made no change to this one, but it must be tested to make sure that the target audience correctly understands this metaphor.
(3) If the target audience does not realize that it is a metaphor, then change the metaphor to a simile. Some languages do this by adding words such as “like” or “as.”
Yet, Yahweh, you are our father; we are the clay. You are our potter; and we all are the work of your hand. (Isaiah 64:8 ULT)
And yet, Yahweh, you are our father; we are like clay. You are like a potter; and we all are the work of your hand.
(4) If the target audience would not know the Image, see Translate Unknowns for ideas on how to translate that image.
Saul, Saul, why do you persecute me? It is hard for you to kick against a goad. (Acts 26:14b ULT)
Saul, Saul, why do you persecute me? It is hard for you to kick against a pointed stick.
(5) If the target audience would not use that Image for that meaning, use an image from your own culture instead. Be sure that it is an image that could have been possible in Bible times.
Yet, Yahweh, you are our father; we are the clay. You are our potter; and we all are the work of your hand. (Isaiah 64:8 ULT)
“And yet, Yahweh, you are our father; we are the wood. You are our carver; and we all are the work of your hand.” “And yet, Yahweh, you are our father; we are the string. You are the weaver; and we all are the work of your hand.”
(6) If the target audience would not know what the Topic is, then state the topic clearly. (However, do not do this if the original audience did not know what the topic was.)
Yahweh lives; may my rock be praised. May the God of my salvation be exalted. (Psalm 18:46 ULT)
Yahweh lives; He is my rock. May he be praised. May the God of my salvation be exalted.
(7) If the target audience would not know the intended similarity between the Topic and the Image, then state it clearly.
Yahweh lives; may my rock be praised. May the God of my salvation be exalted. (Psalm 18:46 ULT)
Yahweh lives; may he be praised because he is the rock under which I can hide from my enemies. May the God of my salvation be exalted.
Saul, Saul, why do you persecute me? It is hard for you to kick against a goad. (Acts 26:14 ULT)
Saul, Saul, why do you persecute me? You fight against me and hurt yourself like an ox that kicks against its owner’s pointed stick.
(8) If none of these strategies are satisfactory, then simply state the idea plainly without using a metaphor.
I will make you to become fishers of men. (Mark 1:17b ULT)
I will make you to become people who gather men. Now you gather fish. I will make you gather people.
To learn more about specific metaphors, see Biblical Imagery – Common Patterns.
Metonymy is a figure of speech in which an item (either physical or abstract) is called not by its own name, but by the name of something closely associated with it. A metonym is a word or phrase used as a substitute for something that it is associated with.
… and the blood of Jesus his Son cleanses us from every sin. (1 John 1:7b ULT)
The blood represents Christ’s death.
And he took the cup in the same way after supper, saying, “This cup is the new covenant in my blood, which is poured out for you.” (Luke 22:20 ULT)
The cup represents the wine that is in the cup.
The Bible uses metonymy very often. Speakers of some languages are not familiar with metonymy and they may not recognize it when they read it in the Bible. If they do not recognize the metonymy, they will not understand the passage or, worse yet, they will get a wrong understanding of the passage. Whenever a metonym is used, people need to be able to understand what it represents.
The Lord God will give to him the throne of his father David. (Luke 1:32b ULT)
A throne represents the authority of a king. “Throne” is a metonym for “kingly authority,” “kingship,” or “reign.” This means that God would make him become a king who would follow King David.
Then immediately his mouth was opened (Luke 1:64a ULT)
The mouth here represents the power to speak. This means that he was able to talk again.
Who warned you to flee from the wrath that is coming? (Luke 3:7b ULT)
The word “wrath” or “anger” is a metonym for “punishment.” God was extremely angry with the people and, as a result, he would punish them.
If people would easily understand the metonym, consider using it. Otherwise, here are some options.
(1) Use the metonym along with the name of the thing it represents.
(2) Use only the name of the thing the metonym represents.
(1) Use the metonym along with the name of the thing it represents.
And he took the cup in the same way after the supper, saying, “This cup is the new covenant in my blood, which is poured out for you.” (Luke 22:20 ULT)
He took the cup in the same way after supper, saying, “The wine in this cup is the new covenant in my blood, which is poured out for you.”
This verse also contains a second metonym: The cup, (representing the wine it contains) also represents the new covenant made with the blood Christ shed for us.
(2) Use the name of the thing the metonym represents.
The Lord God will give him the throne of his father David. (Luke 1:32b ULT)
“The Lord God will give him the kingly authority of his father, David.” or: “The Lord God will make him king like his ancestor, King David.”
Who warned you to flee from the wrath that is coming? (Luke 3:7b ULT)
“Who warned you to flee from God’s coming punishment?”
To learn about some common metonymies, see Biblical Imagery – Common Metonymies.
In parallelism, two phrases or clauses that are similar in structure or idea are used together. The following are some of the different kinds of parallelism.
Parallelism is most commonly found in Old Testament poetry, such as in the books of Psalms and Proverbs. It also occurs in Greek in the New Testament, both in the four gospels and in the apostles’ letters.
Synonymous parallelism (the kind in which the two phrases mean the same thing) in the poetry of the original languages has several effects:
Some languages would not use synonymous parallelism. They would either think it odd that someone said the same thing twice, or they would think that the two phrases must have some difference in meaning. For them it would be confusing, rather than beautiful.
Note: We use the term “synonymous parallelism” for long phrases or clauses that have the same meaning. We use the term Doublet for words or very short phrases that mean basically the same thing and are used together.
(1) The second clause or phrase means the same as the first.
Your word is a lamp to my feet and a light for my path. (Psalm 119:105 ULT)
Both parts of the sentence are metaphors saying that God’s word teaches people how to live.
You make him to rule over the works of your hands; you have put all things under his feet (Psalm 8:6 ULT)
Both lines say that God made man the ruler of everything.
(2) The second clarifies or strengthens the meaning of the first.
The eyes of Yahweh are everywhere, keeping watch over the evil and the good. (Proverbs 15:3 ULT)
The second line tells more specifically what Yahweh watches.
(3) The second completes what is said in the first.
I lift up my voice to Yahweh, and he answers me from his holy hill. (Psalm 3:4 ULT)
The second line tells what Yahweh does in response to what the person does in the first clause.
(4) The second says something that contrasts with the first, but adds to the same idea.
For Yahweh approves of the way of the righteous, but the way of the wicked will perish. (Psalm 1:6 ULT)
This contrasts what happens to righteous people with what happens to wicked people.
A gentle answer turns away wrath, but a harsh word stirs up anger. (Proverbs 15:1 ULT)
This contrasts what happens when someone gives a gentle answer with what happens when someone says something harsh.
For most kinds of parallelism, it is good to translate both of the clauses or phrases. For synonymous parallelism, it is good to translate both clauses if people in your language understand that the purpose of saying something twice is to strengthen a single idea. But if your language does not use parallelism in this way, then consider using one of the following translation strategies.
(1) Combine the ideas of both clauses into one.
(2) If it appears that the clauses are used together to show that what they say is really true, you could include words that emphasize the truth such as “truly” or “certainly.”
(3) If it appears that the clauses are used together to intensify an idea in them, you could use words like “very,” “completely,” or “all.”
(1) Combine the ideas of both clauses into one.
Until now you have dealt deceitfully with me and you have spoken lies to me. (Judges 16:13, ULT) – Delilah expressed this idea twice to emphasize that she was very upset.
Until now you have deceived me with your lies.
Yahweh sees everything a person does and watches all the paths he takes. (Proverbs 5:21 ULT) – The phrase “all the paths he takes” is a metaphor for “all he does.”
“Yahweh pays attention to everything a person does.”
For Yahweh has a lawsuit with his people, and he will fight in court against Israel. (Micah 6:2 ULT) – This parallelism describes one serious disagreement that Yahweh had with one group of people. If this is unclear, the phrases can be combined:
“For Yahweh has a lawsuit with his people, Israel.”
(2) If it appears that the clauses are used together to show that what they say is really true, you could include words that emphasize the truth such as “truly” or “certainly.”
Yahweh sees everything a person does and watches all the paths he takes. (Proverbs 5:21 ULT)
“Yahweh truly sees everything a person does.”
(3) If it appears that the clauses are used together to intensify an idea in them, you could use words like “very,” “completely” or “all.”
Until now you have dealt deceitfully with me and you have spoken lies to me. (Judges 16:13, ULT)
“All you have done is lie to me.”
Yahweh sees everything a person does and watches all the paths he takes. (Proverbs 5:21 ULT)
“Yahweh sees absolutely everything that a person does.”
Parallelism with the same meaning is a poetic device in which one complex idea is expressed in two (or more) different ways. Speakers may do this in order to emphasize the idea that is the same in the two phrases. This is also called “synonymous parallelism.”
NOTE: We use the term “parallelism with the same meaning” for long phrases or clauses that have the same meaning. We use the term Doublet for words or very short phrases that mean basically the same thing and are used together.
Yahweh sees everything a person does and watches all the paths he takes. (Proverbs 5:21 ULT)
The first bold phrase and the second bold phrase mean the same thing. There are three ideas that are the same between these two phrases. “Sees” corresponds to “watches,” “everything … does” corresponds to “all the paths … takes,” and “a person” corresponds to “he.”
Synonymous parallelism in poetry has several effects:
In some languages people do not expect someone to say the same thing twice, even in different ways. They expect that if there are two similar phrases or two sentences, they must have different meanings. So they do not understand that the repetition of ideas serves to emphasize the idea.
Your word is a lamp to my feet and a light for my path. (Psalm 119:105 ULT)
Both parts of the sentence are metaphors saying that God’s word teaches people how to live. The words “lamp” and “light” are similar in meaning because they refer to light. The words “my feet” and “my path” are related because they refer to a person walking.
Praise Yahweh, all you nations; exalt him, all you peoples! (Psalm 117:1 ULT)
Both parts of this verse tell people everywhere to praise Yahweh. The words ‘Praise’ and ‘exalt’ mean the same thing. The words ‘Yahweh’ and ‘him’ refer to the same person. The terms ‘all you nations’ and ‘all you peoples’ refer to the same people.
For Yahweh has a lawsuit with his people, and he will fight in court against Israel. (Micah 6:2b ULT)
The two parts of this verse say that Yahweh has a serious disagreement with his people, Israel. These are not two different disagreements or two different groups of people.
If your language uses parallelism in the same way as the biblical languages (that is, to strengthen a single idea), then it would be appropriate to use it in your translation. But if your language does not use parallelism in this way, then consider using one of the following translation strategies.
(1) Combine the ideas of both clauses into one.
(2) If it appears that the clauses are used together to show that what they say is really true, you could include words that emphasize the truth such as “truly” or “certainly.”
(3) If it appears that the clauses are used together to intensify an idea in them, you could use words like “very,” “completely” or “all.”
(1) Combine the ideas of both clauses into one.
Until now you have dealt deceitfully with me and you have spoken lies to me. (Judges 16:13b ULT) – Delilah expressed this idea twice to emphasize that she was very upset.
Until now you have deceived me with your lies.
Yahweh sees everything a person does and watches all the paths he takes. (Proverbs 5:21 ULT) – The phrase “all the paths he takes” is a metaphor for “all he does.”
Yahweh pays attention to everything a person does.
For Yahweh has a lawsuit with his people, and he will fight in court against Israel. (Micah 6:2 ULT) – This parallelism describes one serious disagreement that Yahweh had with one group of people. If this is unclear, the phrases can be combined:
For Yahweh has a lawsuit with his people, Israel.
(2) If it appears that the clauses are used together to show that what they say is really true, you could include words that emphasize the truth such as “truly” or “certainly.”
Yahweh sees everything a person does and watches all the paths he takes. (Proverbs 5:21 ULT)
Yahweh truly sees everything a person does.
(3) If it appears that the clauses are used together to intensify an idea in them, you could use words like “very,” “completely” or “all.”
Until now you have dealt deceitfully with me and you have spoken lies to me. (Judges 16:13b ULT)
All you have done is lie to me.
Yahweh sees everything a person does and watches all the paths he takes. (Proverbs 5:21 ULT)
Yahweh sees absolutely everything that a person does.
because personification makes it easier to talk about things we cannot see, such as wisdom or sin. For example:
Does not Wisdom call out? (Proverbs 8:1a ULT)
Sin crouches at the door. (Genesis 4:7b ULT)
People also use personification because it is sometimes easier to talk about people’s relationships with non-human things such as wealth as if they were relationships between people.
You cannot serve God and wealth. (Matthew 6:24b ULT)
In each case, the purpose of the personification is to highlight a certain characteristic of the non-human thing. As in metaphor, the reader needs to think of the way that the thing is like a certain kind of person.
You cannot serve God and wealth. (Matthew 6:24b ULT)
Jesus speaks of wealth as if it were a master whom people might serve. Loving money and basing one’s decisions on it is like serving it as a slave would serve his master.
Does not Wisdom call out? Does not Understanding raise her voice? (Proverbs 8:1 ULT)
The author speaks of wisdom and understanding as if they were woman who calls out to teach people. This means that they are not something hidden, but something obvious that people should pay attention to.
If the personification would be understood clearly, consider using it. If it would not be understood, here are some other ways for translating it.
(1) Add words or phrases to make the human (or animal) characteristic clear.
(2) In addition to Strategy (1), use words such as “like” or “as” to show that the sentence is not to be understood literally.
(3) Find a way to translate it without the personification.
(1) Add words or phrases to make the human (or animal) characteristic clear.
Sin crouches at the door. (Genesis 4:7b ULT) – God speaks of sin as if it were a wild animal that is waiting for the chance to attack. This shows how dangerous sin is. An additional phrase can be added to make this danger clear.
Sin is at your door, waiting to attack you.
(2) In addition to Strategy (1), use words such as “like” or “as” to show that the sentence is not to be understood literally.
Sin crouches at the door. (Genesis 4:7b ULT) – This can be translated with the word “as.”
Sin is crouching at the door, just as a wild animal does as it waits to attack a person..
(3) Find a way to translate it without the personification.
Even the winds and the sea obey him. (Matthew 8:27b ULT) – The men speak of the “wind and the sea” as if they are able to hear and obey Jesus, just as people can. This could also be translated without the idea of obedience by speaking of Jesus controlling them.
He even controls the winds and the sea.
NOTE: We have broadened our definition of “personification” to include “zoomorphism” (speaking of other things as if they had animal characteristics) and “anthropomorphism” (speaking of non-human things as if they had human characteristics) because the translation strategies for them are the same.
The predictive past is a figure of speech that uses the past tense to refer to things that will happen in the future. This is sometimes done in prophecy to show that the event will certainly happen. It is also called the prophetic perfect.
Therefore my people have gone into captivity for lack of understanding; their honored leaders go hungry, and their common people have nothing to drink. (Isaiah 5:13 ULT)
In the example above, the people of Israel had not yet gone into captivity, but God spoke of their going into captivity as if it had already happened because he had decided that they certainly would go into captivity.
Readers who are not aware of the past tense being used in prophecy to refer to future events may find it confusing.
Now Jericho was tightly closed because of the sons of Israel. No one went out and no one came in. Yahweh said to Joshua, “See, I have delivered Jericho, and its king, and its powerful soldiers into your hand.” (Joshua 6:1-2 ULT)
For to us a child has been born, to us a son has been given; and the rule will be on his shoulder. (Isaiah 9:6a ULT)
In the examples above, God spoke of things that would happen in the future as if they had already happened.
But even Enoch, the seventh from Adam, prophesied about them, saying, “Look! The Lord came with thousands and thousands of his holy ones.” (Jude 1:14 ULT)
Enoch was speaking of something that would happen in the future, but he used the past tense when he said “the Lord came.”
If the past tense would be natural and give the right meaning in your language, consider using it. If not, here are some other options.
(1) Use the future tense to refer to future events.
(2) If it refers to something in the immediate future, use a form that would show that.
(3) Some languages may use the present tense to show that something will happen very soon.
(1) Use the future tense to refer to future events.
For to us a child has been born, to us a son has been given. (Isaiah 9:6a ULT)
For to us a child will be born, to us a son will be given.
(2) If it refers to something that would happen very soon, use a form that shows that.
Yahweh said to Joshua, “See, I have delivered Jericho, and its king, and its powerful soldiers into your hand.” (Joshua 6:2 ULT)
Yahweh said to Joshua, “See, I am about to deliver over to you Jericho, its king, and its powerful soldiers.”
(3) Some languages may use the present tense to show that something will happen very soon.
Yahweh said to Joshua, “See, I have delivered Jericho, and its king, and its powerful soldiers into your hand.” (Joshua 6:2 ULT)
Yahweh said to Joshua, “See, I am delivering over to you Jericho, its king, and its powerful soldiers.”
A rhetorical question is a question that a speaker asks when he is more interested in expressing his attitude about something than in getting information about it. Speakers use rhetorical questions to express deep emotion or to encourage hearers to think deeply about something. The Bible contains many rhetorical questions, often to express surprise, to rebuke or scold the hearer, or to teach. Speakers of some languages use rhetorical questions for other purposes as well.
A rhetorical question is a question that strongly expresses the speaker’s attitude toward something. Often the speaker is not looking for information at all. Or, if he is asking for information, it is not usually the information that the question appears to ask for. The speaker is more interested in expressing his attitude than in getting information.
But those who stood by said, “Are you insulting the high priest of God?”(Acts 23:4 ULT)
The people who asked Paul this question were not asking if he was insulting God’s high priest. Rather, they used this question to accuse Paul of insulting the high priest.
The Bible contains many rhetorical questions. These rhetorical questions might be used for the purposes: of expressing attitudes or feelings, rebuking people, teaching something by reminding people of something they know and encouraging them to apply it to something new, or introducing something they want to talk about.
Do you not still rule the kingdom of Israel? (1 Kings 21:7b ULT)
Jezebel used the question above to remind King Ahab of something he already knew: he still ruled the kingdom of Israel. The rhetorical question made her point more strongly than if she had merely stated it, because it forced Ahab to admit the point himself. She did this in order to rebuke him for being unwilling to take over a poor man’s property. She was implying that, since he was the king of Israel, he had the power to take the man’s property.
Will a virgin forget her jewelry, a bride her veils? Yet my people have forgotten me for days without number! (Jeremiah 2:32 ULT)
God used the question above to remind his people of something they already knew: a young woman would never forget her jewelry or a bride forget her veils. He then rebuked his people for forgetting him who is so much greater than those things.
Why did I not die when I came out from the womb? (Job 3:11a ULT)
Job used the question above to show deep emotion. This rhetorical question expresses how sad he was that he did not die as soon as he was born. He wished that he had not lived.
And how has this happened to me that the mother of my Lord would come to me? (Luke 1:43 ULT)
Elizabeth used the question above to show how surprised and happy she was that the mother of her Lord came to her.
Or what man is there among you, of whom his son will ask for a loaf of bread, but he will give him a stone? (Matthew 7:9 ULT)
Jesus used the question above to remind the people of something they already knew: a good father would never give his son something bad to eat. By introducing this point, Jesus could go on to teach them about God with his next rhetorical question:
Therefore, if you who are evil know how to give good gifts to your children, how much more will your Father who is in heaven give good things to those who ask him? (Matthew 7:11 ULT)
Jesus used this question to teach the people in an emphatic way that God gives good things to those who ask him.
What is the kingdom of God like, and what can I compare it to? It is like a mustard seed that a man took and threw into his garden … (Luke 13:18b-19a ULT)
Jesus used the question above to introduce what he was going to talk about. He was about to compare the kingdom of God to something. In this case, he compared the kingdom of God to a mustard seed.
In order to translate a rhetorical question accurately, first be sure that the question you are translating truly is a rhetorical question and is not an information question. Ask yourself, “Does the person asking the question already know the answer to the question?” If so, it is a rhetorical question. Or, if no one answers the question, did the person who asked it expect to receive an answer? If not, it is a rhetorical question.
When you are sure that the question is rhetorical, then be sure that you understand the purpose for the rhetorical question. Is it to encourage or rebuke or shame the hearer? Is it to bring up a new topic? Is it to do something else?
When you know the purpose of the rhetorical question, then think of the most natural way to express that purpose in the target language. It might be as a question, or a statement, or an exclamation.
If using the rhetorical question would be natural and give the right meaning in your language, consider doing so. If not, here are other options:
(1) Add the answer after the question.
(2) Change the rhetorical question to a statement or exclamation.
(3) Change the rhetorical question to a statement, and then follow it with a short question.
(4) Change the form of the question so that it communicates in your language what the original speaker communicated in his.
(1) Add the answer after the question.
Will a virgin forget her jewelry, a bride her veils? Yet my people have forgotten me for days without number! (Jeremiah 2:32 ULT)
Will a virgin forget her jewelry, a bride her veils? Of course not! Yet my people have forgotten me for days without number!
Or what man is there among you, of whom his son will ask for a loaf of bread, but he will give him a stone? (Matthew 7:9 ULT)
Or what man is there among you, of whom his son will ask for a loaf of bread, but he will give him a stone? None of you would do that!
(2) Change the rhetorical question to a statement or exclamation.
What is the kingdom of God like, and what can I compare it to? It is like a mustard seed. (Luke 13:18-19a ULT)
This is what the kingdom of God is like. It is like a mustard seed …
Are you insulting the high priest of God? (Acts 23:4b ULT) (Acts 23:4 ULT)
You should not insult God’s high priest!
Why did I not die when I came out from the womb? (Job 3:11a ULT)
I wish I had died when I came out from the womb!
And how has this happened to me that the mother of my Lord should come to me? (Luke 1:43 ULT)
How wonderful it is that the mother of my Lord has come to me!
(3) Change the rhetorical question to a statement, and then follow it with a short question.
Do you not still rule the kingdom of Israel? (1 Kings 21:7b ULT)
You still rule the kingdom of Israel, do you not?
(4) Change the form of the question so that it communicates in your language what the orignal speaker communicated in his.
Or what man is there among you, of whom his son will ask for a loaf of bread, but he will give him a stone? (Matthew 7:9 ULT)
If your son asks you for a loaf of bread, would you give him a stone?
Will a virgin forget her jewelry, a bride her veils? Yet my people have forgotten me for days without number! (Jeremiah 2:32 ULT)
What virgin would forget her jewelry, and what bride would forget her veils? Yet my people have forgotten me for days without number
A simile is a comparison of two things that are not normally thought to be similar. The simile focuses on a particular trait the two items have in common, and it includes the words “like,” “as,” or “than.”
When he saw the crowds, he had compassion for them, because they were troubled and discouraged, like sheep not having a shepherd. (Matthew 9:36)
Jesus compared the crowds of people to sheep without a shepherd. Sheep grow frightened when they do not have a good shepherd to lead them in safe places. The crowds were like that because they did not have good religious leaders.
See, I send you out as sheep in the midst of wolves, so be as wise as the serpents and harmless as the doves. (Matthew 10:16 ULT)
Jesus compared his disciples to sheep and their enemies to wolves. Wolves attack sheep; Jesus’ enemies would attack his disciples.
For the word of God is living and active and sharper than any two-edged sword. (Hebrews 4:12a ULT)
God’s word is compared to a two-edged sword. A two-edged sword is a weapon that can easily cut through a person’s flesh. God’s word is very effective in showing what is in a person’s heart and thoughts.
Suffer hardship with me, as a good soldier of Christ Jesus. (2 Timothy 2:3 ULT)
In this simile, Paul compares suffering with what soldiers endure, and he encourages Timothy to follow their example.
Just as the lightning flashing from a place under the sky shines to another place under the sky, so will the Son of Man be. (Luke 17:24b ULT)
This verse does not tell how the Son of Man will be like the lightning. But in context we can understand from the verses before it that just as lighting flashes suddenly and everyone can see it, the Son of Man will come suddenly and everyone will be able to see him. No one will have to be told about it.
If people would understand the correct meaning of a simile, consider using it. If they would not, here are some strategies you can use:
(1) If people do not know how the two items are alike, tell how they are alike. However, do not do this if the meaning was not clear to the original audience.
(2) If people are not familiar with the item that something is compared to, use an item from your own culture. Be sure that it is one that could have been used in the cultures of the Bible. If you use this strategy, you may want to put the original item in a footnote.
(3) Simply describe the item without comparing it to another.
(1) If people do not know how the two items are alike, tell how they are alike. However, do not do this if the meaning was not clear to the original audience.
See, I send you out as sheep in the midst of wolves. (Matthew 10:16a ULT) – This compares the danger that Jesus’ disciples would be in with the danger that sheep are in when they are surrounded by wolves.
See, I send you out among wicked people and you will be in danger from them as sheep are in danger when they are among wolves.
For the word of God is living and active and sharper than any two-edged sword. (Hebrews 4:12a ULT)
For the word of God is living and active and more powerful than a very sharp two-edged sword.
(2) If people are not familiar with the item that something is compared to, use an item from your own culture. Be sure that it is one that could have been used in the cultures of the Bible. If you use this strategy, you may want to put the original item in a footnote.
See, I send you out as sheep in the midst of wolves, (Matthew 10:16a ULT) – If people do not know what sheep and wolves are, or that wolves kill and eat sheep, you could use some other animal that kills another.
See, I send you out as chickens in the midst of wild dogs.
How often did I long to gather your children together, just as a hen gathers her chickens under her wings, but you were not willing! (Matthew 23:37b ULT)
How often I wanted to gather your children together, as a mother closely watches over her infants, but you refused!
If you have faith as a grain of mustard … (Matthew 17:20)
If you have faith even as small as a tiny seed,
(3) Simply describe the item without comparing it to another.
See, I send you out as sheep in the midst of wolves. (Matthew 10:16a ULT)
See, I send you out among people who will want to harm you.
How often did I long to gather your children together, just as a hen gathers her chickens under her wings, but you were not willing! (Matthew 23:37b ULT)
How often I wanted to protect you, but you refused!
Synecdoche is a figure of speech in which a speaker uses a part of something to refer to the whole thing, or uses the whole to refer to a part.
My soul magnifies the Lord. (Luke 1:46b ULT)
Mary was was very happy about what the Lord was doing, so she said “my soul,” which means the inner, emotional part of herself, to refer to her whole self.
So the Pharisees said to him, “Look, why are they doing that which is not lawful?” (Mark 2:24a ULT)
The Pharisees who were standing there did not all say the same words at the same time. Instead, it is more likely that one man representing the group said those words.
Then I looked on all the deeds that my hands had accomplished. (Ecclesiastes 2:11a ULT)
“My hands” is a synecdoche for the whole person because clearly the arms and the rest of the body and the mind were also involved in the person’s accomplishments. The hands are chosen to represent the person because they are the parts of the body most directly involved in the work.
If the synecdoche would be natural and give the right meaning in your language, consider using it. If not, here is another option:
(1) State specifically what the synecdoche refers to.
(1) State specifically what the synecdoche refers to.
“My soul magnifies the Lord.” (Luke 1:46b ULT)
“I magnify the Lord.”
So the Pharisees said to him … (Mark 2:24a ULT)
A representative of the Pharisees said to him …
Then I looked on all the deeds that my hands had accomplished. (Ecclesiastes 2:11a ULT)
I looked on all the deeds that I had accomplished
The term “biblical imagery” refers in a general way to any kind of language in which an image is paired with an idea such that the image represents the idea. This general definition is applied most directly to metaphors but can also include similes, metonymies, and cultural models.
We have included several modules about biblical imagery in order to tell about the various patterns of imagery found in the Bible. The patterns of pairings found in the Bible are often unique to the Hebrew and Greek languages. It is useful to recognize these patterns because they repeatedly present translators with the same problems regarding how to translate them. Once translators think through how they will handle these translation challenges, they will be ready to meet them anywhere they see the same patterns. See Biblical Imagery – Common Patterns for links to pages showing common patterns of pairings between ideas in similes and metaphors.
A simile is an explicit figure of speech that compares two items using one of the specific terms “like,” “as,” or “than.”
A metonymy is an implicit figure of speech that refers to an item (either physical or abstract) not by its own name, but by the name of something closely related to it. See Biblical Imagery – Common Metonymies for a list of some common metonymies in the Bible.
A metaphor is a figure of speech which uses a physical image to refer to an abstract idea, either explicitly or implicitly. In our translation helps, we distinguish between three different types of metaphors: simple metaphors, extended metaphors, and complex metaphors.
In a metaphor, the Image is the physical term (object, event, action, etc.) that is used to refer to an abstract term (idea, concept, action, etc.).
In a metaphor, the Idea is the abstract term (concept, action, etc.) which is referred to by the physical term (object, event, action, etc.). Often, the Idea of a metaphor is not explicitly stated in the Bible, but only implied from the context.
A simple metaphor is an explicit metaphor in which a single physical image is used to refer to a single abstract idea. For example, when Jesus said “I am the light of the world” (John 8:12 ULT), he was using the Image of “light” to refer to an abstract Idea about himself. NOTE: As with many simple metaphors in the Bible, the Image is explicitly stated, but the Idea is implied from the context.
An extended metaphor is an explicit metaphor that uses multiple images and multiple ideas at the same time. For example, in Psalm 23 the psalmist writes “Yahweh is my shepherd” and then goes on to describe multiple physical aspects of the relationship between sheep and a shepherd as well as multiple abstract ideas concerning the relationship between himself and Yahweh.
A complex metaphor is an implicit metaphor that uses multiple images and multiple ideas at the same time. Complex metaphors are very similar to extended metaphors, except that they are implied by the text rather than explicitly stated. Because of this, complex metaphors can be very difficult to identify in the Bible. For example, in Ephesians 6:10-20 the apostle Paul describes how a Christian should prepare to resist temptation by comparing abstract ideas to pieces of armor worn by a soldier. The term “full armor of God” is not a combination of several simple metaphors (where the belt represents truth, the helmet represents salvation, etc.). Rather, the unstated complex metaphor PREPARATION IS GETTING DRESSED underlies the entire description as a whole. The apostle Paul was using the physical Image of a soldier putting on his armor (that is, “GETTING DRESSED”) to refer to the abstract Idea (that is, “PREPARATION”) of a Christian preparing himself to resist temptation.
In our translation helps, we use the term cultural model to refer to either an extended metaphor or a complex metaphor that is widely used within a specific culture but which may or may not be used within a different culture. See Biblical Imagery – Cultural Models for a list of some cultural models found in the Bible.
Cultural models are complex metaphors that people use to help them imagine and talk about various aspects of life and behavior. For example, Americans often think of many things, including marriage and friendship, as if they were machines. Americans might say, “His marriage is breaking up,” or “Their friendship is going full speed ahead.” Often, cultural models that are used in the Bible are not explicitly stated, but must be learned by reading large amounts of text and looking for images and metaphors that are repeated in many different contexts.
For example, both the Old Testament and New Testament describe God as if he were a shepherd and his people were sheep. This is a cultural model that is used frequently in the Bible, and it appears as an extended metaphor in Psalm 23. In the culture of ancient Israel, GOD IS MODELED AS A SHEPHERD.
Yahweh is my shepherd; I will lack nothing. (Psalm 23:1 ULT)
He led his own people out like sheep and guided them through the wilderness like a flock. (Psalm 78:52 ULT)
I am the good shepherd. The good shepherd lays down his life for the sheep. (John 10:11 ULT)
Then when the Chief Shepherd is revealed, you will receive an unfading crown of glory. (1 Peter 5:4 ULT)
Another cultural model is found in Psalm 24, where the psalmist describes God as if he were a mighty and glorious king coming into a city. In the culture of ancient Israel, GOD IS MODELED AS A KING.
Lift up your heads, you gates; be lifted up, everlasting doors, so that the King of glory may come in! Who is this King of glory? Yahweh, strong and mighty; Yahweh, mighty in battle. (Psalm 24:7-8 ULT)
Someone who breaks open their way for them will go ahead of them. They break through the gate and go out; their king will pass on before them. Yahweh will be at their head. (Micah 2:8 ULT)
Out of his mouth goes a sharp sword, so that with it he might strike the nations, and he will shepherd them with an iron rod. He tramples in the winepress of the fury of the wrath of God Almighty. He has a name written on his robe and on his thigh: “King of kings and Lord of lords.” (Revelation 19:15-16 ULT)
This cultural model was very common in ancient Near Eastern cultures, and the ancient Israelites who read the Bible would have understood it easily because their nation was ruled by a king. However, many modern nations are not ruled by kings, so this specific cultural model is not as easily understood in many modern cultures.
This page discusses ideas that are paired together in limited ways. (For a discussion of more complex pairings, see Biblical Imagery – Cultural Models.)
In all languages, most metaphors come from broad patterns of pairings of items in which a physical Image represents an abstract Idea. For example, some languages have the pattern of pairing height with “much” and pairing being low with “not much,” so that height represents “much” and being low represents “not much.” This could be because when there is a lot of something in a pile, that pile will be high. So also if something costs a lot money, in some languages people would say that the price is high, or if a city has more people in it than it used to have, we might say that its number of people has gone up. Likewise if someone gets thinner and loses weight, we would say that their weight has gone down.
The patterns found in the Bible are often unique to the Hebrew and Greek languages. It is useful to recognize these patterns because they repeatedly present translators with the same problems of how to translate them. Once translators think through how they will handle these translation challenges, they will be ready to meet them anywhere. (See the modules about simple metaphors and extended metaphors.)
For example, one pattern of pairings in the Bible is of WALKING representing “behaving” and a PATH representing a kind of behavior. In Psalm 1:1, to “walk” in the advice of the wicked represents doing what wicked people say to do.
Blessed is the man who does not walk in the advice of the wicked. (Psalm 1:1 ULT)
This pattern is also seen in Psalm 119:32 where running in the path of God’s commands represents doing what God commands. Since running is more intense than walking, the idea of running here might give the idea of doing this wholeheartedly.
I will run in the path of your commandments. (Psalm 119:32a ULT)
These patterns present three challenges to anyone who wants to identify them:
(1) When looking at particular metaphors in the Bible, it is not always obvious what two ideas are paired with each other. For example, it may not be immediately obvious that the expression, “It is God who puts strength on me like a belt” (Psalm 18:32 ULT) is based on the pairing of CLOTHING with moral quality. In this case, the image of a BELT represents strength. (See “CLOTHING represents a moral quality” in Biblical Imagery – Man-made Objects as well as the module about complex metaphors.)
(2) When looking at a particular expression, the translator needs to know whether or not it represents something. This can only be done by considering the surrounding text. The surrounding text shows us, for example, whether “lamp” refers literally to a container with oil and a wick for giving light or whether “lamp” is a metaphor that represents life. (See “LIGHT or FIRE represents life” in Biblical Imagery – Natural Phenomena.)
In 1 Kings 7:50, a lamp trimmer is a tool for trimming the wick on an ordinary lamp. In 2 Samuel 21:17 the lamp of Israel represents King David’s life. When his men were concerned that he might “put out the lamp of Israel” they were concerned that he might be killed.
Solomon also had made the cups, lamp trimmers, basins, spoons, and incense burners, all of which were made of pure gold. (1 Kings 7:50a ULT)
Ishbibenob … intended to kill David. But Abishai the son of Zeruiah rescued David, attacked the Philistine, and killed him. Then the men of David swore to him, saying, “You must not go to battle anymore with us, so that you do not put out the lamp of Israel.” (2 Samuel 21:16-17 ULT)
(3) Expressions that are based on these pairings of ideas frequently combine together in complex ways. Moreover, they frequently combine with (and in some cases are based on) common metonymies and cultural models. (See Biblical Imagery – Common Metonymies and Biblical Imagery – Cultural Models.)
For example, in 2 Samuel 14:7 below, “the burning coal” is an image for the life of the son, who represents what will cause people to remember his father. So there are two patterns of pairings here: the pairing of the burning coal with the life of the son, and the pairing of the son with the memory of his father.
They say, ‘Hand over the man who struck his brother, so that we may put him to death, to pay for the life of his brother whom he killed.’ And so they would also destroy the heir. Thus they will put out the burning coal that I have left, and they will leave for my husband neither name nor descendant on the surface of the earth. (2 Samuel 14:7 ULT)
The following pages have lists of some of the Images that represent Ideas in the Bible, together with examples from the Bible. They are organized according to the kinds of image:
Some very common metonymies from the Bible are listed below in alphabetical order. The word in all capital letters identifies an Image that represents an Idea. The specific word of the Image may not appear in every verse that uses the Image, but the text will communicate somehow the concept of the Image.
My cup runs over. (Psalm 23:5b ULT)
There is so much in the cup that it runs over the top of the cup.
For every time you eat this bread and drink this cup, you proclaim the Lord’s death until he comes. (1 Corinthians 11:26 ULT)
People do not drink cups. They drink what is in the cup.
Then Mordecai went out from before the face of the king in a garment of royalty of blue and white, with a great crown of gold and a robe of fine linen and purple, and the city of Susa cheered and rejoiced. (Esther 8:15 ULT)
So as for me, should I not feel troubled about **Nineveh, the great city ** … (Jonah 4:11a ULT)
The memory of a person represents his descendants, because they are the ones who should remember and honor him. When the Bible says that someone’s memory dies, it means that either he will not have any descendants, or his descendants will all die.
You have rebuked the nations; you have destroyed the wicked; you have blotted out their memory forever. The enemy crumbled like ruins when you overthrew their cities. All remembrance of them has perished. (Psalm 9:5-6 ULT)
His memory will perish from the earth. (Job 18:17a ULT)
The face of Yahweh is against those who do evil, to cut off the memory of them from the earth. (Psalm 34:16 ULT)
For the wicked person boasts of his deepest desires; he blesses the greedy and insults Yahweh. (Psalm 10:3 ULT)
This does not refer to a particular wicked person, but to wicked people in general.
Gad—raiders will attack him, but he will attack them at their heels. Asher’s food will be rich, and he will provide royal delicacies. Naphtali is a doe let loose; he will have beautiful fawns. (Genesis 49:19-21 ULT)
The names Gad, Asher, and Naphtali refer not only to those men, but to their descendants.
It came about that when **Abram** entered into Egypt, the Egyptians saw that Sarai was very beautiful. (Genesis 12:14 ULT)
Here when it says “Abram” it represents Abram and all the people traveling with him. The focus was on Abram.
His hand pierced the fleeing serpent. (Job 26:13b ULT)
This means that he killed the serpent.
Look, he is coming with the clouds; every eye will see him, including those who pierced him. (Revelation 1:7 ULT)
“Those who pierced him” refers to those who killed Jesus.
Yahweh has placed on him the iniquity of us all (Isaiah 53:6b ULT)
This means that Yahweh placed on him the punishment that should have gone to all of us.
A simple metaphor is an explicit metaphor that uses a single physical Image to refer to a single abstract Idea. This is in contrast to extended metaphors and complex metaphors, which can use multiple images and multiple ideas at the same time.
Usually, a writer/speaker uses a simple metaphor in order to express something about a Topic, with one main Idea or Point of Comparison between the Topic and the Image. In simple metaphors, often the Topic and the Image are explicitly stated, but the Idea is not; it is only implied. The writer/speaker uses a metaphor in order to invite the reader/listener to think about the similarity between the Topic and the Image and to figure out for themselves the Idea that is being communicated.
For example, Jesus used a simple metaphor when he said:
I am the light of the world. (John 9:5b ULT)
In this simple metaphor, the Topic is Jesus himself. The Image is the phrase “light of the world” because light is the physical object that Jesus uses to refer to some unknown Idea about himself. As is often the case with simple metaphors in the Bible, in this instance Jesus does not explicitly tell his listeners the Idea that he intends to communicate. The reader must read the story and figure out the Idea for himself from the context.
After making this statement, Jesus healed a man who was born blind. After the healed man saw Jesus for the first time and worshiped him as God, Jesus explained the Idea of his “light of the world” metaphor:
… I came into this world so that those who do not see may see … (John 9:39b ULT)
Jesus was using the Image of seeing physical light to express the abstract Idea of understanding, believing, and confessing that Jesus is God. Jesus healed the blind man, giving him physical sight; similarly, Jesus told the blind man who He was, and the blind man believed.
Then the man said, “Lord, I believe,” and he worshiped him. (John 9:38 ULT)
Listen to this word, you cows of Bashan. (Amos 4:1a ULT)
In this metaphor, Amos spoke to the upper-class women of Samaria (“you,” the Topic) as if they were cows (the Image). Amos did not say what similarity(s) he was thinking of between these women and cows. He wants the reader to think of them, and he fully expects that readers from his culture will easily do so. From the context, we can see that he meant that the women are like cows in that they are fat and interested only in feeding themselves. If we were to apply similarities from a different culture, such as that cows are sacred and should be worshiped, we would get the wrong meaning from this verse.
NOTE: Amos did not actually mean that the women were cows. He spoke to them as human beings.
Yet, Yahweh, you are our father; we are the clay. You are our potter; and we all are the work of your hand. (Isaiah 64:8 ULT)
The example above has two related metaphors. The Topic(s) are “we” and “you,” and the Image(s) are “clay” and “potter.” The similarity between a potter and God is the fact that both make what they wish out of their material. The potter makes what he wishes out of the clay, and God makes what he wishes out of his people. The Idea being expressed by the comparison between the potter’s clay and us is that neither the clay nor God’s people have a right to complain about what they are becoming.
Jesus said to them, “Take heed and beware of the yeast of the Pharisees and Sadducees.” They reasoned among themselves, saying, “It is because we did not take bread.” (Matthew 16:6-7 ULT)
Jesus used a metaphor here, but his disciples did not realize it. When he said “yeast,” they thought he was talking about bread, but yeast was the Image in his metaphor, and the Topic was the teaching of the Pharisees and Sadducees. Since the disciples (the original audience) did not understand what Jesus meant, it would not be good to state clearly here what Jesus meant.
Simple metaphors in the Bible should be translated like active metaphors.
For strategies regarding translating metaphors, see Metaphor.
To learn more about simple metaphors, see Biblical Imagery – Common Patterns.
An extended metaphor is an explicit metaphor that uses multiple images and multiple ideas at the same time. This is in contrast to a simple metaphor, which uses only a single Image and a single Idea. The difference between an extended metaphor and a complex metaphor is that an extended metaphor is explicitly stated by a writer/speaker, but a complex metaphor is not.
When using a metaphor, a writer/speaker uses a physical Image in order to express an abstract Idea about some immediate Topic, with at least one point of comparison between the Topic and the Image. In an extended metaphor, the writer/speaker explicitly states the Topic, and then describes multiple images and communicates multiple ideas.
In Isaiah 5:1b-7, the prophet Isaiah uses a vineyard (the Image) to express God’s disappointment (the Idea) with the nation of Israel (the Topic) for their unfaithfulness to God and his covenant with them as his people. Farmers care for their gardens, and a farmer would feel disappointed if his vineyard produced bad fruit. If a vineyard produced only bad fruit for a long enough time, the farmer would eventually stop caring for it. We call this an extended metaphor because the prophet describes in detail multiple images relating to a vineyard as well as multiple aspects of God’s disappointment.
1b My well beloved had a vineyard on a very fertile hill. 2 He spaded it, removed the stones, and planted it with an excellent kind of vine. He built a tower in the middle of it, and also built a winepress. He waited for it to produce grapes, but it produced wild grapes. 3 So now, inhabitant of Jerusalem and man of Judah; judge between me and my vineyard. 4 What more could have been done for my vineyard, that I have not done for it? When I looked for it to produce grapes, why did it produce wild grapes? 5 Now I will tell you what I will do to my vineyard; I will remove the hedge; I will turn it into a pasture; I will break down its wall, and it will be trampled down. 6 I will lay it waste, and it will not be pruned nor hoed. Instead, briers and thorns will spring up. I will also command the clouds not to rain on it. 7 For the vineyard of Yahweh of hosts is the house of Israel, and the man of Judah his pleasant planting; he waited for justice, but instead, there was killing; for righteousness, but, instead, a shout for help. (Isa 5:1b-7 ULT)
In Psalm 23, the psalmist uses the physical Image of a shepherd to describe the way that God (the Topic) shows great concern and care (the Idea) for his people. The psalmist describes multiple aspects of what shepherds do for sheep (leads them to pasture and to water, protects them, etc.). The psalmist also describes multiple aspects of how God takes care of him (gives him life, righteousness, comfort, etc.). Shepherds give sheep what they need, take them to safe places, rescue them, guide them, and protect them. What God does for his people is like these actions.
1 Yahweh is my shepherd; I will lack nothing. 2 He makes me to lie down in green pastures; he leads me beside tranquil water. 3 He brings back my life; he guides me along right paths for his name’s sake. 4 Even though I walk through a valley of darkest shadow, I will not fear harm since you are with me; your rod and your staff comfort me. (Psalm 23:1-4 ULT)
Consider using the same extended metaphor if your readers will understand it in the same way the original readers would have understood it. If not, here are some other strategies:
(1) If the target audience would think that the images should be understood literally, translate the metaphor as a simile by using words such as “like” or “as.” It may be enough to to do this in just the first sentence or two.
(2) If the target audience would not know the image, find a way of translating it so they can understand what the image is.
(3) If the target audience still would not understand, then state it clearly.
(1) If the target audience would think that the images should be understood literally, translate the metaphor as a simile by using words such as “like” or “as.” It may be enough to to do this in just the first sentence or two. See Psalm 23:1-2 as an example:
Yahweh is my shepherd; I will lack nothing. He makes me to lie down in green pastures; he leads me beside tranquil water. (ULT)
Can be translated as:
“Yahweh is like a shepherd to me, so I will lack nothing. Like a shepherd who makes his sheep lie down in green pastures and leads them by peaceful waters, Yahweh helps me to rest peacefully.”
(2) If the target audience would not know the image, find a way of translating it so they can understand what the image is.
My well beloved had a vineyard on a very fertile hill. He spaded it, removed the stones, and planted it with an excellent kind of vine. He built a tower in the middle of it, and also built a winepress. He waited for it to produce grapes, but it only produced wild grapes. (Isaiah 5:1b-2 ULT)
May be translated as:
My well beloved had a grapevine garden on a very fertile hill. He dug up the ground and removed the stones, and planted it with the best grapevines. He built a watchtower in the middle of it, and also built a tank where he could crush the juice out of the grapes. He waited for it to produce grapes, but it produced wild grapes that were not good for making wine.
(3) If the target audience still would not understand, then state it clearly.
Yahweh is my shepherd; I will lack nothing. (Psalm 23:1 ULT)
“Yahweh cares for me like a shepherd that cares for his sheep, so I will lack nothing.”
For the vineyard of Yahweh of hosts is the house of Israel, and the men of Judah his pleasant planting; he waited for justice, but instead, there was killing; for righteousness, but, instead, a shout for help. (Isaiah 5:7 ULT)
Can be translated as:
For the vineyard of Yahweh of hosts represents the house of Israel, and the men of Judah are like his pleasant planting; he waited for justice, but instead, there was killing; for righteousness, but, instead, a cry for help.
or as:
So as a farmer stops caring for a grapevine garden that produces bad fruit, Yahweh will stop protecting Israel and Judah, because they do not do what is right. He waited for justice, but instead, there was killing; for righteousness, but, instead, a cry for help.
A complex metaphor is an implicit metaphor that uses multiple images and multiple ideas at the same time. This is in contrast to simple metaphors, which use only a single Image and a single Idea. Complex metaphors are similar to extended metaphors; the difference is that extended metaphors are explicitly stated in the text, but complex metaphors are not. For this reason, it can be extremely difficult to identify complex metaphors in the Bible.
When using a metaphor, a writer/speaker uses a physical Image in order to express an abstract Idea about some immediate Topic, with at least one point of comparison between the Topic and the Image.
In simple metaphors, usually the Topic and the Image are expressed, and the Idea is implied from the context. In extended metaphors, the writer or speaker explicitly states the topic, and then describes multiple images and communicates multiple ideas.
A complex metaphor is different from both of these. In a complex metaphor, a writer/speaker uses multiple Images to express multiple Ideas about a Topic, but he does not explicitly say how the images and ideas are metaphorically related to one another. The reader/listener must think very carefully about what the writer/speaker is saying in order to figure out the underlying relationship between the images and the ideas.
One can say more precisely that a complex metaphor operates in the mind of the writer/speaker rather than in the text itself.
For example, the metaphor FORGIVENESS IS CLEANSING is a very common complex metaphor in both the Old Testament and the New Testament. Consider the following verses from Psalm 51.
Have mercy on me, God, because of your covenant faithfulness; for the sake of the multitude of your merciful actions, blot out my transgressions. Wash me thoroughly from my iniquity and cleanse me from my sin. For I know my transgressions, and my sin is always before me. Against you, you only, I have sinned and done what is evil in your sight; you are right when you speak; you are correct when you judge. See, I was born in iniquity; as soon as my mother conceived me, I was in sin. See, you desire trustworthiness in my inner self; and you teach me wisdom in the secret place within. Purify me with hyssop, and I will be clean; wash me, and I will be whiter than snow. Make me hear joy and gladness so that the bones that you have broken may rejoice. Hide your face from my sins and blot out all my iniquities. Create in me a clean heart, God, and renew a right spirit within me. (Psa 51:1-10 ULT)
Here the psalmist is praying to God in earnest repentance for his sin (the Topic). This psalm includes multiple terms for sin (“transgressions,” “iniquity,” “evil”) as well as multiple images related to the event of cleansing (“wash,” “purify,” “blot out”). If you were to read the psalm literally, you might think that the psalmist is asking God to give him a bath! But the psalmist is not asking for that because washing will not solve his problem. He knows that he is guilty of sin and that he deserves that God would judge him for his wrongdoing. Rather, the psalmist is asking God to forgive him for what he has done wrong, using words that mean “washing” or “cleansing.” In other words, in his mind the psalmist is imagining the action of forgiving as if it were washing. The psalmist is using the Image of CLEANSING to represent the Idea of FORGIVENESS. We express this as the complex metaphor FORGIVENESS IS CLEANSING, but this metaphor is nowhere stated in the text itself. (This same complex metaphor is also found in Isa 1:2-31, Eph 5:25-27, 1 John 1:7-9, and others.)
The apostle Paul uses an even more difficult complex metaphor in Ephesians 6:10-20:
Finally, be strong in the Lord and in the force of his strength. Put on the whole armor of God, to enable you to stand against the scheming of the devil. For our struggle is not against blood and flesh, but against the rulers, against the authorities, against the world-controllers of this darkness, against the spiritual forces of evil in the heavenly places. Therefore, put on the whole armor of God, so that you may be able to withstand in the evil day, and, having done everything, to stand. 14 Stand, therefore, having fastened up your robe around your waist with the truth and having put on the breastplate of righteousness, and having shod your feet with the readiness of the gospel of peace. 16 In everything take up the shield of the faith, by which you will be able to extinguish all the flaming arrows of the evil one. Take the helmet of salvation and the sword of the Spirit, which is the word of God. With every prayer and request, pray at all times in the Spirit. To this end, be watchful with all perseverance and requests for all the saints, 19 and for me, so that a message might be given to me when I open my mouth, to make known with boldness the mystery of the gospel 20 (for which I am an ambassador in chains), so that in it I may speak boldly, as it is necessary for me to speak. (Eph 6:10-20 ULT)
In this paragraph, the apostle Paul describes how a Christian should prepare to resist temptation (the Topic) by comparing a series of abstract ideas to pieces of armor worn by a soldier. The term “full armor of God” is not a combination of several simple metaphors. The soldier’s belt does not represent truth, the helmet does not represent salvation, the shield does not represent faith, and so on. Rather, the apostle Paul was using the central Image of a soldier putting on his armor (that is, “GETTING DRESSED” for battle) to refer to the central abstract Idea of a Christian preparing himself (that is, “PREPARATION”) to resist temptation. The unstated complex metaphor PREPARATION IS GETTING DRESSED underlies the entire description as a whole.
The Bible often speaks of God as doing things that people do, such as speaking, seeing, walking, etc. But God is not a human being, although Jesus is both God and a human being, of course. So when the Old Testament says that God speaks, we should not think that he has vocal chords that vibrate. And when the Bible says something about God doing something with his hand, we should not think that God has a physical hand made of flesh and bones. Rather, the writer is thinking about God as a person, using the physical Image of a human being to represent the abstract Idea “God.” The writer is using the complex metaphor GOD IS A HUMAN, even though he does not explicitly say so in the text.
If we hear the voice of Yahweh our God any longer, we will die. (Deuteronomy 5:25b ULT)
I was strengthened as the hand of Yahweh my God was upon me. (Ezra 7:28b ULT)
You drove out the nations with your hand, but you planted our people; you afflicted the peoples, but you spread our people out in the land. For they did not obtain the land for their possession by their own sword, neither did their own arm save them; but your right hand, your arm, and the light of your face, because you were favorable to them. (Psa 44:2-3 ULT)
Complex metaphors in the Bible should be translated like passive metaphors.
For strategies regarding translating metaphors, see Metaphor.
To learn more about biblical imagery, complex metaphors, and cultural models in the Bible, see Biblical Imagery and/or Biblical Imagery – Common Patterns and/or Biblical Imagery – Cultural Models.
Some common metonymies and metaphors from the Bible involving body parts and human qualities are listed below in alphabetical order. The word in all capital letters identifies an Image that represents an Idea. The specific word of the Image may not appear in every verse that uses the Image, but the text will communicate somehow the concept of the Image.
Now you are the body of Christ and individually members of it. (1 Corinthians 12:27 ULT)
Instead, speaking the truth in love, let us grow up in all things into him who is the head, even Christ, from whom the whole body, being joined and held together by every supporting ligament, according to the working in measure of each individual part, causes the growth of the body for building up itself in love.
In these verses, the body of Christ represents the group of people who follow Christ.
For Mordecai the Jew was second to the King Ahasuerus, and great among the Jews, and favored by the multitude of his **brothers ** … (Esther 10:3a ULT)
And for the villages in their fields, some from the sons of Judah dwelt: in Kiriath Arba and its daughters; and in Dibon and its daughters; and in Jekabzeel and its villages … (Nehemiah 11:25 ULT)
Then Esther repeated her action, and she spoke before the face of the king. (Esther 8:3a ULT)
Why do you hide your face and forget our affliction and our oppression? (Psalm 44:24 ULT)
To hide one’s face from someone means to ignore him.
Many are those who seek the face of the ruler. (Proverbs 29:26 ULT)
If someone seeks another person’s face, he hopes that the person will pay attention to him.
Do you not fear me—this is Yahweh’s declaration—or tremble before my face? (Jeremiah 5:22 ULT)
Every man of the house of Israel who takes his idols into his heart, or who puts the stumbling block of his iniquity before his face, and who then comes to a prophet—I, Yahweh, will answer him according to the number of his idols. (Ezekiel 14:4 ULT)
To put something before one’s face is to look at it intently or pay attention to it.
So Hathak went out to Mordecai, to the open place of the city that was before the face of the gate of the king. (Esther 4:6 ULT)
She fell before the face of his feet and wept and implored favor from him to take away the evil of Haman the Agagite and his plot that he had plotted against the Jews. (Esther 8:3b ULT)
The famine was over all the face of the whole land. (Genesis 41:56a ULT)
He covers the face of the moon and spreads his clouds on it. (Job 26:9 ULT)
But they acted presumptuously, they and our fathers. And they stiffened their neck and did not listen to your commandments. (Nehemiah 9:16 ULT)
“We have not listened to your servants the prophets who spoke in your name to our kings, our leaders, our fathers, and to all the people of the land. To you, Lord, belongs righteousness …” (Daniel 9:6-7a ULT)
Yahweh has burst through my enemies by my hand like a bursting flood of water. (1 Chronicles 14:11 ULT)
“Yahweh has burst through my enemies by my hand” means “Yahweh has used me to burst through my enemies.”
Your hand will seize all your enemies; your right hand will seize those who hate you. (Psalm 21:8 ULT)
“Your hand will seize all your enemies” means “By your power you will seize all your enemies.”
Look, Yahweh’s hand is not so short that it cannot save. (Isaiah 59:1 ULT)
“His hand is not short” means that he is not weak.
And the king held out to Esther the scepter of gold which was in his hand, so Esther approached and touched the head of the scepter. (Esther 5:2b ULT)
And Boaz ate and drank, and his heart was good, and he went to lie down at the end of the pile of grain. (Ruth 3:7a ULT)
On the seventh day, when the heart of the king was pleased by the wine… (Esther 1:10a ULT)
Then the king Ahasuerus spoke and said to Esther the queen, “Who is he, this man? Where is this man, he whose heart is full to do thus?” (Esther 7:5 ULT)
In this context, having a full heart means to be proud or arrogant.
For the matter of the queen will go out to all the women, in order to make their husbands despised in their eyes … (Esther 1:17a ULT)
… but you bring down those with proud, uplifted eyes! (Psalm 18:27b ULT)
Uplifted eyes show that a person is proud.
God humbles a proud man, and he saves the one with lowered eyes. (Job 22:29 ULT)
Lowered eyes show that a person is humble.
A man from each tribe, a clan head, must serve with you as his tribe’s leader. (Num 1:4 ULT)
He put all things under his feet and gave him as head over all things to the church, which is his body, the fullness of the one who fills all in all. (Ephesians 1:22-23 ULT)
No one can serve two masters, for either he will hate the one and love the other, or else he will be devoted to one and despise the other. You cannot serve God and wealth. (Matthew 6:24 ULT)
To serve God is to be motivated by God. To serve money is to be motivated by money.
A fool’s mouth is his ruin. (Proverbs 18:7 ULT)
I would strengthen you with my mouth. (Job 16:5 ULT)
In these examples the mouth refers to what a person says.
“May your God make the name of Solomon better than your name, and make his throne greater than your throne.” (1 Kings 1:47 ULT)
“See, I have sworn by my great name,” says Yahweh. “My name will no longer be called upon by the mouths of any of the men of Judah in all the land of Egypt.” (Jeremiah 44:26 ULT)
If someone’s name is great, it means that he is great.
Please let your ear be attentive to the prayer of your servant and to the prayer of your servants, the ones who delight to fear your name. (Nehemiah 1:11 ULT)
To fear someone’s name is to honor him.
You must no longer profane my holy name with your gifts and your idols. (Ezekiel 20:39 ULT)
To profane God’s name is to profane his reputation, that is, to profane how people think about him.
For I will make my great name holy, which you have profaned among the nations … (Ezekiel 36:23 ULT)
To make God’s name holy is to cause people to see that God is holy.
Your servants have come from a very distant country, because of the name of Yahweh your God, for we have heard a report about him and about everything that he did in Egypt. (Joshua 9:9 ULT)
The fact that the men said they heard a report about Yahweh shows that “because of the name of Yahweh” means because of Yahweh’s reputation.
In the name of the king Ahasuerus it was written, and it was sealed with the signet ring of the king. (Esther 3:12b ULT)
Then … the foundations of the world were laid bare at your rebuke, Yahweh, at the blast of the breath of your nostrils. (Psalms 18:15 ULT)
By the blast of your nostrils the waters were piled up. (Exodus 15:8a ULT)
Smoke went up from out of his nostrils, and blazing fire came out of his mouth. (2 Samuel 22:9a ULT)
Yahweh, Yahweh, God is merciful and gracious, **slow to anger ** … (Exodus 34:6a ULT)
In Hebrew, a hot nose represents anger, including such images as a blast of air or smoke coming from someone’s nostrils. The opposite of a “hot nose” is a “long nose.” The phrase “slow to anger” in Hebrew literally means “long of nose.” A long nose represents patience, meaning that it takes a long time for that person’s nose to get hot.
And he sent letters (by the hand of runners on horses, riders of the royal pack horses, sons of the mares) … (Esther 8:10a ULT)
No son of wickedness will oppress him. (Psalm 89:22b ULT)
A son of wickedness is a wicked person.
May the groans of the prisoners come before you; with the greatness of your power keep the children of death alive. (Psalm 79:11 ULT)
Children of death here are people that others plan to kill.
We all also once lived among these, in the evil desires of our flesh, fulfilling the desires of the body and of the mind. We were by nature children of wrath, as also the rest. (Ephesians 2:3 ULT)
Children of wrath here are people with whom God is very angry.
Every man should be ruling in his house and speaking according to the tongue of his people. (Esther 1:22b ULT)
See the Translations Strategies on Biblical Imagery – Common Patterns.
Some common metonymies and metaphors from the Bible involving human qualities are listed below in alphabetical order. The word in all capital letters identifies an Image that represents an Idea. The specific word of the Image may not appear in every verse that uses the Image, but the text will communicate somehow the concept of the Image.
Yahweh supports all who are falling and raises up all those who are bent over. (Psalm 145:14 ULT)
Be in pain and labor to give birth, daughter of Zion, like a woman in labor. For now you will go out of the city, live in the field, and go to Babylon. There you will be rescued. There Yahweh will rescue you from the hand of your enemies. (Micah 4:10 ULT)
For nation will rise against nation, and kingdom against kingdom. There will be famines and earthquakes in various places. But all these things are only the beginning of birth pains. (Matthew 24:7-8 ULT)
My little children, again I am in the pains of childbirth for you until Christ is formed in you.(Galatians 4:19 ULT)
The Holy One of Israel is your Redeemer; he is called the God of the whole earth. (Isaiah 54:5b ULT)
This is because he actually is the God of the whole earth.
The one who is wise in heart is called discerning, (Proverbs 16:21a ULT)
This is because he actually is discerning.
He will … be called the Son of the Most High. (Luke 1:32a ULT)
This is because he actually is the Son of the Most High.
Therefore, the holy one who will be borne will be called the Son of God. (Luke 1:35b ULT)
This is because he actually is the Son of God.
Every male who opens the womb will be called dedicated to the Lord. (Luke 2:23b ULT)
This is because he actually will be dedicated to the Lord.
Noah built an altar to Yahweh. He took some of the clean animals and some of the clean birds, and offered burnt offerings on the altar. Yahweh smelled the pleasing aroma. (Genesis 8:20 ULT)
The priest will examine him again on the seventh day to see if the disease is better and has not spread farther in the skin. If it has not, then the priest will pronounce him clean. It is a rash. He must wash his clothes, and then he is clean. (Leviticus 13:6 ULT)
He must go out to the altar that is before Yahweh and make atonement for it, and he must take some of the bull’s blood and some of the goat’s blood and put it on the horns of the altar all around. He must sprinkle some of the blood on it with his finger seven times to cleanse it and dedicate it to Yahweh, away from the unclean actions of the people of Israel. (Leviticus 16:18-19 ULT)
This is because on this day atonement will be made for you, to cleanse you from all your sins so you will be clean before Yahweh. (Leviticus 16:30 ULT)
How blessed are your wives, and how blessed are your servants who constantly stand before you, because they hear your wisdom. (1 Kings 10:8 ULT)
Covenant faithfulness and trustworthiness come before you. (Psalm 89:14b ULT)
Covenant faithfulness and trustworthiness are also personified here. (See Personification.)
So you must keep the Sabbath, for it must be treated by you as holy, reserved for him. Everyone who defiles it must surely be put to death. Whoever works on the Sabbath, that person must surely be cut off from his people. (Exodus 31:14 ULT)
Whoever does not humble himself on that day must be cut off from his people. Whoever does any work on that day, I, Yahweh, will destroy him from among his people. (Leviticus 23:29-30 ULT)
But he was cut off from the land of the living … (Isaiah 53:8b ULT)
Uzziah, the king, was a leper to the day of his death, and lived in a separate house, since he was a leper; for he was cut off from the house of Yahweh. (2 Chronicles 26:21a ULT)
Too much wine makes a person weak so that he staggers. So too, when God judges people, they become weak and stagger. So the idea of wine is used to represent God’s judgment.
You have made your people see difficult things; you have made us drink the wine of staggering. (Psalm 60:3 ULT)
But God is the judge; he brings down and he lifts up. For Yahweh holds in his hand a cup of foaming wine, which is mixed with spices, and pours it out. Surely all the wicked of the earth will drink it to the last drop. (Psalm 75:7-8 ULT)
He also will drink from the wine of the wrath of God, the wine that has been poured undiluted into the cup of his anger. (Revelation 14:10a ULT)
God brings him out of Egypt. with strength like a wild ox. He will eat up the nations who fight against him. He will break their bones to pieces. He will shoot them with his arrows. (Numbers 24:8 ULT)
Another word for “eat up” is devour.
Therefore as the tongue of fire devours stubble, and as the dry grass goes down in flame, so their root will rot, and their blossom will blow away like dust. (Isaiah 5:24 ULT)
Therefore Yahweh will raise up against him Rezin, his adversary, and will stir up his enemies, the Arameans on the east, and the Philistines on the west. They will devour Israel with open mouth. (Isaiah 9:11-12 ULT)
I will make my arrows drunk with blood, and my sword will devour flesh with the blood of the killed and the captives, and from the heads of the leaders of the enemy. (Deuteronomy 32:42 ULT)
Yahweh God caused a deep sleep to fall upon the man, so the man slept. (Genesis 2:21a ULT)
Will not his majesty terrify you, and the dread of him fall upon you? (Job 13:11 ULT)
Then the Spirit of Yahweh fell on me and he said for me to say … (Exekiel 11:5a ULT)
Now look, the hand of the Lord is upon you, and you will become blind. (Acts 13:11a ULT)
Thus they forsook Yahweh, the God of their fathers, the one who brought them out of the land of Egypt. They went after other gods from the gods of the people groups who were around them, and they bowed down to them. They provoked Yahweh to anger. They forsook Yahweh and they served the Baal and the Ashtoreths. (Judges 2:12-13 ULT)
For Solomon followed Ashtoreth, the goddess of the Sidonians, and he followed Milcom, the disgusting idol of the Ammonites. (1 Kings 11:5 ULT)
Not one of them who despised me will see it, except for my servant Caleb, because he had another spirit. He has followed me fully; I will bring him into the land which he went to examine. His descendants will possess it. (Numbers 14:23-24 ULT)
See, his reward is with him, and his recompense is going before him. (Isaiah 62:11b ULT)
Righteousness will go before him and make a way for his footsteps. (Psalm 85:13 ULT)
Then the King will say to those on his right hand, “Come, you who have been blessed by my Father, inherit the kingdom prepared for you from the foundation of the world.” (Matthew 25:34)
The blessing of God’s complete rule is given as the permanent possession to those to whom the King is speaking.
Now this I say, brothers and sisters, that flesh and blood cannot inherit the kingdom of God. Neither does what is perishable inherit what is imperishable. (1 Corinthians 15:50 ULT)
People cannot receive the kingdom of God in its complete form as a permanent possession while they are still in their mortal bodies.
You will bring them and plant them on the mountain of your inheritance. (Exodus 15:17a ULT)
The mountain where God will be worshiped is viewed as his permanent possession.
Pardon our iniquity and our sin, and take us as your inheritance. (Exodus 34:9b ULT)
Moses asks God to still accept the people of Israel as his special possession, that is, as the people permanently belonging to him.
… the richness of the glory of his inheritance in the saints … (Ephesians 1:18b ULT) The wonderful things that God will give all who are set apart for him are viewed as their permanent possessions.
For the promise to Abraham and to his descendants that he would be heir of the world did not come through the law but through the righteousness of faith. (Romans 4:13 ULT)
The promise was that Abraham and his descendants would permanently possess the entire world.
He has spoken to us through a Son, whom he appointed to be the heir of all things. (Hebrews 1:2b ULT)
God’s Son will receive all things as a permanent possession.
By faith Noah … condemned the world and became an heir of the righteousness that is according to faith. (Hebrews 11:7 ULT)
Noah received righteousness as a permanent possession.
Then Haman recounted to them the glory of his wealth, and the multitude of his sons, and all about how the king had made him great and how he had lifted him over the officials and administrators of the king. (Esther 5:11 ULT)
When your days are fulfilled and you lie down with your fathers, I will raise up a descendant after you, (2 Samuel 7:12a ULT)
‘Are you really more beautiful than anyone else? Go down and lie down with the uncircumcised.’ They will fall among those who were killed by the sword. The sword has been drawn! She has been given to the sword; they will seize her and her multitudes. (Ezekiel 32:19-20 ULT)
This happened so that, as sin ruled in death, even so grace might rule through righteousness for everlasting life through Jesus Christ our Lord. (Romans 5:21 ULT)
Therefore do not let sin rule in your mortal body in order that you obey its lusts. (Romans 6:12 ULT)
Then Naomi, her mother-in-law, said to her, “My daughter, should I not seek a resting place for you, that will be good for you?” (Ruth 3:1 ULT)
Therefore I vowed in my anger that they would never enter into my resting place. (Psalm 95:11 ULT)
This is my resting place forever. I will live here, for I desire her [Zion]. (Psalm 132:14 ULT)
The nations will seek him out, and his resting place will be glorious. (Isaiah 11:10b ULT)
Rise up for our help and redeem us for the sake of your covenant faithfulness. (Psalm 44:26 ULT)
Get up, go to Nineveh, the great city, and call out against it, because their wickedness has risen up before my face. (Jonah 1:2 ULT)
Why have I found favor in your eyes that you should take notice of me … (Ruth 2:10b ULT)
And the young woman was pleasing in his eyes, and she lifted kindness before his face. (Esther 2:9a ULT)
The eyes of Yahweh are everywhere, keeping watch over the evil and the good. (Proverbs 15:3 ULT)
But Haman remained in order to seek for his life from Esther the queen, for he saw that evil was determined against him by the king. (Esther 7:7b ULT)
But Haman remained in order to seek for his life from Esther the queen, for he saw that evil was determined against him by the king. (Esther 7:7b ULT)
For Mordecai the Jew was second to the King Ahasuerus, and great among the Jews, and favored by the multitude of his brothers, seeking good for his people and speaking peace to all its seed. (Esther 10:3 ULT)
… [Yahweh] sold [the Israelites] into the hand of Cushan-Rishathaim, the king of Aram Naharaim. (Judges 3:8a ULT)
A throne will be established in covenant faithfulness, and one from David’s tent will faithfully sit there. (Isaiah 16:5a ULT)
… in those days, as the king Ahasuerus sat on his royal throne, which was in Susa the citadel: (Esther 1:2 ULT)
So the wicked will not stand in the judgment, nor sinners in the assembly of the righteous. (Psalm 1:5 ULT)
… that the king gave to the Jews who were in every city by city: to gather and to stand for their life, to annihilate, and to slaughter, and to destroy any strength of a people or province that would attack them, children and women, and plunder their spoil; (Esther 8:11 ULT)
… as the days when the Jews rested on them from their enemies, and as the month when it had turned for them from sorrow into joy and from mourning into a good day, in order to make them days of feasting and rejoicing and sending of gifts, a man to his friend, and gifts to the needy. (Esther 9:22 ULT)
You may eat any animal that has a split hoof and that also chews the cud. However, some animals either chew the cud or have a split hoof, and you must not eat them, animals such as the camel, because it chews the cud but does not have a split hoof. So the camel is unclean for you. (Leviticus 11:3-4 ULT)
And if any of them dies and falls on anything, that thing will be unclean, whether it is made of wood, cloth, leather, or sackcloth. Whatever it is and whatever it is used for, it must be put into water; it will be unclean until evening. Then it will be clean. (Leviticus 11:32 ULT)
Blessed is the man who does not walk in the advice of the wicked. (Psalm 1:1a ULT)
For Yahweh approves of the way of the righteous. (Psalm 1:6a ULT)
Turn from me the path of deceit. (Psalm 119:29a ULT)
I will run in the path of your commandments. (Psalm 119:32a ULT)
Some common metonymies and metaphors from the Bible involving natural phenomena are listed below in alphabetical order. The word in all capital letters identifies an Image that represents an Idea. The specific word of the Image may not appear in every verse that uses the Image, but the text will communicate somehow the concept of the Image.
Woe to those who call evil good, and good evil; who represent darkness as light, and light as darkness; who represent bitter as sweet, and sweet as bitter! (Isaiah 5:20 ULT)
But if your eye is bad, your whole body is full of darkness. Therefore, if the light that is in you is actually darkness, how great is that darkness! (Matthew 6:23 ULT)
Truly the light is sweet, and it is a pleasant thing for the eyes to see the sun. (Ecclesiastes 11:7 ULT)
I am a man who has seen misery under the rod of Yahweh’s fury. He drove me away and caused me to walk in darkness rather than light. (Lamentations 3:1-2 ULT)
Then I began to understand that wisdom has advantages over folly, just as light is better than darkness. (Ecclesiastes 2:13 ULT)
They are darkened in their understanding, being alienated from the life of God because of the ignorance that is in them, because of the hardness of their hearts. (Ephesians 4:18 ULT)
For with you is the fountain of life; in your light we will see light. (Psalm 36:9 ULT)
They say, ‘Give into our hand the man who struck his brother, so that we may put him to death, to pay for the life of his brother whom he killed.’ And so they would also destroy the heir. Thus they will put out the burning coal that I have left, and they will leave for my husband neither name nor descendant on the surface of the earth. (2 Samuel 14:7b ULT)
“You must not go to battle anymore with us, so that you do not put out the lamp of Israel.” (2 Samuel 21:17b ULT)
I will give one tribe to Solomon’s son, so that David my servant may always have a lamp before me in Jerusalem. (1 Kings 11:36a ULT)
Nevertheless for David’s sake, Yahweh his God gave him a lamp in Jerusalem by raising up his son after him in order to strengthen Jerusalem. (1 Kings 15:4 ULT)
Indeed, the light of the wicked person will be put out; the spark of his fire will not shine. The light will be dark in his tent; his lamp above him will be put out. (Job 18:5-6 ULT)
For you give light to my lamp; Yahweh my God lights up my darkness. (Psalm 18:28 ULT)
A dimly burning wick he will not quench. (Isaiah 42:3b ULT)
Yet you have severely broken us in the place of jackals and covered us with the shadow of death. (Psalm 44:19 ULT)
Yahweh, lift up the light of your face on us. (Psalm 4:6b ULT)
For they did not obtain the land for their possession by their own sword, neither did their own arm save them; but your right hand, your arm, and the light of your face, because you were favorable to them. (Psalm 44:3 ULT)
they did not reject the light of my face. (Job 29:24b ULT)
Yahweh, they walk in the light of your face. (Psalm 89:15b ULT)
Because lawlessness will increase, the love of many will grow cold. (Matthew 24:12 ULT)
Surging waters cannot quench love. (Song of Songs 8:7a ULT)
For a fire is kindled by my anger and is burning to the lowest Sheol. (Deuteronomy 32:22a ULT)
Therefore the anger of Yahweh blazed against Israel. (Judges 3:8a ULT)
When Yahweh heard this, he was angry; so his fire burned against Jacob, and his anger attacked Israel. (Psalm 78:21 ULT)
They came against me on the day of my distress but Yahweh was my support. He set me free in a wide open place; he saved me because he was pleased with me. (Psalms 18:18-19 ULT)
You have made a wide place for my feet beneath me, so my feet have not slipped. (2 Samuel 22:37 ULT)
You made people ride over our heads; we went through fire and water, but you brought us out into a spacious place. (Psalms 66:12 ULT)
Answer me when I call, God of my righteousness; give me room when I am hemmed in. Have mercy on me and listen to my prayer. (Psalm 4:1 ULT)
For a prostitute is a deep pit, and an immoral woman is a narrow well. (Proverbs 23:27 ULT)
Yahweh has burst through my enemies before me like a bursting flood of water. (2 Samuel 5:20 ULT)
He will make a complete end to his enemies with an overwhelming flood. (Nahum 1:8a ULT)
I am being poured out like water. (Psalm 22:14a ULT)
It will come about afterward that I will pour out my Spirit on all flesh. (Joel 2:28a ULT)
For it is great, the anger of Yahweh that has been poured out on us. (2 Chronicles 34:21b ULT)
I have come into deep waters, where the floods flow over me. (Psalm 69:2b ULT)
Do not let the floods of water overwhelm me. (Psalm 69:15a ULT)
Reach out your hand from above; rescue me out of many waters from the hand of foreigners. (Psalm 144:7 ULT)
The fear of Yahweh is a fountain of life. (Proverbs 14:27a ULT)
For with you is the fountain of life; in your light we will see light. (Psalm 36:9 ULT)
A quarreling wife is a constant dripping of water. (Proverbs 19:13b ULT)
His lips are lilies, dripping liquid myrrh. (Song of Songs 5:13b ULT)
My groaning is poured out like water. (Job 3:24b ULT)
The words of a man’s mouth are deep waters; the fountain of wisdom is a flowing stream. (Proverbs 18:4 ULT)
Who is a rock except our God? (Psalm 18:31b ULT)
Yahweh, my rock, and my redeemer. (Psalm 19:14b ULT)
Some common metonymies and metaphors from the Bible involving man-made objects or are listed below in alphabetical order. The word in all capital letters identifies an Image that represents an Idea. The specific word of the Image may not appear in every verse that uses the Image, but the text will communicate somehow the concept of the Image.
He trains … my arms to bend a bow of bronze. (Psalm 18:34 ULT)
“Let us tear off the shackles they put on us and throw off their chains.” Psalm 2:3
It is God who puts strength on me like a belt. (Psalm 18:32a ULT)
Righteousness will be the belt of his waist, and faithfulness the belt around his hips. (Isaiah 11:5 ULT)
May my adversaries be clothed with shame; may they wear their shame like a robe. (Psalm 109:29 ULT)
I will clothe his enemies with shame. (Psalm 132:18a ULT)
Now Yahweh said to Abram, “Go from your country, and from your relatives, and from your father’s household, to the land that I will show you.” (Genesis 12:1 ULT)
On that day, the king Ahasuerus gave to Esther the queen the house of Haman, the adversary of the Jews. (Esther 8:1a ULT)
They said, “Believe in the Lord Jesus, and you will be saved, you and your household.” They spoke the word of the Lord to him, together with everyone in his house. Then he took them at that same hour of the night, and washed them from the blows, and he was baptized immediately—he and all those who were his. (Acts 16:31-33 ULT)
In the original languages (Hebrew and Greek), the words translated here as “household” literally mean “house.” The word “house” is a metonym for the people who live in the house. This is a very common metonym in the Bible.
You have even spoken about your servant’s family for a great while to come, and have shown me future generations, Lord Yahweh!… For you, Yahweh of hosts, the God of Israel, have revealed to your servant that you will build him a house. (2 Samuel 7:19, 27a ULT)
Here “house” represents David’s descendants.
On that day, the king Ahasuerus gave to Esther the queen the house of Haman, the adversary of the Jews. (Esther 8:1 ULT)
Here “house” represents all of Haman’s property and possessions.
Not a word failed from all the good things that Yahweh had spoken to the house of Israel; it all came to be. (Joshua 21:45 ULT)
Here “house” represents a people group, the people of Israel.
For he will rescue you from the snare of the hunter. (Psalm 91:3a ULT)
The cords of death surrounded me, and the snares of sheol confronted me. (Psalm 116:3a ULT)
The cords of the wicked have ensnared me. (Psalm 119:61a ULT)
The wicked have set a snare for me. (Psalm 119:110a ULT)
The wicked is ensnared by his own actions. (Psalm 9:16b ULT)
They mingled with the nations and learned their ways and worshiped their idols, which became a snare to them. (Psalm 106:35-36 ULT)
In this case the snare was a persuasion to do evil, which leads to death.
God will likewise destroy you forever; he will take you up and pluck you out of your tent. (Psalm 52:5a ULT)
The house of the wicked will be destroyed, but the tent of the upright will flourish. (Proverbs 14:11 ULT)
A throne will be established in covenant faithfulness, and one from David’s tent will faithfully sit there. (Isaiah 16:5a ULT)
Some common metonymies and metaphors from the Bible relating to farming are listed below in alphabetical order. The word in all capital letters identifies an Image that represents an Idea. The specific word of the Image may not appear in every verse that uses the Image, but the text will communicate somehow the concept of the Image.
My well beloved had a vineyard on a very fertile hill. He spaded it, removed the stones, and planted it with an excellent kind of vine. He built a tower in the middle of it, and also built a winepress. He waited for it to produce grapes, but it only produced wild grapes. (Isaiah 5:1-2)
For the kingdom of heaven is like a landowner who went out early in the morning to hire workers for his vineyard. (Matthew 20:1 ULT)
There was a man, a landowner. He planted a vineyard, set a hedge about it, dug a winepress in it, built a watchtower, and rented it out to vine growers. Then he went into another country. (Matthew 21:33 ULT)
For Yahweh says this to each person in Judah and Jerusalem: ‘Plow your own ground, and do not sow among thorns. (Jeremiah 4:3 ULT)
When anyone hears the word of the kingdom but does not understand it … This is the seed that was sown beside the road. That which was sown on rocky ground is the person who hears the word and immediately receives it with joy … That which was sown among the thorn plants, this is the person who hears the word, but the cares of the world and the deceitfulness of riches choke the word… That which was sown on the good soil, this is the person who hears the word and understands it. (Matthew 13:19-23 ULT)
Break up your unplowed ground, for it is time to seek Yahweh. (Hosea 10:12 ULT)
According to what I have seen, those who plow iniquity and sow trouble reap it. (Job 4:8 ULT)
Do not be deceived. God is not mocked, for whatever a man plants, that he will also gather in. For he who plants seed to his own sinful nature, from the sinful nature will gather in destruction. But the one who plants seed to the Spirit, from the Spirit will gather in eternal life. (Galatians 6:7-8 ULT)
After farmers harvest wheat and other types of grain, they bring them to a threshing floor, a flat place with hard ground, and have oxen pull heavy wheeled carts or sleds without wheels over the grain to thresh it, to separate the usable grains from the useless chaff. Then they take large forks and winnow the threshed grain by throwing it up in the air so the wind can carry off the chaff (waste) while the grains fall back to the threshing floor, where they can be gathered and used for food. (See “thresh” and “winnow” pages in unfoldingWord® Translation Words for help translating thresh and winnow.)
So I will winnow them with a pitchfork at the gates of the land. I will bereave them. I will destroy my people since they will not turn from their ways. (Jeremiah 15:7 ULT)
His winnowing fork is in his hand to thoroughly clear off his threshing floor and to gather the wheat into his storehouse. But he will burn up the chaff with unquenchable fire. (Luke 3:17 ULT)
For if you were cut out of what is by nature a wild olive tree, and contrary to nature were grafted into a good olive tree, how much more will these Jews, who are the natural branches, be grafted back into their own olive tree? For I do not want you to be unaware, brothers, of this mystery, in order that you will not be wise in your own thinking. This mystery is that a partial hardening has occurred in Israel, until the completion of the Gentiles come in. (Romans 11:24-25 ULT)
… he comes and rains righteousness on you. (Hosea 10:12b ULT)
For the land that drinks in the rain that often comes on it, and that produces plants useful to those for whom the land was also cultivated, receives a blessing from God. But land that bears thorns and thistles is worthless and is about to be cursed. Its end is to be burned. (Hebrews 6:7-8 ULT)
So be patient, brothers, until the Lord’s coming. See, the farmer awaits the valuable harvest from the ground. He is patiently waiting for it, until it receives the early and late rains. (James 5:7 ULT)
Some common metonymies and metaphors from the Bible involving animals are listed below in alphabetical order. The word in all capital letters identifies an Image that represents an Idea. The specific word of the Image may not appear in every verse that uses the Image, but the text will somehow communicate the concept of the Image.
God is my rock. I take refuge in him. He is my shield, the horn of my salvation, my stronghold, and my refuge, the one who saves me from violence. (2 Samuel 22:3 ULT)
The “horn of my salvation” is the strong one who saves me.
There I will make a horn to sprout for David. (Psalm 132:17a ULT)
The horn is King David’s military strength.
This is because some birds are easily trapped.
I have been hunted like a bird by those who were my enemies; they hunted me without a reason. (Lamentations 3:52 ULT)
Save yourself like a gazelle from the hand of the hunter, like a bird from the hand of the fowler. (Proverbs 6:5 ULT)
A fowler is a person who catches birds, and a snare is a small trap.
We have escaped like a bird out of the snare of the fowlers; the snare has been broken, and we have escaped. (Psalm 124:7 ULT)
In Habakkuk and Hosea, Israel’s enemies who would come and attack them were compared to an eagle.
Their horsemen come from a great distance—they fly like an eagle hurrying to eat! (Habakkuk 1:8 ULT)
An eagle is coming over the house of Yahweh. … Israel has rejected what is good, and the enemy will pursue him. (Hosea 8:1, 3 ULT)
In Isaiah, God called a certain foreign king a bird of prey because he would come quickly and attack Israel’s enemies.
I call a bird of prey from the east, the man of my choice from a distant land. (Isaiah 46:11a ULT)
This is because birds spread their wings over their chicks to protect them from danger.
Protect me like the apple of your eye; hide me under the shadow of your wings from the presence of the wicked ones who assault me, my enemies who surround me. (Psalms 17:8-9 ULT)
Here is another example of how the wings represent protection.
Be merciful to me, God, be merciful to me, for I take refuge in you until these troubles are over. I stay under your wings for protection until this destruction is over. (Psalm 57:1 ULT)
In Psalms, David referred to his enemies as lions.
My life is among lions; I am among those who are ready to devour me. I am among people whose teeth are spears and arrows, and whose tongues are sharp swords. (Psalm 57:4 ULT)
Peter called the devil a roaring lion.
Be sober, be watchful. Your adversary—the devil—like a roaring lion is stalking around, looking for someone to devour. (1 Peter 5:8 ULT)
In Matthew, Jesus called false prophets wolves because of the harm they did to people by their lies.
Beware of false prophets, those who come to you in sheep’s clothing, but inwardly they are ravenous wolves. (Matthew 7:15 ULT)
In Matthew, John the Baptist called the religious leaders poisonous snakes because of the harm they did by teaching lies.
But when he saw many of the Pharisees and Sadducees coming to him for baptism, he said to them, “You offspring of vipers, who warned you to flee from the wrath that is coming?” (Matthew 3:7 ULT)
He satisfies your life with good things so that your youth is renewed like the eagle. (Psalm 103:5 ULT)
For Yahweh says this, “See, the enemy will come flying like an eagle, spreading out his wings over Moab.” (Jeremiah 48:40 ULT)
My people have been a lost flock. Their shepherds have led them astray in the mountains. (Jeremiah 50:6 ULT)
He led his own people out like sheep and guided them through the wilderness like a flock. (Psalm 78:52 ULT)
Israel is a sheep scattered and driven away by lions. First the king of Assyria devoured him; then after this, Nebuchadnezzar king of Babylon broke his bones. (Jeremiah 50:17 ULT)
See, I send you out as sheep in the midst of wolves, so be as wise as serpents and harmless as doves. (Matthew 10:16 ULT)
Some common metonymies and metaphors from the Bible involving plants are listed below in alphabetical order. The word in all capital letters identifies an Image which represents an Idea. The specific word of the Image may not appear in every verse that uses the Image, but the text will communicate somehow the concept of the Image.
In the examples below, Isaiah wrote about one of Jesse’s descendants and Jeremiah wrote about one of David’s descendants.
A shoot will sprout from the root of Jesse, and a branch out of his root will bear fruit. (Isaiah 11:1 ULT)
See, the days are coming—this is Yahweh’s declaration—when I will raise up for David a righteous branch. He will reign as king; he will act wisely and cause justice and righteousness in the land. (Jeremiah 23:5 ULT)
In Job when it says “his branch will be cut off,” it means that he will not have any descendants.
His roots will be dried up beneath; above will his branch be cut off. His memory will perish from the earth; he will have no name in the street. (Job 18:16-17 ULT)
God will likewise destroy you forever; he will … root you out of the land of the living. (Psalm 52:5 ULT)
Just as planting one kind of seeds results in that kind of plant growing, behaving in one way results in that kind of consequence.
The action or behavior in the verses is marked in bold below.
Sow righteousness for yourselves, and reap the fruit of covenant faithfulness. (Hosea 10:12a ULT)
According to what I have seen, those who plow iniquity and sow trouble reap it. (Job 4:8 ULT)
For the people sow the wind and reap the whirlwind. (Hosea 8:7a ULT)
… what fruit then did you have at that time of the things of which you are now ashamed? (Romans 6:21a ULT)
The Jews set up and accepted for themselves, and for their seed, and for all those who unite themselves to them (and it will not pass away) to be making these two days according to their writing, and according to their appointed time every year by year. (Esther 9:27 ULT)
He will be like a tree planted by the streams of water that produces its fruit in its season, whose leaves do not wither; whatever he does will prosper. (Psalm 1:3 ULT)
I have seen the wicked and terrifying person spread out like a green tree in its native soil. (Psalm 37:35 ULT)
… I am like a green olive tree in God’s house. (Psalm 52:8a ULT)
Then the matter was sought out and was found out, and the two of them were hung on a tree. (Esther 2:23a ULT)
This probably means that they were killed by either by being impaled on a wooden pole or by being hung from a gallows by a rope.
Cultural models are mental images that the people of a culture use to think about and to talk about certain aspects of life or behavior. For example, Americans often think of many things, even marriage and friendship, as if they were machines. Americans might say “His marriage is breaking down” or “Their friendship is going full speed ahead.” In this example, human relationships are modeled as a MACHINE. One can say that cultural models are complex metaphors that are commonly used by people of a particular culture.
Some common cultural models found in the Bible are listed below. First there are models for God, then models for humans, things, and experiences. Each heading has the model written in capital letters. That word or phrase does not necessarily appear in every verse, but the idea does.
For God is the King over all the earth. (Psalm 47:7a ULT)
For the kingdom is Yahweh’s; he is the ruler over the nations. (Psalm 22:28 ULT)
Your throne, God, is forever and ever; a scepter of justice is the scepter of your kingdom. (Psalm 45:6 ULT)
This is what Yahweh says, “Heaven is my throne, and the earth is my footstool.” (Isaiah 66:1a ULT)
God reigns over the nations; God sits on his holy throne. The princes of the peoples have gathered together to the people of the God of Abraham; for the shields of the earth belong to God; he is greatly **exalted**. (Psalm 47:8-9 ULT)
Yahweh is a warrior. (Exodus 15:3a ULT)
Yahweh will go out as a warrior; as a **man of war** he will stir up his zeal.. He will shout, yes, he will roar his battle cries; he will show his enemies his power. (Isaiah 42:13 ULT)
Your right hand, Yahweh, is glorious in power; your right hand, Yahweh, has shattered the enemy. (Exodus 15:6 ULT)
But God will shoot them; suddenly they will be wounded with his arrows. (Psalm 64:7 ULT)
For you will turn them back; you will draw your bow before them. (Psalm 21:12 ULT)
Then all the tribes of Israel came to David at Hebron and said, “Look … when Saul was king over us, it was you who led the Israelite army. Yahweh said to you, ‘You will shepherd my people Israel, and you will become ruler over Israel.’” (2 Samuel 5:1-2 ULT)
“Woe to the shepherds who destroy and scatter the sheep of my pasture—this is Yahweh’s declaration.” (Jeremiah 23:1 ULT)
Guard yourselves and all the flock of which the Holy Spirit has made you overseers. Be careful to shepherd the church of God, which he purchased with his own blood. I know that after my departure, vicious wolves will come in among you, not sparing the flock. Even among you yourselves, men will come speaking perverse things which draw away the disciples after them. (Acts 20:28-30 ULT)
In this model, the blood of a person or an animal represents its life.
But you must not eat meat with its life—that is its blood—in it. (Genesis 9:4 ULT)
If blood is spilled or shed, someone has been killed.
Whoever sheds man’s blood, by man will his blood be shed. (Genesis 9:6a ULT)
In this way, this person would not die by the hand of the one who wanted to avenge the blood that was shed, until the accused person would first stand before the assembly. (Joshua 20:9b ULT)
If blood cries out, nature itself is crying out for vengeance on a person who killed someone. (This also includes personification, because the blood is pictured as someone that can cry out. See: Personification)
Yahweh said, “What have you done? Your brother’s blood is calling out to me from the ground.” (Genesis 4:10 ULT)
Now it happened that when Gideon had died, the sons of Israel turned back again and pursued adulterously after the Baals. They made Baal-Berith for themselves as a god. (Judges 8:33 ULT)
When Israel was a young man I loved him, and I called my son out of Egypt. (Hosea 11:1 ULT)
Yet their words go out over all the earth and their speech to the end of the world. He has pitched a tent for the sun among them. The sun is like a bridegroom coming out of his chamber and like a strong man who rejoices when he runs his race. (Psalm 19:4-5 ULT)
Psalm 110 pictures the sun as being in the womb before it comes out in the morning.
From the womb of the dawn your youth will be to you like the dew. (Psalm 110:3b ULT)
This is especially true of things that move in the air or the sky.
The sun is modeled as a disc with wings which allow it to “fly” through the air from east to west during the daytime. In Psalm 139, “the wings of the morning” refers to the sun. In Malachi 4 God called himself the “sun of righteousness” and he spoke of the sun as having wings.
If I fly away on the wings of the morning and go to live in the uttermost parts across the sea … (Psalm 139:9 ULT)
But for you who fear my name, the sun of righteousness will rise with healing in its wings. (Malachi 4:2 ULT)
The wind moves quickly and is modeled as having wings.
He was seen on the wings of the wind. (2 Sam. 22:11b ULT)
He rode on a cherub and flew; he glided on the wings of the wind. (Psalm 18:10 ULT)
You walk on the wings of the wind.(Psalm 104:3b ULT)
In this model, the wind blows away things that are worthless, and they are gone.
Psalm 1 and Job 27 show that wicked people are worthless and will not live long.
The wicked are not so, but are instead like the chaff that the wind drives away. (Psalm 1:4 ULT)
The east wind carries him away, and he leaves; it sweeps him out of his place. (Job 27:21 ULT)
The writer of Ecclesiastes says that everything is worthless.
“Like a vapor of mist, like a breeze in the wind, everything vanishes, leaving many questions. What profit does mankind gain from all the work that they labor at under the sun?” (Ecclesiastes 1:2-3 ULT)
In Job 30:15, Job complains that his honor and prosperity are gone.
Terrors are turned upon me; my honor is driven away as if by the wind; my prosperity passes away as a cloud. (Job 30:15 ULT)
When there was a war between nations, people believed that the gods of those nations were also at war.
This happened while the Egyptians were burying all their firstborn, those whom Yahweh had killed among them, for he also inflicted punishment on their gods. (Numbers 33:4 ULT)
And what nation is like your people Israel, the one nation on earth whom you, God, went and rescued for yourself? … You drove out nations and their gods from before your people, whom you rescued from Egypt. (2 Samuel 7:23 ULT)
The servants of the king of Aram said to him, “Their god is a god of the hills. That is why they were stronger than we were. But now let us fight against them in the plain, and surely there we will be stronger than they are.” (1 Kings 20:23 ULT)
The verses below are not about real physical boundaries but about difficulties or the lack of difficulties in life.
He has built a wall around me, and I cannot escape. He has made my shackles heavy. (Lamentations 3:7 ULT)
He blocked my path with a wall of hewn stone; he made my paths crooked. (Lamentations 3:9 ULT)
Measuring lines have been laid for me in pleasant places. (Psalm 16:6a ULT)
In Psalm 4 David asks God to rescue him.
Answer me when I call, God of my righteousness; give me room when I am hemmed in. Have mercy on me and listen to my prayer. (Psalm 4:1 ULT)
When Job was distressed because of all the sad things that happened to him, he spoke as if he were in a wilderness. Jackals and ostriches are animals that live in the wilderness.
My heart is troubled and does not rest; days of affliction have come on me. I have gone about like one who was living in the dark, but not because of the sun; I stand up in the assembly and cry for help. I am a brother to jackals, a companion of ostriches. (Job 30:27-29 ULT)
Leprosy is a disease. If a person had it, he was said to be unclean.
Behold, a leper came to him and bowed before him, saying, “Lord, if you are willing, you can make me clean.” Jesus reached out his hand and touched him, saying, “I am willing. Be clean.” Immediately he was cleansed of his leprosy. (Matthew 8:2-3 ULT)
An “unclean spirit” is an evil spirit.
When an unclean spirit has gone away from a man, it passes through waterless places and looks for rest, but does not find it. (Matthew 12:43 ULT)